Accueil > Bush
| |
Iran : Quand le New York Times aide Trump ! Vendredi dernier, le très pro-démocrates NY Times, ami de Biden qui se veut partisan d’une entente avec les mollahs, a accusé ces derniers de liens avec Al Qaeda (branche armée des Frères Musulmans) en révélant l’assassinat du n°2 du groupe à Téhéran par des agents israéliens sur ordre de Trump ! Incroyable éloge de Trump ? Eh bien non... IRAN-ISRAEL : THE STRIKING AFFAIR IS A MARKER BETWEEN BUSH AND OBAMA The announcement that was broadcasted those past days about Bush’s denial to grant some Iran bombing authorization to Olmert is mostly like a deliberate operation of disinformation from Washington. Iran-Israël : L’affaire des frappes est un marqueur entre Bush et Obama L’annonce diffusée ces jours-ci sur un refus de Bush d’accorder une autorisation de bombardement de l’Iran à Olmert ressemble fort à une opération de désinformation délibérée de Washington. Une désinformation qui va dans le sens de l’ensemble de nos analyses. Iran – Etats-Unis : Dominos piégés à Gaza Vingt jours avant la fin de son mandat, Bush utilise la force de son allié israélien pour affaiblir de manière significative le pouvoir de nuisance du régime des mollahs au Moyen-Orient, afin de les tenir à sa merci et leur imposer un pacte d’alliance et de soumission aux Etats-Unis. Mais jamais il n’aurait pu agir de cette manière, si les mollahs n’avaient pas poussé le Hamas à rompre la trêve ! GAZA IS PART OF AN AMERICAN HAGGLING WITH IRAN © IRAN-RESIST.ORG – Jan 04 2009 | Nouri Al Maliki, the Iraqi Prime Minister, arrived to Teheran yesterday, day of the land offensive against Gaza, for a visit that was initially programmed on the 27 December, one day before the Israeli offensive in Gaza. Such visit is a new attempt from the Bush administration to enter into an agreement with Teheran before the arrival of Obama into the oval bureau. | Chronological decoding | Gaza fait partie d’un marchandage américain avec l’Iran Nouri al Maliki, le 1er ministre irakien, est arrivé hier à Téhéran, le jour de l’offensive terrestre contre Gaza, pour une visite initialement programmée pour le 27 décembre, la veille de l’offensive israélienne sur Gaza. Cette visite est une nouvelle tentative de l’administration Bush pour conclure une entente avec Téhéran avant l’arrivée d’Obama dans le bureau ovale. | Décodage chronologique | Iran : Bush annonce une entente avec Poutine Dans un discours prononcé à Washington, le président américain George Bush a déclaré qu’il avait trouvé un terrain d’entente sur l’Iran avec son ami Vladimir Poutine. Irak : Les mollahs revendiquent un lien avec la chaussure anti-Bush En jetant ses chaussures à la tête de George Bush, par ce geste râleur, mais non meurtrier, Montazer Al Zeydi est devenu une sorte d’entarteur , suscitant une admiration générale qui va au-delà de l’Irak. Vu le danger qu’il encourait (bien plus qu’un coup de poing de BHL), Montazer Al Zeydi, dont le prénom très approprié signifie « celui qui attend, le guetteur » a donc accédé instantanément au rang du héros. Désormais chacun veut récupérer ce héros au prénom très approprié. Les derniers en lice sont les mollahs. Iran-Israël : Le parapluie nucléaire bouleverse les données Selon le quotidien israélien Haaretz citant une source proche d’Obama, le futur président américain équiperait Israël d’un « parapluie nucléaire » pour protéger le pays contre une éventuelle attaque émanant de l’Iran. Iran : Le désenchantement d’Obama En octobre 2008, Obama avait annoncé sa décision de rompre avec l’actuelle diplomatie iranienne des Etats-Unis. Dans une interview accordée à la chaîne NBC, il a défini les grandes lignes de cette diplomatie qui peut sembler en contradiction avec sa promesse de rupture puisqu’on y retrouve la politique « des carottes et des bâtons ». | Décodages | Iran : Faire patienter les démocrates Il y a deux jours, Ali Larijani, le président du Parlement du régime des mollahs, avait annoncé la réception d’une lettre du Congrès américain à majorité démocrate appelant à la tenue des négociations directes entre les deux Parlements. Téhéran qui n’aime pas les réponses claires a répliqué à cette lettre par un autre appel ! Iran - dialogue : Décodage de l’indifférence affichée par Rice La secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice a éliminé mercredi la possibilité d’établir un bureau diplomatique (dans les locaux de l’ambassade de Suisse) à Téhéran en déclarant que cette initiative sera laissée à l’administration Obama. D’un point de vue pragmatique, cette déclaration ne risque guère d’émouvoir les mollahs qui jugent l’ouverture de ce bureau un prélude dangereux à la mise en place d’un réseau d’influence américaine au sein du régime. Que faut-il comprendre ? Iran : L’art de l’escalade Il y a une semaine, l’AIEA publiait un nouveau rapport hostile au programme nucléaire iranien, rapport évoquant des quantités suffisantes d’uranium enrichi et des activités balistiques, éléments insinuant l’existence d’un projet de fabrication d’un missile nucléaire balistique. Les différents membres du groupe des Six ont réagi différemment à ce rapport : les Britanniques qui en sont les inspirateurs ont abondé en son sens, les Français ont gardé leur distance et finalement, Washington y a vu un obstacle à ses projets d’entente avec Téhéran et il a tout simplement ignoré les insinuations. Seul Téhéran n’avait pas réagi à ces insinuations : c’est fait. Il assume et surenchérit. Obama : Les mollahs n’en veulent pas ! Le Pentagone a accusé mercredi l’Iran de chercher à saper le projet d’accord entre Bagdad et Washington sur la présence militaire américaine à long terme en Irak. Avec ce comportement, Téhéran poursuit en fait une double stratégie. Blitzkrieg on the stock exchange ! © IRAN-RESIST.ORG - OCT 11 2008 | The financial crisis doesn’t end up surprising economists; it is challenging the accounting rules. There’s a good reason to that: this is not a crisis due to a bad bank management, mistakes or a liberalism malfunctioning, the end of a system, but a war lead by Washington against all of its adversaries and competitors. And as all wars, the victory belongs to the one who gains ground. Ce n’est pas une crise, c’est une guerre contre la Chine et l’Euro ! La crise financière n’en finit pas de surprendre les économistes, elle défie les règles comptables, il y a une bonne raison à cela : ce n’est pas une crise due à une mauvaise gestion des banques, des erreurs ou un disfonctionnement du libéralisme, la fin d’un système, mais une guerre menée par Washington contre l’ensemble de ses adversaires et concurrents. Et comme toutes les guerres, la victoire appartient à celui qui gagne du terrain. Iran : « Toutes les options sont sur la table » ! La semaine dernière (le 20 juin), les médias ont relancé l’hypothèse d’une option militaire en évoquant des manœuvres militaires israéliennes qui avaient eu lieu 18 jours plutôt. L’hypothèse d’une option militaire revient dans les actualités par l’annonce officielle du voyage en Israël du chef d’état-major interarmées américain, l’amiral Michael Mullen. Iran-Syrie : Pourquoi Bush a imposé sa vision à Sarkozy Avant l’arrivée de Bush, Sarkozy évoquait une reprise du dialogue avec la Syrie, un dialogue sans condition pour aider l’ambitieux projet UPM (Union pour la Méditerranée) et avec un lointain espoir d’éloigner le leader syrien de l’Iran. Après le passage de Bush, Sarkozy a aligné ses positions sur le résident de la Maison-Blanche qui exige une rupture entre Téhéran et Damas, préalablement à tout dialogue. La demande de Bush a deux aspects différents mais convergents. Iran : A qui profite l’entrée de l’Italie dans les 5+1 ? Silvio Berlusconi avait exprimé le souhait d’intégrer l’Italie, l’un des principaux partenaires commerciaux de l’Iran, dans les 5+1 afin de jouer de son influence pour dénouer la crise nucléaire iranienne. Sarkozy avait apporté son soutien à cette adhésion, Merkel s’y est opposée, Poutine et Brown sont restés silencieux et Bush, appelé à l’arbitrage, a poliment esquivé la demande de Berlusconi et ce malgré l’atlantisme ostentatoire de son ami Silvio. | Décodages | Iran : Bush ne change pas de méthode Lors d’une conférence de presse avec la chancelière allemande Angela Merkel au château de Meseberg, au nord de Berlin, Bush a déclaré qu’il pouvait au choix proposer à l’Iran, de nouvelles négociations ou de nouvelles sanctions. Iran : Quand Gordon Brown veut rassurer son ami Bush ! Le 1er ministre britannique Gordon Brown s’est rendu à Washington pour affirmer son soutien à la ligne politique diplomatique de l’administration Bush concernant l’Iran. Iran : Les Etats-Unis démentent les conversations secrètes - Décodages ! L’Iran et les Etats-Unis se parleraient « en secret » ! C’est ce qu’affirme le quotidien britannique The Independent, sur la base du témoignage d’un des participants à ces rencontres, l’ancien sous-secrétaire d’Etat américain, Thomas Pickering. Actuellement très attentiste, Téhéran n’a pas commenté ces allégations [1], mais l’administration Bush s’est montrée totalement révoltée par le contenu de cet article au point de démentir tout lien avec l’association américaine qui a mené ces négociations. | Décodages | Iran : Bush et Petraeus dansent la polka irakienne Dans sa déposition devant le Congrès et les candidats américains, le Général Petraeus, commandant en chef des forces américaines en Irak, avait évoqué « le rôle destructeur » des mollahs en Irak et même « une libanisation due à la triple ingérence Iran-Syrie-Hezbollah ». Au lendemain de ces accusations, Bush s’est exprimé sans tenir compte des avertissements de Petraeus en affirmant qu’il y avait toujours une place pour s’entendre avec les mollahs. ABM-Russie : Bush exacerbe la menace venue de l’Iran Lors d’une conférence de presse à Bucarest en marge de la conférence de l’OTAN, Bush a affirmé que le bouclier antimissile (ABM) n’était pas orienté contre la Russie, mais que les missiles étaient destinés « à faire face aux menaces provenant de l’Iran ». Iran : Bush encourage les dirigeants iraniens à « négocier » Le dernier discours de l’Etat de l’Union de Bush a enthousiasmé les commentateurs iraniens de la chaîne persanophone de Voice of America ! Normal, ils sont les employés du Département d’Etat. Pour notre part, l’enthousiasme s’est envolé depuis plusieurs années car les mots de bienveillance adressés au peuple iranien sont présents dans les différents discours de Bush, mais dans la réalité, ce soutien se limite à ces mots. Iran : Les raisons de l’échec de Bush et de ses alliés arabes Pour Ahmadinejad, la tournée de Bush dans la région a été un « échec » car à peine achevée, les alliés arabes des Etats-Unis qui l’avaient accueilli, applaudi et salué, se sont empressés d’affirmer qu’ils étaient plutôt du côté de l’Iran. Cependant, si ce revirement est inéluctablement un échec, il n’est pas l’expression de l’échec de Bush mais celui des alliés arabes des Etats-Unis. Iran : L’insubordination arabe face à Bush Après le refus des saoudiens d’accepter d’aider les américains à isoler l’Iran, ce sont d’autres alliés des américains qui ont suivi cet exemple. Le Koweït a affirmé que son pays était l’ami de l’Iran ; et à la veille de l’arrivée de Bush en Egypte, le président égyptien Moubarak et son homologue turc Abdullah Gül en visite aux pays des pharaons, ont tous deux appelé à la résolution pacifique du problème du nucléaire iranien. Bush utilise l’Iran pour combattre les arabes L’Arabie saoudite a implicitement rejeté la demande de Bush de « tendre la main » à Israël pour faciliter un règlement du conflit israélo-palestinien. Elle a également refusé de s’associer aux efforts visant à isoler l’Iran. À son escale à Abou Dhabi, Bush avait prononcé un discours sur la menace iranienne afin de justifier cette demande de coopération. Décodages d’un refus programmé. Le discours de Bush sème le désordre mais pas en Iran Le discours de Bush à Abou Dhabi reconnaissant les mollahs comme les principaux parrains du terrorisme dans le monde a suscité beaucoup de commentaires, les iraniens y ont vu à tort la preuve d’une nouvelle orientation diplomatique de Washington qui ne chercherait plus à conclure une entente avec les mollahs. Or, le 15 mars 2006, Washington avait déjà qualifié les mollahs de Banque Mondiale du Terrorisme (central bank of terror), mais avait par la suite changé de cap pour leur proposer à plusieurs reprises un dialogue bilatéral sur tous les sujets. Washington cherche encore et toujours à intimider les mollahs afin de les forcer à accepter un dialogue bilatéral pour conclure une entente. Iran : Décodages du discours de Bush sur l’ingérence des mollahs en Irak En novembre 2007, les américains avaient reconnu le « rôle positif de l’Iran » dans la diminution des attaques contre les soldats américains et en décembre ils ont publié un rapport sur l’absence d’un programme nucléaire militaire en Iran. Leur objectif était de laisser aux mollahs le choix d’aller à leur rencontre à Bagdad pour conclure une entente. A ce moment, la Chine et la Russie étaient intervenues pour saboter ce rapprochement et finalement Téhéran avait renoncé à cette rencontre. Depuis, les américains sont revenus à leur politique précédant la reconnaissance du rôle positif de l’Iran, mais néanmoins, ils restent fidèles à une communication qui ne soit pas susceptible de ruiner la possibilité d’une rencontre en vue d’une entente. L’Iran, Bush et ses alliés serviles Le président américain qui est en tournée au Moyen-Orient va d’un endroit à un autre en faisant des discours à la carte : aux Israéliens, il a parlé de la « menace iranienne » et leur a promis le soutien indéfectible des Etats-Unis à Israël. Aux palestiniens, il a promis la création d’un Etat palestinien dont les territoires seront continus et leur a parlé des bienfaits du processus démocratique… Pourtant, là aussi il aurait pu parler de la « menace iranienne » de l’ingérence des mollahs dans les affaires palestiniennes via le Hamas, mais non, Bush n’en a rien dit. Quel est donc l’objectif de cette tournée ? Iran : Les préparations pour le combat du siècle dans le Golfe Persique ! Trois navires de guerre de 154 mètres et 40 mètres de haut face à 3 zodiacs de 6 mètres armés d’une simple mitrailleuse ! Comme nous l’avons expliqué, les Etats-Unis entendent exploiter ce non-évènement sans gravité afin de donner un certain éclat à la tournée de Bush dans le Moyen-Orient. Nous avons donc choisi un florilège des propos les plus alarmistes du président américain que nous opposons à une seule image, celle de cette incroyable confrontation et de son possible remake : combat du siècle entre un zodiac des pasdarans et un porte-avions américain ! Iran – Israël : Bush cherche à relancer la polémique Le président américain George Bush qui prépare son arrivée au Moyen-Orient a décidé d’accorder un entretien à la radio militaire israélienne afin de préciser que les Etats-Unis soutiendraient Israël « sans réserve » s’il était attaqué par l’Iran. Il a également rappelé qu’il fallait prendre au sérieux les menaces formulées par Ahmadinejad d’« effacer Israël de la carte ». Ces propos donnent un avant-goût de la fin du mandat présidentiel de Bush. Iran : Bush s’embrouille et embrouille son entourage Depuis que les américains ont diffusé un rapport pour casser l’urgence de la menace nucléaire iranienne, c’est la crise chez eux ! La Maison-blanche a été submergée de questions sur la contradiction existante entre les précédentes déclarations de Bush et ce rapport diffusé en décembre, car selon ses propres aveux d’aujourd’hui le rapport lui avait été présenté par Mike McConnell, le directeur des Services de renseignement nationaux, dès le mois d’août 2007 ! Annapolis et le paradoxe irano-syrien La Syrie a annoncé dimanche sa participation à la réunion internationale sur le Proche-Orient qui se tiendra mardi à Annapolis, après avoir obtenu vendredi des Etats-Unis qu’y soit abordé son conflit territorial avec Israël sur le plateau du Golan. Israël a immédiatement salué la décision de Damas, estimant que la présence syrienne pourrait permettre de débloquer les relations bilatérales. La Turquie a également réagi, se disant « très satisfaite » de la participation syrienne à Annapolis. Mais les mollahs n’ont pas commenté la nouvelle. Iran, Sarkozy et Bush : une autre politique Le voyage de Nicolas Sarkozy a enthousiasmé les médias. Le président français a été ovationné par les sénateurs et représentants américains réunis au Capitole, pendant plusieurs minutes. Ses propos ont été même très proches de certaines déclarations de Bush à propos de l’Iran, mais pour nous leur entente sera difficile toujours à propos de l’Iran. | Décodages | ANALYSIS : BUSH KNOWS THAT IRAN IS NOT NORTH KOREA North Korea agreed earlier to disable its main nuclear reactor located in Yongbyon and provide a complete dismantlement of all nuclear activities by the end of the year under an accord hammered out in six-party talks. President George W. Bush on Wednesday held up North Korea as a possible model for resolving the Iranian nuclear crisis. Should we doubt about his mental health? Yes and No ! | Deciphering | Iran : Les contradictions militaires de l’administration Bush Les Etats-Unis pourraient renoncer à leur projet de bouclier antimissile en Europe si l’Iran suspendait son propre programme d’enrichissement de l’uranium, a indiqué Daniel Fried, le secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires européennes. Analyse : Bush sait que l’Iran n’est pas la Corée du Nord La Corée du Nord a accepté de démanteler d’ici au 31 décembre son réacteur de Yongbyon et d’autres installations nucléaires en vertu d’un accord passé lors de pourparlers à Six le week-end dernier à Pékin. Le président américain, George Bush, a estimé mercredi que l’accord trouvé avec la Corée du Nord sur le démantèlement de son programme nucléaire pouvait servir de modèle pour résoudre la crise sur les ambitions nucléaires de l’Iran. Devrait-on douter de sa santé mentale ? Oui et non - Décodages Iran : La stratégie pacifique de Bush Les rumeurs d’attaques ou de guerre contre les mollahs se succèdent et des analystes sans envergure comparent le cas de l’Irak à celui de l’Iran. C’est un mépris total pour la géopolitique. Pour notre part, la guerre entre les Américains et les mollahs n’a pas lieu d’être car les conditions géopolitiques sont différentes de la situation en Irak. Le président Américain vient d’ailleurs de confirmer sa décision de résoudre la crise par une négociation avec ce qu’il appelle le régime iranien. Iran : Khamenei parle d’Hitler pour plaire aux sunnites, drôle de Ramadan ! Le vieux mollah musicien, Ali Khamenei, Guide Suprême du régime des mollahs, était de corvée de Prière de Vendredi. Il répondait aux attaques de Bush accusant l‘Iran et la Syrie de perpétuer l’insécurité en Irak. Il a déclaré qu’un jour George Bush serait jugé pour « ses atrocités » commises en Irak et notamment pour avoir pendu Saddam, bouc émissaire des Américains comme Hitler en son temps ! Un discours fort chargé qu’il convient de décoder. Iran : La Gaffe inévitable du Président Karzaï Jacadi Bush a encore frappé. Récemment nous vous avons parlé de ces changments dans les déclarations des responsables américains qui avaient donné le tournis à l’Etat indien au point que les dirigerants de ce pays ne savaient s’ils pouvaient continuer à fréquenter les mollahs ou pas. Au dernier nouvel, ils n’y sont pas autorisés et les médias du régime tempêtent contre l’Inde et ses Hindus. La même mésaventure frappe l’Afghanistan et son président Hamed Karzaï. Iran : Option militaire de Bush contre l’arme du pétrole des mollahs Avant ses entretiens avec le Premier ministre Isarélien Ehud Olmert à la Maison-Blanche, George Bush a jugé mardi que « toutes les options étaient sur la table », sous-entendant une possible confrontation militaire avec l’Iran. En réponse, les mollahs ont évoqué un recours à l’arme du pétrole. Les deux font du bluff. Iran : L’Amérique et ses 3 solutions Selon certaines rumeurs, George Bush, Condoleezza Rice et ses adjoints et les faucons encore présents de l’administration, notamment ceux du bureau du vice-président Dick Cheney, seraient engagés dans d’intenses débats sur la manière de s’y prendre avec l’Iran. Iran : Bush ne soutient pas le peuple iranien A l’occasion d’une conférence sur la démocratie et la Sécurité qui se tenait à Prague, le Prince Reza Pahlavi s’est adressé aux participants parmi lesquels on pouvait retrouver Natan Sharansky, le sénateur démocrate Joseph Lieberman, José Maria Aznar et Vaclav Havel pour solliciter leur soutien pour le peuple iranien engagé à déposer les mollahs. Iran : Bush envoie des signaux contradictoires George Bush a affirmé mardi soir que la secrétaire d’État Condoleezza Rice pourrait avoir des entretiens bilatéraux avec son homologue iranien Manouchehr Mottaki lors de la conférence à Charm El-Cheikh, mais, au cours d’un entretien diffusé sur la chaîne de télévision publique PBS, il a précisé qu’il n’y aurait pas d’entretiens sur d’autres sujets que l’Irak ou en dehors de la conférence. Iran : Ahmadinejad propose un débat télévisé à Bush Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a appelé le président américain George Bush à entamer un dialogue direct avec l’Iran. Il a souligné que les débats devaient avoir lieu devant les médias. Iran : Bush et ses trois solutions impossibles En réponse aux clins d’oeil de Condoleezza Rice au régime des mollahs, Ali Larijani, secrétaire du Conseil suprême de la sécurité du régime, s’est dit prêt à examiner « positivement » une demande officielle de négociations de la part de Washington. Mais Larijani a rejeté la condition préalable de la suspension de l’enrichissement d’uranium. Iran : Que comprendre des derniers propos de Bush ? A l’occasion d’une conférence de presse largement consacrée à la situation en Irak mercredi 14 février à la Maison-Blanche, George Bush est revenu sur les accusations formulées ces derniers jours par des militaires américains sur le soutien des dirigeants iraniens aux miliciens irakiens. L’Iran au cœur du discours sur l’état de l’Union de G. Bush Vous trouverez ci-après les extraits de politique étrangère du discours sur l’état de l’Union prononcé par le président Bush le 23 janvier 2007 à la Chambre des représentants et au Sénat des États-Unis réunis en séance plénière. Ce discours souligne le rôle déstabilisateur des mollahs au Moyen-Orient. 0 | 50 [Retour à l'index des mots-clés] |