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Iran : Les Normaliens à l’écoute du Muezzin des mollahs !

L’École Normale Supérieure annonce une soirée de débats sur l’Iran ! Il y aurait plusieurs intervenants, mais pas de liste encore définie. À l’heure où nous rédigeons cet article, seulement deux noms sont diffusés : Azadeh Kian, une lobbyiste du régime [1] [2], habituée des émissions des chaînes publiques françaises, et Ali Vaez, qui vient de Washington. Il mérite une petite présentation qui rapidement vous donnera d’avance le tempo de cette nuit de débats sans jamais de hauts !


09.03.2024

Iran-révolution se renforce malgré le sabotage euroaméricain !

Depuis 39 jours, l’Iran vit au rythme d’une révolution nationale. Les jeunes de moins de 13 à 18 ans nourris par l’amour de leur pays et des récits sur sa grandeur avant la révolution islamique grâce à 50 ans de progressisme patriotique de la dynastie Pahlavi se sont soulevés contre le régime des mollahs pour restaurer la grandeur passée d’Iran. On est en mesure de supposer qu’une cinquième colonne d’officiers trentenaires des renseignements internes de la milice participe à cette guerre contre le régime. La France, de nombreux pays européens ainsi que les États-Unis tardent à aider activement cette révolution nationale, car ils ont des liens avec les mollahs. Ils s’opposent à la révolution en niant son existence avec l’aide d’un petit nombre d’Iraniens expats très liés au régime.


25.10.2022


Iran Resist Fact-checking 14 | 210603
Les mollahs se font des films, mais n’auront pas de happy end

Les négociations nucléaires avec les mollahs sont dans une impasse. Il y a des élections présidentielles dont l’issue semble évidente. Un Français est retenu en otage par les mollahs. Il y a beaucoup d’actus, mais rien de vraiment inédit en ce qui concerne les mollahs. Iran-resist n’a pas publié d’articles à ces sujets, car il a déjà expliqué les raisons de l’échec des négociations nucléaires, l’issue probable des élections à venir et les relations difficiles entre les mollahs et la France [3]. Le choix des articles publiés par l’AFP [4] est d’ailleurs lié à cette relation compliquée. Voici des notes sur cette actualité récurrente et sa présentation biaisée, ce que la France a censuré et des liens vers de précédents articles qui pourraient vous éclairer sur la situation et leur devenir.


03.06.2021

BIDEN-IRAN | ACTE 4
La danse malsaine des menaces

Biden veut sans cesse négocier avec les mollahs malgré leurs provocations et manoeuvres dilatoires. On a vu cette double polka agaçante également sous l’administration démocrate d’Obama. Cela est dû au fait que les démocrates ont depuis longtemps une politique de soutien aux islamistes au Moyen-Orient, pour ravir à la Grande-Bretagne sa maitrise dans ce domaine qui lui offre une suprématie mondiale dans le domaine pétrolier, et aussi pour déstabiliser la Chine et la Russie grâce à leurs minorités musulmanes (Tchétchènes ou Ouïghours).

Les démocrates ont inauguré cette diplomatie de chaos contrôlé en Iran par l’idéologie islamo-gauchiste (c.-à-d. une lecture marxiste du Coran) pour allier les gauchistes iraniens et d’ailleurs [5] aux jeunes islamistes et contourner les mollahs alliés historiques des Anglais, mais leurs pions n’ont pu prendre le pouvoir par une révolution islamiste. Les démocrates ont dû s’associer avec les Anglais pour profiter de leurs pions, les mollahs. Ils ont alors redéfini leur projet comme un front contre l’URSS et la Chine. Les Anglais ont participé, mais ont viré les pions des démocrates. Ces derniers font tout pour affaiblir les mollahs sans les renverser pour les obliger à ouvrir le régime à leurs pions.

Les mollahs ont longtemps résisté avec l’aide des Anglais, du terrorisme et des négociations par intermittence. Mais in fine, ils ont accepté de dialoguer avec Obama. Ils ont alors perdu le soutien des Anglais, mais aussi des Européens, des Chinois et des Russes qui profitaient de leur guerre contre les États-Unis. Ces derniers ont imposé l’accord nucléaire de 2015 aux mollahs pour bloquer le deal espéré par Obama, mais les mollahs ont continué à provoquer ce dernier pour parvenir à un deal avec lui.

Trump [6] a mis fin à l’islamisme pernicieux des démocrates et a mené une diplomatie d’affaiblissement des mollahs et leur terrorisme, mais Biden est revenu en arrière ravivant les mêmes résistances anglo-euro-russo-chinoises. Les mollahs sous ces multiples pressions, mais aussi bien affaiblis par Trump et par une forte opposition des Iraniens ont aussi repris leur résistance, mais avec des chantages terroristes et nucléaires plus anxiogènes pour forcer leurs adversaires à capituler.


24.02.2021

Iran-Resist Fact-checking 003 | 210115
Liens des mollahs avec Al-Qaeda

Le ministre des Affaires étrangères de Trump [7], Mike Pompeo vient d’annoncer (ci-dessous) des accusations fortes contre les mollahs, dont leur participation à l’attentat, contre les tours jumelles et leur coopération avec l’Al-Qaeda [8]. Il s’agit évidemment d’empêcher Biden d’enlever les sanctions contre le régime islamique qui a vu le jour avec l’aide des démocrates. Il en va aussi de l’équilibre de la région renforcé par l’accord de paix israélo-arabe. Il y a d’autres objectifs notamment la survie du régime des mollahs [9]. Mais certains en Europe en remis en cause le lien entre les mollahs et Al-Qaeda. Cela résulte d’une terrible méconnaissance des groupes islamistes et des confusions terribles. Le lien existe bel et bien et date même d’avant la révolution islamique.


15.01.2021

Iran : Krach Kraken depuis la validation provisoire de Biden

Depuis lundi, le régime des mollahs est en crise : la bourse chute chaque jour alors que les mollahs ne cessent de se féliciter de la victoire annoncée de Biden qui pendant longtemps était leur contact avec la Maison-Blanche. Ces crashs consécutifs, ruineux pour le régime, résultent des effets internationaux de Biden à la Maison-Blanche.


18.12.2020

Biden, fossoyeur involontaire des démocrates et des mollahs

Les mollahs ne cessent de dire qu’ils seront sauvés par Biden [10]. C’est un point de vue très simpliste dans un monde qui est face à des bouleversements et des mutations majeures. Un décryptage des relations irano-américaines s’impose.

Au travers de ce prisme qui implique parfois l’Irak et de ce fait, la France également, nous vous proposons un état des lieux de l’Amérique et du monde, que l’on peut comparer à un océan déchaîné. Puis nous exposerons le cas des mollahs que l’on dirait assis dans une coquille de noix ou dans le Titanic, ce qui est du pareil au même dans une telle tempête, car ils n’auront quoiqu’il arrive aucun canot de sauvetage.


30.11.2020

Trump-Biden : Le FBI enquête enfin !

Selon Fox News, qui a révélé l’info, cette enquête du FBI ne signifie pas la confirmation de la fraude aux élections américaines, mais son ouverture signifie que contrairement aux déclarations des démocrates, l’équipe juridique de Trump dispose d’éléments convaincants susceptibles de démontrer la fraude des démocrates et annuler les votes attribués à leur candidat, Joe Biden.


17.11.2020

Iran : Quand le New York Times aide Trump !

Vendredi dernier, le très pro-démocrates NY Times, ami de Biden qui se veut partisan d’une entente avec les mollahs, a accusé ces derniers de liens avec Al Qaeda (branche armée des Frères Musulmans) en révélant l’assassinat du n°2 du groupe à Téhéran par des agents israéliens sur ordre de Trump ! Incroyable éloge de Trump ? Eh bien non...


16.11.2020

Iran : Nouveaux Avis de tempêtes chez les mollahs !

Les mollahs sont gravement mis en danger en raison d’une multitude de grèves dans les secteurs clefs à l’appel du prince Reza Pahlavi et aussi en raison de l’adhésion de leurs miliciens de base et leurs officiers à ce dernier et son projet de changement de régime sans violence. On s’attend à la reprise des manifestations anti-régime vers le lundi 16.11.20, anniversaire du soulèvement de l’automne dernier. Dimanche, à J-8 de cette date, le régime a subi de nombreux revers et hier soir, il a été confronté à un premier soulèvement dans le sud du pays.


11.11.2020

Iran : Biden apocalypse !

Les mollahs sont actuellement paralysés et déstabilisés par des grèves de leurs opposants dans les secteurs clefs de leur économie et le soutien de leurs miliciens à ces grèves. Les opposants s’attendaient à l’élection de Trump [11] qui s’est engagé en faveur de la libération de l’Iran. À l’annonce d’une possible victoire de Biden [12], qui affiche son soutien aux mollahs, ils ont promis de durcir leur mouvement et opter pour un soulèvement violent à partir du 15 novembre, l’anniversaire de leur soulèvement de l’an passé. Les mollahs ont lancé plusieurs initiatives pour empêcher cette mobilisation, mais le durcissement annoncé est déjà enclenché !


08.11.2020

Iran : Biden, fatal aux mollahs, malgré lui !

Hier, mardi 3 novembre 2020, les mollahs devaient fêter l’anniversaire de leur prise en otages des diplomates de Carter, président démocrate qui les avait pourtant aidés à s’emparer du pouvoir. Par un heureux hasard, hier, il y avait aussi les élections américaines avec d’une part leur ennemi, Trump et d’autre part, Biden [13], un ancien camarade de Carter. Les mollahs qui sont gravement en danger devaient afficher leur anti-américanisme, mais sans la traditionnelle immolation du drapeau américain pour se dire solide, mais ouvert aux négociations. Les opposants devaient en revanche humilier le régime en boycottant sa manifestation puis en affichant leur soutien à Trump. Ils ont réussi leur premier objectif, mais ont été privés du second, sans pour autant se dire vaincus.


05.11.2020

Iran : Trump & en avant !

Les Français détestent Trump sous l’influence de leurs dirigeants et les journalistes au service des derniers, mais aussi, car ils ne connaissent rien en géopolitique notamment le Moyen-Orient désordonné façonné par la diplomatie des Démocrates américains par leur soutien aux islamo-gauchistes révolutionnaires et terroristes depuis 50 ans ! Les Français espèrent la victoire de Biden et y croient en lisant les sondages commandés par des médias mainstream américains qui ont moins de 30 % de crédibilité populaire et en méprisant les sondages indépendants qui prévoit une réélection avec un haut score. Mardi soir, les Français vont pleurer la victoire de Trump qui est pourtant leur allié dans la lutte contre le terrorisme islamique.

En revanche, les Iraniens, victimes de la diplomatie pro-mollahs des démocrates et leurs alliés néo-cons depuis 42 ans, espèrent la réélection de Trump qui en plus de sa lutte contre l’islamisme, il n’a cessé de soutenir leur lutte pour libérer l’Iran. Ils vont lui montrer leur gratitude en boycottant ce mardi d’abord la journée anti-américaine du régime et puis manifester massivement dans tout le pays pour saluer sa victoire et déstabiliser le régime.


03.11.2020

Iran : Avec ou sans embargo, de mal en pis

Les mollahs, ébranlés par des grèves ouvrières, la rupture de la majorité de leurs miliciens, les sanctions américaines ne parviennent pas à empêcher la fuite de leurs proches et l’effondrement de leur régime. Pour inverser ce mouvement, ils viennent d’annoncer des soutiens internationaux en raison de l’expiration de l’embargo onusien sur les ventes et achats d’armes malgré les efforts de Trump. Mais il n’y a eu aucun changement à leur isolement depuis cette expiration, leur situation s’est même empirée !


21.10.2020

Iran : La gâchette de Trump a déjà déstabilisé les mollahs

Les mollahs vont mal, car ils ont été lâchés par les miliciens de base, sans doute 100 % de leurs militaires, peut-être 90 % de leurs policiers et autant d’officiers des renseignements. Tous les opposants en profitent pour manifester dont les ouvriers qui n’ont jamais eu le moindre respect dans ce régime et regrettent leur condition 4 étoiles sous le Shah (ex. accès à la propriété en 5 ans d’économie contre 68 ans d’économie actuellement). Les mollahs résistent à cette pression gigantesque par des annonces intimidantes et des exécutions.

Trump a eu la bonne idée de soutenir les Iraniens et sanctionner les mollahs. Mais les Européens préfèrent les mollahs, car ils leur achètent divers minerais, de produits agricoles de luxe et du pétrole à 10 % de leur prix.

Hier, Trump a annoncé le rétablissement des sanctions onusiennes par son administration et a demandé la même chose aux Européens en respect d’un accord conclu avec l’administration Obama. Les Européens ont encore refusé, mais sans oser défier les États-Unis. Les mollahs ont été confrontés à une nouvelle panique au sein de leur régime. Le point sur la situation.


21.09.2020

Iran : Œufs pourris et explosions !

Les mollahs vont mal, car ils sont face à forte contestation populaire, d’une grève massive dans plusieurs secteurs clefs, et craignent un nouveau soulèvement. De plus, ils ont perdu le soutien des miliciens de base et ceux de leurs renseignements et de fait ne peuvent pas combattre cette contestation ou terroriser leurs ennemis.

La récente adhésion des Kurdes à la lutte grâce à Reza Pahlavi a augmenté la pression sur les mollahs et a engendré la panique parmi leurs associés. L’accord de paix de Trump a signalé la fin des conflits qui permettaient leurs ingérences déstabilisatrices.

Les mollahs ont envoyé des armes aux Houthis pour menacer le transit pétrolier vers l’Occident et ont exécuté Navid Afkari, un champion de lutte (donc malgré lui en tant que sportif au service des mollahs), parce qu’il les avait combattus en 2018 (à 25 ans) en manifestant contre eux (arrêté et condamné à mort, il avait obtenu le soutien de tous les opposants notamment le prince Reza Pahlavi).

Les exécutions du régime sont en fait, par le choix du condamné, chargées de messages d’intimidation. De fait, celle-ci devait en premier lieu empêcher d’autres proches à suivre son exemple, mais aussi de faire pression sur les opposants et enfin, rappeler que le régime pourrait sans scrupule tuer tous les prisonniers faits au cours des derniers soulèvements.

Washington et l’ONU ont condamné l’exécution de Navid. L’Europe a dû suivre. Les Iraniens ont annoncé le début d’un grand mouvement anti-régime le mardi 15 septembre. Trump a annoncé la signature de son plan de paix israélo-arabe pour le même jour. Le mardi 15 est devenu synonyme d’un cauchemar pour les mollahs ! Depuis c’est le chaos !


19.09.2020

Iran : Résistance soutenue par Trump, l’ONU et Amensty

Il y a quelques jours, l’opposition aux mollahs est entrée dans une phase offensive grâce à l’adhésion des Kurdes, d’ordinaires indépendantistes, mais sans aucune revendication de ce genre. Cette adhésion a coupé l’accès des mollahs au Kurdistan irakien par lequel ils contournent les sanctions américaines. Dans la foulée, les employés des mairies des ports pétroliers ont aussi cessé de travailler pour imposer un blocus dans cette zone. Les employés du fret ont aussi cessé le travail empêchant les mollahs d’exporter ou d’importer quoi que ce soit pour l’approvisionnement des marchés iraniens. Les pilotes de leurs armées de l’air ont aussi rejoint la lutte en s’opposant à l’exécution de l’opposant, le champion de lutte Afkari. Voici les événements survenus depuis.


12.09.2020

Iran : Sous le régime des pertes irréversibles !

Le régime des mollahs est très affaibli en raison des sanctions américaines et aussi la trahison de ses officiers des renseignements qui lui refusent leur aide pour réprimer une contestation de plus en plus forte et encouragent la lutte contre le régime en diffusant des éléments d’archives sur les grands projets de Pahlavi pour les Iraniens et l’état miteux de ces derniers par la faute des mollahs. Au cours des 3 derniers jours, sous cette double pression, l’opposition a marqué des points. Les mollahs ont aussi commis des erreurs qui devraient aggraver leur situation dans les jours à venir. Le point sur les événements du 2 à 4 septembre 2020.


05.09.2020

Iran : Trump UP, régime down !

Le régime des mollahs n’a pu organiser des journées de deuil et flagellations en mémoire des saints du chiisme et a évoqué le coronavirus pour justifier son échec ! Cet échec a souligné la rupture de ses miliciens et aussi l’impopularité de l’Islam. Le régime est dans le temps confronté à une forte contestation ouvrière qu’il ne peut arrêter, car il n’a plus le soutien de ses policiers et ses officiers de renseignements. Ses affairistes et ses administrateurs s’agitent et participent à sa déchéance. Voici les nouvelles des 5 derniers jours.


03.09.2020

Iran, Trump, Macron et le papillon japonais !

Il y a trois jours, les trois grands États européens, la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne avaient insisté encore sur leur opposition à la demande américaine du rétablissement de toutes les sanctions onusiennes contre les mollahs. Mais depuis hier, l’Allemagne a changé d’avis et la Grande-Bretagne a fait une révélation laissant supposer qu’elle allait aussi changer son approche. Mais ces changements ne sont pas arrivés par hasard. Il résulte des pressions américaines assez inattendues sur ces Européens et une évolution étonnante du rapport de force internationale.


29.08.2020

Semaines 607 ↔ 610
(28 sept.-25 oct. 2019)

Les mollahs ont perdu leurs partenaires historiques

© IRAN-RESIST. ORG

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansar-Allah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi aidé les Talibans et se sont mis à financer Daesh, abandonnés par Trump ! Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen et en Syrie. La Russie et la Syrie ont laissé l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto sous l’embargo financier souhaité Trump.

Les collaborateurs du régime ont paniqué. Ils ont commencé à vendre leurs bien pour partir avec leurs dollars. Les mollahs leur ont déclaré la guerre judiciaire via une soi-disant lutte anti-corruption. Puis ils ont tenté de relancer leur fausse opposition, pour les rassurer, mais les ont davantage inquiétés et ont encouragé leur rupture.

Début 2019, les mollahs ont eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte populaire en laissant le pays être ravagé par des inondations. La milice a complété le plan en empêchant les secours. La haine anti-régime s’est amplifiée.

Washington en a profité pour classer comme entité terroriste la milice qui gère tout au sein du régime. Le responsable du contre-espionnage de la milice est alors fui vers les États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer la chute du régime. La Russie s’est montrée favorable à un deal avec Trump pour renforcer Assad et sa propre position en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces liées aux mollahs.

Les mollahs ont alors capturé des pétroliers étrangers tout en affichant des ambitions balistiques, menaçant davantage l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux afin de terroriser ces derniers et les éloigner de Trump. Mais ils ont seulement réussi à les braquer et à rapprocher les Chinois des Arabes et de Trump ! Ce dernier en a profité pour sanctionner Zarif et la diplomatie terroriste des mollahs !

Le président français a profité de leur isolement grandissant et s’est proposé en médiateur en leur proposant 15 milliards de dollars contre leur participation aux nouvelles négociations souhaitées par Trump. Ils ont simulé une ouverture pour geler les sanctions et sortir de leur isolement. Mais Trump a refusé de céder.

Les mollahs se sont alors tournés vers Poutine, mais ce dernier a ostentatoirement montré son intérêt d’aider la Turquie pour se rapprocher de l’OTAN et d’aider Israël à les attaquer.

Les mollahs, désespérés par cet échec et aussi des grèves très pénalisantes de deux grands groupes industriels fondés par le Shah et dégradés par leur régime, ont concrétisé leur chantage en ciblant deux sites pétroliers saoudiens avec l’aide de leurs miliciens basés en Irak touchant gravement l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux et des Asiatiques.

Les Saoudiens, les Américains et les Anglais ont apporté des preuves que les mollahs étaient pleinement impliqués. Les Russes et les Chinois ont pris la partie des Saoudiens. Mais Macron, en quête d’un grand succès politique, s’est posé en médiateur pro-américain pour profiter d’un possible fléchissement des mollahs, mais a seulement réussi à les encourager à poursuivre leur chantage. Trump en a profité pour sanctionner leur banque centrale.

Fin septembre 2019, les mollahs, gravement pénalisés par cette sanction, ont menacé leurs collaborateurs agités grâce à leur soi-disant lutte contre la corruption, puis ils ont menacé tous les pays pétroliers et leurs clients avant le 74e AG de l’ONU en vue d’y obtenir leur aide pour rencontrer Trump et parvenir à un deal avec lui. Ces efforts et ceux des mollahs se sont soldées par une reconnaissance européenne de leur rôle dans l’attaque des installations d’Aramco.

Trump les a aussi désignés comme étant aux commandes du terrorisme dans le monde . La Russie et la Chine ne le lui ont pas reproché. Macron a alors changé de discours en déplorant comme tous les autres grands États européens le rôle négatif des mollahs dans la région.

Les mollahs sont revenus au chantage nucléaire en augmentant le volume de leur enrichissement nucléaire, mais ils n’ont pas réussi à paniquer et faire plier leurs adversaires. Les Européens ont dit qu’ils pourraient mettre fin à l’accord de Vienne, les exposant à de nouvelles sanctions onusiennes qui pourraient les renverser.

Les mollahs n’ont pas obtempéré, car la fin de leur d’ingérence terroriste régionale ne passerait pas l’arrestation de leurs proches serviteurs et la perte de leur force de répression et conduirait à leur chute. Ils n’ont pas pu profiter de leur chantage.

Les ouvriers en grève ont profité de l’impopularité du régime en Europe pour mettre en avant leur propre misère et le déstabiliser. Les Irakiens ont profité du déclin des mollahs pour manifester contre leur présence dans leur pays. Les mollahs n’ont pas osé défier vraiment les Européens ou Trump.

Voici le récit de ces deux semaines des séquelles de la défaite des mollahs à ONU.


10.11.2019

La semaine en images 469
L’aube noire des mollahs  !

© IRAN-RESIST.ORG

La semaine dernière (27 Jan. - 03 Fév. 2017 / 8-15 Bahman 1395) | Les mollahs et leur régime subissaient Trump depuis une semaine et s’en portaient bien mal par le spectre du démontage de la diplomatie islamiste américaine (de ses prédécesseurs sous la direction de Brzezinski).

Les Russes, partisans de Trump et de son projet d’un Moyen-Orient débarrassé de l’islamisme politique américain de Brzezinski, avaient montré leur soutien en écartant les mollahs de la direction de la conférence d’Astana pour la paix en Syrie.

Les mollahs avaient tenté de rebondir en mettant aux enchères le développement de la zone portuaire de Makran qui surplombe le détroit stratégique d’Ormuz, mais ils n’avaient rien obtenu. Trump avait fini sa première semaine de présidence en les attaquant par un décret bannissant les voyages de leurs sympathisants et collaborateurs financiers en Amérique pour les forcer à rompre et priver le régime de leur soutien tant financier que politique, dont la propagande pour Rohani, ex-coordinateur des projets terroristes du régime. Aucun État ou organisme partenaires du régime n’avaient condamné cette mesure.


15.03.2017



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