Il y a désormais une grève générale unitaire appelée la Campagne 1400 (année en cours en Iran) en vue d’en finir avec le régime cette année. La nécessité du boycott des élections comme cette grève générale avait été Proposée par un seul leader de l’opposition, le très populaire Reza Pahlavi dans son nouveau pacte.
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Les boycotts de plusieurs commémorations officielles et des fêtes du Ramadan avaient convaincu le régime du boycott des élections présidentielles. Il a alors donné pour mission à ses faux opposants d’appeler au boycott avant d’imaginer aussi un scénario de chaos post électoral prometteur pour leur donner un champ d’action et aussi en profiter pour éviter tout compromis sur ses atouts que sont les provocations nucléaires ou les ingérences terroristes.

Mais les proches du régime n’ont pas osé y participer de peur de provoquer le peuple qui avait imposé son boycott au régime. L’abstention a été hors du commun. Les Iraniens l’ont prouvé en envoyant des images vers l’extérieur du pays. Les services de renseignements du régime n’ont pas empêché ces révélations et ont même participé au flinguage en dévoilant l’usage de clips d’archives.

Dès lors, on n’a plus entendu les faux opposants du régime. Les Iraniens ont en revanche compris qu’ils avaient le soutien d’une large majorité des miliciens comme le leur a souvent dit le prince Reza Pahlavi. Conscients de la capacité de dicter leur volonté aux mollahs, ils ont franchi un pas en lançant la campagne 1400 d’union de toutes les grèves [1] en cours notamment le secteur pétrolier pour provoquer des blackouts utiles pour les opposants et les saboteurs et aussi pour paralyser les transports du régime et de ses derniers fidèles (car pénalement insolvables)

Les mollahs ont alors licencié 700 ouvriers grévistes des raffineries de Téhéran.
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Grave erreur, car les ouvriers de 45 sites pétroliers (raffineries, unités pétrochimiques & stockages) du régime dans le sud du pays (Pars Sud, Assalouyeh, Mahshahr & Mahshahr Tehran Sud, Qeshm (2 sites), Bidboland de Behbahan (plusieurs sites), Bouchehr, Fajr & Jask), mais aussi à Ispahan (2 sites) et à Damavand (Holding Setareh) près de Téhéran, qui n’étaient pas encore en grève (ou l’étaient partiellement) ont cessé totalement le travail et ont rejoint la campagne 1400. Ils ont aussi envoyé des vidéos pour signaler de leur adhésion à ce mouvement clairement opposé au régime. L’aciérie Boutia de Kerman a également rejoint le mouvement. Dans chaque vidéo, les rapporteurs saluent tous les grévistes en utilisant le mot Doroud (salut en persan) au lieu de Salâm (salut en arabe) pour marquer leur rupture avec la culture arabo-islamique du régime.
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Par ailleurs, les Habitants de Qom ont attaqué et mis en fuite les agents qui faisaient route pour démolir leurs maisons pour défaut de permis de construire. L’affrontement a duré tard dans la nuit. Les forces du régime n’ont pu arrêter les assaillants.
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Encore une fois, les officiers miliciens des renseignements ont laissé faire les Iraniens. Ces derniers ont compris qu’ils pourraient continuer et en cas d’une grève générale englobant aussi les administrations du régime et le Bazar (le plus grand employeur privé iranien, mais aussi en grand conflit avec les mollahs depuis très longtemps), ils pourraient bientôt lancé la troisième phase de la lutte c’est-à-dire les manifestations [2] hostiles au régime !

Le régime devait menacer les grévistes pour éviter ces options. Mais il n’a rien fait et a juste révélé son impuissance et le soutien de ses troupes aux grévistes.

Normalement, dans ce genre de cas, les mollahs ripostent en limitant les communications entre les opposants en bloquant le flux internet. Leur méthode consiste à uploader des masses de datas via des milliers d’ordinateurs à Téhéran et d’autres grandes villes ou via des centaines d’ordinateurs via les plus petites villes. Mais cette fois, le flux a seulement baissé de 10 % pendant seulement une journée, ce qui signifie que l’attente des mollahs a été rejetée par d’abord pat 90 % de leurs cyber agents puis par 100% d’eux.
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En résumé, le régime était face une énorme crise en raison de la grève générale très pénalisante du secteur pétrolier et le soutien de ses gardiens à ce mouvement hostile !

Grosse panique à bord. Les mollahs ont inventé des prouesses militaires pour insinuer qu’ils avaient toujours le soutien de leurs officiers miliciens : un nouvel lancement de satellite pour insinuer une force balistique et des opérations qui auraient contenu une attaque israélienne par drones contre un centre nucléaire près de Téhéran ! Outre le fait que le régime n’a aucune vraie capacité balistique ou des ordinateurs couplés à sa DCA, très vétuste, il s’agissait dans le second cas d’immeubles abritant des labos pharmaceutiques à Damavand, près de Téhéran.
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Certains sites pro-Israël ont repris l’info comme la preuve de la puissance de l’État hébreu devenant les idiots utiles des mollahs. Mais ces annonces ont enthousiasmé les opposants iraniens sans qu’il y ait en réponse des manifestations spontanées de partisans que le régime affirme avoir contre Israël. Les mollahs ont seulement eu une nouvelle confirmation de leur isolement et la perte irréversible de soutien de leurs propres employés incontournables.
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De plus en plus désespérés, les mollahs ont relancé leur projet de chaos prometteur (bien que déjà bien chamboulé) en mettant en scène une invraisemblable grosse bagarre médiatique entre Ahmadinejad et le Guide, qualifié d’agent sioniste !
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D’autres faux opposants [3] ont affirmé (sans grand succès) que la révolution islamique était l’œuvre du Shah pour discréditer sa famille dont la popularité grandit chaque jour !
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Ce n’est plus un chaos prometteur, mais le chaos en marche au sein d’un régime déboussolé. En revanche, la vraie opposition se porte bien et entend accélérer ce chaos en marche contre les mollahs en leur imposant par sa grève un chaos encore plus radical et plus dévastateur.