Accueil > Gazoduc, Oléoduc & pipelines
| |
Iran : Khamenei & ses amis dans un piège sino-russe ! La Chine et la Russie ont intégré les mollahs dans l’Organisation de Coopération de Shanghai après de nombreux refus. Les Occidentaux ont été effrayés par la nouvelle, car tout membre de l’OCS bénéficie de la protection militaire et économique sino-russe. Mais cette crainte est erronée car il s’agit d’un piège tactique. Explications. Semaine 548 : Comme des chiens dans un jeu de quilles ! En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs ! Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi. Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition russo-américaine souhaitée par Trump et par Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos. Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne afin d’annoncer de nouvelles sanctionner contre les mollahs. Trump a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine avec l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Enfin, à l’approche de ses nouvelles sanctions,Trump a mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie. Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Des milliers de responsables se sont enfuis ! On a constaté un cas de mutineries dans une très importante base tactique du régime ! À 2 semaines du début des nouvelles sanctions pétrolières et financières américaines, le m-AE de Trump a apporté son soutien à l’opposition du peuple iranien au régime. Les opposants ont alors annoncé des actions de plus en plus fortes et continuelles pour profiter de ces sanctions ! Les mollahs, menacés de toute part, ont attaqué 2 pétroliers saoudiens pour provoquer une pénurie pétrolière, mais ils n’ont pas provoqué la panique qu’ils souhaitaient. Washington leur a envoyé 4 grands bâtiments de sa marine. Les mollahs ont simulé une ouverture au dialogue. Trump a exigé des preuves de leur ouverture. Ils n’en ont montré aucun et n’ont pu continuer leur plan. À une semaine du début des sanctions, les mollahs ont renoué avec le terrorisme pour intimider les Américains et les 4+1 avant de les rencontrer à un sommet à Singapour ! Ils n’ont rien obtenu d’eux. Les Allemands et les Anglais ont même durci leur position en évoquant la saisie des avoirs des mollahs dans leur pays. La semaine dernière, le début de nouvelles sanctions a confirmé l’isolement à 100 % du régime des mollahs ! Les affairistes ont augmenté leurs achats d’or et de dollar du régime à n’importe quel prix. Les députés qui n’en ont pas les moyens ont accusé Rohani de corruption pour forcer les mollahs à baisser le prix du dollar. Les mollahs ont menacé de pendre les acheteurs de dollar, mais ils n’ont pas osé le faire. Ils ont aussi reconnu leur responsabilité dans l’attaque des pétroliers saoudiens sans oser surenchérir par de nouvelles attaques... Ainsi le début des nouvelles sanctions a démontré la fragilité des mollahs et leur manque de courage pour faire face aux menaces venues de l’extérieur ou de l’intérieur du pays et de leur régime. Cette semaine, les mollahs ont tenté de se rallier la Russie ou l’Europe en jouant avec la détermination du statut de la mer Caspienne qui a de très importantes réserves d’hydrocarbures, mais ils ont échoué, ils ont perdu des gisements sans obtenir les soutiens espérés. Les paniques internes se sont intensifiées comme la colère du peuple pour avoir encore mis en danger l’avenir économique du pays. Iran : Les mollahs se moquent de Nabucco Washington, qui a besoin des mollahs pour agiter l’Asie Centrale, a toujours soutenu l’intégration de l’Iran au projet européen Nabucco qui doit acheminer du gaz naturel vers l’Europe en contournant la Russie. Mais les mollahs ne peuvent pas accepter une entente avec les Etats-Unis car cela les obligerait à autoriser le retour en Iran d’islamistes iraniens liés aux Etats-Unis qui pourraient prendre le pouvoir de l’intérieur lors des élections organisées par le régime lui-même. Face à leur refus sans appel, hier, le consortium Européen construisant le gazoduc a fait savoir publiquement qu’il suspendait la participation hypothétique de l’Iran au projet. Iran : Obama tente une anti-sanction améro-indienne Hier, le nouveau ministre indien du Pétrole et du gaz Jitin Prasada a informé Téhéran que son pays n’avait pas renoncé au projet du gazoduc Iran-Pakistan-Inde, d’un coût de 7,5 milliards de dollars, surnommé « gazoduc de la paix ». Sachant que le projet ne pourra voir le jour tant que l’Iran est sanctionné, c’est là un moyen pour l’encourager à accepter un compromis. Iran : Procès, pendaisons et pipeline… Abdolmalek Riggi, le chef du Jundallah, a été exécuté à l’issue de son procès. Dans ces cas-là, on a généralement des articles sur la personne exécutée, son parcours, ses motivations et surtout sur son procès. Mais il n’y a eu rien de tel à propos de Riggi. Les quelques articles qui ont été publiés se sont focalisés sur les circonstances de son arrestation, mais ils ne se sont guère exprimés sur ses exploits et ils ont surtout évité toute analyse géopolitique de ses actes. Peut-être a-t-on estimé que l’on avait trop parlé du sujet puisque depuis hier, il y a un nettoyage : il n’existe désormais que 3 ou 4 articles ou devrait-on dire 3 ou 4 dépêches à propos de l’exécution de Riggi sur Google.news et Yahoo.news ! Ces petits articles se ressemblent tous. Le Jundallah semble être un sujet tabou ! | Décodages | Iran : On tourne en rond depuis 15 ans Washington qui a besoin des mollahs pour affaiblir la Chine tente de forcer leur coopération en combinant des sanctions qui limitent leurs gains en devises et des promesses d’investissements à condition qu’ils acceptent. L’objectif anti-chinois de cette approche a contraint la Chine à réagir en s’opposant farouchement aux sanctions ou encore à braver les sanctions en investissant en Iran. Cette semaine, elle s’est montrée plus subtile en proposant sa participation financière au dernier projet d’investissement autorisé par les Américains pour noyauter leur tactique. Enfin presque... Iran : La GRS d’Amano n’amuse pas les mollahs ! Il y a une semaine, la direction pro-américaine de l’AIEA accusait Téhéran de développement d’ogives nucléaires. Cette semaine, elle parle de ses doutes ou encore du temps pour comprendre la nature du programme nucléaire d’Iran. Washington laisserait donc du temps de réflexion aux mollahs. Plongée dans les coulisses d’un retournement spectaculaire du nouveau patron pro-américain de l’AIEA. Iran : La semaine en images n°92 Encore une fois, l’actualité internationale de l’Iran promettait d’être riche. On attendait la réponse des mollahs à l’offre de compromis des Six, le rapport de l’AIEA et enfin une réunion des Six sur ces deux sujets. Pour obtenir le oui des mollahs, de nombreuses médiations ont été organisées via les alliés régionaux des Etats-Unis : Inde, Turquie, Kuwait. On a même invité la femme d’Ahmadinejad à Rome pour le sommet des épouses des chefs d’Etats non alignés en la flattant au maximum sur la pertinence de son intervention ! Finalement, il ne s’est rien passé de palpitant car finalement les mollahs ont encore dit non à l’offre des Six, avant d’annoncer des manœuvres aériennes pour montrer qu’ils seraient prêts à toutes les éventualités (nous verrons les images de ces manoeuvres la semaine prochaine). En attendant, encore une fois, le présent numéro de la semaine en images vous promène dans cette actualité cocasse et peut même montrer que Téhéran n’est pas prêt à toutes les éventualités. Iran : Le fiasco gazier La semaine dernière, Téhéran a annoncé un grand contrat gazier de 2,37 milliards d’euros avec le Coréen GS, un contrat dont on ne connaît rien. Il a aussi évoqué des pourparlers avec Total sur un contrat de 8 milliards de dollars. Ces milliards seront utiles aux mollahs ruinés par les sanctions, mais ces derniers ne sont pas sûrs de les empocher car les précédents contrats annoncés en 2007 et en 2008 ont été annulés sur une intervention américaine. Iran : Les mollahs font pression sur Sarkozy Au cours des derniers mois, le président Sarkozy a été très actif au sein des Six, ce qui n’a pas manqué d’agacer Téhéran. Pour calmer ses ardeurs, Téhéran a fait savoir qu’il avait le moyen de bloquer le grand contrat pétrolier signé par Total au Kazakhstan en marge de la visite du président français dans ce pays. C’est à la fois vrai et faux. | Décodages | Gaz : L’Iran veut acheter Shah Deniz 2 ! Il y a une semaine, Téhéran proposait l’achat de tout le gaz de la phase 2 du gisement azerbaïdjanais de Shah Deniz situé sur la mer Caspienne. Il ne s’agissait pas de s’approprier le volume destiné au futur gazoduc Nabucco, mais d’influencer le verdict d’un procès actuellement en cours en Azerbaïdjan qui établirait un lien entre les Pasdran et Al Qaeda. Iran-Pakistan : La Russie rêve de l’Inde ! Les Russes seraient sur le point d’investir dans un gazoduc entre l’Iran et le Pakistan afin d’orienter le gaz iranien vers le marché chinois pour tuer dans l’œuf le projet Nabucco. Origine de la nouvelle : la Russie ! C’est en soi comique. Encore une fois, les médias ont commenté une déclaration russe sans déchiffrer ses sous-entendus très géopolitiques. Iran- Gaz : La réponse préventive des mollahs à Total L’Iran a annoncé qu’il envisageait de livrer son gaz à l’Europe via l’Irak, la Syrie et la Méditerranée, un tracé que l’on peut qualifier de hautement polémique. Iran : Ce que le Guide entend par des « compensations » Une semaine d’efforts diplomatiques ont finalement échoué : Téhéran ne montre aucune envie d’accepter l’invitation d’Hillary Clinton à participer à une conférence internationale sur l’Afghanistan et ainsi de se retrouver à une table de négociations avec les Etats-Unis. Iran : Diversion anti-Nabucco à l’OCE Les représentants des pays d’Asie Centrale et du Caucase, réunis à Téhéran pour le 10e sommet de l’Organisation de coopération économique (OCE), espéraient convaincre le régime des mollahs à se montrer plus coopératifs avec l’Europe et les Etats-Unis notamment à propos du gazoduc Nabucco. Leur espoir est ruiné car dès les premières minutes, Ahmadinejad a appelé les participants à rechercher de nouvelles formes de coopération économique entre eux pour en finir avec le capitalisme mondial qui toucherait selon lui à sa fin. | Décodages d’un discours de circonstance. Iran - Gaz : Les mollahs tentent de soudoyer l’Europe En visite au Parlement Européen pour parler du règlement de la crise nucléaire, le vice ministre iranien des affaires étrangères Mehdi Safari a plutôt parlé de la disponibilité de son pays pour devenir le principal partenaire gazier de l’Europe. Iran : Les dessous de la médiation ratée de la Turquie Il y a trois jours, lors d’une visite à Washington pour le sommet de G20, Erdogan le Premier ministre turc dont le pays est l’un des alliés stratégiques des Etats-Unis avait proposé lors d’une conférence de presse, une médiation turque dans la crise nucléaire iranienne. Par le passé, l’Italie avait proposé sa médiation, mais Washington n’avait pas retenu sa candidature. Cette fois Washington n’a rien dit et au vu des dernières évolutions de cette affaire, on peut affirmer qu’Erdogan aurait agi en émissaire de Washington. Bush tente deux nouvelles missions d’intermédiation Les mollahs ont reçu cette semaine des représentants des Emirats Arabes Unis et du Conseil de coopération du Golfe (CCG) auxquels succède aujourd’hui le ministre indien des affaires étrangères. Ces hôtes de Téhéran ont deux points communs : ils sont tous des alliés des Etats-Unis et ont déjà fait des offres de coopération commerciale aux mollahs à condition de suspendre leurs activités nucléaires, la condition posée par George Bush à tout gel des sanctions contre l’Iran. NATO-AFGHANISTAN: IRAN FEARS PEACE WITH TALIBANS © IRAN-RESIST.ORG - OCT 10 2008 | Ali Larijani, the Parliament president of the mullahs’ regime, is in situation of disgrace further to his effort to take the power without his mullah friends knowing. He is searching in getting back the kind favors of the regime so he is multiplying media statements. Larijani disposes also of the particular feature to drop clangers and say loudly what others say very low. In the past he held very interesting purposes asserting notably that the nuclear crisis was a pretext for the United- States “to force the regime to do whatever they want”. This time he expressed his great preoccupation regarding a Western reconciliation attempt with the Taliban. Blitzkrieg on the stock exchange ! © IRAN-RESIST.ORG - OCT 11 2008 | The financial crisis doesn’t end up surprising economists; it is challenging the accounting rules. There’s a good reason to that: this is not a crisis due to a bad bank management, mistakes or a liberalism malfunctioning, the end of a system, but a war lead by Washington against all of its adversaries and competitors. And as all wars, the victory belongs to the one who gains ground. Otan - Afghanistan : L’Iran craint la paix avec les Talibans Ali Larijani, le président du Parlement du régime des mollahs, est en état de disgrâce suite à ses efforts pour prendre le pouvoir à l’insu de ses amis les mollahs. Il cherche à revenir dans les bonnes grâces du régime et multiplie les déclarations médiatiques. Larijani a aussi la particularité de faire des gaffes et dire tout haut ce que d’autres disent tout bas. Il avait par le passé tenu des propos très intéressants notamment en affirmant que la crise nucléaire était un prétexte pour les Etats-Unis « pour forcer le régime à faire ce qu’ils veulent ». Cette fois il a exprimé sa grande préoccupation à propos d’une tentative occidentale de réconciliation avec les Talibans. Iran : Copinages russophiles pour provoquer Washington Le 2 octobre, à un mois jour pour jour avant l’élection présidentielle américaine, l’administration Bush a tenté d’amadouer les mollahs en reconnaissant leur principal lobbyiste comme une ONG pro-démocratie, dans l’espoir qu’intéressé par les perspectives d’un rétablissement officiel des relations, Téhéran fasse preuve d’un assouplissement dans sa politique nucléaire. Téhéran a répondu à ce geste diplomatique via son ambassadeur à l’AIEA en évoquant deux conditions préalables dont une levée des sanctions. En l’absence d’une réponse officielle américaine, les mollahs ont repris la voie des provocations. Iran-Nabucco : Le clin d’œil à l’Europe Dans une interview au quotidien autrichien Wiener Zeitung, le ministre iranien du Pétrole Nozari a averti vendredi le géant pétrolier autrichien OMV que si ce dernier ne signait pas un accord avec lui concernant le gazoduc européen Nabucco, l’Iran pourrait se tourner vers d’autres partenaires (le Pakistan, l’Inde et le Venezuela). Iran : Le désordre qui nuit à son auteur Mehdi Safari, le vice-ministre iranien des affaires étrangères est actuellement à Bakou pour préparer le Sommet des Etats riverains de la Caspienne qui se tiendra dans cette ville en octobre ou en novembre 2008. Le représentant des mollahs y a exprimé des positions apparemment anti-américaines. Iran – Russie : Le dilemme de Gazprom Téhéran a annoncé hier sa décision de mettre en chantier 2 pipelines intéressants pour l’Europe qui permettent d’accéder à l’Asie Centrale sans passer par la Russie. Prise dans la nasse de ses engagements atlantistes, l’Europe n’a pas réagi, contrairement à la Russie qui a décidé de s’en mêler. Gazeta (russe) | Gazprom participera au Nabucco par le biais de sa coopération avec l’Iran RIA Novosti. Le débat sur l’utilité économique de la construction du gazoduc Nabucco s’est avéré défavorable à la Russie, les autorités iraniennes ont en effet déclaré mardi que la République islamique avait pris la décision définitive de rejoindre le projet européen, lit-on mercredi dans le quotidien Gazeta. Nucléaire : L’Iran espère diviser les Six Après avoir fermé la porte à toute négociation avec l’Europe, le régime des mollahs a finalement accepté que Solana se rende en Iran le 14 juin pour présenter la dernière offre des Six qui se veut très généreuse : l’une des clauses de l’offre est la proposition de faire de l’Iran le principal fournisseur énergétique de l’Europe. Téhéran qui n’entend accepter aucune concession prépare à sa manière cette réunion. Le gazoduc Iran-Pakistan-Inde est à nouveau en stand-bye Il y a une semaine tout semblait indiquer la tenue prochaine d’une rencontre tripartite Iran-Pakistan-Inde à Téhéran pour la signature d’un accord pour la construction du gazoduc Iran-Pakistan-Inde. A Islamabad, Ahmadinejad avait évoqué le sujet avec le nouveau 1er ministre pakistanais pro-américain et il devait se rendre à New Delhi pour en parler avec le Premier ministre indien Manmohan Singh, mais l’étape indienne d’Ahmadinejad n’a pas été à la hauteur des attentes de Téhéran. Gaz et Paix : L’Iran et son dilemme indo-pakistanais En visite au Pakistan, Ahmadinejad a rencontré le nouveau 1er ministre pakistanais proche des américains pour évoquer la signature prochaine d’un accord sur un projet de gazoduc Iran-Pakistan-Inde (IPI), également surnommé le Gazoduc de la Paix ! Iran : Washington cherche secrètement à débloquer la crise Un désaccord indopakistanais sur le montant des droits de transit dans le projet de gazoduc Iran-Pakistan-Inde (IPI) avait bloqué l’avancement de ce projet au grand désespoir des mollahs. Selon le ministre pakistanais du Pétrole, ce désaccord n’existerait plus. OPEP du Gaz : Divergences entre l’Iran et la Russie Selon le quotidien russe Kommersant (proche de Poutine), lors du Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) à Téhéran, le 28 avril, la Russie présentera un projet différent du modèle proposé par les mollahs pour la création d’une OPEP du Gaz. Cette information corrobore nos précédentes analyses à propos d’une divergence de vue fondamentale entre Téhéran et Moscou sur l’OPEP du gaz. RIA Novosti | Nabucco / Turkménistan : la Russie juge les espoirs de Bruxelles injustifiés L’ambassadeur russe auprès de l’Union européenne a jugé injustifiés mardi les espoirs européens concernant le démarrage du projet de gazoduc Nabucco sur la base des promesses du Turkménistan de livrer 10 milliards de m3 de gaz à l’UE dès 2009. Iran : Les mollahs croient tenir l’Europe par le gaz Selon une analyse publiée par le site energytribune.com, d’ici 2030, la dépendance de l’Europe au gaz naturel d’origine étrangère passera de 50% actuellement à plus de 85% ! Cette information a été joyeusement reprise à Téhéran qui y voit la promesse d’un changement d’attitude des européens à son égard ! Europe : La Russie avance ses pions en Ukraine Téhéran a annoncé hier son intention de participer à un projet de gazoduc qui contournerait la Russie pour acheminer du gaz vers l’Europe via l’Ukraine. A peine 24 heures après cette annonce, la Russie est parvenue à signer un contrat qui prend le contrôle de 50% des réseaux de distribution de gaz en Ukraine. Iran - Gazoduc : Un chien dans un jeu de quille Téhéran a annoncé son éventuelle participation à un projet de gazoduc Turkménistan-(Iran)-Azerbaïdjan-Géorgie-Ukraine (en partenariat avec le GUAM), projet qui contournerait le territoire russe. Le tube pourra traverser soit l’Iran, soit la Caspienne. C’est pourquoi ce projet (White Stream) inquiète les russes puisqu’il sous-entend un ralliement des mollahs à un statut de Mer pour la Caspienne, un statut hostile aux intérêts stratégiques de la Russie. |Décodages | Nabucco - South Stream : L’Iran s’invite à la table des débats Alors que les 6 étaient réunis à Berlin pour trouver un accord sur le texte d’une future résolution contre l’Iran, le régime des mollahs a cru judicieux de mettre toute son énergie à promettre du gaz bon marché aussi bien aux russes qu’aux européens, les deux puissances qui seraient sensibles à son offre. C’est ainsi que nous avons eu droit à deux nouvelles contradictoires : une promesse de fourniture de gaz pour le gazoduc européen Nabucco et une autre pour son concurrent russe, le gazoduc South Stream. Iran – Etats-Unis : La guerre économico-pétrolière Le 11 novembre dernier, l’Iran avait annoncé avoir finalisé l’accord avec le Pakistan, à présent il promet que le Pakistan et l’Iran signeront la semaine prochaine l’accord final sur le gazoduc Iran-Pakistan-Inde (IPI) et la livraison du gaz iranien à ce pays (pour un prix d’environ 665 millions de dollars par an). Iran-Russie : Une compagnie gazière commune à l’assaut du marché européen ? Selon le quotidien russe la Gazeta, en visite à Moscou pour parler de la livraison de Bouchehr, le ministre iranien des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki a proposé jeudi à la Russie de créer une compagnie gazière commune. Ce projet d’une compagnie gazière est pointé en direction de l’Europe, même si l’Iran et la Russie poursuivent des objectifs européens totalement divergents aussi bien à long terme qu’a court terme. Iran : La Turquie signe un accord avec les mollahs - Décodages La Turquie a signé mardi avec le régime des mollahs un accord pour des projets communs de production d’énergie en dépit des pressions américaines contre les investissements en Iran. Les turcs avaient jusque-là refusé les offres iraniennes en prétextant manquer d’ingénieurs pétroliers pour mener à bien les projets. | Décodages d’un retournement compréhensif | Iran-Pakistan : Un accord gazier qui en dit long ! Selon le régime des mollahs, l’Iran et le Pakistan ont concrétisé samedi la version définitive d’un accord sur la construction d’un gazoduc qui doit relier l’Iran à l’Inde (via le Pakistan). Or, l’Inde n’a pas vraiment d’autre choix que de refuser de signer un accord avec les mollahs car les américains s’y opposent. Cette annonce d’un accord avec l’intermédiaire pakistanais est à l’image des difficultés rencontrées par les mollahs pour commercialiser leur pétrole ou leur gaz. Iran : L’Inde sommée par les américains de renoncer au gaz iranien Les pressions économiques américaines sur l’Iran augmentent officiellement par l’intermédiaire des sanctions frappant les compagnies ou banques contrôlées par les Pasdaran, mais il y a aussi des mesures officieuses qui font encore plus mal à l’économie malade de l’Iran. L’une de ces mesures est l’opposition des Etats-Unis au projet de Gazoduc IPI reliant l’Iran à l’Inde via le Pakistan, baptisé le Pipeline de la Paix, qui a l’ambition de livrer 5 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié (GNL) par an à l’Inde pour une période de 25 ans commençant en 2009. Iran : Les idylliques amours de Total et des mollahs Le lundi 3 octobre, nous avons publié un article sur « tous les contrats de Total en Iran » et estimions alors la production iranienne du pétrolier Français à 346,000 barils par jour. Depuis, nous avons affiné nos recherches, les chiffres que nous avions trouvés dataient de 2004 : d’après ShanaTelex, l’agence de presse de la compagnie pétrolière iranienne, Total aurait augmenté sa production depuis 2004 et désormais sa production iranienne serait d’environ 379,000 barils par jour (soit + de 16% de sa production) ! Kommersant | Derrière la crise en Birmanie, une rivalité énergétique entre les grandes puissances Le Conseil de sécurité de l’ONU ne sait plus comment réagir face à la répression des manifestations antigouvernementales de masse par les autorités birmanes. Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France appellent à sanctionner le régime de Rangoon, tandis que la Chine et la Russie considèrent la situation en Birmanie (également appelée le Myanmar) comme une affaire intérieure. Selon des experts, une chute du régime militaire birman porterait atteinte aux intérêts chinois et russes. Iran : La Turquie hésite à investir en Iran L’économie iranienne va de mal en pis et les caisses sont vides. Les grands pays rechignent à investir dans le secteur pétrolier iranien. Pour attirer les investisseurs, les mollahs doivent se tourner vers des pays de second ordre et leur proposer d’alléchantes offres de coopération énergétique dotées de remises de prix invraisemblables. La dernière à être sollicitée a été la Turquie qui ne semble pas pressée de finaliser l’accord. Gaz : L’Iran sermonne les investisseurs Indien et Français Dans nos précédents articles, nous avions signalé les difficultés économiques du régime des mollahs et son plan pour relancer les projets d’investissements pétroliers ou gaziers en Iran. A cette fin, le régime a remplacé le ministre du pétrole qui était un milicien par un cadre pétrolier chargé des projets internationaux. C’est lui, Nozari qui a récemment signé un important contrat avec les Suisses. Mais malgré ses efforts, deux importants investisseurs, l’un Indien et l’autre Français, lui résistent pour finaliser d’importants contrats de vente du gaz du champ off-shore Pars Sud. Le même jour nous avons eu droit à deux réactions iraniennes vis-à-vis de ces retardataires qui mettent en péril l’économie iranienne. Iran : Le contrat gazier avec les Suisses a 2 motifs L’économie iranienne est dans le rouge depuis plus d’un an. Téhéran a besoin de nouveaux capitaux étrangers pour retarder la déroute. Pour relancer les investissements dans le secteur pétrolier, le régime a remplacé un milicien chargé du ministère du pétrole par Gholam-Hossein NOZARI, un technicien responsable chargé de toutes les négociations au niveau international avec les compagnies étrangères en activité en Iran. Après avoir entrepris un voyage (infructueux) en Inde pour relancer le projet de gazoduc Iran-Pakistan-Inde, NOZARI s’est rendu avec son équipe en Suisse pour signer un très important contrat avec le groupe Zurichois EGL (Elektrizitäts-Gesellschaft Laufenburg AG) pour l’exportation de 5,5 milliards de mètres cubes par année vers ce pays. GDF, Sarkozy, la Turquie et l’Iran... Gaz de France veut rejoindre le projet de gazoduc Nabucco qui compte rallier l’Asie Centrale via l’Azerbaïdjan puis la mer Caspienne pour contourner la Russie. L’objectif serait de diversifier les approvisionnements de l’UE, très dépendante actuellement de la Russie. Il y a un problème ; l’un des partenaires du projet ne veut pas de GDF, car il ne veut pas de la France ! Iran : Le chantage pétrolier des alliés de Téhéran L’économie iranienne va de mal en pis et les caisses sont vides. Les grands pays rechignent à investir dans le secteur pétrolier iranien et ont du mal à continuer à soutenir les mollahs qui refusent d’appliquer les exigences du Conseil de Sécurité. Ce double isolement place le régime dans une situation d’infériorité. Iran : Les mollahs courtisent les Turcs Le régime des mollahs fait les yeux doux à la Turquie fraîchement dotée d’un président islamiste modéré et promet de lui livrer autant de gaz qu’elle voudra. Décodages d’un amour naissant ! Iran : A Bakou, Ahmadinejad interpelle l’Union Européenne ! Ahmadinejad s’est rendu à Bakou et chacun prédisait la formation d’un nouveau front anti-américain pour empêcher que Bush n’accepte l’offre de Poutine d’utiliser un radar Géant d’Azerbaïdjan pour son bouclier anti-missiles iraniens ! Il y a de quoi rire ; ce front est autant anti-Russe qu’anti-Américain ! On dirait que, pris de folie, chacun a envie d’ignorer les données géopolitiques de cette région. 0 | 50 [Retour à l'index des mots-clés] |