Accueil > Russie
| |
Russie : « L’Iran devrait négocier » - Décodages L’ambassadeur de la Russie auprès des Nations unies, Vitali Tchourkine, a exhorté lundi l’Iran à cesser de s’opposer à l’ouverture de négociations sur son programme nucléaire avec les six pays impliqués dans le dossier, estimant que la question ne pourrait être résolue que par le dialogue. Décodages d’une formule qui sans en avoir l’air est très très précise. La Croix | La Russie achève lentement sa centrale nucléaire en Iran Dans le sud de l’Iran, 1 300 Russes, certains venus avec femmes et enfants, construisent la centrale nucléaire controversée. Le chantier accumule les retards.
Europe : La Russie avance ses pions en Ukraine Téhéran a annoncé hier son intention de participer à un projet de gazoduc qui contournerait la Russie pour acheminer du gaz vers l’Europe via l’Ukraine. A peine 24 heures après cette annonce, la Russie est parvenue à signer un contrat qui prend le contrôle de 50% des réseaux de distribution de gaz en Ukraine. Nabucco - South Stream : L’Iran s’invite à la table des débats Alors que les 6 étaient réunis à Berlin pour trouver un accord sur le texte d’une future résolution contre l’Iran, le régime des mollahs a cru judicieux de mettre toute son énergie à promettre du gaz bon marché aussi bien aux russes qu’aux européens, les deux puissances qui seraient sensibles à son offre. C’est ainsi que nous avons eu droit à deux nouvelles contradictoires : une promesse de fourniture de gaz pour le gazoduc européen Nabucco et une autre pour son concurrent russe, le gazoduc South Stream. Time | Poutine : La Russie ne veut pas devenir une superpuissance dans le monde d’aujourd’hui Source : RIA Novosti | La Russie ne veut pas devenir une superpuissance prédominante dans le monde d’aujourd’hui, imposant son avis aux autres pays, mais être un pays espérant au contraire développer ses possibilités pour pouvoir protéger ses propres intérêts, a déclaré le président Vladimir Poutine dans une interview au Time américain. Iran - missiles : Un démenti russe qui a un parfum de déjà-vu Le 27 décembre 2007, la Russie avait reconnu qu’elle était en train de rénover la défense anti-aérienne des mollahs. Washington a protesté et le 28 décembre 2007, la Russie a démenti toute intention de livrer à l’Iran les missiles sol-air S-300 qui inquiètent Washington notamment en raison de l’implication de Moscou dans le choix des sites pour leurs déploiements. Iran : La Russie déploie ses missiles contre les américains La Russie doit livrer à l’Iran 5 batteries de missiles sol-air S-300 PMU-1, a déclaré le 27 décembre 2007 le ministre iranien de la Défense sans préciser la date des livraisons. Le lendemain, Alexandre Lossioukov, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, a confirmé la nouvelle en précisant que la Russie aidait l’Iran à renforcer son système de défense antiaérienne. Cette livraison a deux aspects ; économiquement, Moscou se débarrasse de ses vieux stocks d’armes et géopolitiquement, il prend position contre Washington. Iran : Le sommet visible de la coopération technico-militaire russo-iranienne Moscou est l’ami des mollahs et il le leur montre. Alors que les occidentaux s’agitent pour trouver un consensus pour une nouvelle résolution, et évoquent de nouvelles sanctions touchant le programme nucléaire ou balistique de l’Iran, la Russie affiche son soutien à la coopération technico-militaire entre les deux pays. Courrier Int. | Gazeta : L’assassinat de Poutine vu de Washington Par Alexandr Artemiev | Dans le cadre d’une analyse prospective, un think-tank américain envisage un scénario politique du futur de la Russie pour le moins inédit : l’actuel maître du Kremlin serait la victime d’un meurtre commis le soir du Noël orthodoxe. Iran : Vers une résolution mais n’importe laquelle ! Le chef de la diplomatie américaine Condoleezza Rice a indiqué que des « divergences tactiques » séparaient toujours les six grandes puissances engagées dans les discussions sur le programme nucléaire iranien. Selon elle, il y aurait aussi bien des divergences sur le calendrier que sur le contenu de la résolution à venir... La Russie veut resserrer les liens terrestres avec l’Iran Lors de sa tournée en Asie Centrale, Poutine l’avait évoqué comme un lien utile pour le développement des relations entre la Russie et l’Asie Centrale. Le projet avait refait surface avec le Sommet de la Caspienne organisé par Ahmadinejad. Iran nucléaire : Le retour de l’axe Téhéran-Moscou-Pékin Hosseini, le Porte-parole de la diplomatie iranienne a rappelé que Téhéran était prêt aux négociations sans conditions préalables avec le groupe 5+1. Cette proposition est alignée sur les positions des deux principaux alliés de Téhéran : Moscou et Pékin. Iran : A propos de la décision britannique d’accorder un sursis à l’OMPI La politique d’ambivalence est de rigueur quand il s’agit de l’Iran et du régime des mollahs. Ce régime est utile à ceux qui veulent contrôler ce pays charnière placé au croisement des routes pétrolières du Moyen-Orient, du Caucase et de l’Asie centrale. Russes, américains, chinois et européens ne désespèrent pas de capter les mollahs par des cadeaux ou la promesse de représailles. L’organisation des Moudjahidine du peuple iranien (OMPI) perçue à tort comme une menace pour les mollahs devient à présent un moyen de représailles contre les enturbannés de Téhéran. Elle avait été placée sur la liste européenne des organisations terroristes pour plaire aux mollahs, elle pourrait être retirée de cette liste pour le motif contraire. Iran-Russie : Une compagnie gazière commune à l’assaut du marché européen ? Selon le quotidien russe la Gazeta, en visite à Moscou pour parler de la livraison de Bouchehr, le ministre iranien des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki a proposé jeudi à la Russie de créer une compagnie gazière commune. Ce projet d’une compagnie gazière est pointé en direction de l’Europe, même si l’Iran et la Russie poursuivent des objectifs européens totalement divergents aussi bien à long terme qu’a court terme. Bouchehr : Iran-Russie, deux stratégies poussives ! La centrale de Bouchehr est devenue un moyen de pression de Moscou afin d’empêcher les mollahs de les lâcher et conclure un pacte avec Washington. À chaque fois que les mollahs ont fait un pas dans cette direction ou pour participer à des négociations excluant la Russie, Moscou a sévi en retardant la livraison du combustible pour mettre en marche cette centrale achevée à 95% depuis des années. Iran : Le projet ABM et le rapport de réévaluation du danger nucléaire C’est au cours de l’été 2007 que les américains ont intensifié leurs efforts pour le déploiement du bouclier anti-missile ABM au prétexte d’une menace balistique nucléaire iranienne. Les russes insistaient sur l’absence d’une telle menace et voyaient dans ce bouclier un projet hostile à leur pays. Le rapport américain de réévaluation du danger nucléaire iranien aurait normalement dû désactiver ce projet. Il n’en est rien : Tony Fratto, un porte-parole de la Maison-Blanche, a déclaré que les États-Unis avaient l’intention de poursuivre leur projet antimissile ABM ! Iran : Le rapport américain a rehaussé le rôle de la Russie Le rapport des services secrets américains a changé la donne et comme nous l’écrivions dans notre première et seconde analyses consacrées à son sujet, le rapport a remis en cause la possibilité d’adoption d’une nouvelle résolution par le Conseil de Sécurité. C’était l’objectif de cette publication : il profite pleinement à la Russie. Rapport sur l’Iran : Réactions des alliés et des adversaires des Etats-Unis Le rapport conjoint des 16 services secrets américains a radicalement changé la donne dans la crise nucléaire iranienne, et semé la zizanie la plus totale chez ceux (experts ou Etats) qui s’étaient toujours alignés sur les précédentes accusations principalement formulées par les Etats-Unis et l’équipe Bush. Un tour des réactions s’impose et il est plutôt amusant. Nous les avons classées suivant deux ensembles : les réactions des alliés des Etats-Unis et les réactions des alliés et amis des mollahs. Iran : Chuchotages nucléaires irano-russes avant les sanctions Téhéran pourrait avoir à faire face à une nouvelle résolution, c’est du moins ce qu’affirme une source diplomatique française à l’issue d’une réunion à Paris des représentants des Six (5+1, les 5 membres permanents du Conseil de Sécurité plus l’Allemagne). Iran - Russie : Du nouveau pour Bouchehr ? En 1995, la Russie avait signé un contrat pour terminer les travaux de la centrale électrique (nucléaire) de Bouchehr. Elle devait livrer la centrale en fonctionnement en juillet 1999. Depuis les retards s’accumulent, s’évanouissent et réapparaissent au gré des variations de la qualité de l’alliance Iran-Russie. Iran : Les Six se réunissent pour évoquer de nouvelles sanctions Au lendemain d’une dernière réunion prévue pour le 30 novembre entre le Représentant des mollahs et Javier Solana à Londres, les représentants des Six se rencontreront le 1er décembre à Paris afin d’examiner le texte d’une nouvelle résolution du Conseil de sécurité de l’ONU envisageant des sanctions à l’encontre de l’Iran. Iran-nucléaire : Les variations de la Russie Il y a 9 jours, par l’intermédiaire du porte–parole de son ministère des affaires étrangères, la Russie évoquait « de graves déficits de coopération entre l’Iran et l’AIEA » ! Une semaine est passée et à présent le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov au retour de la conférence des Etats-Unis sur le Proche-Orient a déclaré que le refus de reconnaître les progrès accomplis par l’Iran dans son travail avec l’AIEA réduisait les chances de résoudre les problèmes. Que signifie ce changement d’appréciation ? Iran : Décodages d’un retournement inattendu de la Chine et de la Russie Les autorités chinoises ont exhorté mardi le régime des mollahs à se soumettre aux résolutions des Nations unies lui demandant de suspendre ses opérations d’enrichissement d’uranium, tout en assurant qu’il restait une certaine marge pour la négociation. La veille de cette demande, c’est Moscou qui avait demandé aux mollahs de faire encore de nouveaux efforts pour éliminer tout soupçon sur ses activités nucléaires. | Décodages d’un double retournement synchrone ! | Iran : Téhéran change de ton et fait confiance à ses deux alliés la Chine et la Russie Au lendemain de la publication du rapport d’El Baradei, Téhéran est revenu à l’une de ses revendications de base : que son cas ne soit plus géré par le Conseil de Sécurité mais par le Conseil des gouverneurs de l’AIEA. Selon les mollahs, si le Conseil de sécurité de l’ONU remettait le dossier nucléaire iranien à l’AIEA, les conditions seraient propices à la promotion de la coopération entre l’Iran et l’agence. Ce qui fut une revendication véhémente est devenue une proposition cordiale. Ce changement de ton est la conséquence du crédit accordé par la communauté internationale à un rapport qui n’a aucune validité puisqu’il n’est fondé sur aucune inspection. Iran - sanctions : Un consensus qui cache de terribles divergences Les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité plus l’Allemagne ont convenu d’oeuvrer en faveur d’une troisième série de sanctions contre l’Iran. Cette déclaration cache une absence totale de consensus aussi bien au sujet de ces sanctions qu’au sujet des conditions nécessaires à leur adoption. RIA Novosti | Poutine : La Russie ne se laissera pas imposer de restrictions sur les exportations d’armements La Russie ne permettra pas qu’on lui impose des restrictions sur les exportations d’armements si celles-ci ne violent pas les normes internationales, a déclaré mercredi le président russe Vladimir Poutine. Iran : Poutine face à un voyage délicat Selon une information émanant de Kremlin, les services spéciaux russes informés par d’autres services (Mossad, CIA…) auraient prévenu Poutine d’un possible attentat-suicide contre sa personne lors de sa visite mardi à Téhéran. On parlerait de commandos suicides prêts à se sacrifier pour éliminer Poutine. Ce qui est certain : ces commandos ne sont pas liés au régime des mollahs car Poutine est le seul allié de poids pour Téhéran. Iran : L’origine des divergences Franco-russes Le voyage de Nicolas Sarkozy à Moscou, sa rencontre avec Vladimir Poutine et les dépêches sur leurs convergences supposées ou réelles divergences ont à nouveau rappelé à chacun toute la complexité de la crise nucléaire iranienne. Kommersant | Derrière la crise en Birmanie, une rivalité énergétique entre les grandes puissances Le Conseil de sécurité de l’ONU ne sait plus comment réagir face à la répression des manifestations antigouvernementales de masse par les autorités birmanes. Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France appellent à sanctionner le régime de Rangoon, tandis que la Chine et la Russie considèrent la situation en Birmanie (également appelée le Myanmar) comme une affaire intérieure. Selon des experts, une chute du régime militaire birman porterait atteinte aux intérêts chinois et russes. Iran : La Russie ne veut pas de nouvelles sanctions Nous l’avions signalé dans notre analyse (1er lien ci-dessous) : la dernière loi américaine ne pouvait que perturber l’adoption d’une nouvelle résolution contre les mollahs. La veille de cette adoption, Russes et Américains affichaient des positions identiques du moins sur la nécessité d’une nouvelle résolution. La nouvelle loi et sa cohorte de promesses de sanctions contre les plus importantes entreprises étatiques Russes ont changé la donne. Iran : Kouchner se rétracte et s’aligne sur Poutine... La diplomatie est une affaire de géopolitique et non de coup de gueule et de communication. Comme nous l’avons exposé à maintes reprises, le régime des mollahs est devenu un allié indispensable pour la Russie nationaliste qui a besoin de ce pays placé au carrefour de l’Asie Centrale et du Moyen-Orient et du régime qui le gouverne qui a construit un des plus redoutables réseaux terroristes de tous les temps. Iran - Russie : Un accord imaginaire ? Selon Ali Larijani, négociateur nucléaire, ami de Rafsandjani et membre du Conseil du Discernement, l’Iran et la Russie seraient tombés d’accord sur un calendrier de livraison par Moscou de combustible nucléaire pour la centrale de Bouchehr... ce qui suppose (implicitement) que les Russes aient également accepté d’achever la centrale de Bouchehr ! Iran - Bouchehr : Les mollahs menacent les Russes Le régime des mollahs a laissé entendre qu’il réfléchissait à « d’autres candidats » pour achever la construction de la centrale nucléaire de Bouchehr au cas où des problèmes surviendraient avec les Russes. Grâce aux mollahs, l’Iran se mesure à Cuba ! Le salon aérospatial Russe MAKS-2007 s’est achevé jeudi et a permis à la Russie de réaliser quelques bonnes ventes. On a même parlé d’un contrat pour la livraison de 98 avions de transport Iliouchine-114 au Venezuela, mais la Russie a démenti. Quant au régime des mollahs, il a acheté 5 Tupolev Tu-204-100 (la version basique de ce modèle). Iran : Les virtuosités de la diplomatie Russe Téhéran refuse de céder sur le dossier nucléaire tout en tentant des manoeuvres susceptibles de prouver sa bonne foi. Ainsi, dernièrement le régime des mollahs a autorisé des visites d’un de ses sites nucléaires afin de prouver que le dossier progresserait certainement mieux s’il était géré par l’AIEA et non par le Conseil de Sécurité. Mais vraissemblablement ces efforts ne feront pas résoudre la crise et Téhéran devra faire face à une nouvelle résolution et de nouvelles sanctions. A ce propos la dernière décision de Moscou est un chef d’oeuvre diplomatique. Iran : Des manœuvres diplomatiques et éphémères (Bouchehr, Europe, Russie, Etats-Unis) Après la rencontre du 24 juillet à Bagdad entre les ambassadeurs iranien et américain, le matin du mercredi 25 juillet, Mottaki, le ministre iranien des Affaires étrangères avait déclaré qu’il jugeait opportun d’envisager une prochaine rencontre au niveau des adjoints des ministres des affaires étrangères des deux pays. Or, nous sommes à la veille d’une prochaine décision internationale en réponse au refus des mollahs de suspendre leurs activités nucléaires, c’est pourquoi ces derniers se lancent dans des manœuvres diplomatiques éphémères qui chercher à sonder leurs interlocuteurs. Iran : La Russie et le désordre mondial Le vice-président du géant gazier russe Gazprom, Alexandre Medvedev, estime que le groupe devrait atteindre une capitalisation boursière de mille milliards de dollars, pour devenir la première société du monde. Gazprom devrait quadrupler sa capitalisation actuelle de quelques 251 milliards de dollars, pour atteindre cet objectif de 1.000 milliards de dollars, soit le double d’Exxon Mobil. Iran : Bouchehr, la centrale Russe, otage de Moscou Le dimanche 1er juillet, Sergei Shmatko, le chef de la société russe Atomstroiexport chargée de la construction de la centrale nucléaire de Bouchehr, est arrivé à Téhéran pour discuter l’achèvement de travaux du site. Le 3 Juillet , un responsable iranien a affirmé que les 5% des travaux restés en plan depuis des années seraient terminés en 2007, mais aujourd’hui, Moscou a officiellement démenti cette prévision optimiste. Iran : Au coeur de la rencontre Bush-Poutine A la veille de la rencontre entre George Bush et Vladimir Poutine qui se tiendra à à Kennebunkport aux Etats-Unis, la Russie a présenté à la presse la station-radar de Qabala, en Azerbaïdjan. Moscou qui s’oppose au déploiement d’un système américain de surveillance à proximité de son territoire a proposé à Washington d’intégrer cette station située à 200 km seulement de la frontière iranienne à son projet de bouclier antimissiles. Iran-missiles : Poutine veut tester Bush Vladimir Poutine a adopté un ton conciliant jeudi lors de sa rencontre bilatérale avec Bush en marge du sommet du G8 et a proposé à son homologue américain d’utiliser conjointement une puissante station radar construite en Azerbaïdjan pendant la période soviétique. Il s’agit d’un test car Bush ne peut pas accepter cet offre dans la mesure où le projet d’ABM a des visées stratégiques que les Etats-Unis refusent d’admettre ou d’assumer [1]. Iran : Analyse de l’unité trompeuse des G8 Les chefs de la diplomatie du G8, réunis mercredi à Potsdam, près de Berlin, pour préparer le sommet d’Heiligendamm, sont apparus divisés sur le Kosovo, le bouclier antimissile américain en Europe, ou encore le réchauffement climatique, mais tous (y compris la Russie) sont apparus très unis sur l’Iran. | Décodages Iran : Les Russes ne font plus peur aux mollahs Nous vous avions déjà expliqué la relation entre le rapprochement irano-américain et les annonces russes concernant la centrale de Bouchehr : en effet chaque fois que les mollahs font mine de vouloir arriver à une entente régionale avec les Américains ou qu’ils évoquent la tenue de rencontres qui excluent une participation Russe, cet Etat réagit en annonçant l’arrêt des travaux sur la centrale de Bouchehr. Iran - Afghanistan : Le come-back réussi de la Russie en Asie Centrale Pendant que les Américains bataillaient en Afghanistan pour contrôler et pacifier ce territoire, pour y faire transiter leur tube (TAP) depuis l’Asie Centrale vers l’Océan Indien, la Russie s’est activée pour retisser les liens rompus avec les Etats pétroliers de l’Asie Centrale en 1991. La durée de la guerre américaine en Afghanistan (avec le soutien logistique des mollahs et les armes russes ou chinoises) a finalement convaincu l’Asie Centrale de trouver une solution avec la Russie. L’Enjeu arabe de la Russie et l’Iran Selon l’AFP, Russia Today (RT), la chaîne anglophone russe d’information en continu qui est très proche du Kremlin (lancée par Poutine en 2005), a annoncé vendredi le début des émissions d’une chaîne analogue en arabe. Baptisée Roussia Al-Yawm, elle aura une équipe composée de 100 journalistes arabophones. La direction de la chaîne, proche du Kremlin, estime le nombre potentiel de téléspectateurs à 300-350 millions de personnes. Iran - Nucléaire : Les Russes et les Américains à égalité Le chef de l’Agence fédérale russe de l’énergie atomique (Rosatom) Sergueï Kirienko a dénoncé une nouvelle fois des paiements insuffisants de la part de Téhéran qui contribuent, selon lui, à freiner la construction de la centrale iranienne de Bouchehr. La Russie avait conclu avec l’Iran un accord sur la construction de la centrale de Bouchehr en 1995, et le projet devait être livré en 1999 ! BusinessWeek | La Russie est de retour dans le commerce d’armes Le business lucratif pour Poutine, mais la liste des clients du Kremlin est controversée : le Venezuela, l’Iran et la Chine... Par Jason Bush Iran : Les mollahs menacent pour la première fois la Russie La Russie a fait part de sa « perplexité » mercredi après les exercices de défense antiaérienne effectués par l’armée iranienne près de la centrale nucléaire de Bouchehr, qu’une société russe construit dans le sud de l’Iran. Doha : Papa Poutine se moque d’une OPEP du Gaz ! Les pays qui participeront au Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) prévu lundi et mardi à Doha (Qatar) ne signeront pas d’accord pour la création d’une « OPEP du gaz », a déclaré vendredi le ministre russe de l’Industrie et de l’Energie Viktor Khristenko. Iran : Les petites histoires d’une libération attendue Deux jours, deux prévisions : deux réalisations. Depuis le début de cette affaire de prise d’otages, nous avions comme l’accoutumé adopté une attitude réaliste car nous connaissons l’Iran et nous n’avons aucun tabou à respecter, contrairement aux nombreux experts français mandatés par le Quai d’Orsay ou désireux d’être consultés sur le sujet. Les mollahs de la république islamique lançaient comme à l’accoutumé des slogans, parlant de procès et d’intransigeance et même d’exécution des espions, nous avons écrit qu’ils ne voulaient pas dépasser les limites et surtout qu’ils cherchaient le contraire de ce que diagnostiquaient les médias français et leurs confrères d’ailleurs. Iran : Les Russes tirent la sonnette d’alarme Dans une note publiée hier, nous faisions remarquer que les Russes allaient réagir aux efforts fournis par Téhéran pour entamer des négociations avec les Britanniques. Les Russes nous donnent raison. 0 | 50 | 100 | 150 | 200 | 250 [Retour à l'index des mots-clés] |