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Biden, fossoyeur involontaire des démocrates et des mollahs
30.11.2020 de Kennedy à Biden, 60 ans de fraude électorale aux États-Unis !

Les mollahs ne cessent de dire qu’ils seront sauvés par Biden [1]. C’est un point de vue très simpliste dans un monde qui est face à des bouleversements et des mutations majeures. Un décryptage des relations irano-américaines s’impose.

Au travers de ce prisme qui implique parfois l’Irak et de ce fait, la France également, nous vous proposons un état des lieux de l’Amérique et du monde, que l’on peut comparer à un océan déchaîné. Puis nous exposerons le cas des mollahs que l’on dirait assis dans une coquille de noix ou dans le Titanic, ce qui est du pareil au même dans une telle tempête, car ils n’auront quoiqu’il arrive aucun canot de sauvetage.



Fausses rumeurs de fraude ?
Qui a gagné l’élection présidentielle américaine ? Est-ce Biden ou Trump ? Ce dernier évoque une fraude massive notamment en faisant remarquer que Biden a eu plus de votes que lui en raison de bulletins par correspondance truqués, ou qu’il a eu plus de suffrages dans les régions qui ont par ailleurs voté en même temps pour des candidats républicains pour siéger à la chambre des représentants ou au sénat. Ces événements n’ont rien de surprenant, car la fraude électorale n’est pas un fait inédit aux États-Unis !

Il est de notoriété publique que John F. Kennedy, issu de la plus puissante mafia américaine, c’est-à-dire celle des Irlandais, beaucoup plus ancienne que celle des Italiens, a été élu grâce à une vaste fraude de vote par correspondance avec l’aide de toutes ces mafias face à Nixon, partisan de la détente, avec la mission de provoquer les Russes et prendre le pouvoir dans de nombreux pays sous influence russe ou anglaise. Nixon n’avait pas alors contesté les résultats de l’élection pour ne pas diviser et affaiblir les États-Unis.

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JFK a placé aussitôt son frère Robert à la justice pour bloquer les possibles recours pour les prochains mandats. Il voulait aussi contrôler le FBI et assurer les intérêts de ses protecteurs mafieux irlandais. La mafia italienne se sentant menacée a prêté main-forte à Edgar J. Hoover, l’ultra puissant patron du FBI, pour éliminer finalement les deux frères.

Nixon, dernier président indépendant des États-Unis.
Après un mandat et demi très décevant Lyndon Johnson (vice-président et successeur de Kennedy), Nixon a séduit les électeurs en obtenant 301 des grands électeurs américains. Mais il a été immédiatement ceinturé par les démocrates [2] sans doute grâce à son mentor politique républicain, Prescott Bush (père de George Herbert Bush) ancien associé des Rockfeller qui a pu lui imposer Kissinger dans son équipe gouvernementale. Nixon, conscient qu’il était piégé, s’est protégé en nommant Alexander Haig comme adjoint de Kissinger (leur connivence est d’ailleurs visibles sur de nombreuses photos). Comme Trump aujourd’hui, Nixon a ainsi pu se rapprocher de la Chine grâce à Haig. Les démocrates ont contré Nixon en introduisant grâce à Prescott Bush son fils George Herbert Bush au poste clef d’ambassadeur des États-Unis à l’ONU qui est l’équivalent d’un ministre des Affaires étrangères bis.

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Par ailleurs, Nixon s’est également opposé à Kissinger et son projet de déstabilisation du Moyen-Orient en poussant les Saoudiens à provoquer Israël. Il a misé sur le Shah, qui par sa force militaire, sa neutralité et son pacifisme, mais aussi grâce à de bonnes relations avec l’Arabie Saoudite et Israël, et à son rôle fondateur dans l’OPEP, a défendu une utilisation responsable du pétrole, en pétrochimie et non en énergie. Il était un leader écouté et un garant de la stabilité et la sécurité du Moyen-Orient.

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Le Shah rencontre le mythique Roi Fayçal d’Arabie


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Le Shah reçoit Meir Ezrī (مئیر عزری), l’ambassadeur d’Israël en Iran de 1958 à 1979


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Rappelons qu’il proposa une résolution pour un Moyen-Orient dénucléarisé et adopta les premières mesures écologiques au monde en finançant plusieurs projets de production d’énergies moins polluantes, voire non polluantes. Il s’était aussi engagé à rapprocher les Égyptiens et les Israéliens, ce qui a plus tard abouti aux accords de paix de Camp David quelques années plus tard.

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Les pétroliers américains n’ont pas apprécié cette indépendance du Shah et de Nixon et ont mis au point un nouveau scénario pour les discréditer et les renverser.

On sait depuis longtemps que c’est George Herbert Bush qui a trahi Nixon en validant de fausses confidences secrètes au Washington Post accusant Nixon d’espionnage électoral dans les bureaux du candidat démocrate situé dans le maintenant célèbre immeuble Watergate. Or Nixon avait 80 % d’intention de vote et n’avait pas besoin de tricher. Il a d’ailleurs été élu en s’octroyant 520 grands électeurs sur 537.

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Mais ces accusations véhiculées par les démocrates l’ont éliminé d’office malgré son succès dû à un bilan exemplaire. Nixon a démissionné et son équipe a explosé, excepté Kissinger qui a été récupéré par le vice-président Gerald Ford, successeur de Nixon. Ford et Kissinger ont refusé de soutenir le Shah et de lui livrer des armes commandées en le décrivant comme un facteur d’instabilité de la région.

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1973, année charnière.
Ford a nommé le traitre Bush responsable des relations avec la Chine. Puis, il s’est rapproché de Giscard pour créer sur les conseils du Council on Foreign Relations, dominé par Huntington et Brzezinski, stratège de la diplomatie anti-russe et anti-Chinoise des États-Unis, une organisation franco-américaine à leur service sous le nom de French Américain Foundation (FAF).

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Cette organisation lancera par la suite le programme Young Leaders qui aura très peu de membres américains dont notamment Bill Clinton, son épouse Hillary et Obama. Rétrospectivement, les recrutements ont montré que les caciques démocrates avaient envie de contrôler toute la classe politique française et que par ailleurs, ils n’avaient pas envie d’élargir leur propre cercle de décisionnaires.

Auparavant, les Américains volaient toujours des agents islamiques ou gauchistes maçons aux Anglais (ex. Mossadegh qui s’est avéré non fiable), avant de développer également leurs propres réseaux islamo-gauchistes comme les Moudjahiddines du peuple, comme ce fut le cas en Iran.

1974, Shah contre Saddam.
Selon une grande majorité de politiciens iraniens, les Américains ont demandé alors au Shah d’attaquer l’Irak. On dit qu’il s’agissait de bloquer la modernisation de ces deux pays. Mais, il s’agissait plus vraisemblablement aussi de provoquer un conflit chiite-sunnite pour agiter toute la région et porter atteinte au Koweït, petit royaume chiite liée à l’Angleterre et aussi permettre aux chiites saoudiens de se rebeller contre les princes saoudiens également très impliqués dans l’OPEP pour in fine, faire exploser l’OPEP.

Le Shah, très conscient des objectifs pétroliers de ses ennemis américains, a acheté les armes proposées par les Américains pour cette guerre, mais il a définitivement repoussé leur demande. Il a utilisé les nouvelles armes comme une super force de dissuasion et a réussi à imposer un accord de paix à l’Irak en marge d’une conférence de l’OPEP en Algérie. Grâce à cette initiative positive, il a renforcé sa position d’allié incontournable pour tous les pays arabo-musulmans ou pétroliers.

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1976, French American Foundation
Ford, premier président faussement républicain, a aussi nommé George Herbert Bush, tête de gondôle des républicains simulateurs, à la tête de la CIA au moment du lancement de la French American Foundation pour aider la transition vers une administration démocrate qui devait prendre le relais.

1977-79, Projet Green Belt des démocrates.
Vint alors le démocrate Jimmy Carter, présenté comme un saint homme avec dans ses bagages Brzezinski et son incroyable projet d’islamisation des pays souvent laïques du moins progressistes alliés aux États-Unis et situés au sud de la Russie pour islamiser les pays de l’Asie Centrale soviétique afin de détruire l’URSS, avant d’islamiser à son tour le Cachemire pour exploser la Chine et in fine s’emparer des richesses pétrolières russes et chinoises pour exploser la suprématie pétrolière mondiale des Anglais.

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Carter et Brzezinski ont ainsi renversé Bhutto par le général islamiste Zia Ul-Haqq, mis sur pied les Talibans en Afghanistan et donné le feu vert à la Révolution islamique contre le Shah avec l’aide de Giscard.

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Les Anglais ont rapidement validé le projet en évoquant un projet d’invasion russe du Moyent-Orient pour en faire partie. ils ont réussi et ont noyauté le projet en y introduisant Khomeiny et ont volé la révolution islamique aux démocrates en ridiculisant Carter par une prise d’otages des diplomates qui avaient œuvré pour la victoire des mollahs. Les Russes pourtant ennemis historiques des Anglais ont été jusqu’à prêter main-forte à ces derniers en éliminant le principal ayatollah proche de Washington en lui offrant du thé empoisonné.

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Les mollahs soutenant les Anglais ont attaqué les démocrates par un vaste réseau terroriste visant les intérêts américains au Moyen-Orient (en Arabie Saoudite et au Liban). C’est à partir de là que le projet démocrate est devenu un véritable fiasco, malgré tout mais ils ont sans cesse improvisé des relances qui ont débouché sur de nouveaux fiascos pour eux et des fractures terribles pour le Moyen-Orient.

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Les mollahs, agissant pour les Anglais, ont aussi apporté leur soutien aux chiites irakiens malmenés par Saddam, car l’Irakien était alors en secret un allié des démocrates en raison de ses relations très développées avec la France phagocytée par la FAF. Les Anglais entendaient démontrer qu’ils pouvaient aussi provoquer un conflit sunnite-chiite pour déstabiliser davantage les démocrates alors en difficulté.

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Le Raïs irakien a alors surpris les Anglais en attaquant les mollahs. Les démocrates crurent bon de prendre leur revanche en profitant de l’affaiblissement militaire iranien par la faute des purges des militaires iraniens par Khomeiny et sa clique. Les démocrates espéraient évidemment engendrer une guerre sunnite-chiite à leur projet.

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La France qui avait hébergé, protégé et soutenu Khomeiny et les agents iraniens des démocrates a cette fois couvert Saddam pour punir Khomeiny qui avait trahi et éliminé les agents des démocrates.

D’autres Européens assujettis aux démocrates via d’autres fondations amicales ont apporté leur soutien militaire à Saddam.

Mais malgré ces appuis, l’Iran a été sauvé grâce aux ex-militaires du Shah, appelés à la rescousse par les mollahs. Grâce à un plan préventif mis au point avant la révolution, 200 pilotes iraniens ont détruit en un seul raid toute la flotte aérienne française de Saddam éparpillée dans 8 bases différentes !

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Par ailleurs, les Anglais ont bloqué le projet américain de guerre sunnite-chiite en incitant Koweït, leur protégé chiite, à soutenir Saddam. Assad, chiite également, mais aussi pro-russe, a apporté son soutien à Saddam pour priver les démocrates de leur chaos espéré.

Le gentil Carter n’a pu être réélu en raison de la prise d’otages et aussi l’échec de sa guerre improvisée.

Fausses alternances.
Les républicains ont pu reprendre la main avec comme candidat Reagan qui avait critiqué la politique anti-Shah des démocrates. Mais les démocrates ont placé Bush père à ses côtés comme vice-président. Reagan a persisté dans ses positions pro-Shah. Alors, un attentat a visé Reagan ouvrant la voie à George Herbert Bush.

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Heureusement Haig, ministre des Affaires étrangères de Reagan s’est imposé en remplaçant ce dernier hospitalisé afin d’empêcher Bush d’accéder aux commandes. Les médias déjà bien démocrates à l’époque ont vivement critiqué Haig, laissant supposer qu’il avait commandité l’attentat pour prendre le pouvoir. Il a dû se retirer. Reagan s’est soumis et a joué le jeu des démocrates. Le parti républicain n’a pas protesté non plus, ils ont tous accepté la domination des hauts responsables du parti démocrate. Les républicains ont même par la suite accepter de simuler la fausse alternance avec Bush et son fils.

Les démocrates ont continué ainsi sans crainte d’une sanction politique de leurs donateurs pétroliers. Reagan mis au pas a continué leur guerre ratée entre l’Iran et l’Irak, en apportant du soutien à la fois à Saddam (voyage de Rumsfeld), mais aussi aux mollahs (vente d’armes secrètes par Oliver North), et ce dans l’espoir du collapsus initial imaginé par Brzezinski. La guerre a duré 8 ans au nom de la patrie par la volonté des mollahs qui avaient peur que sa fin entraîne la leur. Les Américains ont tout fait pour y mettre fin, car elle était la preuve de leur incompétence.

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Reagan sous pilotage Bush-démocrate a tenté une réconciliation avec les mollahs. Mais ils ont refusé par soumission aux Anglais. Reagan a laissé sa place au vrai patron de son administration  : George Herbert Bush.

1990  : 1re guerre du Golfe.
Un an après son élection comme président, George Herbert Bush a annoncé de lourdes sanctions contre les mollahs sans les appliquer vraiment. Les mollahs ont simulé une ouverture à l’Occident avec le faux modéré Khatami, ex-patron des assassinats d’opposants en exil et responsable de la purge des universités. Bush et les démocrates, assistés de leurs Young Leaders, ont validé le projet dans l’espoir d’une vraie ouverture. Mais ils n’ont rien obtenu.

Bush a alors relancé le projet de la guerre entre sunnites et chiites en incitant Saddam à attaquer le Koweït. Les Américains ont appelé cela la première guerre du Golfe (persique), car il visait en fait ce territoire et l’Iran, essentiel en raison de sa taille et sa position géographique pour déstabiliser la Russie. Les mollahs à bout de force n’ont pas pu intervenir et le conflit sunnite-chiite n’a pu avoir lieu.

Geroge Herbert Bush a alors bombardé le Koweït occupé par Saddam au prétexte de sa libération avant de soumettre la facture de ses frais militaires aux Koweïtiens, histoire de les ruiner et les contraindre à devenir ses serviteurs. Mais cela a encore échoué.

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Les mollahs se sont sentis menacés par cette persistance guerrière. Ils ont enrichi leurs jeux de simulations avec un grand nombre de faux opposants issus des réseaux révolutionnaires de Carter pour faire espérer les démocrates sans jamais leur céder un pouce de terrain.

1993 : Bill, la menace.
Bill Clinton, seul Young Leader américain, a succédé à George Herbert Bush avec la mission d’étendre l’islamisme en Europe de l’Est pour contrer les Russes (avec l’aide de Young Leader Wesley Clark) et aussi s’imposer en Afrique pour contrer les Chinois.

Concernant l’Iran, Clinton a opté pour l’ouverture, mais en l’absence de succès, a évoqué des sanctions en modifiant sans cesse les motifs quand celles-ci risquaient de balayer les mollahs. Il est ainsi passé de la menace terroriste (basée sur des faits réels) à une supposée menace balistique et nucléaire (fictive et facilement oubliable), car les mollahs ne sont même pas fichus de fabriquer des joints de portières pour les Peugeots montées en Iran.

En 1996, juste avant la fin de son 1er mandat, Bill a légèrement durci le ton en qualifiant les mollahs de voyous (Rogue State) et en adoptant à leur encontre la loi Amato-Kennedy au motif très exagéré du développement des armes de destruction massive par ces derniers.

Mais Bill a laissé une chance aux mollahs en affirmant qu’il ne pouvait appliquer des sanctions en raison de l’opposition des dirigeants européens. Ces derniers étant des complices, il s’agissait de faire durer le chantage sans pour autant appliquer les sanctions et mettre en danger le régime islamique si cher au parti démocrate.

Rattrapages improvisés et échecs en cascade.
In fine, à mi-chemin de son second mandat, Bill, pressé d’avoir un résultat, a activé les sanctions. Mais craignant la disparition du régime islamique, il a autorisé les mollahs à signer des contrats pétroliers avec les Européens et les Asiatiques avant la date de mise en application des sanctions de la Loi Amato-Kennedy.

Cela a sans doute fâché les pétroliers américains qui étaient en concurrence avec ces pétroliers étrangers. Les démocrates certains de perdre le pouvoir se sont alors détachés de leurs donateurs en devenant écologistes et anti-pétrole avec Al Gore...

Mais George Herbert Bush a empêché la rupture de la relation très lucrative avec les pétroliers américains en proposant la candidature de son fils George Walker Bush avec un gouvernement 100 % issu des milieux pétroliers américains, pour faire miroiter des deals aux mollahs. Mais Bush junior a échoué.

Ce drôle de gouvernement pétrolier de George Walker Bush a essayé de se rattraper en négociant le passage de gazoducs vers l’Asie Centrale avec les Talibans. Mais les Talibans se sont méfiés et le deal n’a pas eu lieu.

Vint alors le 11/09 qui a justifié l’intervention des démocrates pour valider une attaque massive sur la région qui leur résistait depuis si longtemps. Avec le soutien des démocrates (en particulier Biden), Bush a attaqué l’Afghanistan, mais pas les mollahs, mais plutôt l’Irak qui n’était nullement impliqué afin d’y installer une République islamique pro-américaine, et en même temps, lancer un message de menace aux mollahs pour les forcer à rejoindre sa grande armée d’islamistes.

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La France a tenté d’empêcher cette attaque pour préserver les champs pétroliers Al-Majnoon, le plus grand gisement pétrolier français, obtenu dans le sud irakien chiite grâce à ses relations privilégiées avec Saddam, le tueur des chiites. En vérité, la France aurait dû y aller ou défendre Saddam. Elle a passé la main en raison de ses liaisons secrètes. Les Anglais y sont allés et ont obtenu le gisement.

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Les mollahs, paniqués par la menace et le risque d’une entente anglo-démocrate, ont lancé un message au prince Reza Pahlavi en reconnaissant d’avoir menti en accusant son père, le Shah de crimes inexistants. Mais ils n’ont vu aucun deal entre les Anglais et les démocrates. Rassurés, ils ont profité du désordre provoqué par l’intervention en Irak, en investissant sur ce chaos dans leur intérêt et celui des Anglais.

Les Bush et les démocrates ont continué à improviser en invitant les mollahs au dialogue en Irak. Mais ils n’ont rien obtenu d’eux et grâce à leur dialogue, ils ont légitimé l’ingérence des mollahs en Irak. Ils ont encore improvisé en cherchant un deal avec Assad sur le Hezbollah et ont échoué encore une fois.

Pour continuer leur chantage, Bush junior et les démocrates ont inventé l’hypothèse d’une option militaire contre l’Iran, de quoi faire peur aux mollahs, mais aussi rassurer leurs donateurs pétroliers toujours plus mécontents de ne pas obtenir les contrats des Anglais et des Russes. Cette option militaire a plu au peuple iranien qui le voyait comme une opportunité pour se débarrasser des mollahs. Alors Washington a renoncé à cette prétendue option, et a confié cette tactique d’intimidation à Israël, mais son exécution a été suspendue par un manque prétendu de forces aériennes suffisantes. Israël comme d’autres pays de la région aura sans cesse dû composer avec les désidératas démocrates sans pouvoir tenir réellement compte de ses propres intérêts.

Par ailleurs, pour parer à une éventuelle coupure de financement des pétroliers, Bush et les démocrates ont misé sur la bulle financière afin de s’enrichir avant de la faire éclater pour ruiner la Chine durant ses coûteux Jeux olympiques et gagner la guerre contre elle. Ils n’ont pas pu y arriver et ont seulement ruiné leurs propres citoyens et leurs alliés européens.

Les Printemps Arabes, Boomerang idéologique.
Après Bush junior et ses frasques, les démocrates ont repris la main avec Obama, dernier élève de Brzezinski. Ils se sont alors rapprochés des Chinois en se disant qu’ils pouvaient les engraisser avant de les manger. Mais ils ont encore échoué.

Malgré ces si nombreux échecs stratégiques, soit 40 ans de fiasco de leur islamisme en Iran, en Afghanistan et en Irak, les démocrates ont relancé leur effort avec l’idée d’une nouvelle révolution islamique (le Printemps Arabe) du Maghreb au Caucase en passant par la Jordanie et la Syrie, essayant de prendre les Russes à revers via le Caucase alors qu’ils venaient déjà d’échouer dans leur tentative d’islamistation de la Tchétchénie (avec un financement imposé aux Saoudiens).

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Ce projet de Printemps Arabe leur a échappé aussi. Les mollahs ont simulé une fausse révolution pour légitimer leur régime. Le peuple en a profité pour déstabiliser le régime, mais Obama a refusé d’appuyer les Iraniens.

Par ailleurs, les Français ont mis un veto pour son application au Maroc, tandis que les Anglais ont protégé la Jordanie.

Obama s’est focalisé sur la Syrie (qui était soutenue par la Russie). Les Européens pro-démocrates et les Anglais ont validé cette guerre islamiste contre un État laïc. Mais le peuple syrien, bien que mécontent d’Assad, a refusé d’aider les jihadistes cagoulés de Washington et ses alliés. Les démocrates ont persisté dans leur impossible projet en inventant Daesh (avec un financement imposé aux Qataris suite au refus des Saoudiens sous l’influence naissante de MBS). L’extrême violence de Daesh a discrédité la présence américaine et a permis à la Russie d’intervenir au Moyen-Orient et d’en devenir un acteur majeur, ce qu’elle n’imaginait même pas dans ses rêves les plus fous. Cette fois-ci, les pétroliers américains ont refusé de suivre davantage les démocrates qui avaient échoué tout le temps et partout.

Obama vert de rage.
Les démocrates sont alors devenus totalement écolos anti-pétrole pour discréditer et punir leurs ex-donateurs qui ne voulaient plus les aider et aussi pour paralyser la Chine. Ils ont d’abord parlé d’un réchauffement en profitant d’un réchauffement naturel dû à la proximité cyclique de la terre avec le soleil. Mais cela a échoué en Chine et a porté préjudice à l’économie américaine. En l’absence des catastrophes climatiques évoquées comme la disparition de certains pays sous les eaux, ils continuent à présent à agiter les dangers des dérèglements climatiques et de la pénurie d’eau.

Cette pénurie ne devrait pas exister, car un Français (Marc Parent) a inventé une machine éolienne, Eole Water, qui produit 1000 litres d’eau par jour et peut fertiliser la terre entière...

2016 : Divorce pour fautes !
Les pétroliers et les industriels américains ont alors fait appel à Trump qui avait été le seul membre du parti républicain à le quitter pour désaccord avec le système mis en place par les démocrates avec l’aide des Bush en critiquant notamment leur projet essentiel d’une révolution islamique en Iran.

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Le choix s’est avéré bon, car Trump a séduit les industriels et les pétroliers américains en esquissant une stratégie de détente avec la Russie pour contenir ensemble la suprématie pétrolière anglaise et l’appétit des Chinois nettement renforcés par les mauvaises approches mondialistes des démocrates.

Trump a aussi séduit les électeurs par ses critiques contre l’État profond, qui désigne en réalité le groupe d’administrateurs qui servent les dirigeants démocrates et les Bush en battant Hillary Clinton qui avait le soutien de tout le groupe y compris des Bush.

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Dès son investiture, les démocrates et leurs médias, mais aussi leurs Young Leaders européens l’ont attaqué et l’ont taxé de débilité alors qu’il est un joueur d’échecs classé et dirige près de 500 entreprises. Il n’a aussi pas facilement pu trouver des alliés au sein des services secrets, qui étaient depuis longtemps devenus des agents des démocrates.

Trump, vilipendé par les médias mainstream, a privilégié Twitter. Mais les patrons des GAFA l’ont régulièrement bloqué en raison de son projet de les taxer pour équilibrer leur rôle dans l’économie américaine. Ils l’ont sans cesse censuré en le taxant d’ennemi de l’écologie alors qu’ils sont les plus grands pollueurs en raison de leur besoin en métaux rares. On retrouve là la méthode d’inversion accusatoire qui a été utilisée par les démocrates fraudeurs accusant Nixon de triche ou Haig de putsch.

Succès incontestables.
Malgré toutes ces oppositions, Trump a radicalement changé la diplomatie américaine en se rapprochant de la Corée du Nord avec l’aide de Poutine pour affaiblir la Chine. Il est même parvenu à contenir l’offensive économique chinoise. Il a aussi isolé les mollahs en les sanctionnant vraiment, en apportant son soutien à un changement de régime et il a aussi réduit la nuisance terroriste des mollahs en pacifiant le Moyen-Orient grâce à son respect des intérêts des Arabes et des Israéliens.

Trump a aussi réveillé l’économie américaine en créant des millions d’emplois et a ouvert un champ de confort pour les plus démunis en faisant baisser les prix des médicaments de 90 %.

Par ailleurs, il a lancé des enquêtes sur la corruption des principaux dirigeants démocrates et leurs complices républicains notamment grâce à l’arrestation d’Epstein.

Les démocrates humiliés par ses succès, mais aussi menacés d’arrestation ont sans cesse refusé le débat avec Trump en remettant en cause sa légitimité grâce à une prétendue tricherie avec les Russes pour le renverser. Les dirigeants européens, souvent issus des réseaux Young Leaders, ont participé à ces campagnes diffamatoires. Mais l’impeachment des démocrates a échoué grâce à un sursaut inattendu de la majorité des républicains et même certains ténors républicains habituellement pro-démocrates.

COVID19, un rhume fantastique.
En décembre dernier, alors que Trump venait de signer un accord majeur bénéfique à son pays avec les Chinois et de déclencher par un système légal des sanctions plus lourdes contre les mollahs ; une université américaine, Johns Hopkins, connue pour ses liens avec les démocrates, et condamnée pour des essais microbiques sur des enfants sud-américains a fait état d’une pandémie fulgurante d’origine chinoise, en exagérant l’interprétation des données grâce à des courbes de mortalités cumulées et une modélisation informatique déconnectée des réalités médicales. Les appareils d’information des pays alliés aux démocrates ont validé cette annonce et ont mis en place une crise sanitaire avec un virus inoffensif pour une écrasante majorité des gens. Des chiffres de mortalité des années passées bien plus élevés ont été modifiés pour imposer un confinement qui n’avait pas lieu d’être.

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Iran-Resist.org a immédiatement évoqué un plan de guerre démocrate contre Trump et aussi contre la Chine. Les big Pharma ont pris la partie des démocrates pour se venger de la baisse forcée des prix des médicaments imposée par Trump. Les patrons Gafam ont rejoint le projet, ravis du monde où ils allaient dominer tous les échanges commerciaux, en somme, toute la nouvelle vie économique mondiale. Ils allaient aussi ruiner les commerces traditionnels et les avaler. Les agents européens des démocrates ont aussi appliqué le confinement sans se soucier des intérêts de leurs propres pays.

En Europe, seuls les pays de l’Est, plus patriotes (anti-Soros=anti-démocrates), ont refusé cette ingérence au prétexte sanitaire.

La Suède qui est aussi une puissance pétrolière l’a refusé pour ne pas être ruinée et exposée à l’OPA des démocrates ou des Gafam.

Les Anglais ont d’abord refusé l’opération avant de participer à fond les ballons pour avoir leur mot à dire dans la gestion du plan. Mais ils n’ont pas pu y arriver, car sans cesse attaqués par les agents européens des démocrates. Ils ont même fait chuter le prix du baril pour léser les succès de Trump afin d’entrer dans le jeu, mais ils n’ont pas pu s’assurer contre l’OPA de leurs ennemis démocrates de toujours en trouvant une place à leur côté.

Les démocrates ont préservé la direction des opérations et ont fait durer la pandémie conçue pour empêcher la réélection de Trump. Face à lui, ils n’ont pu choisir que le vieux Biden, car il est le dernier membre impliqué dans leur modèle corrompu et sans scrupule, appliqué tour à tour par les Bush, les Clintons et Obama. Et de fait, le seul à avoir l’intérêt de les préserver au lieu de balancer leurs secrets et sortir le parti démocrate de cette dérive sans fin qui a toujours pénalisé les États-Unis en premier. Les Gafam ont validé cette candidature. Les Anglais ont aussi affiché leur soutien à Biden via le Guardian pour entrer dans le jeu.

Les big Pharma que l’on accuse de tout ont été les moins actives pour aider Biden par peur d’être avalées par les super-prédateurs Gafam et aussi parce qu’un monde pandémique, dominé par une seule maladie n’est pas rentable.

De fait, on peut dire que la guerre contre Trump se fait par les jeunes geeks des Gafam et les vieux démocrates qui veulent s’éviter des procès et conserver ad-vitam le pouvoir. C’est une alliance de deux super-prédateurs. Ils finiraient même par s’entre-déchirer pour être seuls à dominer le monde pandémique lugubre que chacun d’eux souhaite nous imposer.

Victoire virtuelle de Biden.
Les Américains ont dans l’ensemble boudé ce candidat, car il n’a pas réussi à les mobiliser une seule fois même sur Twitter. Il n’a même pas pu augmenter le nombre de ses followers malgré le profil soi-disant jeune et geek de ses électeurs !

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In fine, les démocrates et les Gafam, pour l’instant amis, ont annoncé sa victoire. George Walker Bush l’a félicité ! Mais il y a de multiples preuves qu’il a triché. Trump affirme qu’il prouvera la fraude de son adversaire et gagnera avec une très large avance comme ce fut le cas pour Nixon.

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Mais les nombreux médias démocrates refusent cette possibilité et insistent sur la victoire de Biden. Les Young Leaders de tous États européens l’ont également félicité.

Les Anglais l’ont félicité d’abord par obligation européenne. Mais conscients qu’ils ne font pas le poids face aux démocrates et la campagne de terreur sanitaire que Biden et les Gafam veulent continuer, ils ont depuis peu mis toute leur énergie à promouvoir une autre extraordinaire et effrayante fable de « Big Reset », pour toucher, terroriser et animer le commun des mortels et en faire des partisans de la lutte contre ce monde à venir.

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Les Anglais ont aussi animé leurs réseaux maçonniques pour faire de Trump le héros du monde. Étant donné qu’il a prouvé sa bienveillance, les Anglais qui étaient la cible de sa diplomatie ont reconnu ses qualités pour qu’il puisse bénéficier de tous les soutiens possibles et mieux contrer ce monde catastrophique où ils ne seraient plus rien, eux non plus.

Les Chinois ont aussi rompu leur silence légendaire et ont plébiscité Biden pour le discréditer. On verra sous peu les Russes aider les Anglais à épauler Trump. Comme dans le film Independace Day, les ennemis de toujours s’unissent pour lutter contre des envahisseurs hors du commun.

Cette union anglo-russe a d’ailleurs déjà eu lieu contre Hitler, arrivé au pouvoir avec des fonds pétroliers anglais pour lutter contre le communisme, mais devenu incontrôlable et dangereux pour les Anglais. Cette alliance anglo-russe a aussi prévenu le Shah quand Kennedy voulait le renverser par un coup d’État militaire du chef de ses services secrets iraniens. On verra sans doute apparaitre d’autres coalitions pour produire des logiciels et des plateformes afin de contrer les Gafam.

Avis de tempêtes.
Il est aussi possible que les juges suprêmes même démocrates rejettent la victoire de Biden de peur de la disparition de leur fonction. Le chef de la Cour suprême proche des Bush vient d’être accusé de liens avec Epstein. Cela pourrait être un bluff des démocrates, s’il refusait de les couvrir ou un bluff des républicains, s’il ne voulait pas reconnaître la fraude de Biden.

On ne peut pas aussi négliger le poids des électeurs de Trump, même s’il se voit refuser la victoire malgré tout.

Quelles que soient ces hypothèses, on est au cœur de grands bouleversements à tous les niveaux.

Le cas des mollahs.
Dans ce contexte où tous les modèles connus sont en phase de mutations, les mollahs espèrent juste que Biden sera préoccupé par leur sort. Mais il n’a pas le temps ni la force de résister à la coalition de grandes puissances rodées par des siècles de diplomaties et de complots savamment organisés. Biden est aussi pénalisé par ses alliés Gafam qui l’accompagnent pour le supplanter et enfin, il n’a pas les électeurs pour l’aider à imposer ses choix et ceux de ses collègues. 

On vient de le voir à propos du Moyen-Orient. Il a promis d’annuler la paix au Moyen-Orient et revenir à la diplomatie brouillonne et défectueuse d’Obama, mais cette promesse d’une nouvelle guerre a suscité un tel tollé qu’il a dû affirmer qu’il ferait autrement. Mais il n’a pas fait autrement. Il a encore agité des rumeurs de frappes en Iran et a aussi envoyé des signaux amicaux aux mollahs en nommant comme chef de sa diplomatie Tony Blinken opposé à tout soutien au peuple iranien. Il a de facto renouvelé la diplomatie de base des démocrates vis-à-vis des mollahs.

Trump a aussitôt contré ce chantage en envoyant une force militaire massive dans les pays opposés aux mollahs et a tué la rumeur par sa concrétisation possible. Biden qui ne veut pas d’une vraie attaque, a lâché la partie.

Biden a aussi commis une grosse erreur tactique en s’étant montré trop bienveillant avec les mollahs, car il a fait d’eux sa carte maîtresse et a implicitement encouragé la coalition des grandes puissances à les renverser.

Depuis leur avènement, les mollahs sont aux commandes d’un navire en détresse dans une mer agitée. Bercés par cette routine mouvementée, ils n’ont pas vu que le monde était à présent dans la tempête du siècle.

Avant, il y avait une guerre économique entre les grandes puissances, qui toutes étaient intéressées par le contrôle de l’Iran, ses richesses et ses mollahs agitateurs ; mais à présent, cette désunion qui profitait aux mollahs n’est plus, car la guerre entre les puissances a changé. Une guerre pour la survie d’une grande partie d’entre elles dans laquelle les mollahs ne sont plus un outil de déstabilisation comme avant, mais des ennemis potentiels. La coalition mondiale doit les éliminer pour anéantir les démocrates. Il est presque normal que les démocrates entraînent dans leur chute leur monstrueuse progéniture incontrôlable, qui comme eux, ont toujours eu des ambitions de plus en plus délirantes.

Si Biden passe, il doit soumettre les mollahs par de vraies sanctions et ils risquent d’y rester. Les Russes, les Chinois et les Anglais feront aussi tout pour les renverser.

Si Trump s’impose, il doit éliminer les mollahs et les autres l’aideront en soutenant les Iraniens, les vrais opposants en exil, ainsi que les miliciens qui ont rompu avec le régime et lui mènent la vie dure depuis peu.

Pour résumer, si Biden passe, les mollahs trépassent. Si Trump s’impose, ils explosent.

Conclusions particulière et générale.
Dans les deux cas, le peuple iranien, fort de 90 millions de personnes principalement jeunes, laïcs, progressistes, patriotes et pro-occident, sera entendu et son attachement à l’Iran et à Trump permettra une nouvelle alliance est-ouest, un Nouveau Monde, d’échanges et de coopérations très différentes du monde confiné imaginé par les démocrates.

Ce Nouveau Monde est pour demain ou presque, car on vient à peine d’entrer dans la tempête faite de grandes secousses politiques et diplomatiques provoquées par la fuite en avant délirante de la vieille caste des démocrates qui ne veulent pas reconnaître leur défaite écrasante malgré 70 ans de complots aux conséquences graves (en incluant les complots de Truman contre le Shah) et surtout malgré des millions de victimes que leurs projets délirants ont engendrées en Iran, en Afghanistan, en Irak, en Libye, en Syrie, dans les Balkans, en Afrique...

Les régimes qui ont des stratégies aberrantes de fuite en avant ne peuvent tenir que contre des ennemis imaginaires, factices ou encore hors de leur portée, mais leurs dirigeants se mettent en danger en s’engageant par erreur ou par une ambition plus forte dans des conflits réels avec des adversaires plus puissants.

C’est ce qui arrive aux responsables démocrates surclassés par Trump. Ils se sont condamnés à mort avec leur virus envahissant, reste à savoir quand ils tomberont.

Si par malheur Biden passe ou refuse de se retirer ou encore que les jeunes élus démocrates valident le projet délirant de leurs ténors désespérés, ces derniers provoqueront des dégâts encore plus graves que ceux que nous avons passées en revue notamment en demandant encore plus de sacrifices à leurs alliés européen

Par contre s’ils sont trahis par les jeunes démocrates ou si Trump [3] parvient à prouver la fraude de Biden ce sera game over pour les démocrates mafieux et leurs progénitures ici ou ailleurs. On sortira plus rapidement du paradigme pandémique délirant qui nous accable. Les réseaux démocrates en Europe devront s’étioler ou évoluer. Les Young Leaders dont certains sont aussi francs-maçons pourront enfin s’émanciper de l’un de leurs fardeaux voire des deux, servir leur pays peu ou prou et s’engager dans un monde qui sera résolument nouveau pour tous [i].

[iCe texte a été écrit par Kaveh Mohseni, le fondateur d’Iran-Resist.
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