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Iran : Attentat à la « Mormone » à Kerman ! "Des dizaines de morts et blessés en Iran" lors de la commémoration de la mort en martyr de Soleimani, chef du terrorisme régional des mollahs, l’homme en lien avec le Hezbollah, le Hamas, mais aussi Daesh ! Ce mouvement nébuleux qu’il aidait a assumé la responsabilité de l’attentat [1]. Dès le début, l’ensemble des opposants a évoqué une mise en scène du régime. L’examen des images le confirme. Voici les défauts du récit de ce faux attentat ainsi que les explications de son mobile. Iran-révolution se renforce malgré le sabotage euroaméricain ! Depuis 39 jours, l’Iran vit au rythme d’une révolution nationale. Les jeunes de moins de 13 à 18 ans nourris par l’amour de leur pays et des récits sur sa grandeur avant la révolution islamique grâce à 50 ans de progressisme patriotique de la dynastie Pahlavi se sont soulevés contre le régime des mollahs pour restaurer la grandeur passée d’Iran. On est en mesure de supposer qu’une cinquième colonne d’officiers trentenaires des renseignements internes de la milice participe à cette guerre contre le régime. La France, de nombreux pays européens ainsi que les États-Unis tardent à aider activement cette révolution nationale, car ils ont des liens avec les mollahs. Ils s’opposent à la révolution en niant son existence avec l’aide d’un petit nombre d’Iraniens expats très liés au régime. Iran : Poutine l’agitateur ! Poutine [2] s’est rendu en Iran et les rumeurs se sont multipliées. Les « experts français » ont annoncé une alliance stratégique concernant la guerre en Ukraine. Les Américains ont dit qu’il y allait pour acheter des missiles. Ce qui est bien ridicule : Poutine s’était même moqué des capacités militaires ou balistiques des mollahs précédemment lors d’un interview. Il a lui-même démenti tout lien avec l’Ukraine en affirmant que sa visite concernait la Syrie. Pas tout à fait, en vérité. Il y est allé surtout pour perturber les conversations secrètes entre les mollahs et Biden. Explications. Iran : Derrière les murs, Les mollahs vont reprendre les négociations et relâcher leur enrichissement nucléaire anxiogène ou pas ? Nous pensons qu’il n’en sera rien, car arrivés au pouvoir illégitimement, leur seule assurance vie est la menace qui fait peser sur le Moyen-Orient et l’accès à ses réserves pétrolières. Ils acceptent de temps à autre, la reprise des négociations pour alléger leur isolement et leurs sanctions qui aggravent leur impopularité et mettent à mal leur relation avec leurs rares alliés intérieurs. Le régime des mollahs est dans un cercle vicieux. Depuis plusieurs mois, des centaines de dizaines milliers d’employés du pétrole, des industries et des transports et fonctionnaires iraniens (surtout les instituteurs et les employés municipaux), méprisés et très sous-payés (en quasi esclavage), impayés depuis des mois, par la volonté des mollahs, ont cessé de travailler [3] pour épuiser ces derniers et renverser leur régime. Les mollahs ne peuvent pas relever les salaires : ils doivent limiter la consommation, car ils ne peuvent pas approvisionner les marchés [4]. Ils croient éviter les pénuries absolues qui peuvent précipiter leur chute en quelques jours. Pour diminuer leur charge, ils ont récemment baisser la fourniture d’eau et d’électricité, ce qui a provoqué une rébellion bien plus musclée. Bousculés de toutes parts, ils ont pris des inirtiatives d’entente avec Biden [5] qui viennent de troubler davantage leur équilibre déjà très précaire. Iran : Salut Covidé entre menteurs chevronnés Le chef de l’AIEA est allé en Iran et "a arraché" un accord aux mollahs pour la remise en marche des caméras de surveillance de leurs activités nucléaires, alors que les mollahs n’ont pas accepté de cesser des digressions secrètes ou assumées des termes de l’accord de 2015 depuis cette date ! Et tout le monde semble content. Iran : La résistance décompose le régime ! Tous les médias iraniens ne parlent que de la vague des soulèvements anti-régime en Iran. Des manifestations sans autorisations avec des slogans clairement hostiles au régime ou en faveur de rétablissement de la dynastie moderniste des Pahlavi [6] [7], vue comme l’une des meilleures de l’histoire iranienne. La France et d’autres États occidentaux qui ont toujours aidé les mollahs parlent un peu des manifestations en essayant de les résumer à un problème de sècheresse, oublient aussi les slogans en faveur des Pahlavi pour ne pas admettre l’envie de changement de régime des Iraniens, et ce pour préserver des contrats très avantageux signés avec les mollahs. Mais cela ne change pas la réalité, le soulèvement ne cesse de s’étendre et souligner la fragilité du régime, l’isolement de ses dirigeants. Voici le récit des 7 derniers jours de la résistance pour forcer les dirigeants français à lâcher le régime ou les figures de l’opposition à le faire dans l’intérêt de la France et de l’Iran. L’Iran s’anime à l’appel de Reza Pahlavi L’Iran est en ébullition et fourmille de manifestations avec des slogans clairement anti-régime depuis l’appel lancé il y a 24 heures par le prince Reza Pahlavi [8] aux Iraniens de se soulever dans chaque ville, village ou bourgade contre les mollahs et sa demande aux forces de l’ordre de privilégier l’intérêt de la patrie et du peuple. Iran Fact-checking 17 | 210715 Après 42 ans d’esclavage, il y a 24 jours, les ouvriers iraniens ont commencé une grève générale [9] des secteurs énergies, industries, transports et agriculture pour épuiser les mollahs ainsi que leur système mafieux et les abattre. Cette lutte se renforce chaque jour, car les miliciens de base du régime sont du côté des grévistes et n’acceptent pas de les remplacer. L’Occident qui a aidé la révolution islamique résiste à ce mouvement en essayant de sauver les mollahs. Chaque jour, des journaux occidentaux évoquent des sujets hors jeu pour faire diversion, déprimer les grévistes et mettre fin à leur contestation. Voici quelques exemples, notre fact-checking et l’actualité de la lutte contre les mollahs. Iran : Fast and Furious Les ouvriers iraniens ont cessé de travailler [10] afin de renverser leurs tyrans qui les traient en maîtres esclavagistes. Les commerçants du Bazar également ruinés par les mollahs qu’ils avaient toujours aidés ont rejoint la lutte et ont semé la panique chez les collaborateurs du régime. Les mollahs ont accentué les pannes, d’eau et d’électricité, pour punir et épuiser tous leurs adversaires. Ces derniers devaient envahir les rues à partir de mercredi. Les images sont rares en raison du blackout total et délibéré décidé par les mollahs, mais elles sont magnifiques. Iran : Déshérités, privilégiés Des dizaines de milliers d’ouvriers iraniens sont en grève illimitée en vue de confondre et renverser les mollahs qui leur imposent des conditions de travail pire que sous le régime de l’esclavage. Leurs revendications fédératrices ont entraîné l’adhésion d’autres professionnels, notamment les Bazaris, ruinés par les mollahs. Les principaux syndicats ouvriers français viennent de leur apporter leur soutien. Les privilégiés du régime ont paniqué. Les mollahs ont coupé leur électricité pour bloquer leurs transferts d’argent et ont ainsi engendré une colère collective hors du commun. Les Iraniens devraient manifester dès ce soir à la tombée du jour. Iran : Ça craque enfin ! Les ouvriers des secteurs clefs de l’économie iranienne, le pétrole, l’électricité, l’acier sont en grève illimitée depuis 17 jours [11], car leurs salaires sont inférieurs au quart du niveau du seuil de pauvreté absolue ! Leur grève s’est renforcée par l’adhésion des ouvriers d’autres secteurs et les miliciens de base qui sont dans la même situation de pauvreté. Les ouvriers du pétrole viennent d’annoncer leurs revendications pour l’ensemble des ouvriers iraniens. C’est une vraie déclaration de guerre aux mollahs qui a déjà fait craquer le régime des mollahs. Iran : Les mollahs sur des charbons ardents Les agences de presse américaines et européennes continuent à ignorer la grève massive ou générale [12] des dizaines de milliers d’ouvriers et techniciens des secteurs pétroliers et industriels Iraniens décider à virer les mollahs qui leur imposent des conditions de travail proche de l’esclavage depuis 42 ans. Il n’en allait pas de même sous la présidence de Trump qui ne cessait d’affirmer son soutien au peuple iranien. Cette omerta est la preuve que les démocrates et leurs alliés européens (issus des organes comme French American Foundation | FAF) ne veulent pas la chute des mollahs et de l’islamisme au Moyen-Orient et sont bien embêtés par cette grève qui ne cesse de gagner en vigueur. Iran : L’Étau Il y a une grève générale dans les secteurs du pétrole, des énergies et des industries en Iran. Cela a débuté il y a une semaine et ne cesse de s’étendre. Les médias occidentaux n’en parlent pas. C’est une censure absolue, car les démocrates américains et leurs alliés en Europe, parrains de la révolution islamique, ne veulent pas la chute des mollahs. Nous avons de mauvaises nouvelles pour eux : d’autres ouvriers ont rejoint cette grève éclairement anti-régime appelée #Campagne_1400 (année en cours en Iran) pour signifier la volonté de renverser le régime cette année. Le régime lui-même a reconnu le caractère politique et hostile de cette grève en essayant d’y infiltrer certains de ses faux opposants. Le point sur la situation. Iran : Rayissi, le mal élu ! Les mollahs sévèrement boycottés ont abrégé leurs souffrances, en annonçant la victoire de Rayissi (Raïssi) [13] au premier tour avec un très bon score de 60% ! Mais l’élu n’a montré aucune joie car dans l’intérêt du régime, un autre scénario était prévu. L’élu n’a également affiché aucune joie ! Décodage d’une élection non désirée et bien mauvaise pour les mollahs et leur régime. Iran-Resist Fact-checking 15 | 210612 Selon les médias français, Washington évoque le maintien des sanctions même en cas de l’application de l’accord nucléaire par les mollahs. Ces derniers ont ravivé leurs prises d’otages et leurs actions terroristes. Dans une semaine, le régime aura un nouveau président que l’on dit très rigoriste. Voici nos analyses (de dessous des cartes) et des infos bien plus pertinentes faisant état d’un régime balloté par de grosses tempêtes estivales. BIDEN-IRAN | ACTE 6 Biden menace sans cesse les mollahs, sans les sanctionner de manière spectaculaire. Il n’est pas le seul, en revanche d’autres dirigeants ou responsables politiques refusent cette complaisance dangereuse. Les Iraniens la refusent aussi. En ce samedi 20 mars, jour du Nouvel An iranien, voici la chronique des deux dernières semaines de complaisance et de résistance vis-à-vis des mollahs. BIDEN-IRAN | ACTE 5 Biden dit avoir bombardé les positions des mollahs en Syrie. Il dit aussi que ces derniers ont refusé son offre de dialogue. Un lobbyiste du régime affirme qu’ils ne veulent pas négocier aux mêmes conditions que Trump. Est-ce que Biden fait du Trump ? La réponse est non. Il ne s’agit pas de la même diplomatie, des mêmes objectifs, ni même des mêmes méthodes malgré les apparences. BIDEN-IRAN | ACTE 4 Biden veut sans cesse négocier avec les mollahs malgré leurs provocations et manoeuvres dilatoires. On a vu cette double polka agaçante également sous l’administration démocrate d’Obama. Cela est dû au fait que les démocrates ont depuis longtemps une politique de soutien aux islamistes au Moyen-Orient, pour ravir à la Grande-Bretagne sa maitrise dans ce domaine qui lui offre une suprématie mondiale dans le domaine pétrolier, et aussi pour déstabiliser la Chine et la Russie grâce à leurs minorités musulmanes (Tchétchènes ou Ouïghours). Les démocrates ont inauguré cette diplomatie de chaos contrôlé en Iran par l’idéologie islamo-gauchiste (c.-à-d. une lecture marxiste du Coran) pour allier les gauchistes iraniens et d’ailleurs [14] aux jeunes islamistes et contourner les mollahs alliés historiques des Anglais, mais leurs pions n’ont pu prendre le pouvoir par une révolution islamiste. Les démocrates ont dû s’associer avec les Anglais pour profiter de leurs pions, les mollahs. Ils ont alors redéfini leur projet comme un front contre l’URSS et la Chine. Les Anglais ont participé, mais ont viré les pions des démocrates. Ces derniers font tout pour affaiblir les mollahs sans les renverser pour les obliger à ouvrir le régime à leurs pions. Les mollahs ont longtemps résisté avec l’aide des Anglais, du terrorisme et des négociations par intermittence. Mais in fine, ils ont accepté de dialoguer avec Obama. Ils ont alors perdu le soutien des Anglais, mais aussi des Européens, des Chinois et des Russes qui profitaient de leur guerre contre les États-Unis. Ces derniers ont imposé l’accord nucléaire de 2015 aux mollahs pour bloquer le deal espéré par Obama, mais les mollahs ont continué à provoquer ce dernier pour parvenir à un deal avec lui. Trump [15] a mis fin à l’islamisme pernicieux des démocrates et a mené une diplomatie d’affaiblissement des mollahs et leur terrorisme, mais Biden est revenu en arrière ravivant les mêmes résistances anglo-euro-russo-chinoises. Les mollahs sous ces multiples pressions, mais aussi bien affaiblis par Trump et par une forte opposition des Iraniens ont aussi repris leur résistance, mais avec des chantages terroristes et nucléaires plus anxiogènes pour forcer leurs adversaires à capituler. Iran-Resist Fact-checking 003 | 210115 Le ministre des Affaires étrangères de Trump [16], Mike Pompeo vient d’annoncer (ci-dessous) des accusations fortes contre les mollahs, dont leur participation à l’attentat, contre les tours jumelles et leur coopération avec l’Al-Qaeda [17]. Il s’agit évidemment d’empêcher Biden d’enlever les sanctions contre le régime islamique qui a vu le jour avec l’aide des démocrates. Il en va aussi de l’équilibre de la région renforcé par l’accord de paix israélo-arabe. Il y a d’autres objectifs notamment la survie du régime des mollahs [18]. Mais certains en Europe en remis en cause le lien entre les mollahs et Al-Qaeda. Cela résulte d’une terrible méconnaissance des groupes islamistes et des confusions terribles. Le lien existe bel et bien et date même d’avant la révolution islamique. Fakhrizadeh : Le sacrifice inutile d’un homme-sandwich Les médias occidentaux ont rapporté l’assassinat d’un savant nucléaire iranien dans un déplacement de sa résidence secondaire vers Téhéran. Certains ont évoqué un attentat israélien. La victime n’était nullement un savant, mais avait une autre fonction nettement plus importante. Par ailleurs, personne n’a signalé le déroulement très perturbant de l’attentat et ses nombreux récits officiels contradictoires. Il y a aussi un témoin oublié. Voici ces éléments qui ouvrent une piste très inattendue ! Iran : L’opposition se prépare pour le grand soir Il y a une semaine, après l’annonce de la "victoire de Biden" (ami des mollahs) [19], les Iraniens avaient annoncé une reprise forte de la contestation anti-régime pour profiter des derniers jours de présidence de Trump qui les soutient pour renverser le régime. Cela semblait bien engagé, mais depuis, les mollahs ont coupé l’accès à l’Internet et ont privé les opposants de coordonner leur mouvement. Tout n’est pas compromis pour autant. Iran : Nouveaux Avis de tempêtes chez les mollahs ! Les mollahs sont gravement mis en danger en raison d’une multitude de grèves dans les secteurs clefs à l’appel du prince Reza Pahlavi et aussi en raison de l’adhésion de leurs miliciens de base et leurs officiers à ce dernier et son projet de changement de régime sans violence. On s’attend à la reprise des manifestations anti-régime vers le lundi 16.11.20, anniversaire du soulèvement de l’automne dernier. Dimanche, à J-8 de cette date, le régime a subi de nombreux revers et hier soir, il a été confronté à un premier soulèvement dans le sud du pays. Iran : Trump & en avant ! Les Français détestent Trump sous l’influence de leurs dirigeants et les journalistes au service des derniers, mais aussi, car ils ne connaissent rien en géopolitique notamment le Moyen-Orient désordonné façonné par la diplomatie des Démocrates américains par leur soutien aux islamo-gauchistes révolutionnaires et terroristes depuis 50 ans ! Les Français espèrent la victoire de Biden et y croient en lisant les sondages commandés par des médias mainstream américains qui ont moins de 30 % de crédibilité populaire et en méprisant les sondages indépendants qui prévoit une réélection avec un haut score. Mardi soir, les Français vont pleurer la victoire de Trump qui est pourtant leur allié dans la lutte contre le terrorisme islamique. En revanche, les Iraniens, victimes de la diplomatie pro-mollahs des démocrates et leurs alliés néo-cons depuis 42 ans, espèrent la réélection de Trump qui en plus de sa lutte contre l’islamisme, il n’a cessé de soutenir leur lutte pour libérer l’Iran. Ils vont lui montrer leur gratitude en boycottant ce mardi d’abord la journée anti-américaine du régime et puis manifester massivement dans tout le pays pour saluer sa victoire et déstabiliser le régime. Iran : L’opposition attend son heure ! Les mollahs sont sévèrement sanctionnés par Trump, mais aussi par la passivité des autres grandes puissances et enfin et surtout par les Iraniens (ainsi que plus de 99 % des miliciens ) qui veulent un changement de régime et le montrent en apportant leur soutien au prince Reza Pahlavi et sa famille et en paralysant depuis des mois les secteurs clefs touchant la sécurité du régime comme le pétrole, l’électricité, les industries lourdes et surtout les transports routiers et urbains ! Encouragés par l’isolement et l’affaiblissement du régime, les opposants ont évoqué la reprise des manifestations à partir de 25 octobre à l’occasion de divers anniversaires relatifs à la royauté. Bilan. Iran : Blocus & grigris ! Il y a 3 semaines, suite à l’appel lancé par le prince Reza Pahlavi pour l’union de tous les opposants et le développement des grèves contre le régime, les routiers iraniens ont commencé une grève de 20 jours au prétexte de revendications légitimes, mais irréalisables, promettant la poursuivre de manière illimitée si leurs revendications n’étaient pas entendues. Leur blocus a réduit de 85 % l’approvisionnement alimentaire du régime provoquant de nombreuses pénuries lourdes en conséquences pour les mollahs. Ce jeudi, le blocus est entré dans sa seconde phase. Les mollahs, également ébranlés par la rupture d’une grande majorité de leurs miliciens, ont inventé plusieurs récits évoquant leur méchanceté pour intimider leurs opposants. Mais jusque-là ils n’ont pas trouver la formule magique pour casser le blocus censé les renverser. Iran : Nouvelles Alliances contre les mollahs Les mollahs sont en très grande difficulté, car ils ont perdu le soutien de leurs miliciens de base pour avoir volé leurs épargnes afin de résister aux sanctions de Trump au lieu de puiser dans leurs propres réserves en devises. Ces nouveaux opposants ont crié le nom de Pahlavi, le pire ennemi des mollahs qui est le choix du peuple pour son avenir. La situation des mollahs s’est dégradée en avril 2019 avec la fuite du chef de leur contre-espionnage Ali Nasiri aux États-Unis et l’émergence d’une cinquième d’officiers des renseignements. Cela a permis le soulèvement d’octobre 2019 et dernièrement les grèves demandées par Reza Pahlavi pour renverser le régime. Les proches du régime ont tenté de fuir. Les mollahs ont misé des pendaisons des proches et ont affaibli leur régime. Les mollahs ont misé sur la déstabilisation de la région et ont perdu les Russes qui ont besoin d’un Moyen-Orient stable pour étendre son influence en Méditerranée. Il y a une semaine, Trump a davantage affaibli les mollahs en sanctionnant leurs violations des droits de l’homme, en rétablissement des sanctions onusiennes d’avant l’accord nucléaire et en imposant la paix au Moyen-Orient. Les Européens, les Russes et les Chinois (P5-1) n’ont pas applaudi Trump en espérant monnayer leur adhésion. Les mollahs ont alors fait appel aux adversaires démocrates de Trump. Ce choix a fâché leurs parrains historiques anglais qui ont révélé des liens bancaires passés entre les mollahs et les démocrates pour empêcher le deal. Les Russes ont aussi puni les mollahs en les menaçant militairement et en leur imposant un embargo bancaire (conforme aux attentes de Trump). Les mollahs ont zappé les Russes (trop puissants) et ont incendié une grande usine liée aux Anglais pour les forcer à cesser leur sabotage. Ces derniers, mais aussi la France et l’Allemagne ont craint de nouveaux coups contre leurs agents et ont condamné les violations des droits de l’homme par les mollahs, mais ont aussi continué à les draguer en aidant leurs faux opposants. Les Iraniens ont rejeté ces gens et ont appelé à une plus forte mobilisation autour du prince Reza Pahlavi. Il a entendu leurs demandes et a posé un nouveau défi au régime. Récit de tous ces rebondissements et bien plus. Iran : Harakiri bête et méchant à New York Les mollahs vont mal, car ils sont gravement contestés, déstabilisés par une grève contestataire touchant le pétrole, l’électricité et les transports qui a le soutien de leurs miliciens des renseignements et de Donald Trump ! Ils sont menacés par la fuite de leurs affairistes avec leurs dollars. Ils résistent en intensifiant leur ingérence terroriste régionale ou en menaçant de pendre les prisonniers politiques, espérant tenir jusqu’au retour des démocrates et conclure un deal pour intégrer leur diplomatie islamiste anti-russe et anti-chinois. Dernièrement, Trump a intensifié sa pression sur les mollahs en rétablissant les sanctions onusiennes pour avoir violé leurs engagements nucléaires. Il a aussi mis à mal leur ingérence régionale terroriste en parvenant à imposer son plan de paix aux Arabes et aux Israéliens. Les Européens se sont alors opposés à Trump, car ils ont besoin de l’accord nucléaire avec les mollahs et du conflit arabo-israélien pour exister sur la scène internationale, et toujours été des partenaires de la diplomatie de déstabilisation des démocrates, mais ils n’ont pas aidé ouvertement les mollahs, car ils ont peur que Trump soit réélu. Ils doivent aussi penser à leurs propres intérêts au cas où Biden [20] serait élu. Panique chez les mollahs par la faute de ce jeu trouble des Européens ! Crise chez leurs associés affairistes ! Les mollahs ont alors dragué les démocrates. Ces derniers ont tendu une petite perche aux mollahs en invitant ce lundi leur MAE Zarif au Council on Foreign Relations en marge de l’AG de l’ONU. Ce choix a fâché les Européens, sans parler des Russes et des Chinois. Par ailleurs, le discours de Zarif a été aussi très maladroit... La crise s’est intensifiée. Le point sur ces événements. Iran : Mort de Navid et ses conséquences Récemment, grâce à l’action démocratique du prince Reza Pahlavi, seul nom acclamé lors des manifestations en Iran, les Kurdes ont rejoint la lutte contre le régime sans faire référence à leurs revendications séparatistes susceptibles de démotiver le reste des Iraniens. Cette adhésion a entraîné de nouvelles adhésions importantes à la lutte et la grève générale anti-régime. Les mollahs également gravement affaiblis par les prémices de la paix dans la région et la fin de leur pouvoir de nuisance ont constaté l’envie de rupture et de fuite de leurs proches. Ils ont accentué leur chantage terroriste pétrolier contre les adversaires internationaux. Ils ont aussi intensifié la pression psychologique sur les opposants iraniens et les partisans de rupture en menaçant d’exécuter le champion de lutte Navid Afkari, opposant à Chiraz, ville qui avait échappé au contrôle du régime pendant plusieurs jours lors des dernières manifestations. Le prince Reza Pahlavi a pu lancer une campagne internationale pour lui venir en aide et presque tous les pays ou organisations internationales sont intervenus en sa faveur. Mais samedi matin, tel un défi, le régime a annoncé l’avoir pendu pour affirmer son autorité. La nouvelle a provoqué une vague d’indignation en Iran et hors Iran ainsi que des appels et des réactions concrètes et fortes qui ont accentué la panique au sein du régime. Iran : Sous le régime des pertes irréversibles ! Le régime des mollahs est très affaibli en raison des sanctions américaines et aussi la trahison de ses officiers des renseignements qui lui refusent leur aide pour réprimer une contestation de plus en plus forte et encouragent la lutte contre le régime en diffusant des éléments d’archives sur les grands projets de Pahlavi pour les Iraniens et l’état miteux de ces derniers par la faute des mollahs. Au cours des 3 derniers jours, sous cette double pression, l’opposition a marqué des points. Les mollahs ont aussi commis des erreurs qui devraient aggraver leur situation dans les jours à venir. Le point sur les événements du 2 à 4 septembre 2020. Iran : Les fonds de tiroirs, déjà ! Depuis 11 jours, les ouvriers de plusieurs secteurs clefs de l’économie iranienne ont commencé une grève générale pour renverser les mollahs. Ils tiennent bon grâce aux soutiens de bazaris du Kurdistan iranien. Leur mouvement s’étend chaque jour. Les membres de la milice du régime continuent à terroriser les mollahs en incendiant leurs biens pour faire fuir leurs amis nantis. Ces derniers ont aussi menacé par de leurs plus proches complices l’échec de leur terrorisme et l’ébranlement du Hezbollah. Les mollahs tentent tout pour rassurer les leurs, mais rien ne marche. Voici le fil d’infos des 3 derniers jours. Iran : Vers un hyper-isolement des mollahs Depuis quatre jours, une grande majorité des miliciens-ouvriers de 4 secteurs économiques majeurs d’Iran (pétrole, électricité, transports en commun, acier) ainsi que le personnel d’un hôpital ont rejoint les ouvriers du secteur sucrier pour une grève illimitée pour renverser les mollahs. Ces derniers, affaiblis par la rupture d’un grand nombre de leurs miliciens notamment ceux des renseignements, n’ont pu briser ces grèves. C’est pourquoi ils ont évoqué des pendaisons d’opposants populaires pour intimider les grévistes. Mais ils n’ont cessé de reculer, réduisant le nombre des condamnés. Mercredi, désespérés par la persistance des grèves, ils ont exécuté un milicien dissident accusé du meurtre d’un milicien il y a 3 ans lors des manifestations anti-régime et pro-Reza Pahlavi. Cette exécution a révolté les Iraniens et a incité d’autres acteurs économiques iraniens à rejoindre la grève illimitée contre les mollahs ! Iran : La fête du Sacrifice a aggravé les problèmes du régime Le régime a échoué récemment dans ses diverses tentatives pour embraser la région ou intimider ses ennemis. Au cours des 3 derniers jours, il s’est vu imposer de nouvelles sanctions, il a lancé une offensive commerciale au Venezuela et a été puni par des incendies déstabilisants de ses officiers rebelles. La fête du sacrifice du régime a aussi été boycottée à 99,99% des Iraniens, car la traditionnelle prière collective et publique à cette occasion (déjà boycottée depuis plusieurs années a été un véritable fiasco car il attiré moins de 30 personnes dans tout le pays. Iran : Offensives et défaites secrètes des mollahs en Irak et au Liban ! Les mollahs sont chaque jour ébranlé par des sabotages perpétués par des officiers de leurs renseignements, ceux-mêmes qui sont censés les protéger. C’est pourquoi au début de la semaine dernière, les mollahs ont joué la carte du chantage terroriste en Irak pour obtenir un couloir de fuite dans ce pays. Mais le PM irakien Kazemi a tenu bon et a contre-attaqué en arrêtant des membres du Hezbollah irakien. Les mollahs ont exporté des armes lourdes vers le Hezbollah Libanais et ont provoqué une chaîne de réactions négatives au Liban et en Syrie et aussi en Iran. Ils ont tenté de restaurer leur image par une manœuvres balistiques, mais suite à un sabotage, leurs missiles ont détruit leurs propres stocks de missiles sol-mer ! Voici les derniers événements survenus depuis :de nouvelles initiatives ratées qui ont lourdement pénalisé les mollahs. Iran : Tirs de missiles contre le régime Hier, la milice avait programmé des manœuvres nocturnes dans le golfe Persique et des tirs des missiles sol mer pour insinuer une bonne capacité de guerre pétrolière nocturne afin de terroriser ses voisins arabes et leurs clients pétroliers étrangers. Mais elle a annoncé une erreur : 3 missiles ont été tirés par erreur vers le sol de l’île de Qeshm. Mais il ne s’agit en fait pas d’une erreur, mais vraisemblablement d’un nouveau sabotage anti-régime. Iran : Décryptage des boites noires du régime ! Sous la pression internationale, les mollahs viennent de livrer les boites noires de l’avion qu’ils avaient abattu en janvier dernier pour empêcher la fuite de nombreux proches nantis avec leurs magots. Mais les mollahs ne risquent rien, car en même temps, ils ont aussi tué le principal accusé de cette affaire, le général milicien Hajizadeh 22.07.2020 Iran : 5 explosions à Téhéran Il y a quelques heures, nous avions formé l’hypothèse d’une forte dissidence voire de rébellions au sein de la milice des Pasdaran. Des explosions dans plusieurs bases de la milice, uniquement possible grâce à des éléments hostiles au régime, confirment ces rébellions et la volonté des rebelles d’accélérer la chute du régime ! Iran : Rébellions mortelles au sein du régime Les Iraniens sont à nouveau descendus dans les rues jeudi dernier avec l’intention de continuer et virer les mollahs. Les membres de la milice ont marqué cette soirée par l’absence de charge contre les manifestants faisant état de leur soutien à la lutte contre les mollahs. Depuis, ces derniers ont coupé l’internet et affirment avoir pris le dessus par des vidéos diffusées malgré cette coupure ! Voici les images et un scoop faisant état d’un grand échec pour le régime ! Images des manifs du 16 Juillet Sanctionnés par Washington, les mollahs sanctionnent les Iraniens afin de préserver leurs conditions de vie malgré les problèmes économiques du pays. Les Iraniens ont manifesté hier soir contre le régime [22] et ses injustices et ont promis de continuer autant que nécessaire pour virer les mollahs ! On n’a vu aucune réaction forte de la part du régime ce qui a signalé que les forces de l’ordre ont choisi le peuple [23]. Les mollahs se sont protégés en diminuant la vitesse d’internet pour empêcher la diffusion internationale des preuves de leur impopularité et de leur impuissance. Voici les vidéos d’hier qui nous sont parvenues depuis. Iran : Manifestation en faveur du Roi ! En réaction à la condamnation à mort de 3 jeunes militants royalistes arrêtés lors du soulèvement de l’an dernier, les Iraniens se sont mobilisés depuis plusieurs jours. Les partisans de ces jeunes et de la chute des mollahs ont mis en garde le régime et ont appelé à manifester ce vendredi dans tout le pays. Cet appel a semé la panique et insufflé une nouvelle dynamique dans la lutte anti-régime. Iran : la guerre des Incendies et des diffamations Un nouvel incendie a eu lieu ce samedi en Iran. La centrale thermique de fourniture d’électricité à la ville d’Ahwaz a pris feu. Qui est à l’origine de ce feu qui privera la ville d’Ahwaz d’électricité ? Certains parlent encore d’une responsabilité israélienne. Certains félicitent ce pays et d’autres l’insultent. La vérité est comme toujours bien différente. Israël n’est pour rien dans cet incendie. Voici des éléments qui permettent de désigner les vrais coupables et aussi comprendre l’insistance des affirmations de l’implication d’Israël. Iran : Explosion toxique à l’usine nucléaire de Natanz C’est la saison des incendies dévastateurs en Iran. Le régime brûle des forêts pour cacher ses ventes de bois précieux interdites selon ses propres lois. Les ennemis du régime attaquent au feu ses organes pour paniquer ses derniers collaborateurs fidèles. Le régime punit les détecteurs par des incendies. Dans ce contexte brûlant, on a eux une explosion suspecte dans une usine de missiles, il y a quelques jours. Hier, à 2 heures du matin, il y a eu une nouvelle explosion suspecte dans la principale usine d’enrichissement nucléaire en Iran. Le régime est resté silencieux et a ainsi enflammé les esprits. Voici un rappel des faits et des rumeurs suivi de nos conclusions. Iran : Terreurs et ripostes Les mollahs sont ébranlés par des sanctions, les ruptures de leurs proches et un mécontentement populaire général. Les mollahs ont opté pour des punitions fortes en tout genre, dont des assassinats d’opposants exilés, pour empêcher la fuite de leurs proches et le soulèvement des Iraniens. Récit et impacts. Iran : Les mollahs sous une triple menace L’administration américaine prépare deux vastes programmes de sanctions contre les mollahs. Il y a aussi du nouveau du côté de la contestation anti-régime et de la panique au sein du régime. Une triple menace qui pèse lourdement sur le régime. Point sur la situation. Iran : Sabotage anti-régime dans le centre du pays Les mollahs vont mal. Leur régime manque de devises et perd ses serviteurs tant financiers que sécuritaires. Il a dû annuler les rassemblements de la journée anti-israélienne de Qods car ils jugeaient impossible de réunir le peu de manifestations qu’ils avaient réunies les années passées et qu’ils jugeaient dangereux de descendre dans la rue dans cette situation. Cette annulation a renforcé l’enthousiasme des Iraniens qui défient le pouvoir depuis des mois. Les murs se sont couverts de slogans en faveur du retour des Pahlavi. Le régime a réagi avec vigueur, ses opposants aussi. Iran : 2 Condamnations à mort dans un contexte européen & international hostile (article complété le mardi 20.05.20 à 12H00) Les mollahs viennent de condamner à mort un ancien directeur de la SAIPA, le second constructeur automobile iranien, ainsi que l’épouse de ce dernier pour corruption financière, trafic de devise et d’or. Il y a 6 ans, presque jour pour jour, les mollahs avaient pendu un homme d’affaires pour les mêmes raisons. Il s’agissait alors de mettre en garde des amis du régime tentés par la trahison et la fuite avec leurs capitaux ! Cette année, il s’agit de la même chose, mais dans un contexte plus grave notamment en raison d’une forte contestation interne et de sérieux revers internationaux contre le régime. Iran : Le régime en alerte orange Il y a actuellement des millions d’Iraniens en grève et plusieurs milliers à manifester chaque jour pour des salaires en retard. Il y a une crise de panique chez les complices financiers du régime. Ce dernier les rémunère grassement pour les garder à ses côtés. Mais hier, la bourse de Téhéran s’est effondrée : ce qui signifie que les sommes faramineuses versées par le régime à ses proches n’ont pas suffi à les rassurer. Samedi soir, nous avons constaté de l’agitation en Iran et sur le Twitter iranien. Iran : Grève de la fin ! Les mollahs vont mal, car les Iraniens sont en grève générale pour les renverser et par ailleurs, les puissances étrangères les sanctionnent pour leur terrorisme et refusent de les aider au prétexte du jour d’après la pandémie de coronavirus. Les mollahs ripostent à leurs ennemis d’extérieur par des menaces militaires, mais sans être pris au sérieux. Il en va de même face à leurs ennemis d’intérieur. Explications. Iran : La semaine en images n°328 En 1979, les Américains ont entrepris de renverser le Shah car ses politiques régionales et ses projets pour l’Iran étaient contraires à leurs intérêts pétroliers. Ils entendaient mettre au pouvoir des activistes islamistes non cléricaux qu’ils finançaient depuis la création de l’OPEP par le Shah. Ces islamistes liés à Washington étaient hostiles à l’OPEP et partisans d’un régime révolutionnaire et interventionniste. Ils devaient lui permettre de dénationaliser l’industrie pétrolière iranienne, d’agiter et de déstabiliser l’Asie Centrale soviétique et chinoise, mais aussi de renverser le pétro-monarchies créées par les Britanniques, et ainsi de prendre possession de plus de 80% des réserves d’hydrocarbures du monde. Les Britanniques présents en Iran au travers le clergé chiite, les Qadjars, les Francs-maçons, les féodaux dont les Bakhtiaris, les Bazaris et la direction du parti communiste Toudeh ont participé à ce projet en faisant la promotion de leur ultra-islamiste en chef Khomeiny. Il s’est imposé au Conseil de la révolution. Puis Londres a éliminé les pions américains par des attentats organisés par Rafsandjani, le demi-frère de Khomeiny. Puis, grâce à la prise en otage des diplomates américains, Londres a enfin donné une identité anti-américaine à cette révolution voulue par Washington. Il a bloqué également le retour des pions islamistes de Washington par l’adoption de la doctrine de tutelle d’un grand ayatollah (du clergé) sur la république islamique de Washington. Washington a alors commencé une véritable Guerre d’Usure Economiqu contre les mollahs, pour les mettre face à un risque de pénuries et de soulèvement afin de les amener à transférer les pouvoirs vers ses pions. En réponse à cette guerre d’usure, Rafsandjani, le patron effectif du régime pour le compte des Britanniques depuis 1980, a commencé une politique de crises pétrolières et régionales pour user Washington, mais cette politique a seulement entraîné la rupture des jeunes y compris parmi les Pasdaran. Amplification des problèmes & Fausse(s) modération(s) (année 90)| Rafsandjani inquiété pour son insuccès a pérennisé son pouvoir par la création du Conseil (plénipotentiaire) de Discernement de l’Intérêt du Régime, mais la persistance des pressions américaines, l’a amené à ouvrir les portes du CDIR à ses rivaux. Sanctionné directement, Rafsandjani s’est écarté de la présidence de la république qui est un poste sans réels pouvoirs -. mais du fait que ce permet un contact avec les chefs dEtat étrangers, il l’a confié à son ex-responsable des assassinats politiques, Khatami et mis en place une STRATEGIE DE FAUSSE MODERATION vis-à-vis de Washington. Rafsandjani (maître du jeu via le CDIR) a aussi établi des Alliances diplomatiques avec les Européens via la vente du pétrole à 15% de son prix. Enfin, il a aussi baissé le taux du dollar pour empêcher la fuite de nantis du régime paniqués par la persistance des sanctions. Selon la volonté de Rafsandjani, le régime a cependant continué ses activités terroristes, sous la direction d’un certain Rohani, pour préserver sa capacité de nuisance régionale. Le régime s’est aussi tourné vers la Russie alors ruinée pour acheter des armes pour tenir tête à Washington. La Russie a gagné beaucoup d’argent avec les mollahs, mais, consciente du fait qu’ils l’utilisaient pour forcer un arrangement avec Washington, elle ne leur a jamais vendu des armes très performantes comme les S-300 susceptibles de leur donner une vraie autonomie stratégique. Cette fausse modération très biscornue de Khatami n’a pas permis à Rafsandjani d’engager Washington dans la voie de l’apaisement et ainsi obtenir la fin aux sanctions américaines. De plus, le dollar bon marché et la vente au rabais du pétrole ont anéanti toute production en Iran et ruiné le pays entraînant de nouvelles ruptures parmi les derniers Pasdaran recrutés. En 2005, Rafsandjani, pressé par ses rivaux, est revenu, via un autre ex-collaborateur, Ahmadinejad, à la STRATRGIE DE L’ESCALADE (dans l’espoir de faire reculer Washington ou gagner le soutien de la Russie et de la Chine, pour entrer dans l’Organisation de Coopération de Shanghaï afin d’avoir plus d’aisance dans ses marchandages avec Washington. La Chine et la Russie, conscientes d’être utilisées par le régime, ont refusé l’adhésion à l’OCS et ont même soutenu le transfert du dossier au Conseil de Sécurité de l’ONU pour avoir leur mot à dire sur les sanctions et autres pressions afin de contrôler aussi bien Washington que les mollahs. Washington a profité de l’implication du Conseil de Sécurité pour entraîner toutes les grandes puissances dans ses sanctions bancaires. Le régime ruiné par les mauvaises politiques clientélistes de Rafsandjani s’est vite retrouvé en difficulté pour ses approvisionnements : il a décidé de geler les salaires et remonter les prix pour baisser la consommation afin de préserver ses stocks et échapper aux pénuries et aux émeutes fatales. Mais la première tentative de hausse de prix a entraîné des émeutes puis la rupture les jeunes engagés dans la milices anti-émeutes par pauvreté. Gestions de la Crise / Crises des Gestionnaires| En 2008, le régime était ainsi très fragilisé car sans défense. Ses dirigeants ont compris qu’ils ne pouvaient pas survivre, ils devaient fuir. Leur priorité a changé : Obtenir des GARANTIES DE SÉCURITÉ ou l’IMMUNITÉ de la part de Washington pour fuir sans craindre des poursuites pour leurs crimes passé. Clashs internes et Plans d’urgence | Rafsandjani a écarté Ali Larijani de la direction des négociations nucléaires pour privilégier ses propres chances d’obtenir les meilleures s de sécurité possibles. Ali Larijani a divulgué, par un tiers, la corruption de membres du CDIR et du clergé pour les renverser et avoir les mains libres pour marchander les meilleures s pour lui-même. Rafsandjani a neutralisé la menace en éliminant les proches de Larijani. Puis en 2009, pour s’éviter d’autres fronde internes, avec l’aide des Britanniques (BBC), il a tenté (encore) de sauver le régime par une (FAUSSE) REVOLUTION DE COULEUR VERTE (couleur de l’islam) MOUVEMENT VERT pour revitaliser le régime et lui donner une nouvelle légitimité et de fait, amener Washington à abandonner ses sanctions. Mais l’opération lui a échappé et a seulement mis en valeur la rupture du peuple et des Pasdaran de base (aussi bien les vétérans que les plus jeunes recrues). En 2010, Rafsandjani a continué en tentant une nouvelle (fausse) révolution Verte avec les pions de Washington pour la création d’un régime hybride qui n’eut aucun succès. Le peuple et les Pasdaran de base ont au même moment manifesté à l’occasion de l’anniversaire de Reza Shah, le fondateur de l’Iran moderne (et laïque), confirmant leur penchant pour une contre-révolution laïque. Les nantis du régime ont alors paniqué et ont commencé à brader leurs avoirs et acheter de l’or et des dollars pour quitter le pays avant que le régime ne tombe ou ne change de mains suite à un deal secret entre les dirigeants et Washington.. Le régime s’est retrouvé avec un risque de banqueroute financière avec cette ENVIE (sans cesse grandissante et confirmée) DE FUITE DES NANTIS RIPOUX AVEC LEURS CAPITAUX. Changement de Monture pendant la course | En 2012, Rafsandjani a lâché les Britanniques pour marchander avec Washington à propos de son rôle avéré dans l’attentat d’Amia, s’attirant leur foudre. Mais il n’a rien obtenu des Américains, il est revenu vers les Britanniques, ils lui ont concocté le projet de Déviation du Régime en direction du peuple afin d’obtenir son pardon et au passage, dans l’intérêt de Londres, saboter le régime islamique avant un deal avec Washington. Le peuple et les jeunes Pasdaran ont refusé ce projet opportuniste. Le projet de Déviation ne pouvait pas être continué. Le « choix » de Rohani | Les chefs du clergé ont invalidé la candidature de Rafsandjani aux présidentielles rompant de facto leur lien historique (vieux de 170 ans) avec les Britanniques. Ils ont mis en avant son adjoint Rohani pour mener une double politique combinant un bras de fer avec Washington et un soutien détendu à l’opposition interne pour pouvoir à tout moment piloter un transfert de pouvoirs vers Washington en cas de deal ou bien pour amortir la chute du régime en cas d’un soulèvement populaire. Les Chefs Pasdaran et les nantis issus du régime, tous très mal vus par le peuple, n’ont pas aimé ce retour aux solutions ratées du passé qui ne pouvaient les sauver ! Ils ont boycotté les élections ! L’annonce de la « victoire de Rohani » a provoqué leur panique. D’un autre côté, les Pasdaran rebelles ont aussi commencé des actions de sabotages (sans victime) contre le régime. La contestation interne ainsi renforcée a mis Rohani en demeure de trouver un deal plus englobant (donc forcément avec moins d’immunité pour les grands). Pour se débarrasser de ces pressions, Rohani a alors pris en main les négociations excluant de nombreux ayants droits des négociations. Ce qui a exacerbé les hostilités à son égard. De fait à chaque fois que sous la pression de la rue ou des sanctions, il fait un pas vers Washington, ses adversaires se déchaînent contre cette initiative. Les chefs Pasdaran annoncent des tirs de missiles, les ultra-insolvables critiquent son manque d’intégrisme et les Nantis révèlent parfois des chiffres tabous pour entraîner sa chute. Ils sont ainsi devenus la plus grande menace pour la survie du régime... En octobre dernier, suite au Boycott interne d’un événement fondateur du régime (la prise en otages des diplomates américains), Washington avait eu peur que le système islamique cher à ses projets ne s’effondre par la faute de cette guerre entrer ses dirigeants. Il a proposé le GEL des SANCTIONS Nous avions alors parlé d’un retour du Multi-Latéralisme disparu depuis la chute de l’ex-URSS. Rohani avait alors tenté en vain de désintégrer ce nouveau front hostile des grandes puissances jadis amis en leur proposant des contrats pétroliers plus avantageux, mais n’avait pas réussi car elles sont toutes en lutte pour un plus vaste enjeu qu’est la domination des ressources énergétiques de la planète. L’échec prévisible de cette politique (mise au point jadis par les Britanniques pour Rafsandjani) a déprimé les nantis du régime. Ils ont pris leur distance avec le régime qui semblait condamné en boycottant à 100% le 35e anniversaire de la révolution islamique ! Pour encourager les mollahs à déposer les armes, Washington avait alors tenté d’agiter région pétrolière et frontalière de Khouzestan. En raison de l’hostilité du peuple à la balkanisation du pays, l’initiative d’agitation américaine n’a pu mobiliser en tout que 150 jeunes dans quelques villes, malgré cela, le régime a été vite dépassé par manque de troupes. Il est entré dans un nouveau cycle de panique boursière et de crise politique ! Washington a alors arrêté son agitation et a multiplié les offres indirectes de capitulation et parfois de Coopération via ses divers alliés internationaux... La Russie, en conflit avec Washington, a proposé une alliance durable aux mollahs, mais l’offre n’a eu aucun succès car les dirigeants du régime perdraient alors définitivement les dollars déposés dans les banques occidentales. Son refus a rappelé que le régime n’avait pas d’alternative diplomatique. La Russie s’est aussi fâchée définitivement et s’est posée en adversaires de tout dialogue en aparté entre Téhéran et Washington. Washington a alors proposé la reprise du dialogue officiel via les 5+1 pour bloquer l’hostilité russe. L’Europe menée la Britannique Ashton a stoppé nette les manigances américaines en ouvrant un nouveau dossier de contentieux avec le régime sur ses violations permanentes des droits de l’homme et son implication dans le terrorisme. La Chine et la Russie n’ont pas condamné la résolution ! Le régime s’est retrouvé avec un front hostile Anglo-Sino-Russe doté de ses propres critères pour le sanctionner. La panique a gagné en amplitude avec un nouveau cycle de crise politique et financière ! Washington, parrain de la révolution islamique, a alors accordé un sursis au régime avec un bon rapport de l’AIEA faisant état d’une bonne coopération et a montré son ouverture pour un transfert des pouvoirs vers ses pions par le dégel de 450 millions de dollars dans le cadre de l’Accord de Genève. Mais il n’avait pu parvenir à calmer la panique car le régime a été contesté par l’absence de ses officiers à ses côtés pour la journée de l’armée, mais aussi l’anniversaire de la création des Pasdaran ou encore pour l’anniversaire de Khomeiny et à l’occasion de très nombreuses fêtes religieuses. La panique des super-nantis et leur ruée vers l’or et le dollar se sont même amplifiées, exposant le pays à une banqueroute financière. Rohani devait remontrer les prix pour préserver les stocks. Mais il n’a pas alors osé intensifier ce plan impopulaire à un moment où le régime n’a plus de défenseurs sur le terrain. Il a aussi fait appel aux faux opposants, mais ils n’ont jugé opportun de défendre un régime finissant et vulnérable. Dans la foulée, les ouvriers iraniens ont massivement manifesté contre le régime grâce à une grande solidarité interne et grâce à la passivité complice des forces de l’ordre. Le régime était prenable et incapable de retarder sa chute par manque de policiers ou de faux opposants. Les super-nantis liés au régime se sont davantage affolés. Les politiciens exclus des marchandages aussi. Ils ont ont tout tenté pour déstabiliser Rohani et prendre sa place pour avoir accès aux marchandes avec Washington afin de s’assurer une fuite sécurisée... Rohani est finalement revenu à l’option d’un super bras de fer avec Washington pour retarder l’accord souhaité par Washington pour négocier une fuite sécurisée pour lui-même et les grands du clergé. Mais il n’y est pas parvenu. La bourse de Téhéran a enregistré une méga chute. © WWW.IRAN-RESIST.ORG
Rafsandjani a paniqué et s’est lancé dans une super-dissidence. Rohani s’est tourné vers la Chine et la Russie, mais n’a rien obtenu. Ali Larijani a annoncé un grand plan anti-corruption pour virer tout le monde et accéder aux négociation finale avec Washington. Les chefs Pasdaran et les grands du clergé qui étaient visé ont immédiatement créé une coalition, mais n’ont pas su bien mettre en valeur cette unité inattendue pour intimider Larijani et de fait stabiliser un peu le régime. © WWW.IRAN-RESIST.ORG
Les Pasdaran unis au clergé ont tout simplement éliminé le principal accusé détenu dans leur prison pour désorganiser l’offensive des Larijani et intimider tous leurs adversaires. Mais ce coup de force a été vu comme une menace. La panique a augmenté. De plus, 2 événements inattendus ont aussi mis en évidence l’inefficacité des Pasdaran en tant que force de répression. Tout est parti en vrille ! Voici le récit en images d’une belle semaine d’échec et désillusion pour les mollahs et leurs vieillissant associés en treillis. L’ébauche de cette analyse a été proposée en émission télévisée et diffusée en Iran le lundi dernier (02.06.2014) via la principale chaîne satellitaire de l’opposition, Iran-e-Ariaee. Vous pouvez regarder cette émission en persan sur le compte Youtube d’IEATV ou dans la section iranienne d’Iran-Resist. 06.06.2014 Iran : La semaine en images n°327 En 1979, les Américains ont entrepris de renverser le Shah car ses politiques régionales et ses projets pour l’Iran étaient contraires à leurs intérêts pétroliers. Ils entendaient mettre au pouvoir des activistes islamistes non cléricaux qu’ils finançaient depuis la création de l’OPEP par le Shah. Ces islamistes liés à Washington étaient hostiles à l’OPEP et partisans d’un régime révolutionnaire et interventionniste. Ils devaient lui permettre de dénationaliser l’industrie pétrolière iranienne, d’agiter et de déstabiliser l’Asie Centrale soviétique et chinoise, mais aussi de renverser le pétro-monarchies créées par les Britanniques, et ainsi de prendre possession de plus de 80% des réserves d’hydrocarbures du monde. Les Britanniques présents en Iran au travers le clergé chiite, les Qadjars, les Francs-maçons, les féodaux dont les Bakhtiaris, les Bazaris et la direction du parti communiste Toudeh ont participé à ce projet en faisant la promotion de leur ultra-islamiste en chef Khomeiny. Il s’est imposé au Conseil de la révolution. Puis Londres a éliminé les pions américains par des attentats organisés par Rafsandjani, le demi-frère de Khomeiny. Puis, grâce à la prise en otage des diplomates américains, Londres a enfin donné une identité anti-américaine à cette révolution voulue par Washington. Il a bloqué également le retour des pions islamistes de Washington par l’adoption de la doctrine de tutelle d’un grand ayatollah (du clergé) sur la république islamique de Washington. Washington a alors commencé une véritable Guerre d’Usure Economiqu contre les mollahs, pour les mettre face à un risque de pénuries et de soulèvement afin de les amener à transférer les pouvoirs vers ses pions. En réponse à cette guerre d’usure, Rafsandjani, le patron effectif du régime pour le compte des Britanniques depuis 1980, a commencé une politique de crises pétrolières et régionales pour user Washington, mais cette politique a seulement entraîné la rupture des jeunes y compris parmi les Pasdaran. Amplification des problèmes & Fausse(s) modération(s) (année 90)| Rafsandjani inquiété pour son insuccès a pérennisé son pouvoir par la création du Conseil (plénipotentiaire) de Discernement de l’Intérêt du Régime, mais la persistance des pressions américaines, l’a amené à ouvrir les portes du CDIR à ses rivaux. Sanctionné directement, Rafsandjani s’est écarté de la présidence de la république qui est un poste sans réels pouvoirs -. mais du fait que ce permet un contact avec les chefs dEtat étrangers, il l’a confié à son ex-responsable des assassinats politiques, Khatami et mis en place une STRATEGIE DE FAUSSE MODERATION vis-à-vis de Washington. Rafsandjani (maître du jeu via le CDIR) a aussi établi des Alliances diplomatiques avec les Européens via la vente du pétrole à 15% de son prix. Enfin, il a aussi baissé le taux du dollar pour empêcher la fuite de nantis du régime paniqués par la persistance des sanctions. Selon la volonté de Rafsandjani, le régime a cependant continué ses activités terroristes, sous la direction d’un certain Rohani, pour préserver sa capacité de nuisance régionale. Le régime s’est aussi tourné vers la Russie alors ruinée pour acheter des armes pour tenir tête à Washington. La Russie a gagné beaucoup d’argent avec les mollahs, mais, consciente du fait qu’ils l’utilisaient pour forcer un arrangement avec Washington, elle ne leur a jamais vendu des armes très performantes comme les S-300 susceptibles de leur donner une vraie autonomie stratégique. Cette fausse modération très biscornue de Khatami n’a pas permis à Rafsandjani d’engager Washington dans la voie de l’apaisement et ainsi obtenir la fin aux sanctions américaines. De plus, le dollar bon marché et la vente au rabais du pétrole ont anéanti toute production en Iran et ruiné le pays entraînant de nouvelles ruptures parmi les derniers Pasdaran recrutés. En 2005, Rafsandjani, pressé par ses rivaux, est revenu, via un autre ex-collaborateur, Ahmadinejad, à la STRATRGIE DE L’ESCALADE (dans l’espoir de faire reculer Washington ou gagner le soutien de la Russie et de la Chine, pour entrer dans l’Organisation de Coopération de Shanghaï afin d’avoir plus d’aisance dans ses marchandages avec Washington. La Chine et la Russie, conscientes d’être utilisées par le régime, ont refusé l’adhésion à l’OCS et ont même soutenu le transfert du dossier au Conseil de Sécurité de l’ONU pour avoir leur mot à dire sur les sanctions et autres pressions afin de contrôler aussi bien Washington que les mollahs. Washington a profité de l’implication du Conseil de Sécurité pour entraîner toutes les grandes puissances dans ses sanctions bancaires. Le régime ruiné par les mauvaises politiques clientélistes de Rafsandjani s’est vite retrouvé en difficulté pour ses approvisionnements : il a décidé de geler les salaires et remonter les prix pour baisser la consommation afin de préserver ses stocks et échapper aux pénuries et aux émeutes fatales. Mais la première tentative de hausse de prix a entraîné des émeutes puis la rupture les jeunes engagés dans la milices anti-émeutes par pauvreté. Gestions de la Crise / Crises des Gestionnaires| En 2008, le régime était ainsi très fragilisé car sans défense. Ses dirigeants ont compris qu’ils ne pouvaient pas survivre, ils devaient fuir. Leur priorité a changé : Obtenir des GARANTIES DE SÉCURITÉ ou l’IMMUNITÉ de la part de Washington pour fuir sans craindre des poursuites pour leurs crimes passé. Clashs internes et Plans d’urgence | Rafsandjani a écarté Ali Larijani de la direction des négociations nucléaires pour privilégier ses propres chances d’obtenir les meilleures s de sécurité possibles. Ali Larijani a divulgué, par un tiers, la corruption de membres du CDIR et du clergé pour les renverser et avoir les mains libres pour marchander les meilleures s pour lui-même. Rafsandjani a neutralisé la menace en éliminant les proches de Larijani. Puis en 2009, pour s’éviter d’autres fronde internes, avec l’aide des Britanniques (BBC), il a tenté (encore) de sauver le régime par une (FAUSSE) REVOLUTION DE COULEUR VERTE (couleur de l’islam) MOUVEMENT VERT pour revitaliser le régime et lui donner une nouvelle légitimité et de fait, amener Washington à abandonner ses sanctions. Mais l’opération lui a échappé et a seulement mis en valeur la rupture du peuple et des Pasdaran de base (aussi bien les vétérans que les plus jeunes recrues). En 2010, Rafsandjani a continué en tentant une nouvelle (fausse) révolution Verte avec les pions de Washington pour la création d’un régime hybride qui n’eut aucun succès. Le peuple et les Pasdaran de base ont au même moment manifesté à l’occasion de l’anniversaire de Reza Shah, le fondateur de l’Iran moderne (et laïque), confirmant leur penchant pour une contre-révolution laïque. Les nantis du régime ont alors paniqué et ont commencé à brader leurs avoirs et acheter de l’or et des dollars pour quitter le pays avant que le régime ne tombe ou ne change de mains suite à un deal secret entre les dirigeants et Washington.. Le régime s’est retrouvé avec un risque de banqueroute financière avec cette ENVIE (sans cesse grandissante et confirmée) DE FUITE DES NANTIS RIPOUX AVEC LEURS CAPITAUX. Changement de Monture pendant la course | En 2012, Rafsandjani a lâché les Britanniques pour marchander avec Washington à propos de son rôle avéré dans l’attentat d’Amia, s’attirant leur foudre. Mais il n’a rien obtenu des Américains, il est revenu vers les Britanniques, ils lui ont concocté le projet de Déviation du Régime en direction du peuple afin d’obtenir son pardon et au passage, dans l’intérêt de Londres, saboter le régime islamique avant un deal avec Washington. Le peuple et les jeunes Pasdaran ont refusé ce projet opportuniste. Le projet de Déviation ne pouvait pas être continué. Le « choix » de Rohani | Les chefs du clergé ont invalidé la candidature de Rafsandjani aux présidentielles rompant de facto leur lien historique (vieux de 170 ans) avec les Britanniques. Ils ont mis en avant son adjoint Rohani pour mener une double politique combinant un bras de fer avec Washington et un soutien détendu à l’opposition interne pour pouvoir à tout moment piloter un transfert de pouvoirs vers Washington en cas de deal ou bien pour amortir la chute du régime en cas d’un soulèvement populaire. Les Chefs Pasdaran et les nantis issus du régime, tous très mal vus par le peuple, n’ont pas aimé ce retour aux solutions ratées du passé qui ne pouvaient les sauver ! Ils ont boycotté les élections ! L’annonce de la « victoire de Rohani » a provoqué leur panique. D’un autre côté, les Pasdaran rebelles ont aussi commencé des actions de sabotages (sans victime) contre le régime. La contestation interne ainsi renforcée a mis Rohani en demeure de trouver un deal plus englobant (donc forcément avec moins d’immunité pour les grands). Rohani a alors pris en main les négociations excluant de nombreux ayants droits des négociations. Ce qui a exacerbé les hostilités à son égard. De fait à chaque fois que sous la pression de la rue ou des sanctions, il fait un pas vers Washington, ses adversaires se déchaînent contre cette initiative. Les chefs Pasdaran annoncent des tirs de missiles, les ultra-insolvables critiquent son manque d’intégrisme et les Nantis révèlent parfois des chiffres tabous pour entraîner sa chute. Ils sont ainsi devenus la plus grande menace pour la survie du régime... En octobre dernier, suite au Boycott interne d’un événement fondateur du régime (la prise en otages des diplomates américains), Washington avait eu peur que le système islamique cher à ses projets ne s’effondre par la faute de cette guerre entrer ses dirigeants. Il a proposé le GEL des SANCTIONS Nous avions alors parlé d’un retour du Multi-Latéralisme disparu depuis la chute de l’ex-URSS. Rohani avait alors tenté en vain de désintégrer ce nouveau front hostile des grandes puissances jadis amis en leur proposant des contrats pétroliers plus avantageux, mais n’avait pas réussi car elles sont toute en lutte pour un plus vaste enjeu : la domination des ressources énergétiques de la planète. L’échec prévisible de cette politique (mise au point jadis par les Britanniques pour Rafsandjani) a déprimé les nantis du régime. Ils ont pris leur distance avec le régime qui semblait condamné en boycottant à 100% le 35e anniversaire de la révolution islamique ! Pour encourager les mollahs à déposer les armes, Washington avait alors tenté d’agiter région pétrolière et frontalière de Khouzestan. En raison de l’hostilité du peuple à la balkanisation du pays, l’initiative d’agitation américaine n’a pu mobiliser en tout que 150 jeunes dans quelques villes, malgré cela, le régime a été vite dépassé par manque de troupes. Il est entré dans un nouveau cycle de panique boursière et de crise politique ! Washington a alors arrêté son agitation et a multiplié les offres indirectes de capitulation et parfois de Coopération via ses divers alliés internationaux... La Russie, en conflit avec Washington, a proposé une alliance durable aux mollahs, mais l’offre n’a eu aucun succès car les dirigeants du régime perdraient alors définitivement les dollars déposés dans les banques occidentales. Son refus a rappelé que le régime n’avait pas d’alternative diplomatique. La Russie s’est aussi fâchée définitivement et s’est posée en adversaires de tout dialogue en aparté entre Téhéran et Washington. Washington a alors proposé la reprise du dialogue officiel via les 5+1 pour bloquer l’hostilité russe. L’Europe menée la Britannique Ashton a stoppé nette les manigances américaines en ouvrant un nouveau dossier de contentieux avec le régime sur ses violations permanentes des droits de l’homme et son implication dans le terrorisme. La Chine et la Russie n’ont pas condamné la résolution ! Le régime s’est retrouvé avec un front hostile Anglo-Sino-Russe doté de ses propres critères pour le sanctionner. La panique a gagné en amplitude avec un nouveau cycle de crise politique et financière ! Washington, parrain de la révolution islamique, a alors accordé un sursis au régime avec un bon rapport de l’AIEA faisant état d’une bonne coopération et a montré son ouverture pour un transfert des pouvoirs vers ses pions par le dégel de 450 millions de dollars dans le cadre de l’Accord de Genève. Mais il n’avait pu parvenir à calmer la panique car le régime a été contesté par l’absence de ses officiers à ses côtés pour la journée de l’armée, mais aussi l’anniversaire de la création des Pasdaran ou encore pour l’anniversaire de Khomeiny et celui de la fille martyr de Mahomet, Fatemeh, grande figure du chiisme. La panique des super-nantis et leur ruée vers l’or et le dollar se sont même amplifiées, exposant le pays à une banqueroute financière. Rohani devait remontrer les prix pour préserver les stocks. Mais il n’a pas alors osé intensifier ce plan impopulaire à un moment où le régime n’a plus de défenseurs sur le terrain. Il a plutôt misé sur la promotion des faux opposants internes par une invisible et invérifiable histoire d’agression des faux-opposants en prison. Mais les habituels faux opposants n’avaient alors pas montré d’enthousiasme à défendre le régime qui sans ses officiers n’a aucune chance de survivre. On avait la preuve d’impopularité absolue du régime. Dans la foulée, les ouvriers iraniens ont massivement manifesté contre le régime grâce à une grande solidarité interne et grâce à la passivité complice des forces de l’ordre. Le régime était prenable. Les super-nantis liés au régime se sont davantage affolés. Les politiciens exclus des marchandages aussi. Ils ont ont tout tenté pour déstabiliser Rohani et prendre sa place pour avoir accès aux marchandes avec Washington afin de s’assurer une fuite sécurisée... mais faute de troupes et d’une possibilité de coalition avec d’autres clans, leurs efforts a surtout mis en évidence leur impuissance et l’absence d’une alternative interne amplifiant la crise interne. Rohani a tout essayé y compris un virage dans le sens du peuple en défendant les symboles patriotiques d’avant la révolution ! © WWW.IRAN-RESIST.ORG
Rohani devait alors reprendre les négociations (les marchandages via le canal légal des 5+1). Sa priorité était de trouver un deal avec Washington pour permettre à ses patrons du clergé de quitter le pays en toute sécurité. Ses rivaux ont remis en cause l’Accord de Genève pour amener Washington à négocier ce deal avec eux. Rohani a dû s’aligner pour demeurer dans le jeu. Mais il n’a pas réussi à pousser Washington à bout et obtenir ce deal. Cet échec, bien que prévisible, a amplifié la panique des dirigeants et de leurs compagnons financiers débouchant sur un nouveau méga crash boursier. Washington n’a fait aucune déclaration hostile à Rohani et ses rivaux. Il leur a seulement rappelé la baisse de leur revenu pétrolier et l’existence de mandats d’arrêts argentins à leur encontre pour les amener à cesser d’être exigeants alors que leur existence ne tient qu’à un fil... © WWW.IRAN-RESIST.ORG
L’ébauche de cette analyse a été proposée en émission télévisée et diffusée en Iran le lundi dernier (26.05.2014) via la principale chaîne satellitaire de l’opposition, Iran-e-Ariaee. Vous pouvez regarder cette émission en persan sur le compte Youtube d’IEATV ou dans la section iranienne d’Iran-Resist. 30.05.2014 0 | 50 | 100 | 150 | 200 [Retour à l'index des mots-clés] |