Les « risques de prolifération sont trop élevés » si l’Iran « persévère » dans sa politique nucléaire actuelle, déclarent les ministres des Affaires étrangères français, allemand, britannique dans une tribune à paraître jeudi dans le quotidien Le Monde.

La Campagne d’Encouragement de la Vertu continue. 400 unités de patrouilles supplémentaires sillonnent la capitale à pied, à moto et en voiture.

La secrétaire d’État américaine Condoleezza Rice a souligné mardi l’isolement de l’Iran sur la scène internationale, affirmant que « personne ne leur fait confiance » sur le dossier du nucléaire.

« Mort à l’Amérique », « Nous piétinerons les Etats-Unis » et "Israël doit disparaître de la surface de la terre », pouvait-on lire sur les six missiles, lors du défilé qui a eu lieu à Téhéran.

Les Européens ont renoncé dans l’immédiat à saisir le Conseil de Sécurité de l’Onu sur le programme nucléaire iranien, selon un nouveau projet de résolution à l’AIEA.

L’Iran a retiré mercredi sa menace de quitter le Traité de non-prolifération (TNP), indiquant qu’il était attaché à ce traité, a rapporté l’agence de presse officielle IRNA.

L’Iran a menacé mardi de reprendre l’enrichissement d’uranium, d’empêcher les inspections poussées de ses sites nucléaires et même éventuellement de quitter le Traité de non prolifération nucléaire (TNP), en cas de transfert de son dossier nucléaire au Conseil de sécurité de l’ONU.

Les membres du Conseil de l’AIEA ont ajourné à jeudi leurs travaux sur les dossiers de l’Iran et de la Corée du Nord. La Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne accusent Téhéran d’avoir « violé » ses obligations et veulent saisir le Conseil de Sécurité.

Le délégué de la République Islamique et le ministre israélien des Affaires étrangères, Silvan Shalom, ont eu un échange musclé à distance mardi à l’Assemblée générale de l’ONU. Ils se sont mutuellement accusés de menacer la paix et la sécurité au Proche-Orient avec leurs programmes nucléaires respectifs.

« Iran liera ses ventes pétrolières à l’appui qui lui sera apporté dans la querelle qui l’oppose à l’Europe et aux Etats-Unis sur le dossier nucléaire », a déclaré mardi le responsable iranien chargé des négociations sur le dossier nucléaire, Ali Larijani.

« La coopération de l’Iran » avec l’Agence internationale de l’énergie atomique et ses inspecteurs « a été marquée par des dissimulations étendues, des informations trompeuses et des retards dans l’accès aux matières et installations nucléaires », peut-on lire dans le projet de résolution. 

L’Union européenne n’a pas encore convaincu l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) de transférer le dossier de l’Iran au Conseil de sécurité de l’ONU. Mais un projet de résolution en ce sens circule au conseil des gouverneurs, l’exécutif de l’AIEA.

Avec le soutien des Etats-Unis, la troïka européenne a exhorté lundi l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) à renvoyer le dossier nucléaire iranien devant le Conseil de Sécurité des Nations unies, alors que la Russie prônait un délai supplémentaire.

L’exécutif de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a commencé, lundi 19 septembre, une réunion d’une semaine à Vienne qui doit surtout être consacrée au refus de l’Iran de renoncer au combustible nucléaire. La Troïka européenne et les Etats-Unis devraient presser le bureau directeur de l’Agence d’adopter une résolution exigeant le renvoi du dossier nucléaire iranien devant le Conseil de sécurité des Nations unies.

Le ministre du pétrole des mollahs (Seyed Kazem Vaziri Hamaneh) vient d’arriver à Vienne (ville de souvenir pour son président Ahmadinejad [1]) en Autriche au siège de l’OPEP pour une réunion des ministres de tous les états membres….

À l’aube du 17 septembre, un homme a été pendu en public dans la ville d’Ahwaz.

L’exécutif de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) s’est réuni lundi à Vienne pour réagir au refus iranien de renoncer à ses activités nucléaires sensibles, mais paraît divisé sur une saisine du Conseil de sécurité de l’ONU.

L’Islam interdit à l’Iran d’avoir des armes nucléaires, a déclaré le président iranien Mahmoud Ahmadinejad dans un entretien publié dans l’hebdomadaire Newsweek à paraître lundi.

Bianca Jagger en tant que militante des droits de l’Homme, cherche à promouvoir le dialogue entre l’Iran et les USA. Jagger, ambassadrice de bonne volonté du Conseil de l’Europe est à Téhéran avec un groupe américain « l’US academics for peace » (étudiants américains pour la paix) cherchant à assurer l’Iran qu’elle ne serait pas une prochaine Irak.

La compagnie turque Turkcell a été évincée d’un important contrat pour la construction du second réseau de téléphonie mobile d’Iran au profit de la compagnie sud-africaine MTN (Mobile Telephone Network), a annoncé dimanche le responsable d’une société iranienne présente dans le contrat.

L’AIEA espère que l’oligarchie militaro-religieuse pourrait faire de nouvelles concessions lundi dans une ultime tentative d’empêcher la saisine.

Selon Georges Abou, les réactions traduisent l’embarras de la communauté internationale face à un Etat indocile sur un dossier particulièrement sensible.

Le discours d’Ahmadinejad a reçu un accueil glacial côté américain et européen. « Nous avons trouvé que c’était un discours très agressif, qui franchit certaines lignes rouges fixées par les Européens, en particulier pour ce qui concerne l’enrichissement de l’uranium », a déclaré un haut responsable du département d’Etat américain, sous couvert de l’anonymat.

L’Iran a un droit inaliénable de fabriquer du combustible nucléaire et les pays occidentaux ne doivent pas recourir aux menaces pour tenter de le dissuader, déclare le président iranien Mahmoud Ahmadinejad à la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies.

Condoleezza Rice exhorte les Nations Unies à faire preuve de fermeté dans le dossier nucléaire iranien et déclare que le Conseil de Sécurité doit agir lorsque tous les moyens diplomatiques sont épuisés.

La secrétaire d’Etat américaine, Condoleezza Rice, a reconnu que beaucoup de pays estimaient que le moment n'était pas venu de saisir le Conseil de sécurité.

Ministère des Affaires Etrangères : point de presse du 16 septembre (déclarations du porte-parole adjoint).

Le président américain George W. Bush et son homologue russe Vladimir Poutine ont joué l’unité vendredi à Washington sur le dossier du nucléaire iranien, tout en semblant diverger sur la longueur des efforts diplomatiques encore nécessaires.

« L’Iran est prêt à fournir de la technologie nucléaire à d’autres nations islamiques, a déclaré jeudi son président « Ahmadinejad à l’issue d’une rencontre avec le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan en marge du sommet mondial des Nations unies à New York.

Article paru dans le Vrémia Novostéi - La dégradation des relations russo-américaines n’est pas visible aujourd’hui parce que les présidents Vladimir Poutine et George W. Bush se respectent et s’efforcent d’éviter tout conflit. Mais leurs bonnes relations personnelles sont nuisibles au développement des relations entre les deux pays, estime le directeur des programmes russes et asiatiques du Centre d’information militaire des Etats-Unis, Nikolaï Zlobine.

Les Européens ont déclaré jeudi au siège des Nations Unies à New York qu’ils attendaient une réponse de l’Iran à l’Assemblée Générale avant de saisir le Conseil de Sécurité sur la question nucléaire.

Mercredi 14 septembre à l’aube, un homme accusé d’homicide a été pendu devant une foule à l’intérieur de la prison de Yazd.

Le terroriste Ahmadinejad a enfin fait un discours à la tribune de l’ONU.....pas un mot sur le nucléaire, pas un sur le terrorisme comme si ces sujets n’existaient pas...

Dominique de Villepin a estimé jeudi qu’il y avait « encore place pour la négociation » dans le dossier du nucléaire iranien, mais que la communauté internationale n’aurait pas « d’autre choix » que de saisir le Conseil de sécurité de l’ONU en cas d’échec du dialogue.

« Il suffit de dire qu’à l’issue de l’année dernière, le chiffre d’affaires du commerce entre nos deux pays a augmenté de 43% », a fait remarquer Vladimir Poutine.

Pour ses débuts sur la scène internationale, le président iranien a livré un discours au vitriol, en lieu et place des propositions conciliantes promises par Téhéran (Le Monde) ;

Intervention de George W. Bush à l’occasion de la réunion du Conseil de Sécurité des Nations Unies. New York, le mercredi 14 septembre 2005 (Source : Département d’Etat)

Dominique de Villepin a appelé fermement mercredi l’Iran à se conformer aux résolutions de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), faute de quoi le Conseil de Sécurité serait saisi.

Un jeune homme a été pendu en public à Kazeroun dans le sud de l’Iran, dans la province de Fars, pour un délit commis quand il était mineur, et un autre a été pendu en Azerbaïdjan occidental.

Les réserves prouvées de l’Iran ont été réévaluées fin 2003 par le Ministère du Pétrole à 125,8 Mds de barils (contre 90 Mds précédemment), soit plus de 10% du total des réserves prouvées, les deuxièmes au monde après l’Arabie Saoudite.

Le président chinois Hu Jintao s’est entretenu le 13 septembre à New York avec son homologue américain George W. Bush. Ils ont convenu de renforcer la confiance mutuelle et la coopération entre leurs deux pays pour promouvoir la paix, la stabilité et le développement du monde.

En développant son programme nucléaire, l’Iran part de l’idée que l'énergie nucléaire appartient à l'humanité toute entière, a déclaré aux journalistes mardi à Téhéran Ahmadinejad.

Le président américain George Bush a reconnu à l’Iran le droit de se doter d’un programme nucléaire civil, à condition que celui-ci ne lui permette pas d’acquérir l’expertise nécessaire à la fabrication d’armes atomiques.

Le vice-président iranien Gholamreza Aghazadeh a déclaré lundi à Moscou que le transfert du dossier nucléaire de son pays devant le Conseil de Sécurité des Nations Unies ne pouvait être justifié, menaçant de réactions vives si cela arrivait.

Un des membres du Parlement islamique iranien qui devait aller à New York avec Haddad-adel mais qui pour les raisons de visa non accordé n’a pu y aller a donné des conseils à Ahmadinejad.

La poursuite de la violence en Irak menace tous les pays de la région, a déclaré samedi le ministre l’Intérieur de la République Islamique, le mollah Moustafa Pour-Mohammadi.

Le nouveau chef de la diplomatie iranienne, l’ex-terroriste, Manouchehr Mottaki a rejeté dimanche la demande des pays européens de suspendre de nouveau ses activités nucléaires ultrasensibles à Ispahan, et a affirmé qu’une saisine du conseil de sécurité aura des « conséquences ».

Le 11 Septembre est la date anniversaire qui évoque sans ambiguïté toutes les victimes du terrorisme islamique. IRAN-RESIST. rend hommage en ce jour à toutes les victimes de cette sale guerre car les Iraniens sont en première ligne de ce triste classement.