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Iran : Offensives et défaites secrètes des mollahs en Irak et au Liban !
+ nouveaux liens et de nouvelles vidéos sur les événements de dim. en Irak et sur les condamnés à mort d’Ispahan. (ajoutées le 30.07.20 à 10H00)

29.07.2020

Les mollahs sont chaque jour ébranlé par des sabotages perpétués par des officiers de leurs renseignements, ceux-mêmes qui sont censés les protéger. C’est pourquoi au début de la semaine dernière, les mollahs ont joué la carte du chantage terroriste en Irak pour obtenir un couloir de fuite dans ce pays. Mais le PM irakien Kazemi a tenu bon et a contre-attaqué en arrêtant des membres du Hezbollah irakien. Les mollahs ont exporté des armes lourdes vers le Hezbollah Libanais et ont provoqué une chaîne de réactions négatives au Liban et en Syrie et aussi en Iran. Ils ont tenté de restaurer leur image par une manœuvres balistiques, mais suite à un sabotage, leurs missiles ont détruit leurs propres stocks de missiles sol-mer  ! Voici les derniers événements survenus depuis :de nouvelles initiatives ratées qui ont lourdement pénalisé les mollahs.



Selon les informations que nous avons trouvées, en fin de la semaine dernière, les mollahs dépités par la destruction de leur stocks de missiles sol-mer , et aussi par la chute de leur popularité de 75% à 15% parmi les chiites irakiens et (de fait) l’inaction du Hezbollah irakien et d’Al Hachad al Shaabi ont fait appel à Hassan Nasrallah pour aider leur agent des Pasdaran, un général milicien nommé Ali Aghaei, à motiver les troupes irakiennes du régime et à organiser des attaques contre les Américains. Hassan Nasrallah a envoyé son fils et adjoint Jawad (ci-dessous) pour aider Aghaei (aucune photo disponible). Jawad est sans doute arrivé en transitant via la Syrie.

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Mais le dimanche 26 juillet 20, les Américains visiblement informés par ces mouvements ont porté deux coups fatals au plan en abattant l’officier de liaison du régime par un sniper dans le quartier Karada de Bagdad, à proximité de la zone verte, et en bombardant la base de Hachad al Chaabi détruisant le stock de missiles de ce groupe. Cela laisse supposer que l’Irak reste un territoire poreux, mais que les Américains ont aussi des informateurs au sein de la mouvance chiite à différents niveaux.

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Dans la foulée, il y a eu des manifestations de jeunes chiites contre les mollahs et leurs agents irakiens. Les policiers (issus de la milice irakienne Al Badr financée par les mollahs) ont alors fait feu sur les manifestants. Le PM irakien Kazemi a confirmé son engagement anti-mollahs et anti-chiite en condamnant ces tirs et en défendant le droit constitutionnel des Irakiens à manifester  !

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Lundi matin, l’indice de la bourse de Téhéran a fortement chuté alors qu’il a été conçu pour ne pas varier en cas de forte vente. La chute signifiait que tout le monde, y compris les gros bonnets du régime, vendait pour récolter du cash et acheter des devises pour fuir  !

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Les mollahs ont encore fait appel au Hezbollah et à Hachd al Chaabi. Ces derniers ont minimisé la perte de leur stock de missiles en attribuant les explosions entendues la veille à la chaleur, mais leur excuse n’a pas calmé la panique à Téhéran.

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Lundi soir, le Hezbollah irakien et Al Hachd al Chaabi ont tiré quelques roquettes légères de type Katioucha (qui n’ont aucune précision) sur l’aéroport civil de Bagdad et deux bases américaines proches (selon la méthode d’enfumage chère à Nasrallah) et ont provoqué des explosions dans cette zone sans cependant toucher les Américains et parvenir à provoquer le désordre souhaité.

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Le Hezbollah a alors tiré quelques roquettes antichars (livrés dernièrement par les mollahs) et beaucoup de Katiouchas vers la frontière israélienne. Les mollahs ont parlé de la bataille finale contre le sionisme ! Mais la proportion élevée de Katiouchas a en soi été la preuve que le Hezbollah ne voulait pas entrer dans une vraie guerre contre Israël. Nous avons conclu que Nasrallah voulait garder le soutien antisioniste de ses partisans sans pour autant se mettre en danger au Liban. Les Israéliens ont aussi profité de cet attentisme. Ils ont riposté et tué 4 membres du Hezbollah. On a perdu de vue la bataille finale des mollahs et du Hezbollah  !

Ces mauvais résultats terroristes du régime et de ses champions ainsi que la mort du commandant des Pasdaran en Irak ont évidemment amplifié l’anxiété des agents du régime en Iran. Il y a certainement eu des tentatives de ruptures des responsables leur cash en poche, car le régime a annoncé avoir arrêté plusieurs directeurs d’une grande zone industrielle (c’est-à-dire une zone d’activités et de trafics autorisés pour la milice). On a aussi appris la fuite du directeur de la police judiciaire du régime dans l’ouest du pays  ! Les mollahs ont rassuré les leurs en affirmant l’avoir arrêté, mais il n’en existe aucune preuve que les éléments fidèles aient pu enrayer la fuite de ce collègue.

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Les mollahs ont alors cherché à rassurer les leurs en annonçant l’arrivée des grandes délégations de businessmen chinois en Iran, insinuant le soutien des Chinois grâce un grand contrat de coopération globale d’une durée de 25 ans, alors qu’ils avaient plutôt reconnu qu’il n’y avait aucun contrat privilégié avec la Chine et aucune possibilité d’y parvenir, car les Chinois avaient suspendu la liaison aérienne avec l’Iran.

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C’est pourquoi l’annonce n’a pas calmé la panique. Ils ont alors affirmé leur autorité en misant sur la condamnation à mort de 5 miliciens d’Ispahan qui avaient manifesté contre le régime en 2018 avec des slogans royalistes comme partout en Iran.

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Les familles des condamnés et les habitants d’Ispahan se sont aussitôt rassemblés devant le Palais de Justice de cette ville avec le slogan très puissant :
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Ne les exécutez pas si vous ne voulez pas aussi être exécutés !
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Les mollahs ont dû bloquer l’internet à Ispahan. Par ailleurs, ils n’ont pas donné de date pour les exécutions. Ils ont ainsi reconnu qu’ils avaient peur des conséquences de leur initiative.

Les officiers rebelles qui utilisent leur droit accès sécuritaire pour diffuser des archives déstabilisatrices ou faire des sabotages ont repris ces activités pour profiter de l’affaiblissement du régime après ses échecs régionaux et sa crise interne. Ils ont tout d’abord insisté sur le fait qu’il y avait chaque jour des centaines de manifestations ouvrières en Iran.

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Les officiers rebelles et saboteurs ont incendié une tour d’habitation et un centre commercial dans un quartier chic de Téhéran pour semer la panique parmi ses habitants privilégiés et leur faire comprendre qu’ils ne sont plus à l’abri chez eux loin des gens normaux et leurs problèmes.

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Ils ont aussi provoqué un incendie à la prison Ghezel Hessar de Karaj (ville de résidence des officiers de la milice) pour paniquer les derniers officiers fidèles au régime et occuper les mollahs avec ce désordre pour mieux les frapper ailleurs.


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Hier (mercredi 28.07.20), ces officiers rebelles ont incendié les tankers d’alimentation en essence des zones industrielles de Kermânshâh de l’Ouest du pays qui est une couverture pour les installations de la milice, avec l’objectif de paralyser les mouvements du régime dans les territoires qui servent de point d’infiltration des agents terroristes du régime en Irak.





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Ils ont aussi annoncé que Trump allait enfin de tenir sa promesse et offrir de l’internet haut débit gratuit aux Iraniens par l’intermédiaire du réseau de satellites de SpaceX d’Elon Musk. SpaceX a dit que le nom de l’Iran sera vite ajouté à la liste des bénéficiaires de son réseau de satellites (OneWeb). Ce service de communication rapide et en libre accès sera un plus pour tous les opposants au régime. Ils pourront communiquer librement et rapidement en cas de nouvelles actions de sabotages ou un nouveau soulèvement populaire contre le régime. Ainsi, le niveau de la menace contre le régime s’est amplifié mardi soir.

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Les mollahs ont alors joué la carte de la puissance en organisant des manœuvres navales et balistiques télévisées en direct et dont le clou devait être le tir d’un missile en direct sur la maquette d’un porte-avions américain. Ils voulaient au passage affirmer avoir encore des missiles pour attaquer leurs ennemis. Mais ils ont rat » leur très grosse cible par deux fois et se sont gravement ridiculisés. Le commentateur a continué à évoquer néanmoins le succès des tirs avec quand même une certaine gêne.




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Ces tirs ratés peut être une preuve de leur nullité voire d’une certaine nervosité sous l’effet de la peur de rater ou le résultat d’un sabotage des systèmes de guidage. Mais ils n’ont pas recommencé, et ce par peur d’un nouvel échec qui confirmerait cette dernière hypothèse et de fait, l’adhésion des officiers de la DCA à la rébellion.

Au cours de ces 3 derniers jours, les mollahs ont perdu des hommes et des missiles, mais aussi leur confiance en eux-mêmes. Dans le même temps, leurs opposants ont gagné du terrain. Le mouvement pour renverser le régime est entré dans une dynamique plus véloce.

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| Mots Clefs | Instituions : Puissance militaire des mollahs |

| Mots Clefs | Terrorismes : Hezbollah |
| Mots Clefs | Enjeux : Rôle régional de l’Iran |
| Mots Clefs | Terrorismes : Ingérence des mollahs en Irak |

| Mots Clefs | Résistance : Menace contre le régime |
| Mots Clefs | Résistance : Elimination de Pasdaran ou de Mollahs |

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