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BIDEN-IRAN | ACTE 5
Biden, le simulateur enlisé !

04.03.2021

Biden dit avoir bombardé les positions des mollahs en Syrie. Il dit aussi que ces derniers ont refusé son offre de dialogue. Un lobbyiste du régime affirme qu’ils ne veulent pas négocier aux mêmes conditions que Trump. Est-ce que Biden fait du Trump ? La réponse est non. Il ne s’agit pas de la même diplomatie, des mêmes objectifs, ni même des mêmes méthodes malgré les apparences.



Les démocrates américains ont été les instigateurs de la révolution islamique pour instaurer une République islamique anti russe et chinois en Iran. Ils l’ont fait en association forcée avec les Anglais, patrons du clergé iranien. Les Anglais ont volé la direction du régime islamique et l’ont retourné contre les démocrates avec du terrorisme islamique exclusivement anti-US & ses alliés (arabes, israéliens et européens).

Les démocrates n’ont eu de cesse de sanctionner les mollahs notamment au prétexte de leur programme nucléaire tout en flirtant avec eux pour leur laisser la possibilité négocier (capituler, selon la définition de Napoléon) et accepter le retour de leurs pions en Iran.

Les mollahs épuisés dans ce jeu ont accepté de négocier et en tant que futurs alliés et instruments des démocrates, ils sont devenus une menace pour les Anglais et de nombreux États qui profitaient de la situation. Ces derniers ont imposé un deal nucléaire mondial aux mollahs et aux démocrates pour les empêcher de convoler ensemble. Trump avait rompu ce deal et cessé l’islamisme très nuisible des démocrates. Biden a tout rétabli ravivant les désordres diplomatiques qui en découlaient.

La semaine dernière, les mollahs ont encore profité de l’envie de marchandages de Biden et l’hostilité des autres puissances à l’égard de ce projet pour renforcer leurs divers chantages et les mettre tous KO.

Ainsi, ils ont encore renforcé leur terrorisme, leur menace contre les pétroliers et leur chantage nucléaire pour intimider ces États afin de les écarter et se retrouver avec un Biden très isolés et aux abois pour le forcer à abandonner.

La Russie a craint que les mollahs déstabilisent la Syrie. Elle a lancé ses combattants syriens contre ceux des mollahs et elle est parvenue à les écraser à Hama (au sud d’Idlib où ils aident les ennemis d’Assad) ! Elle a ainsi continué à appliquer la ligne d’action conçue en combinaison avec Trump.

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En revanche, les Anglais et les Européens ont été moins rigoureux. Ils ont tenu tête aux mollahs à propos de leurs violations de l’accord nucléaire tout en les flattant ou les draguant puisqu’ils ont dénoncé les ambitions nucléaires militaires des mollahs tout en validant le forum commercial qui devait avoir lieu avec ces derniers du 1er au 3 mars !

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Biden lui-même ne s’est pas opposé à cette initiative y voyant un moyen d’apaiser les Anglais et les Européens pour qu’ils cessent de s’opposer à ces démarches.

Au même moment, des milliers de fonctionnaires ou d’ouvriers iraniens étaient dans les rues contre le régime et les habitants de Baloutchistan, la plus grande région d’Iran, importante sur les plans sécuritaire et économique (zone portuaire de Makran), ont enfin pris les armes contre les mollahs [1]. Il y a eu des mouvements hostiles anti-mollahs par solidarité avec le soulèvement en cours. Les mollahs ont pendus 3 opposants d’une autre région importante et souvent agitée (le Khouzestan) pour intimider les contestataires, mais ils ne sont pas parvenus à les mater.

Aucun État occidental n’a apporté son soutien aux habitants de Baloutchistan et les autres régions en lutte contre les mollahs et personne n’a condamné leurs pendaisons.

Les démocrates ont faire pire puisque leur journal officiel, le Washington post, a qualifié les habitants révoltés de voyous !

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Et Biden a seulement profité de ce moment difficile pour les mollahs pour renouveler son offre de dialogue. Mais, conculant à la faiblesse des démocrates, les mollahs n’ont pas dit oui à leur offre.

De plus, les mollahs pouvaient espérer que les Européens alléchés par de bons contrats en sens unique en leur faveur prendraient leur défense et leur permettraient de parvenir à un bon arrangement avec Biden. Mais les Européens ont encore un peu durci le ton sur le plan nucléaire au cours de la réunion du conseil des gouverneurs de l’AIEA en raison du double jeu des mollahs et manque de sincérité de Biden, sans pour autant rompre avec personne !

Biden a alors annoncé une attaque punitive contre une base des mollahs en Syrie. Mais Il a rapidement été révélé que le site était un poste frontalier et que Biden ne leur avait infligé aucun préjudice digne d’intérêt ! C’est pourquoi ils n’ont pas plié et ont même officiellement refusé le dialogue avec Biden.

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Comme nous l’avions dit la semaine dernière, la complaisance vis-à-vis des mollahs les rend plus coriaces. Ils l’ont confirmé en lançant une grosse attaque de missiles via les Houthis contre l’Arabie Saoudite ; une autre attaque contre un cargo israélien pour rappeler leur capacité de tir sur les cargos dans les zones maritimes sécurisées avant d’attaquer une base américaine en Irak où un entrepreneur civil est mort de peur d’une crise cardiaque !

À présent, les mollahs viennent de durcir encore le ton, via leur lobbyiste démocrate, Vali Nasr principal conseiller iranien d’Obama, en demandant l’abandon des critères de négociation imposés par Trump c’est-à-dire l’exigence de la fin de leur activité terroriste au Yémen et au Moyen-Orient ! La publication de l’article souligne le désespoir de Biden et ses amis démocrates.

Après une nouvelle réaction molle et floue de Biden [2], les mollahs ont franchi un pas dans la terreur en sabotant un cargo pétrolier libyen qu’ils avaient approvisionné près des rives d’Israël pour y provoquer une marée noire ! Du bioterrorisme déguisé en accident !

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Biden simule la force. il rassure et enhardit les mollahs au lieu de les soumettre. Il faut cesser cette complaisance contreproductive avec cette vermine islamiste (que les démocrates nourrissent sans jamais parvenir à la maîtriser ou dompter). La seule solution est celle de Trump : renverser les mollahs avec l’aide des Iraniens pour pacifier toute la région.

Mais pour l’heure, le Trumpisme n’a aucun partisan en Occident. Il faudrait sans doute que tous les pays concernés qui collaborent avec les mollahs perdent beaucoup et subissent des dommages et des contaminations irréversibles avant de lâcher le simulateur enlisé qu’est Biden et d’appuyer Trump ou les Iraniens.