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Iran, Occident, l’heure du choix L’Iran est en guerre contre les mollahs et en lutte pour le rétablissement de la royauté laïque, progressiste et patriote des Pahlavi mais cela ne semble pas convenir à l’Occident qui a été l’un des artisans de l’islamisation de l’Iran en 1979 et un des grands profiteurs économiques de son affaiblissement mais aussi en contrepartie victime de son terrorisme. Un homme, le prince Reza Pahlavi, a décidé de renverser la table. Son passage en France a montré la difficulté de la mission qu’il s’est assignée. Iran : Les Iraniens rendent hommage à un prince contestataire Il y a deux jours, S.A.R Ali-Reza Pahlavi, spécialiste de l’histoire pré-islamique iranienne, se donnait la mort aux Etats-Unis en demandant que son corps soit immolé et ses cendres répandues sur la mer Caspienne, à proximité de la région d’origine de son illustre grand-père, Reza Shah, fondateur de l’Iran moderne et figure dont rêvent les Iraniens pour restaurer le pays. De fait, le suicide de ce défenseur de l’identité iranienne était un acte politique. Les médias occidentaux n’ont eu de cesse de prétendre le contraire en insistant sur son oisiveté et une « dépression due à la perte de sa sœur ». Cette indifférence face à la réalité a provoqué une prise de conscience chez les Iraniens. Des manifestations de soutien affluent de partout en faveur de ce qu’il partageait avec ses compatriotes : le retour à l’identité pré-islamique iranienne. Un rassemblement en sa mémoire était prévu ce vendredi 7 janvier à 18h à Trocadéro à Paris, mais par un mystère qui nous échappe, elle s’est transformée en une marche silencieuse le samedi 8 au même endroit ! IRAN : RUMOUR OF AN ATOMIC BREAKDOWN ALREADY MENTIONED IN 2009 The American press agency AP told this week about some interruption of Iran’s nuclear enrichment activities. The Islamic Republic denied and told it was reinforcing its activities. Pro-American media denounced the mullahs’ lie. This doesn’t surprise us. Washington which has sanctioned the mullahs for long in order to force them to become its allies can’t sanction them anymore because this might overthrow them. It is looking for any means that would delay new sanctions at a time when the mullahs refuse any appeasement with the United States. This is some American media diversion which is destined to the American (or Western) public opinion. This is an occasion to remind the chronology of relations between Tehran and Washington and to review several example of a permanent disinformation which nobody tells about. Iran : Le Bazar est en grève dans 5 grandes villes ! Depuis hier, les Bazars de plus de 8 villes d’Iran sont en grève. Alors que la nouvelle est en tête des unes de tous les sites d’infos en persan, on n’en voit trace dans les médias occidentaux. Les Etats Occidentaux qui cherchent une bonne entente avec ce régime censurent l’info comme au moment du soulèvement du peuple iranien durant l’été 2009. IRAN : ABUSE AT CARLA, A SUCCESSFUL MEDIA DISTRACTION © IRAN-RESIST.ORG – August 31, 2010 | For two weeks, French media has focused on Sakineh, an Iranian sentenced to death by stoning. Media has commented in depth Carla and Nicolas Sarkozy’s commitment. In this much overexcited context, two days ago, Tehran announced loudly its decision of conducting two other stoning sentences. This information had no repercussion in France because the AFP didn’t release any news about the matter. The same press agency echoed the insults that were heaped by the main Iranian daily newspaper on Carla Bruni because of her commitment. However we read this newspaper every day and we didn’t notice this kind of thing. Insults appeared on a website which is not much popular. Thus we are in a situation of censure and distraction. | Decoding | IRAN : LETTER TO CARLA © IRAN-RESIST.ORG – August 26, 2010 | Washington sanctions the mullahs in order to force them to become its allies and destabilize China and Russia. As sanctions deprive it of currencies, the Iranian economy is not at all well : SMEs are going bankrupt and thousands of workers are laid off. Additionally the mullahs find difficulties to supply domestic markets. They are heading to penuries that could make them collapse. In order to avoid such penuries, they started to cut the Iranians’ purchasing power by freezing salaries and liberalizing prices. Every ally of the regime, militiamen and especially Bazari, want to leave the boat so to not be lynched by people whenever the regime will collapse. Some of them such as young Basiji who are in charge of urban security have already left the regime. The regime does its best to simulate some unity in order to curb such implosion. Washington which is willing to maintain an Islamic regime in Iran feels quite disturbed because it wants to avoid that its people know about what is happening in Iran in order to prevent them from supporting any regime change. Thus it found THE solution : a campaign to save a woman who is condemned to death sentence, a victim to avert eyes away from people in distress. Tehran which doesn’t wish to get the American people support is participating to this operation via the victim’s so-called lawyer who pretends to be exiled but who doesn’t denounce at all the regime’s exactions. Some famous people were instrumented for such campaign. There is one letter everyday written by a celebrity in order to focus endlessly the general attention on a sole victim while entire people wait and get hopeless. This is revolting because this is meant to break Iranians’ hope. Among those letters, some are written by people who are politically involved with mullahs or with Americans. However we won’t mention them because we don’t want anymore to be sued by those pawns that dispose of great financial means. But some letters are written by very sincere persons. Among them, the letter of Mrs Carla Bruni-Sarkozy because it shows elements that prove her sensitivity and her sincerity but that denotes as well the fact that she is misinformed. That is why we decided to call out the first lady of France in order to inform her so that she can put her energy and the one of her husband at the disposal of truth and of people in distress who expect to get the Western support. Iran : Les insultes à Carla, une diversion médiatique réussie Depuis deux semaines, tous les médias français sont focalisés sur Sakineh, l’iranienne condamnée à mort par lapidation. Les médias ont longuement évoqué l’engagement de Carla Bruni et Nicolas Sarkozy. Dans ce contexte très survolté, il y a deux jours, Téhéran a annoncé haut et fort sa décision de procéder à deux autres lapidations. Cette info n’a eu aucune répercussion en France car l’AFP n’y a consacré aucune dépêche. La même agence de presse a répercuté des insultes proférées par le principal quotidien iranien à l’encontre de Carla Bruni pour son engagement. Or, nous lisons chaque jour ce quotidien, mais nous n’avions pas vu ce genre de chose. Les insultes ont paru sur un site très peu visité. Nous sommes dans un cas de censure et de diversion. | Décodages | Iran : La lettre à Carla Washington sanctionne les mollahs afin de les forcer à devenir ses alliés pour déstabiliser la Chine et la Russie. Privés de devises par ces sanctions, l’économie iraniennes va très mal : les PME sont en faillite et les ouvriers sont licenciés par milliers [1]. Les mollahs ont également du mal à approvisionner les marchés intérieurs. Ils vont aux devants des pénuries qui pourraient les emporter. Pour éviter ces pénuries, ils ont commencé à réduire le pouvoir d’achat des Iraniens en gelant les salaires et libérant les prix. Tous les alliés du régime, miliciens et surtout les Bazaris, ont envie de quitter le navire pour ne pas être lynchés par le peuple quand le régime s’effondrera. Certains comme les jeunes bassidjis, chargés de la sécurité urbaine, ont déjà quitté le régime. Le régime fait son possible pour donner l’impression d’une unité pour endiguer cette implosion. Washington, qui veut préserver un régime islamique en Iran, est bien embêté car il veut éviter que son peuple soit au courant de ce qui se passe en Iran afin qu’il ne soutienne pas un changement de régime. Il a trouvé LA solution : une campagne pour sauver une femme condamnée à la lapidation : une victime pour détourner les regards d’un peuple en détresse. Téhéran qui ne veut pas non plus de ce soutien du peuple américain participe à l’opération via un soi-disant avocat de la victime qui se dit un exilé, mais ne dénonce rien des exactions du régime. Des people ont été instrumentalisés pour cette campagne. Il y a une lettre par jour par une célébrité pour focaliser sans cesse l’attention générale sur une seule victime alors qu’un peuple attend et désespère. C’est révoltant car on veut briser l’espoir des Iraniens. Parmi ces lettres, certaines sont écrites par des gens politiquement impliqués avec les mollahs ou avec les Américains, nous n’en parlerons pas car nous voulons plus de procès par ces pions dotés de moyens financiers très élevés, mais il y a dans le lot d’autres lettres écrites par des gens sincères. Parmi celles-ci, la lettre de Mme Carla Bruni-Sarkozy nous a interpellés car elle contient des éléments montrant sa sensibilité et sa sincérité, mais aussi son manque d’informations. C’est pourquoi nous avons décidé d’interpeller à notre tour la première dame de France pour l’informer afin qu’elle puisse mettre son énergie et celle de son mari au service de la vérité et d’un peuple en détresse qui attend le soutien de l’Occident. Iran : Signes d’un changement du côté américain ? Ce lundi, l’Europe a adopté de nouvelles sanctions contre les mollahs pour les inciter à négocier sur son programme avec les Six. Le même jour, Téhéran a fait savoir qu’il était ouvert au dialogue, mais uniquement avec le Groupe de Vienne sur un échange de combustible, une solution qui ne résout pas la crise. Il s’agissait bien évidemment d’une provocation. Le lendemain, Téhéran a redoublé de provocation en évoquant le dialogue avec les Six, mais à des conditions irréalisables. Téhéran veut le clash, la question est de savoir s’il va l’avoir ou pas ? Iran-Irak : Washington lâche Mariam et Massoud Radjavi Washington qui a besoin d’une entente avec les mollahs pour accéder à l’Asie Centrale ou pour dominer les chiites utilise depuis 2 ans les Moudjahiddines qui vivent en Irak dans le camp Achraf comme une éventuelle monnaie d’échange. Au moment où Téhéran continue à refuser le dialogue, première étape vers cette entente vitale pour les intérêts américains, les Etats-Unis ont définitivement renoué avec cette approche en plaçant ce 2 juillet le camp sous l’autorité du gouvernement (chiite) irakien qui a aussitôt lancé des mandats d’arrêt internationaux à l’encontre de Massoud Rajavi et de 37 hauts responsables de l’Organisation des Moudjahiddines du Peuple iranien. Iran : Jahanchahi arrive… au secours ! Il y a trois jours, Bernard Henri Lévy avait réuni à Paris un certain nombre de personnages qui se disent opposants iraniens. Parmi eux, il y avait un certain Jahanchahi qui revendique désormais la direction de toute l’opposition. Il a accordé un entretien à Renaud Girard du Figaro. Ce texte a amusé un certain nombre de lecteurs iraniens car ce personnage est en fait un parfait inconnu. Moins amusant, dans cet entretien, Jahanchahi a abordé un thème qui fait débat depuis quelques semaines : la formation d’un gouvernement en exil qui est la porte ouverte à la signature par des parfaits inconnus des contrats engageant l’Iran pour des décennies. Voici donc l’interview accompagnée de nos annotations. Iran : vers une acceptation d’un Iran nucléaire militaire ? À chaque fois que s’approche l’échéance d’adoption de nouvelles sanctions contre les mollahs, on entend ou on lit des analyses qui plaident en faveur de l’acceptation d’un Iran nucléaire militaire. Hier, on en a de nouveau entendu parler aux Etats-Unis, mais aussi en France sur France 24, la chaîne du Quai d’Orsay dans un dialogue entre Bernard Hourcade, un lobbyiste des mollahs en France et le journaliste Sylvain Attal. On commence à préparer l’opinion à l’acceptation d’un Iran nucléaire militaire. Iran : à la croisée des vraies sanctions Depuis le début de la conférence de Washington sur le nucléaire, on a entendu des dizaines de rumeurs sur la position chinoise vis-à-vis de Téhéran, ce qui était bon signe pour les mollahs. Ces derniers ont cependant annoncé qu’ils étaient ouverts à un échange d’une grande partie de leur stock d’uranium enrichi à 3,5% contre 100 kg de combustible à base d’uranium enrichi à 20%. Téhéran a agi ainsi car il a détecté des signaux très négatifs sur des sanctions unilatérales américaines à venir. Iran : Washington ne marche pas avec Londres Pour affaiblir la Chine, Washington doit se rendre maître des pays ou des régions qui lui fournissent actuellement du pétrole et du gaz : l’Iran, l’Asie Centrale et la région chinoise de Xinjiang habitée par les musulmans Ouïgours. Le succès de ce projet dépend d’une coopération ferme des mollahs pour refuser le pétrole iranien aux Chinois, désenclaver l’Asie Centrale et encadrer un soulèvement ouïgour. Les mollahs n’acceptent pas de coopérer car leur entente passerait par le démantèlement de leur soutien au Hamas et au Hezbollah, milices qui sont leur assurance vie. Washington se voit donc obligé de sanctionner les mollahs, mais il doit se garder de toute escalade car cela rendrait les mollahs encore plus infréquentables donc impropres pour une entente. Il affirme donc avoir du mal à mobiliser la communauté internationale. La Grande-Bretagne, dont les intérêts pétroliers souffriront de l’entente, a annoncé lundi l’arrêt de livraison d’essence de l’une de ses compagnies vers l’Iran pour contredire Washington et l’engager de force dans cette escalade qu’il veut et doit éviter. Washington a esquivé toute réaction officielle avant de riposter par un article sur l’impossibilité pour Obama d’adopter de nouvelles sanctions en citant le maintien de la coopération entre Shell et l’Iran. Mercredi, Londres a annoncé le retrait de Shell ! Cette fois Washington a encore esquivé sur le plan politique, mais il a riposté non pas par un seul article, mais par un gigantesque plan médiatique visant à contrer tous les sous-entendus du coup médiatique de Londres. Iran : Ce que cache l’embargo de Vitol Le lundi 7 mars, la compagnie Vitol, de capitaux britanniques, qui est le plus important fournisseur de carburant à l’Iran, a annoncé, via le Financial Times, sa décision de marquer « une pause dans ses livraisons » aux mollahs « en raison de sanctions américaines » (selon FT). Or, il n’existe aucune sanction en ce sens et Obama a expressément écarté le recours à un embargo sur l’essence. Dans ce contexte, l’annonce va donc à l’encontre des souhaits d’Obama. | Décodages 10.03.2010 Iran : La grande mobilisation Bien que le Mouvement Vert ait explicitement annoncé à plusieurs reprises son attachement à la révolution islamique et au modèle en place, depuis 15 jours, tous les opposants iraniens pro-américains que nous avons dénoncés sur ce site en avril 2007 font campagne depuis les Etats-Unis et l’Europe pour encourager les Iraniens du pays ou en exil à manifester sous la bannière verte le 11 février, date de commémoration de la révolution islamique.
06.02.2010 IRAN : THE GREAT MOBILIZATION Despite the Green Movement announced explicitly on several occasions its attachment to the Islamic Revolution and to the established model, since 15 days, every pro-American Iranian opponent we denounced on this website in April 2007 are campaigning from the United States and Europe to encourage Iranians who are in the country or in exile to demonstrate under the Green banner on the 11 February, date of the commemoration of the Islamic Republic. | Decoding 06.02.2010 Iran : La semaine en images n°97 La principale actualité de cette semaine a sans aucun doute été les funérailles très attendues de Montazeri, le lundi 20, qui devaient se transformer en manifestation géante en faveur du Mouvement Vert dont le propos est le retour aux principes de base de la révolution islamique (le refus de tout compromis avec l’Occident). Cette manifestation devait servir de point de départ pour les autres manifestations programmées par le Mouvement Vert pour cette semaine. Or, encore une fois, les Iraniens ne se sont pas déplacés car ce qu’ils souhaitent c’est la fin du régime et non un changement de personnel et par leur boycott, ils ont perturbé les programmes établis forçant le régime à prendre des risques non calculés. Reza Pahlavi : Appels pour la démocratie en Iran Cette année marque le trentième anniversaire de la révolution Islamique en Iran. Il y a tente ans, Khomeini est revenu en Iran d’exil pour créer une théocratie totalitaire d’une sorte que nous n’avions plus vu depuis des siècles, peut-être même depuis les temps médiévaux en Europe. Il y a trente ans des militants iraniens ont pris otage le personnel de l’ambassade américaine à Téhéran. Il y a trente ans que j’ai vu pour la dernière fois l’Iran. A ce jour je n’ai pas pu y retourner. par Reza Pahlavi Iran : La lettre qui a mis le feu au régime Selon Courrier International, l’hebdomadaire qui participe -et nous en avons la preuve- à la désinformation des mollahs en Europe, Hassan Khomeiny, petit-fils du fondateur de la République islamique, serait la cible d’attaques répétées de la part de la presse conservatrice. Courrier International parle aussi de pressions sur les petits-fils de Montazéri, le n°2 de la révolution islamique. Via ses lobbies médiatiques, Téhéran cherche à améliorer l’image des pères fondateurs de la révolution islamique. A l’origine de cette opération se trouve une simple lettre. سخن شاهزاده رضا پهلوی با روحانیون وابسته به حکومت دبیرخانۀ رضا پهلوی
Iran : La foule revient enfin avec un slogan anti-régime L’opposition hostile aux mollahs avait appelé à des rassemblements populaires dans 30 villes iraniennes à l’occasion d’une commémoration religieuse pour Neda. Cet appel a été entendu ! Iran : Selon les Pasdaran l’été sera chaud ! Le mercredi 24 juin, les Iraniens hostiles au régime, réunis en face du bâtiment du premier Parlement iranien ont été durement réprimés : plusieurs morts ou blessés visés à la gorge et beaucoup d’arrestations. Le régime affirme que l’insurrection est finie : ce n’est pas l’avis de Mohsen Sazgara, le fondateur des Pasdaran qui vit aujourd’hui à Washington. Iran : Les mollahs plient bagages ! Il y a 13 jours le régime des mollahs a annoncé la victoire d’Ahmadinejad suivie d’une « saine contestation des résultats » pour inciter un soutien international en faveur de Moussavi afin de procurer à ce dernier une reconnaissance qui lui permettrait de refuser la main tendue par Obama. Ce plan ambitieux a échoué car le peuple a profité de la brèche pour descendre massivement dans la rue pour scander des slogans hostiles au régime. Désormais, le régime cherche un moyen pour se tirer d’affaire à moindres frais. IRAN : PEOPLE EXPECTS INTERNATIONAL SUPPORT © IRAN-RESIST.ORG – June 16 2009 | There was around one million and a half people in the streets of Tehran, which goes beyond the mobilization abilities of the regime for its mandatory demonstrations of the Revolution’s aniversary or the anti-Israeli day. Iranians would be following the request expressed the day before yesterday by Reza Pahlavi saying they should take advantage of the situation to show they reject the regime. Iran : Le peuple attend le soutien international Il y avait près d’un million et demi de personnes dans les rues de Téhéran, ce qui va au-delà des capacités de mobilisation du régime pour ses manifestations obligatoires de l’anniversaire de la révolution ou de la journée anti-israélienne. Les Iraniens seraient peut-être en train de suivre la demande formulée dès avant-hier par Reza Pahlavi de profiter de la situation pour manifester massivement leur rejet du régime. Iran : Ahmadinejad and Mousavi are two faces of the same regime SATURDAY 13 JUNE 2009 - As both Mahmoud Ahmadinejad and Mirhossein Mousavi claimed victory in Friday’s presidential election, Iranian journalist Kaveh Mohseni, based in France, told FRANCE 24 that the two candidates had been carefully selected by the regime. JDD | Reza Pahlavi : « Ne bombardez pas mon pays » Reza Pahlavi, fils du dernier shah d’Iran, adjure Israël et l’Occident de ne pas faire la guerre. Et espère une révolte populaire contre les mollahs. Face au régime, il brandit les valeurs démocratiques occidentales, au nom d’une si vieille idée de la Perse. Au moment où commence la campagne présidentielle iranienne, le roi sans terre parle au JDD. Iran : Les Américains agitent encore le Baloutchistan Les Etats-Unis vont adopter vis-à-vis de l’Iran une « diplomatie vigoureuse » qui incluera une « diplomatie directe », a indiqué lundi la nouvelle ambassadrice américaine à l’ONU, Susan Rice. | Décodages | Iran : On évoque à nouveau un changement de régime (décodages) Dans un entretien accordé à la radio Echo de Moscou, John Bolton, ancien sous-secrétaire d’Etat américain, ancien représentant des Etats-Unis à l’ONU, grand partisan d’un bombardement de l’Iran, a pour la première fois déclaré que les Etats-Unis pourraient lancer des démarches axées sur le changement du régime en Iran. Ce dont parle Bolton n’est pas réellement une menace pour Téhéran ! IRAN-USA : CONSEQUENCES OF THE FAILURE OF AN AGREEMENT PLAN The Bush administration didn’t manage to reach out an agreement of the mullahs before the 4 November and also couldn’t make Assad break with the Hezbollah even with the promise to be returned the Golan. The Republicans needed such victories to reassure their donators but also to help their candidate McCain. However even if he preserves his chances due to his conservatism, a quality that is estimated in crisis time, the diplomatic failures of the Bush administration have also an ambiguous influence on the Iranian politic of the United States and as well on the regime itself. Iran - Etats-Unis : Conséquences de l’échec d’un plan d’entente L’administration Bush n’est pas parvenue à arracher une entente aux mollahs avant le 4 novembre, pas plus que de faire rompre Assad avec le Hezbollah même en lui promettant la restitution du Golan. Les républicains avaient besoin de ces victoires pour rassurer leurs donateurs mais aussi pour aider leur candidat McCain. Si ce dernier préserve néanmoins ses chances en raison de son conservatisme, qualité appréciée des peuples en temps de crise, les échecs diplomatiques de l’administration Bush ont aussi une influence ambiguë sur la politique iranienne des Etats-Unis et aussi sur le régime lui-même. IRAN-NUCLEAR : BEHIND THE CLOSED DOORS ! In its last report, the AEIA told about its doubts regarding the nature of the Iranian nuclear program and it called Teheran for more cooperation. In such case, this means an access authorization to the nuclear sites that remain closed to the AEIA inspectors since many years. Iran : Rétrécissement dramatique du champ des options Comme il était prévisible, après les deux semaines qui lui ont été accordées, le régime des mollahs a refusé d’aller dans le sens attendu par les Six. Téhéran précise qu’il a déjà remis sa réponse accompagnée d’une contre-proposition iranienne à laquelle les Six se sont engagés à répondre. Scénario pour un retour des américains en Iran Le soleil brille dans le ciel des amours de Téhéran et Washington. Il y a une semaine, Ahmadinejad invitait Bush à des négociations sans intermédiaire et aussitôt on apprenait la présence d’un émissaire américain à cette rencontre où l’on parlera d’un compromis. Bush ouvrirait même une représentation diplomatique chez les mollahs [2]. On pourrait croire qu’une seule tâche assombrit ce beau tableau de retrouvailles : une critique américaine concernant l’arrestation de 18 étudiants dissidents (dont Mohammad Hashemi et mlle Bahareh Hedayat, deux dirigeants du BCU). Iran : Le grand Satan s’invite au pays des mollahs ! Il y a deux ans, le département d’État a ouvert une section « Iran », dans son consulat de Dubaï avec pour mission de décrypter la complexité de la structure de la République islamique et d’impulser un vent de changement en Iran, autrement dit d’aider ce que nous appelons les faux opposants, vitrine de réformabilité du régime et passerelles pour une entente avec les Etats-Unis. Les américains s’apprêtent à franchir le pas pour ouvrir un bureau de ce type en Iran même. Le Figaro | Reza Pahlavi : L’Iran doit devenir un État laïque et démocratique Pour Reza Pahlavi, fils aîné de Mohammed Reza Pahlavi, dernier chah d’Iran, « l’Iran des mille et un désirs inaugurera une ère nouvelle pour son peuple ». Irak : La guerre bat son plein entre Washington et Téhéran Les miliciens de l’Armée du Mahdi ne désarment pas. C’est Téhéran qui montre les dents pour obtenir une déclaration de reconnaissance de son rôle régional en Irak et des négociations officielles pour une entente officielle avec Washington. Iran-Resist | Las tres soluciones de USA para Iran Según algunos rumores, George Bush, Condoleezza Rice y sus suplentes y los halcones aún presentes de la administración, en particular, los de la oficina del Vicepresidente Dick Cheney, se serían contratado en intensos debates sobre la manera allí de tomarse con Irán. [3] Iran : Bush encourage les dirigeants iraniens à « négocier » Le dernier discours de l’Etat de l’Union de Bush a enthousiasmé les commentateurs iraniens de la chaîne persanophone de Voice of America ! Normal, ils sont les employés du Département d’Etat. Pour notre part, l’enthousiasme s’est envolé depuis plusieurs années car les mots de bienveillance adressés au peuple iranien sont présents dans les différents discours de Bush, mais dans la réalité, ce soutien se limite à ces mots. Iran : A propos de la décision britannique d’accorder un sursis à l’OMPI La politique d’ambivalence est de rigueur quand il s’agit de l’Iran et du régime des mollahs. Ce régime est utile à ceux qui veulent contrôler ce pays charnière placé au croisement des routes pétrolières du Moyen-Orient, du Caucase et de l’Asie centrale. Russes, américains, chinois et européens ne désespèrent pas de capter les mollahs par des cadeaux ou la promesse de représailles. L’organisation des Moudjahidine du peuple iranien (OMPI) perçue à tort comme une menace pour les mollahs devient à présent un moyen de représailles contre les enturbannés de Téhéran. Elle avait été placée sur la liste européenne des organisations terroristes pour plaire aux mollahs, elle pourrait être retirée de cette liste pour le motif contraire. L’Iran peut-il supporter de nouvelles sanctions économiques ? Un article écrit par Dr. Manoutcher Razmara, ancien ministre de la Santé dans le dernier gouvernement laïque iranien avant la révolution islamiste en Iran. Analyse : Bush sait que l’Iran n’est pas la Corée du Nord La Corée du Nord a accepté de démanteler d’ici au 31 décembre son réacteur de Yongbyon et d’autres installations nucléaires en vertu d’un accord passé lors de pourparlers à Six le week-end dernier à Pékin. Le président américain, George Bush, a estimé mercredi que l’accord trouvé avec la Corée du Nord sur le démantèlement de son programme nucléaire pouvait servir de modèle pour résoudre la crise sur les ambitions nucléaires de l’Iran. Devrait-on douter de sa santé mentale ? Oui et non - Décodages Reza Pahlavi : une troisième voie, pour éviter la catastrophe Le prince Reza Pahlavi, 46 ans, qui vit en exil aux États-Unis, est le fils aîné du Chah d’Iran, l’artisan de la modernité en Iran. Il veut fédérer l’opposition démocratique et laïque contre le régime des mollahs. Il a adressé un message au Président Sarkozy pour soutenir le peuple iranien. Il propose une troisième voie comme nous l’avons fait dans une lettre ouverte au Président Sarkozy à la veille de la nomination de son ministre des affaires Etrangères. Cette voie est celle de l’amitié franco-iranienne, de deux Etats-Nations tournés vers la laïcité et la modernité. D’autres voix comme celle de Chahdortt Djavann appellent à cette troisième voie. Ecoutez-nous Monsieur le Président, si nous critiquons l’actuelle diplomatie Française, c’est parce que nous voulons recréer les liens tissés par le Général de Gaulle, et qu’un Iran libre aura besoin d’un allié Européen de grande envergure. Chahdortt Djavann : L’Iran, régime aux pieds d’argile (+ nos commentaires) Chahdortt Djavann, l’auteur remarquée de « Bas les voiles » a écrit une tribune dans les pages Débats du Figaro invitant les européens à envisager une nouvelle politique vis-à-vis des mollahs mais aussi vis-à-vis du peuple iranien. C’est la première fois qu’une personnalité extérieure à IRAN-RESIST dénonce les « faux opposants » et leur discours vide de sens. Nous sommes heureux qu’une auteur connue pour son franc-parler nous aide dans notre combat et popularise ces thématiques récurrentes d’IRAN-RESIST. Nous avons également pris soin d’insérer des liens pour vous permettre d’approfondir certains points évoqués dans cet excellent article de Chahdortt Djavann. Iran : L’Amérique et ses 3 solutions Selon certaines rumeurs, George Bush, Condoleezza Rice et ses adjoints et les faucons encore présents de l’administration, notamment ceux du bureau du vice-président Dick Cheney, seraient engagés dans d’intenses débats sur la manière de s’y prendre avec l’Iran. Iran : Bush ne soutient pas le peuple iranien A l’occasion d’une conférence sur la démocratie et la Sécurité qui se tenait à Prague, le Prince Reza Pahlavi s’est adressé aux participants parmi lesquels on pouvait retrouver Natan Sharansky, le sénateur démocrate Joseph Lieberman, José Maria Aznar et Vaclav Havel pour solliciter leur soutien pour le peuple iranien engagé à déposer les mollahs. Iran : Reza Pahlavi s’exprime à propos de la crise iranienne Reza Pahlavi : « Adopter la voie de la raison pour sortir enfin de la crise iranienne ». Le Figaro | Débats & Opinions | Publié le 30 mai 2007 Lettre au futur ministre des AE de Nicolas Sarkozy A son arrivée à Moscou, Condoleezza Rice a rejeté un retour à la guerre froide. « Je sais que certains parlent d’une nouvelle guerre froide. Etant quelqu’un qui a connu cette période en tant que spécialiste, j’estime que les parallèles ne reposent sur rien de concret », a déclaré Rice aux journalistes. Iran-Europe-USA : C’est mieux que les montagnes russes ! Le chef de la politique étrangère de l’Union Européenne Javier Solana a appelé les Etats-Unis à engager l’Iran dans des discussions directes sur son programme nucléaire et sur d’autres questions pour essayer de stabiliser le Moyen-Orient. Que comprendre de cette invitation inattendue et pas tout à fait conforme aux dernières attentes du Quai d’Orsay qui ne stipule aucune négociation bilatérale mais des négociations multilatérales. 0 | 50 [Retour à l'index des mots-clés] |