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Iran-révolution se renforce malgré le sabotage euroaméricain !

25.10.2022

Depuis 39 jours, l’Iran vit au rythme d’une révolution nationale. Les jeunes de moins de 13 à 18 ans nourris par l’amour de leur pays et des récits sur sa grandeur avant la révolution islamique grâce à 50 ans de progressisme patriotique de la dynastie Pahlavi se sont soulevés contre le régime des mollahs pour restaurer la grandeur passée d’Iran. On est en mesure de supposer qu’une cinquième colonne d’officiers trentenaires des renseignements internes de la milice participe à cette guerre contre le régime. La France, de nombreux pays européens ainsi que les États-Unis tardent à aider activement cette révolution nationale, car ils ont des liens avec les mollahs. Ils s’opposent à la révolution en niant son existence avec l’aide d’un petit nombre d’Iraniens expats très liés au régime.



Le soulèvement en Iran a démarré après la mort tragique de Mahsa Amini une jeune femme frappée à la tête après son arrestation pour un voile mal mis. Mais le soulèvement n’aurait pas eu lieu sans la diffusion des images de coups qu’elle a reçus et l’intervention de faux opposants du régime. La diffusion de la vidéo ne résultait pas d’un hacking donc pas d’une intervention de la 5e colonne au sein du régime. De même, la participation des faux opposants ne pouvait être l’œuvre de ces miliciens qui combattent le régime. En conclusion, on avait un meurtre organisé et médiatisé par le régime pour mettre en place une action permettant à ses faux opposants de demander des réformes féministes et aider à l’amélioration des relations avec les États-Unis via une certaine Massih Alinejad, agent du régime en lien avec les démocrates américains.

Mais les mollahs sans scrupule qui tuent pour le besoin de leur fausse pseudo-révolution féministe ont été dépassés par la réaction du peuple et celle du prince Reza Pahlavi en tant que père de deux filles. Depuis son exil actif, il a décrété deux jours de deuil national et a éveillé les consciences. Ainsi, il y a 39 jours, il a démarré un mouvement sans précédent en Iran. La colère due à 44 ans d’exactions et de corruption des mollahs a entrainé un mouvement clairement révolutionnaire d’une violence sans précédent contre les mollahs [1].

Les membres de la 5e colonne au sein des renseignements de la milice ont aidé cette révolution naissante en diffusant des informations sur les agents en civil déployés en cas de crise pour noyauter les foules et les disperser. Une centaine de ces agents ont péri en 2-3 jours. La 5e colonne s’est aussi mise en branle pour éliminer des chefs de la milice [2] [3] ou diffuser leur adresse personnelle pour les forcer à fuir. Il y a désormais des groupes qui les cherchent, les enlèvent et les éliminent (comme le dernier homme ci-dessous). La 5e colonne et ses groupes maintiennent ainsi une pression permanente angoissante sur le régime et ses responsables pour les forcer à capituler.

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Les adeptes du projet initial ont sans cesse tenté de nier le caractère révolutionnaire de ce soulèvement pour en faire un mouvement féministe non violent.

Les mollahs ont demandé à leurs faux opposants notamment en France d’organiser des manifestations pour insister sur cet axe. La France a autorisé ces gens à organiser leur show et a fourni l’aide de LFI et Sandrine Rousseau, mais heureusement des voix iraniennes se sont levées à la manifestation place de la république à Paris et même certains Français pourtant de gauche ont hué SR et son discours, car les images d’Iran montraient surtout des hommes se battant pour une femme et non le contraire.

Les médias d’ici ont ignoré ces péripéties et ont continué à évoquer un mouvement féministe.

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On a entendu le même son de cloche sur des chaines iraniennes basées à l’étranger, car en lien avec les mollahs ou avec les puissances étrangères : États-Unis, France, Angleterre, Allemagne qui ont aidé Khomeiny pour s’emparer de ressources d’Iran et avoir un allié agitateur au sud de la Russie et l’ouest de la Chine.

Dès lors, les Iraniens ont cherché des informations moins biaisées sur Twitter et d’autres réseaux sociaux et ils en ont trouvé. Ils ont constaté que la majorité des miliciens ont aussi abandonné le régime dès le début du mouvement et permis ainsi aux insurgés de prendre le contrôle de certaines villes voire des quartiers entiers de Téhéran.

Le régime pénalisé par son manque de miliciens fidèles a d’abord coupé Internet pour désorganiser ses assaillants, mais la mesure s’est avérée inefficace, car la 5e colonne partenaire de la révolution dispose sans l’ombre d’un doute de moyen de communication satellitaire. La coupure d’Internet a surtout handicapé les complices du régime et a amplifié leur panique et envie de rupture. Le régime a dû rétablir partiellement le service puis le couper la nuit au moment des manifestations et attaques contre ses casernes, bâtiments, etc.

Le régime a alors réorganisé sa défense en forçant des orphelins à se battre pour lui, mais ils ont même refusé l’argent proposé. Il a fait appel aux appellés, mais ils ont déserté, il a fait appel aux miliciens retraités et leur famille, mais ils ont refusé. Il a diffusé sans cesse par de soi-disant témoins larmoyants des nouvelles de la répression pour intimider les jeunes, mais ces derniers qui sont en première ligne de la lutte n’ont pas abandonné, car eux-mêmes sont des témoins des défaites du régime et notamment plus d’un millier de pertes parmi les miliciens juridiquement insolvables, passibles de peine de mort et pour ce régime forcément fidèles au régime.

Le prince Reza Pahlavi qui a le soutien des insurgés a demandé aux riches Iraniens exilés de soutenir financièrement les insurgés et aux autres exilés de diffuser les nouvelles d’Iran pour casser la censure des pays occidentaux et leurs médias.

La France a neutralisé ces efforts en continuant à promouvoir sa ligne, car elle a des liens économiques et énergétiques très importants avec les mollahs.

La compagnie pétrolière Total a signé dans les années 90 de nombreux contrats avec les mollahs obtenant des droits d’exploitation de nombreux puits sur terre et sur mer pour des durées indéterminées en association avec la Malaisienne Petronas (proche des Anglais) et une société-écran pétrolière nommée Bow Valley immédiatement après achetée par la compagnie pétrolière anglaise Dana Energy. Ces exploitations assurent à Total l’équivalent de la consommation d’essence en France et au moins 50 % de sa consommation de gaz. La chute du régime sera synonyme de l’abrogation de ces contrats signés au détriment des intérêts nationaux iraniens et en contradiction avec sa constitution concernant l’exploitation des richesses nationales. La France a choisi donc par intérêt d’ignorer la révolution dans l’espoir qu’elle s’essouffle.

Les États-Unis axent aussi sur le récit du mouvement social féministe, car il était censé faciliter leur rapprochement final avec les mollahs. Ils ont sans cesse évoqué la volonté de négocier.

On rappelle que sous une administration démocrate de Carter et Biden [4], les États-Unis ont été les principaux artisans puis de la révolution islamique, mais en ont été exclus par les mollahs pour le compte des Anglais et leurs alliés maçons. Sous toutes les administrations démocrates ou républicains qui ont suivi (sauf Trump [5]), les Américains ont sanctionné les mollahs pour les forcer à rouler pour eux.

Mais dès le début du soulèvement et les pertes subies par les mollahs, les démocrates se sont gardés d’alourdir leurs sanctions dans l’espoir que les mollahs réactivent le deal signé avec Obama. Il s’agissait pour les mollahs de se retirer et passer le pouvoir aux pions islamogauchistes iraniens de Washington via un processus soi-disant démocratique (sous surveillance des observateurs onusiens soi-disant neutres) et en échange pouvoir se poser en territoire américain avec des fortunes colossales qu’ils y possèdent déjà. Mais les mollahs n’ont jamais cru à cette option, car en perdant le pouvoir ils n’auront aucune garantie de faire respecter le deal et savent qu’ils seront vite devant des tribunaux avant d’être emprisonnés et dépouillés.

Les mollahs ont continué à se battre contre les insurgés et perdre des hommes. Ils ont amplifié leurs propagandes avec des rumeurs de massacres, enlèvements et viols des manifestants aggravant leur cas en terme de violations des droits de l’homme, empêchant la possibilité d’un deal, ils se sont exposés à de nouvelles sanctions. Dès lors, ils ont utilisé de faux opposants pour s’opposer à de nouvelles sanctions.

En France, l’actrice Golshifteh (qui a avancé dans sa carrière grâce aux liens de son père avec Ahmadinejad et son allégeance personnelle au terroriste Qasem Soleimani)a endossé ce rôle en niant le caractère patriotique de la révolution en cours, en demandant la suppression du drapeau historique de l’Iran (utilisé avant la révolution) et enfin en insistant sur le caractère féministe de l’actualité iranienne pour rester dans les bonnes faveurs de la France et ses médias à la botte du Quai d’Orsay.

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Par ailleurs, le régime a introduit plus de faux opposants dans des manifestations de soutien qui devaient s’organiser en France. Un certain Reza (alias Sam) Jafarian, membre de Mouvement Vert (fausse révolution de couleur de 2009) a pris en charge les manifestations à Paris, mais les patriotes ont pu se faire entendre auprès des jeunes journalistes présents au Trocadéro.

À Toronto au Canada la mobilisation a été très forte. Les gens ont vu arriver un certain Hamed Esmaelion, dentiste et écrivain irano-canadien fâché avec le régime, depuis qu’il a perdu sa femme et sa fille quand le régime a tiré sur l’avion de ses collaborateurs fuyards. Hamed Esmaelion, qui a jadis collaboré avec le régime comme "réformateur" et a une fortune suspecte puisqu’il ne travaille pas vraiment, a intégré sa demande de compensations en millions de dollars dans les revendications patriotiques révolutionnaires avant de se présenter comme le chef de l’opposition en exil pour instaurer une république en Iran.

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Mais Esmaelion a refusé de porter le drapeau national et a surtout exclu toute alliance avec le principal groupe d’opposition en exil et en Iran. Il a suscité une vive réaction au Canada. En Iran aussi les gens ont rejeté son ingérence en criant des slogans en faveur de Reza Pahlavi [6] dans plusieurs villes du pays y compris à Saqqez, ville natale kurde de Mahsa Amini.

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À ce moment, il y a eu un événement majeur, après un appel du prince Reza Pahlavi repris par les insurgés, les ouvriers en CDD des secteurs pétrolier et gazier ont arrêté de travailler pour paralyser les transports des rares miliciens fidèles au régime et des troupes de commandos de l’armée venus en renfort.

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Mais la grève [7] a également aussitôt arrêté l’arrivée de pétrole à Total ! La France a immédiatement camouflé ce revers en grève chez Total grâce aux syndicats qui seulement en France subsistent grâce aux aides d’État !

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Les mollahs ont eu peur que la France les lâche. Ils ont arrêté le représentant des grévistes. Ils ont immédiatement élu un autre représentant et ont dit qu’ils feraient exploser les sites si le régime essayait de les réactiver. Dans la foulée, les ouvriers en CDI et les cadres du régime ont débrayé.

Les Iraniens en exil ainsi que ceux qui se trouvent en Iran, revigorés par cette grève et d’autres dans plusieurs Bazars de grandes villes notamment à Ispahan et à Téhéran, ont sans arrêt insisté sur l’utilisation du drapeau historique d’Iran dans les grandes manifestations à venir dans le monde pour aider un mouvement révolutionnaire plus fort que jamais.

Esmaelion a élucidé la question de ses détracteurs puis a annoncé un grand rassemblement européen le 22 octobre à Berlin pour doubler les révolutionnaires iraniens.

La colère est montée d’un cran quand les prisonniers de droits communs ont organisé une mutinerie et un incendie dans la principale prison de Téhéran et des prisons de deux autres villes (Chiraz et Tabriz) et ont fait évader plusieurs dizaines d’insurgés arrêtés dernièrement.

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Les faux opposants [8] ont aidé les mollahs à camoufler cet échec et restaurer son autorité en évoquant un incendie provoqué par le régime pour tuer les prisonniers politiques. Ce récit a renforcé la colère populaire et alourdi le dossier des violations des droits de l’homme du régime. Tout le monde était impatient de manifester pour obtenir des soutiens aux révolutionnaires iraniens.

Deux jours avant ce rassemblement, le prince Reza Pahlavi a pris la parole (devant le drapeau historique iranien) lors d’une conférence de presse internationale pour saluer le courage et l’unité des Iraniens, mais aussi insister sur la nécessité d’une concertation nationale par référendum en Iran après la chute du régime pour que toutes les sensibilités s’expriment. Il s’agit aussi empêcher les faux opposants ou gens issus du régime de neutraliser ce que le peuple attend de sa révolution.

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Le prince a rappelé qu’il ne faisait pas campagne pour la restauration de la monarchie avant d’évoquer la nécessité de formation d’un gouvernement en exil (représentatif de toutes les sensibilités). Il a défini le champ limité de ce gouvernement. Il a aussi appelé les États-Unis à saisir les fonds détournés par les mollahs pour aider les révolutionnaires en Iran notamment les grévistes.

Enfin, il a sans cesse évoqué le terrorisme des mollahs présents partout en Europe, en Ukraine ou en Amérique du sud avant d’inviter les puissances étrangères qui en souffrent de laisser choir les mollahs : nous aider en s’aidant elles-mêmes (un jeu win-win).

Cette conférence a été ignorée par ces derniers, mais saluée en Iran par des cris de Javid Shah (Vive le Roi) dans les régions comme Baloutchistan et le Kurdistan que le régime a toujours présentées comme séparatistes pour faire peur aux Iraniens et empêcher une révolution nationale. Par ailleurs, la Ville de très nationaliste Tabriz, 1ere ville industrielle d’Iran, a enfin rejoint la révolution par des actions très violentes contre les mollahs.

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Enfin plusieurs officiers des commandos béret vert de la brigade65 ou Nohed de l’armée du régime ont répondu à l’appel de Reza Pahlavi en annonçant par l"un d’entre eux sous couvert d’anonymat leur "soutien au peuple iranien" et "leur adhésion "active très prochainement à la révolution nationale contre le régime sanguinaire des mollahs".

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Samedi 22 octobre 2022, Hamed Esmaelion que nous avions présenté sur notre Twitter comme un infiltré (malgré son différend avec le régime) a clairement confirmé cela à Berlin en mettant en scène devant 200,000 patriotes étonnés un spectacle inattendu et choquant : des slogans issus de la révolution islamique et des chants islamogauchistes ou en faveur de faux opposants qui ne veulent pas un vrai changement de régime.

Hamed Esmaelion a fait un discours « j’ai un rêve », à la manière de Martin Luther King, en reprenant plusieurs points du discours de prince Reza Pahlavi mais sans évoquer le référendum pour un changement de constitution.Puis la parole a été offerte uniquement à des personnes controversées : un Kurde gauchiste séparatiste a évoque , un membre des moudjahidines du peuple et des représentants de LGBTQ+ qui n’accusaient pas l’islam comme facteur de leur malheur et le statut légal dégradant des Iraniennes, mais les hommes, se plaçant clairement dans le récit woke et clivant [9] cher aux démocrates.

Les Iraniens s’étaient réunis à Berlin pour célébrer l’unité du peuple contre les mollahs et ils se voyaient face à une tentative de division de cette unité ! Un hijack de la révolution nationale iranienne vers une république pas vraiment laïque et en plus woke aux relents de balkanisation de l’Iran dans l’intérêt des grandes puissances : ils ont tenté de contrer ce hijack (détournement) en déployant des milliers d’exemplaires de notre drapeau national et ont scandé des slogans patriotiques ou très clairement anti mollahs. Mais leurs slogans ont été ignorés par l’organisateur et ses agents, mais aussi par les médias londoniens comme BBC et Iran International TV qui appartient aux Pasdaran pro-anglais. Ces TV ont aussi sans cesse interviewé des gens clivants excluant les patriotes de la parole ! Tout était un éloge explicite aux globalisme et cosmopolitisme !

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Cet autre hijack complémentaire a continué par des annonces de manifestations non dans les rues d’Iran avec des slogans anti-régime (1ere vidéo ci-dessous au centre de Téhéran), mais dans les manifestations dans les universités où les riches étudiantes issues du régime portent toujours leur voile et avec leurs camarades garçons évitent tout slogan remettant en cause le régime ou mentionnant la lutte des jeunes ou encore les grévistes du pétrole qui sont actuellement le principal bras armé de la révolution iranienne contre les mollahs.

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Le hijack et le mépris de la révolution ont continué, car on n’a également entendu aucun discours en faveur de ces grèves et contre le contrat en cours. Le mépris de la révolution a fini en apothéose par une déclaration finale lue par un Queer souriant maniant bêtement un éventail dans un moment gravissime, sans jamais aucun mot pour l’Iran.

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Ce spectacle navrant et révoltant a été ressenti par les Iraniens comme une manifestation organisée pour noyer la révolution iranienne, empêcher ses partisans à se faire entendre et aussi les inciter à se retirer par peur d’aider des ennemis.

Dans la soirée, des voix se sont levées même au sein de la communauté LGBTQ+ iranienne dénonçant l’orateur (@Abannish) comme un pervers poursuivi pour harcèlement [10].

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Mais par ailleurs et plus important encore, les Iraniens en exil ont compris que lutte n’était pas moins difficile ici et qu’ils devaient se battre pour exclure les gens qui ont noyauté le mouvement pour le dévoyer ou l’exploser.

Pour notre part, nous restons très positivement optimistes, car partout les représentants des régions concernées par le séparatisme ont défilé en assurant leur attachement à l’Iran et son drapeau. Nous restons très positivement optimistes, car les grèves continuent, car les manifestations continuent à harceler les mollahs pour épuiser leurs miliciens. Nous restons très positivement optimistes, car partout les gens sont très réactifs et ne laissent pas les faux opposants sauver le régime ou les intérêts étrangers.

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Avis aux puissances étrangères impliquées dans la corruption et la répression des mollahs, si vous changez de camps vous aurez du pétrole à sa juste valeur pour produit de l’électricité pour vos iPhone et vos usines d’armements sinon vous aurez un long hiver sans réchauffement à pédaler et envoyer des CRS taper sur des populations qui se révolteront contre vous comme nous contre les mollahs.

[9Le projet des démocrates, le woke, consiste à la promotion d’une société fragmentée et tribalisée, formée de minorités peu représentatives mais très bruyantes qui refusent et combattent les liens nationaux au nom de la lutte pour leurs droits. In fine, ils abolissent le principe de la représentativité de la majorité silencieuse qui s’exprime par les urnes et ses projets nationaux. C’est un parfait outil de gouvernance pour les partis qui ont perdu le soutien du peuple ou ont des projets contraires aux intérêts de leur peuple.

[10Les mollahs ont toute sorte de faux opposants même des LGBTQ+
L’affaire de l’homosexuelle interviewée par Shargh