Selon les besoins diplomatiques du moment, des experts les uns plus réputés que les autres publient des estimations sur la date à laquelle les mollahs pourraient avoir leur première bombe nucléaire.

Le plus puissant dirigeant chiite d’Irak a affirmé samedi que le prochain gouvernement devra refléter le rapport de forces né des législatives du 15 décembre, en contradiction avec l’idée d’un cabinet d’union nationale formé sur une base consensuelle, soutenue par les Américains.

L’Iran refuse de parler avec les Européens d’une suspension de ses activités de recherche nucléaire, mais est prêt à discuter de l'enrichissement d'uranium, a déclaré samedi un haut responsable iranien, cité par l’agence officielle Irna.

Ahmadinejad affirme que la république islamique ne cherche pas à acquérir l’arme nucléaire.

Attentif aux initiatives de la Russie, Pékin, pour ne pas s’isoler, pourrait finalement lui emboîter le pas, estiment certains observateurs.

 [ Le Figaro : 14 janvier 2006 ] + nos commentaires

Entre le partenariat stratégique avec Washington et la fourniture de gaz par l’Iran, Delhi hésite.

 [ Le Figaro : 14 janvier 2006 ] + nos commentaires

L’Iran doit satisfaire les exigences de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) avant que des négociations puissent reprendre avec la Troïka, ont affirmé plusieurs diplomates vendredi à l’Onu.

Le président américain George W. Bush a jugé vendredi « logique » que le dossier nucléaire iranien soit envoyé au Conseil de Sécurité de l’Onu, parlant d’obligation d’empêcher la République islamique d’avoir l’arme nucléaire.

Le numéro deux d’Al-Qaïda, Aymane Zawahiri pourrait figurer parmi les victimes d’une frappe aérienne américaine menée vendredi dans un village du Pakistan frontalier de l’Afghanistan, ont annoncé vendredi les télés américaines.

Au sujet des ventes britanniques de matériaux nucléaires sensibles à l’Iran.

Pris dans un engrenage hostile à leurs intérêts (voir nos notes), les Russes ne désespèrent pas et renouvèlent leur proposition d’enrichir de l’uranium pour l’Iran sur le territoire russe...

Le dossier nucléaire iranien doit faire l’objet d’une saisine du Conseil de Sécurité des Nations unies si l’Iran ne change pas sa position sur la reprise de son programme d’enrichissement d’uranium, a déclaré vendredi le chef de cabinet du Premier ministre japonais.

Téhéran a menacé vendredi de réduire sa « coopération volontaire » [1] avec l’AIEA si son dossier nucléaire était envoyé au Conseil de Sécurité, coopération qui n’a jamais dépassé le stade des intentions. On se souvient des autorisations tardives et partielles pour la visite des sites militaires. À l’époque El Baradei avait violemment critiqué l’attitude des opposants iraniens qui lui reprochaient de s’écarter des règles du Protocole Additionnel [2].

La France juge « prématuré » de parler à ce stade de sanctions contre l’Iran. Selon Paris, il est un peu tôt pour dire ce que fera le Conseil de Sécurité.

La secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice, en coordination avec la troïka européenne, a appelé les Nations unies jeudi à faire face au « défi » iranien et demandé à Téhéran de mettre un terme à son programme nucléaire.

Le secrétaire général des Nations unies Kofi Annan a rapporté jeudi que le régime des mollahs s’était dit prêt à poursuivre des « négociations sérieuses et constructives » avec la Troïka européenne (France, Grande-Bretagne, Allemagne).

Le régime des mollahs estime que l’impasse sur son programme nucléaire peut encore être résolue par la voie diplomatique, a affirmé jeudi un responsable iranien, après que la Troïka a évoqué la possibilité d’une Saisine du Conseil de Sécurité de l’ONU.

La déclaration de la Troïka, diffusée à l’issue de la réunion de crise à Berlin, ne souligne pas clairement que la l’UE cesse ses négociations avec l’Iran afin de l’empêcher de se doter de l’arme nucléaire.

« La parenthèse commencée en 2003 vient, de la part des Iraniens, de se fermer », a déclaré un haut responsable Européen : Pas si sûr ... Lire nos commentaires.

Selon l’AFP, Moscou, allié traditionnel de l’Iran, a réagi par deux fois pour critiquer la reprise la veille par Téhéran des activités de recherche liée à l’enrichissement d’uranium après deux années de suspension, qui envenime la crise avec l’Occident.

Le secrétaire général de l’Onu, Kofi Annan, est « très préoccupé » par la situation du dossier nucléaire iranien mais considère toujours qu’il revient à l’AIEA de décider de la suite à y donner.

Selon certains iraniens en principe digne de confiance, Ossama aurait quitté ce bas-monde à la mi Décembre.

Le Conseil de Sécurité des Nations unies, qui pourrait être saisi du dossier du nucléaire iranien, est le principal organe de décision de l’Onu et ses résolutions ont en principe un caractère contraignant.

Ahmadinejad, a déclaré mercredi que la république islamique n’était pas « intimidé par l’agitation » suscitée par son programme nucléaire et s’emploierait à obtenir la « maîtrise de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques ».

Au mois de février, on apprenait que le régime des mollahs avait reçu de la compagnie autrichienne Steyr Mannlicher 800 fusils (anti-char) STEYR HS.50 qui sont capables de percer des blindages de 5 cm d’épaisseur. Les Américains en ont trouvé entre les mains des partisans de Zarqawi ! [3]

L’Allemagne a demandé à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) d’évaluer la reprise par l’Iran de ses recherches nucléaires, en vue de déterminer avec Paris et Londres si la poursuite des négociations a encore un sens.

Le Ciel écoute-t-il toujours les prières des leaders de la révolution islamique en
Iran ?? Rien n’est moins sur...

Les cours du pétrole brut étaient en hausse mardi à l’ouverture du marché new-yorkais, poussés par les risques de sanctions contre l’Iran après l’annonce de la reprise de son programme nucléaire par cet important producteur de pétrole.

En août 2005, le régime des mollahs reprenait les activités liées à la conversion du minerai de l’uranium à Ispahan. On avait alors assisté à une levée de boucliers, il y avait des menaces de saisine, des offres de reprise des négociations et puis... rien. Les Européens ont laissé passer et ils ont cédé. La conversion a été acceptée. Aujourd’hui, nous assistons aux mêmes réactions indignées et il est fort probable que les intérêts économiques l’emportent sur le commun intérêt d’une planète à l’abri d’une nouvelle bombe.

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a confirmé mardi la levée des scellés du centre de recherche nucléaire de Natanz en Iran, sous la supervision de ses inspecteurs.

Les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU (USA-Russie-Chine-UE2 [4]) ont conjugué leurs efforts pour présenter un front uni et dissuader l’Iran de reprendre les activités nucléaires à Natanz.

La Maison-Blanche a menacé lundi l’Iran d’une saisine du Conseil de Sécurité après l’annonce par la République islamique de son intention de reprendre des activités nucléaires à Natanz.

C’est passé inaperçu ... et pourtant la nouvelle aurait méritée d’être reprise par le plus grand nombre des sites dit d’information !

Le régime des mollahs a levé les restrictions sur les importations de Grande-Bretagne et de Corée du Sud décidées il y a trois mois en représailles à leur vote en faveur d’une résolution de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) condamnant l’Iran.

Le guide Suprême des mollahs, Khamenei [5], a déclaré lundi que les musulmans n’avaient pas besoin des droits de l’Homme et de la démocratie de l’Occident.

Ariel Sharon a bougé son bras et sa main après le lancement lundi, par les médecins, de la procédure de sortie de coma artificiel, a annoncé la chaîne de télévision israélienne Channel 10, sans citer de sources.

L’Iran a déclaré que la proposition était négociable à condition que l’Iran ait l’autorisation d’enrichir l’uranium sur son territoire.

El Baradei dit candidement que tout le monde voudrait « être sûr que le programme iranien sert exclusivement des fins pacifiques » (sic). Selon cet homme proche du régime des mollahs (il a épousé la nièce de Mahadivi-Kani, un des fondateurs de la république Islamique, très proche de Khomeiny), « l'enrichissement en Iran est source de grave préoccupation » (sic).

Encore des cas suspects que nos dissidents, les réformateurs, Shirin Ebadi, Delphine Minoui ou Fariba Adelkhah & co. ne prendront pas la peine de regarder de plus près :
 Assassinat du Pasteur Ghorban
 Habiho'llah Mahrami (un bahai mort en prison)

Les frontières sont souvent perméables, celle séparant la Turquie de l’Iran à hauteur de Dogubayazit et Makou encore plus.

On dit que le président bolivien se rend au pays des mollahs pour goûter la dernière spécialité hallal : le Poulet à la feuille de coca (poulet Pasdaran, ça va de soi) …

Le Hamas s’est pour la première fois ouvertement exprimé samedi sur la possibilité de former le prochain gouvernement palestinien après les élections législatives prévues le 25 janvier.

Le régime des mollahs condamne la « politique disciminative nucléaire » de l’UE.

3 nouveaux cas (2 enfants et 1 adulte) ont été testés positifs à la grippe aviaire et ont été hospitalisés à Ankara.

Selon les mollahs, le processus des négociations en cours entre l’Iran et la Russie sur l’enrichissement d’uranium iranien est jugé positif !