Échec des négociations entre les Démocrates [1] et les mollahs et maintien des sanctions américaines. Cet état est dû au fait que l’objet des échanges n’est pas le nucléaire iranien qui a en réalité peu de capacité, mais la disposition des mollahs à céder les commandes de leur régime islamique d’origine américaine aux agents islamogauchistes des Démocrates. Les mollahs ont refusé de plier et ont même riposté comme toujours par des tentatives terroristes de déstabilisation d’Irak afin d’agiter le Moyen-Orient tout entier. Biden va continuer son jeu de chat et de souris en alternant les menaces (parfois via Israël) et les offres de négociations (guerre d’usure et reddition, en termes militaires).

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L’otage français en Iran. La France veut jouer un rôle dans cette guerre d’usure contre les mollahs pour faire partie des marchandages à venir avec Washington afin de préserver des contrats passés avec les mollahs auparavant. Selon notre analyse, la France espérait faire pression sur les mollahs en obtenant des renseignements sensibles grâce à un soi-disant touriste. Ce dernier a été intercepté. Les mollahs, très en difficulté dans tous les domaines, ont inversé la pression en évoquant des accusations lourdes pour forcer la France à œuvrer en leur faveur et entraîner les démocrates à cesser ou geler leurs sanctions.

À défaut de pouvoir influencer les Démocrates [2], les Français ont tenté d’alléger les sanctions des mollahs en émettant un rapport niant leur participation dans l’explosion du port de Beyrouth (comme l’avait stipulée un rapport allemand). Washington a maintenu les sanctions. Les mollahs ont continué à jouer avec la France qui s’est montrée faible en agitant les accusations contre un autre otage, Fariba Adelkhah, qui les a longtemps servis et de fait de ses liens avec le régime, elle pourrait être un faux otage.

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Comme dans le cas précédent, il y aura alternance entre pressions et négociations franco-iraniennes, mais cette fois avec des pertes humaines, mais le perdant sera le régime, car il devra accentuer son terrorisme pour être pris au sérieux et se retrouvera avec plus de sanctions internationales pour ce motif.

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Élections en Iran. Le régime des mollahs va désigner un nouveau président parmi beaucoup de candidats quasi identiques (image humoristique ci-dessous). L’ex-président Ahmadinejad y joue le rôle d’un candidat soi-disant populaire & exclu des suffrages. L’objectif est d’avoir un nouveau président presque illégitime pour permettre aux mollahs de stopper le processus des négociations sous pression malgré leurs provocations. Il s’agit aussi de dégoûter le peuple de la contestation du fait que cela serait récupéré par Ahmadinejad.

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Mais la contestation tient bon. Il y a des dizaines de grèves et de manifestations anti-régime [3] [4] chaque jour un peu partout en Iran. Le peuple semble avoir réussi à retourner le projet du régime contre lui-même en dictant ses slogans à Ahmadinejad et d’autres faux opposants. Le désordre souhaité par le régime après les élections risque d’aggraver sa situation !

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Un boycott populaire massif, plus important que par le passé, est annoncé, ce qui a poussé les faux opposants à se prononcer en faveur du boycott et à critiquer davantage le régime sapant de facto le moral de ses derniers serviteurs.

Les Iraniens sont allés plus loin encore en assimilant ces élections à un referendum de validation de la répression et d’assassinat des jeunes Iraniens par les mollahs lors des dernières contestations urbaines ! Une vraie déclaration de guerre au régime et ses électeurs ! Les faux opposants n’ont pas suivi et ont été ainsi démasqués. Leur silence a prouvé qu’il n’y aurait aucun changement en Iran grâce à eux ou ces élections.

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Feinte anti-boycott, les mollahs, craignant perdre le soutien de leurs amis affairistes opportunistes, seuls susceptibles d’aller voter, ont commencé à évoquer une nouvelle grosse vague (fictive) de coronavirus pour expliquer l’absence de participation de leurs proches à leurs élections. Le jour des élections, ils vont intensifier ces annonces sanitaires.

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Tireurs fantômes, les miliciens rebelles ont riposté en reprenant leurs sabotages [5] [6] pour convaincre les alliés commerciaux des mollahs, les seuls qui votent, que le régime n’a aucune chance de survivre, les incitant à boycotter aussi les élections. Les rebelles ont commencé par l’explosion d’un cargo de fourniture d’armes aux Houthis pour montrer leur capacité à annuler la force terroriste du régime. Puis, ils ont incendié deux grandes raffineries, dont celles de Téhéran, pour paralyser les déplacements des amis et des gardes du régime, ainsi que ses transports logistiques et ses livraisons d’aliments.

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Cette stratégie de déstabilisation s’est avérée très payante, car ces riches du régime ont rué sur les stations d’essence provoquant eux-même une belle pénurie dévastatrice pour le régime à Téhéran.

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Conséquences. En résumé : Sanctions et guerre d’usure américaine, incapacités d’user du terrorisme et du chantage régional, contestations et sabotages, pénuries et risques associés, les fidèles du régime ont désespéré et ont mis en ventes massivement leurs actions pour récolter des fonds pour acheter des devises et fuir. L’indice de la bourse du régime a chuté. Les mollahs ont accentué la chute de cette quasi-caisse noire de rémunération de leurs fidèles enragés pour les ruiner et freiner leur fuite ! Ce krach délibéré a entraîné aussi une contestation anti-régime (vidéo ci-dessous) !

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Conclusions, le régime est sévèrement balloté par des tempêtes provoquées par ses ennemis étrangers, ses ennemis iraniens, la rébellion de ses miliciens et enfin, ses choix stratégiques, défectueux et insuffisants qui ne peuvent guère rassurer ses derniers compagnons désespérés. La situation du régime risque de se dégrader davantage grâce à l’échec de l’ensemble de ses derniers enfumages politiques dans une semaine.