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Iran : La semaine en images n°225

Depuis deux ans, chaque semaine, nous constatons le boycott du régime islamique par les Pasdaran, les bassidjis, les militaires, les Bazaris, et les membres de base du clergé. Ces jeunes actifs, qui étaient censés défendre ou faire prospérer le régime lui ont tourné le dos avant de laisser même le peuple manifester en faveur d’un rétablissement du régime patriote, laïque et progressiste des Pahlavi. La rupture est née de la prise de conscience des progrès iraniens accomplis avant la révolution et ses échecs de maintenant qui sont essentiellement dus à la fermeture des mollahs.

Les jeunes Pasdaran, les bassidjis, les militaires, mais aussi les Bazaris et même les membres du clergé sont arrivés à la conclusion que le pays va vers des échecs plus terribles car ses dirigeants, les mollahs, se sont mis dans une terrible impasse en fondant leur régime sur une rupture volontaire avec l’Amérique, la première puissance mondiale !

En effet, en 1979, après la victoire de la coalition révolutionnaire islamique qui était soutenu par Washington, les mollahs avaient été écartés du pouvoir par les pions islamistes de Washington. Mais 9 mois après, les mollahs ont pris le pouvoir en évinçant les pions islamistes de Washington. Puis ils ont empêché définitivement leur retour dans leur arène politique en diabolisant et interdisant toute relation avec les Américains.

Aujourd’hui, les mollahs ne peuvent pas se rapprocher de Washington car ils devraient alors autoriser ses pions à revenir et à participer à la vie politique iranienne : ils risqueraient de partager le pouvoir ou même de le perdre et se retrouver en position d’être jugés et durement punis pour leurs crimes ou leurs détournements de fonds publics.

En réponse, Washington augmente de temps en temps ses sanctions : de manière régulière, il augmente ainsi légèrement la pression sur le peuple pour montrer aux mollahs qu’il peut provoquer les conditions d’un soulèvement populaire puis il leur propose à nouveau le rapprochement. Il leur laisse le choix entre une révolution qui les décimerait tous et un processus de transfert des pouvoirs vers ses propres islamistes où ils pourraient mieux s’en tirer.

Ce chantage cynique qui ne prend pas en compte l’envie de changement des Iraniens est tout simplement révoltant : il a encouragé les Pasdaran, les bassidjis, les militaires, les Bazaris qui ont rompu avec le régime à boycotter plus fortement le régime. Le régime n’a jamais eu aussi peu de monde à ses côtés. Ses dirigeants ne se sentent pas à en sécurité et évitent les sorties. Leurs derniers collaborateurs qui doivent assurer leurs sécurités sont vraiment sous pression et paniquent facilement après de nouvelles preuves de la rupture des forces armées. Le régime tente de limiter leur envie de fuite en évoquant l’existence de nouvelles recrues et en mettant en avant la possibilité de contenir le peuple avec sa fausse opposition interne.

Mais les mollahs ne cherchent pas en même temps à négocier en cachette avec Washington pour obtenir sa clémence car ce dernier n’est pas très ferme dans son approche : de peur de renverser le régime islamique, il n’applique pas les sanctions qu’il annonce. Il aide même indirectement les mollahs quand il voit apparaître un risque élevé d’explosion ou une nouvelle vague de panique chez leurs derniers collaborateurs. Washington affaiblit ainsi sa menace d’une révolution immédiate. Les mollahs ne sont donc pas devant le choix d’une révolution sanglante et une expulsion à risques. Il n’y a rien qui les presse. Ils estiment qu’ils ont le temps pour rester, laisser mijoter Washington (qui craint un soulèvement) afin de le forcer à leur garantir une passation sécurisée sans aucun risque de poursuites pour leurs crimes ou leurs détournements des fonds publics.

Ainsi alors que le peuple souffre durement sous les sanctions et dans des pénuries, les mollahs tempèrent et attendent de meilleures offres, ceci ne manquera pas de faire rager les Pasdaran et les Bazaris qui sont devenus des opposants. Il y a de fait un nouveau motif d’action contre les mollahs.

Leur attente d’un accord sécurisant leur sortie ne peut qu’encourager leurs collaborateurs à penser à leur propre avenir d’autant plus l’accord de leur immunité suppose un transfert de leur culpabilité vers ces mêmes collaborateurs qui occupent des postes subalternes. De fait, ce marché qui est censé sauver les dirigeants indispose leurs derniers collaborateurs. A chaque fois que les mollahs reçoivent un émissaire de Washington ou qu’ils vont négocier une remise des sanctions, leurs collaborateurs subalternes impliqués dans tous les crimes paniquent. Ils se mettent à acheter de l’or et des dollars pour pouvoir quitter le pays au plus vite. La conclusion d’un accord entre les mollahs et les Américains inquiète aussi les hommes d’affaires issus du régime qui se sont enrichis aux dépens des autres grâce à leurs liens familiaux : ils s’agitent aussi pour partir au plus vite avant qu’il ne soit trop tard et qu’ils se retrouvent seuls face au peuple qui profitera certainement de la situation pour régler des comptes vieux de 30 ans.

Il y a trois semaines, la pression est montée dans cette cocote-minute qu’est devenu le régime en raison d’un programme officiel très anxiogène pour ses derniers collaborateurs ou associés. En premier, le régime devait aussi mettre en scène son opposition interne à l’occasion de l’anniversaire de sa principale victoire, mais la mobilisation était nulle : il n’avait donc personne pour tenter de s’incruster dans un soulèvement pour dévoyer son action. Avec cette preuve de son isolement, ces derniers associés ont paniqué.

Le régime devait aussi organiser la cérémonie annuelle de prestation de serment de ses derniers officiers des Pasdaran. Il a diffusé des images d’archives : il n’avait donc pas pu constituer une nouvelle force pour remplacer les Pasdaran en rupture.Le régime ne pouvait également pas réprimer un éventuellement soulèvement. Sans la capacité de contenir ou réprimer le soulèvement, le régime était clairement condamné. La panique s’est amplifiée. Il a annoncé qu’il avait intercepté des responsables en train de fuir le pays.

Le régime avait prévu d’échouer dans ces deux programmes officiels, il avait supposé un risque de panique, c’est pourquoi, il avait accepté de rencontrer les Américains pour négocier une baisse de leurs sanctions. Sa situation a laissé supposer qu’il allait demander leur clémence et accepter leurs conditions. Washington a fait black-out pour parvenir à cet accord tout en évitant de d’alerter les derniers associés du régime et provoquer un exode qui tuerait le régime islamique dont il a besoin. Ce black-out a davantage agité d’alerter ces gens alors que les mollahs avaient tenu bon face à Washington. Pour les punir, Washington a refusé leur demande de diminution des sanctions car ils sont enfin très affaiblis et pourraient enfin céder à sa demande.

Ce constat américain de faiblesse du régime était terrible. Le régime n’avait par ailleurs aucune force pour résister à un soulèvement. La Chine a estimé que le régime était fini et même insolvable : elle a cessé le développement du champ gazier d’Azadegan et a abandonné un chantier de barrage d’une valeur de 2 milliards de dollars.

Pour regagner la confiance de ses amis chinois, le régime devait se montrer fort et uni, capable de résister aux menaces intérieures. En début de la semaine dernière, à l’occasion de l’investiture du nouveau Parlement, le régime devait réunir l’ensemble de ses 150 à 200 très hauts dirigeants autour des 60 députés qui lui restent fidèles. D’après les photos, il n’a pas pu mobiliser plus de 135 personnes. Il avait visiblement perdu la confiance d’une grande partie de ses plus hauts dirigeants ou ces derniers n’osaient pas sortir de leur bunker.

Par la suite, à l’occasion de l’approche de l’anniversaire de la mort de Khomeiny, le régime devait aligner ses divers composants (Parlementaires, Pasdaran, militaires, ministres, préfets...) autour du tombeau de son fondateur pour montrer sa cohésion interne. C’était perdu d’avance. Nous avons montré les images de ses initiatives ratées. Le régime était certain qu’il ne pourrait mobiliser ses derniers collaborateurs ou ses dirigeants la semaine suivante lors du grand rassemblement qui a lieu le jour même de l’anniversaire de la disparition de Khomeiny.

Dans notre dernier rapport hebdomadaire illustré, nous ne devions pas montrer ce rassemblement. Mais nous avons débordé sur le calendrier pour diffuser les premières images alors disponibles. La principale image était trafiquée. Malgré ce recours à la triche, l’ensemble des images montrait une très faible mobilisation inférieure à 500 personnes. Le recours à des images d’archives pour la partie officielle laissait supposer que les responsables hauts placés avaient encore boycotté le régime.

Cette semaine, le régime devait encore rassembler « ses partisans » et les fans inexistants de Khomeiny, dans plusieurs villes, à l’occasion du 49e anniversaire de son révolte en 1963 contre l’octroi du droite de vote aux femmes. La mobilisation a été presque que nulle. Pour ne pas perdre la face, il a décrété une nouvelle approche : trois journées d’Etekaf ou retraite spirituelle pour que chacun puisse se retrouver avec Khomeiny. Les journées d’Etekaf ont en fait lieu à la fin du Ramadan, mais le régime devait éviter des signes associant les images au Ramadan. Il a dû shooter des images cette semaine : elles sont accablantes car elles montrent de très faibles mobilisations de figurants peu impliqués dans la quête spirituelle qui ont mis ces journées à profit pour jouer ou pour dormir.

Cette semaine, le régime devait assister à Pékin à la réunion annuelle de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) que le régime veut intégrer pour échapper aux sanctions afin d’avoir les mains libres pour négocier avec Washington. Ces objectifs lui ont toujours valu le veto des fondateurs russes et chinois de l’OCS à sa candidature. Ses échecs, qui mettent en péril sa survie, n’ont pas arrangé ses affaires : les Chinois n’ont témoigné aucune sympathie particulière à son représentant Ahmadinejad. Ils lui ont en revanche conseillé de modérer ses positions pour survivre.

Ce fut donc une nouvelle semaine d’échecs et de fiascos pour le régime et surtout pour son patron politique, Ali Larijani.. Ce dernier a eu peur que les vieux mollahs qui composent le régime le destituent. Pour assurer sa place, il a lâché la gestion de la crise pour des manœuvres susceptibles de neutraliser ses adversaires surtout Rafsandjani, ce qui a déclenché une nouvelle guerre interne avec ce dernier. La guerre interne entre les deux chefs a pris le dessus sur les vrais problèmes que rencontre le régime ! .

Il en résulte une semaine exceptionnellement intéressante. Le peuple grogne, les Pasdaran trépigne et le régime explose de toute part. Voici des bouts images de chacun des trois composants de la situation explosive actuelle : voici le dernier visage du régime (avant sa mort que nous espérons proche).


17.06.2012

Iran : La semaine en images n°224

Le régime des mollahs est boycotté depuis 2 ans par la seconde et la troisième génération des Pasdaran (issues du peuple) car il méprise le peuple et ne cesse de dire non à tout compromis sur le nucléaire quelles que soient les sanctions et les difficultés rencontrées par le peuple. Cette rupture qui a fragilisé le régime a paniqué ses hommes d’affaires et ses collaborateurs. Ils se sont mis à acheter de l’or et du dollar pour quitter le régime fragilisé, vulnérable en cas de soulèvement.

Il faut savoir qu’en 1979, Washington a aidé ou même façonné la révolution islamique pour installer au pouvoir des pions islamo-gauchistes chargés de déstabiliser l’Asie Centrale en aidant ses peuples musulmans opprimés. Washington espérait soulever les musulmans de l’Asie Centrale contre l’Union Soviétique et la Chine afin de s’emparer de cette région riche en pétrole. Mais ses pions ont été évincés par les mollahs. Ces derniers ont aussi adopté une attitude très anti-américaine pour rompre les relations diplomatiques et éloigner Washington d’Iran. Depuis, Washington ne cesse de sanctionner les mollahs pour provoquer des désordres économiques, il fait le lit du mécontentement et de la révolte, mais laisse la porte ouverte des négociations et propose gentiment la réconciliation. Il entend les amener à rétablir les relations pour qu’il puisse rapatrier ses pions en Iran.

Ces pions créeront alors une opposition pluraliste en Iran que Washington qualifiera de démocratique pour inciter le peuple à voter en sa faveur. Vu l’impopularité des mollahs, ces pions colorés de Washington n’auront aucune peine à gagner les élections et à prendre le pouvoir du régime islamique.

Pour résumer, le processus de réconciliation proposé par Washington est une machination pour pénétrer le régime et prendre le pouvoir par l’intérieur. Les mollahs ne peuvent pas l’accepter car ils y perdront tout ce qu’ils ont, même la vie car ils ont beaucoup fait de mal. C’est pourquoi ils ont refusé même après la fragilisation de leur base qui les expose aussi à la chute et à la mort.

Washington a eu peur que le régime islamique cher à son cœur tombe sous l’effet de la rupture des Pasdaran, un soudain soulèvement populaire ou la fuite des collaborateurs paniqués par un soulèvement soutenu par les Pasdaran. C’est pourquoi Washington a envoyé de nombreux émissaires en Iran avec des offres de paix très avantageuses pour les dirigeants. Les derniers collaborateurs du régime ont cru comprendre que Washington allait offrir des garanties de sécurité à leurs dirigeants et que ces derniers allaient les sacrifier car il faut tout de même des coupables pour les crimes commis durant ces 33 années. Les derniers collaborateurs du régime ont encore paniqué : ils ont accéléré leurs achats d’or et de dollar dans la hantise d’être sacrifié par leurs dirigeants. Ces derniers ont tenté de calmer cette panique avec un procès de fraude visant les acheteurs de dollars.

La panique interne est devenue la trame habituelle du régime car chaque semaine, il y a de nombreuses manifestations officielles boycottées par les Pasdaran, boycotts qui rappellent à ses derniers collaborateurs la vulnérabilité du système.

Dans ces conditions, la semaine dernière, le régime devait organiser la cérémonie annuelle de prestation de serment des derniers officiers des Pasdaran. Cette cérémonie n’avait pas eu lieu en 2010 et 2011, le régime avait alors diffusé des images d’archives, signe qu’il n’avait plus de nouveaux Pasdaran à ses côtés. Sans attendre une nouvelle diffusion d’images d’archives, la tension interne est fatalement montée en flèche.

Le régime a tenté de calmer ses collaborateurs agités par le renforcement des accusations du procès de fraude inventé pour les intimider. Il a également annoncé l’ouverture d’un second procès de détournement visant des responsables politiques. Il a enfin annoncé des arrestations de responsables politiques.

La semaine dernière, le régime avait aussi un anniversaire cher à son opposition officielle. Comme les deux années précédentes, le régime n’a trouvé aucun volontaire pour réanimer son opposition officielle pour contenir la colère du peuple. Il est devenu clair que personne ne croyait une telle chose possible. Le régime n’avait ni défenseurs pour réprimer un soulèvement, ni gens pour le dévoyer. Il n’avait pas non plus l’autorité pour calmer ses derniers collaborateurs.

Au même moment, il devait alors reprendre le dialogue sur le nucléaire, il l’avait accepté pour obtenir au moins une pause dans les sanctions pour limiter le risque de soulèvement. Vu son état où tout semblait perdu, il pouvait céder face aux Américains. Pour ses collaborateurs, il y avait un risque d’être sacrifié : la panique a gagné leurs rangs : ils ont accéléré encore leur achat d’or, de dollar, mais aussi d’autres devises quand le dollar a manqué. Toutes les devises étaient en très forte hausse.

Le régime n’a rien cédé face aux Américains car il doit rassurer ses derniers collaborateurs. Les Américains ont conclu que le régime devait se figer de plus en plus pour préserver ses derniers alliés avant de chuter avec leur exode. Ils ont décidé d’augmenter la pression plus que d’ordinaire : ils ont annulé définitivement un important contrat gazier indien qui leur servait d’appât, ils ont annoncé de nouvelles sanctions pétrolières et la fin de tout gel de sanctions pendant le dialogue en cours. Cela a également indisposé les derniers collaborateurs du régime. Ils sont restés agités.

Le régime n’a annoncé aucune arrestation. Il ne savait que faire pour intimider ses derniers collaborateurs sans les mettre en fuite ou augmenter leur agitation. Il était seul au monde. La Chine qui avait déjà ralenti son investissement dans le secteur pétrolier a estimé que le régime était perdu et certainement insolvable : elle s’est retirée dans un grand marché de construction. Ce qui a augmenté la panique interne.

Cette semaine, le régime avait pour priorité de calmer ses collaborateurs paniqués. Mais il ne pouvait pas se montrer plus clément car il aurait donné l’impression qu’il avait peur d’eux et qu’il était impuissant, cela aurait augmenté leur sentiment d’insécurité et aurait amplifié la crise. Il ne pouvait que se monter plus dur. Il devait cependant éviter des gestes ou des propos susceptibles d’effrayer ses collaborateurs déjà très stressés afin de ne pas déclencher leur fuite. Il était clairement dans une situation très délicate. Le régime devait cependant frapper : l’actuel patron politique du régime, Ali Larijani, a frappé, mais en épargnant ses amis et en ciblant les membres du clan de son ennemi, Rafsandjani. Ce dernier a tenté de riposter de son bien et le régime s’est retrouvé dans une guerre des clans alors qu’il devait montrer sa cohésion pour limiter la perte de son autorité.

Cela tombait mal car le programme était d’ailleurs centré sur la mise en valeur de la cohésion interne d’une part avec le rassemblement de tous les responsables pour célébrer la rentrée du nouveau Parlement et d’autres part avec des rassemblements continus de toutes les forces du régime pour une semaine entière d’hommage à Khomeiny à l’occasion de l’anniversaire de sa première révolte et aussi l’anniversaire de sa disparition.

Les divisions internes n’ont pas arrangé les affaires du régime boycotté, il a été plus seul que jamais. Il s’est lancé dans une propagande échevelée pour nier ses divisions et son affaiblissement. Cette 224e édition de la semaine en images vous montrera l’infondé de ses annonces de mobilisation en mémoire de Khomeiny. Nos images, c’est-à-dire ses propres images de presse, confirmeront aussi la fonte des effectifs du régime même à haut niveau. Voici de nouvelles preuves de la lente agonie du régime pétrifié des mollahs.


08.06.2012

Iran : la semaine en images n°172

Cette semaine (S22), les mollahs devaient rassembler partout en Iran le maximum d’Iraniens pour la commémoration de la disparition de Khomeiny et surtout sur le site de son vaste mausolée qui compte des centaines de milliers de mètres carrés. C’était là une mission impossible. Comme les héros de la série du même nom, les mollahs ont tenté de compenser l’infériorité numérique par des artifices en tout genre que nous avons le plaisir de vous présenter dans cette 172ème édition de la "semaine en images". Voici la semaine 22, vitrine de l’intelligence des mollahs, mais aussi un nouvel aperçu de leurs difficultés qui relèvent leurs chances de survie au niveau d’une mission impossible. Vous pouvez cliquer & zoomer sur les images pour les agrandir.


05.06.2011

Iran : La semaine en images n°155

Au début de cette semaine, le mardi 1er février, le régime célébrait en grande pompe l’anniversaire du retour de Khomeiny en Iran en 1979. Etant donné que ce retour est qualifié de Fajr qui veut dire aube en arabe, le même jour, il devait lancer la décade de Fajr, dix jours de festivités culturelles avant la célébration de l’anniversaire de la révolution le vendredi 11 février.

Mais fait inédit dans l’histoire du régime : ces célébrations n’ont pas pu avoir lieu et la Décade de Fajr n’a pas pu démarrer le 1er février en raison d’une absence de mobilisation populaire. Voici le récit et les images d’une semaine bénie. (vous pouvez cliquer puis zoomer sur les images pour les agrandir une ou deux fois)


06.02.2011

Iran : La semaine en images n°120

D’habitude l’actualité iranienne concerne le nucléaire : le régime est prié d’accepter un compromis, il se lance alors dans des provocations militaires, sous-entend une guerre pétrolière ou une guerre palestinienne, car il ne peut pas accepter de compromis avec l’Occident, cela lui coûterait le soutien de la rue arabe. Cette semaine, cette rue arabe qui compte sur les mollahs était justement en ébullition suite à l’attaque de l’armée israélienne contre la Flottille. On aurait dû donc avoir droit à une semaine palestinienne haute en couleur, mais on n’a guère entendu les mollahs ce qui a pleinement profité aux Turcs que l’on peut soupçonner d’un coup monté (un incident prévisible) pour prendre le leadership de la rue arabe. Si le régime ne s’est pas battu pour garder ce leadership, c’est parce que les Iraniens ne sont pas pro Palestiniens et par conséquent ils ne sont pas descendus en masse dans les rues comme les Turcs, les Pakistanais pour manifester leur solidarité. A l’épreuve du réel, le régime a perdu sa couronne. Ce ne fut pas la seule déconvenue de la semaine puisqu’il devait célébrer également la journée commémorative de la disparition de Khomeiny ainsi que la première révolte islamiste de ce dernier en 1964 et les deux jours ont été des fiascos sans nom en termes de mobilisation. Si l’on devait donner un nom à ce n° 120 de la semaine en images, l’on pourrait parler de la semaine des désenchantements !


06.06.2010

Iran : La semaine en images n°103

Le régime fête actuellement la décade de Fajr (aube en arabe) avec des évènements qui commémorent la période allant du 1er février 1979, date du retour en Iran de Khomeiny, au 11 février 1979, date de la rédition de l’état major de l’armée impériale via une lettre dont l’authenticité est aujourd’hui remise en cause. La décade a été marquée par des discours, des manifestations ou des affrontements qui ont conduit à la victoire des révolutionnaires, mais vu le bilan désastreux de la révolution, les responsables actuels ne s’étalent pas trop sur ces évènements. On ne voit pas non plus les mollahs de l’époque se pavaner en public. Aujourd’hui, la décade est une corvée marquée par des évènements de substitution comme la journée de la conquête spatiale. Les images de cette semaine nous mènent au cœur de cette corvée qui pèse sur le régime, mais aussi sur les Iraniens qui se rappellent avec amertume leur soutien à la révolution ou leur indifférence face au changement de régime.


07.02.2010

THE HIDDEN AGENDA OF KHOMEINI’S REVOLUTION… THE BLACK FRIDAY

© IRAN-RESIST.ORG – Feb 7, 2006 | The Friday 8 September 1978’s nickname is Black Friday. “It’s the day on which Iranian army opened fire on people. The 8 September is the official date of the beginning of the repression of the Islamic revolutionary movement by the Shah and his army.” This much spread version is nevertheless questioned by Iranian themselves, by those who attended this day’s events, by the contradictory proofs and by several Persian-written or French-written books.


07.02.2010

Iran : Pas de sanctions, mais un nouveau Khomeiny made in US !

Washington avait laissé jusqu’au 31 décembre 2009 aux mollahs pour accepter sa proposition d’un allégement de son stock d’uranium pour mettre fin à la crise nucléaire. Nous avions affirmé que Téhéran refuserait, mais aussi que Washington ne prendrait aucune mesure hostile suite à cette réponse négative et c’est ce qui arrive : Hillary Clinton a exclu toutes nouvelles sanctions, mais aussi elle a refusé de définir une nouvelle date butoir !


06.01.2010

Iran : La semaine en images n°96

On n’en a guère parlé dans les médias occidentaux, mais la semaine qui s’est écoulée en Iran a été tout entièrement placée sous le signe d’indignations de tous les courants politiques iraniens en réaction à l’annonce que l’on avait déchiré la photo de Khomeiny pendant une manifestation du Mouvement Vert. Une semaine d’hommages en images.


20.12.2009

Iran : Quelques vérités sur le piratage de Twitter

Pour bloquer les négociations avec les Six, le régime des mollahs a imaginé le Mouvement Vert, une opposition soi-disant populaire, uniquement hostile à tout compromis sur le nucléaire. En raison de ce profil que l’on retrouve dans ses slogans, il n’arrive pas à mobiliser les Iraniens pour obtenir la légitimité nécessaire à sa mission. En l’absence de cette indispensable mais inaccessible mobilisation, Téhéran a toujours promu ce Mouvement Vert dans le monde virtuel grâce à une équipe de 400 membres qui sont très actifs sur YouTube, FaceBook ou encore Twitter. Suite à des déclarations très pro-Khomeiny, l’équipe a été légèrement remise en cause, Téhéran a simulé une attaque contre elle sur Twitter pour la victimiser.


19.12.2009

Iran : J’ai déchiré la photo de Khomeiny !

La dernière manifestation du Mouvement Vert a été un fiasco : on y a même vu les Verts manifester avec des portraits de Khomeiny en scandant des slogans très favorables à sa mémoire. Pour faire oublier cet épisode très contreproductif pour un mouvement d’opposition, le régime et les journalistes à son service ont inondé la toile avec le récit soi-disant amusant d’un certain Majid Tavakoli, arrêté avec un déguisement de femme (en Tchador) qu’il aurait endossé pour ne pas être arrêté, une mésaventure qui aurait suscité une campagne de solidarité d’hommes portant le voile. Voilà ce que l’on peut appeler un manque évident d’éthique journalistique.


18.12.2009

Iran : Le Mouvement Vert et le portrait de Khomeiny

Cet été, pour fuir tout compromis sur le nucléaire, Téhéran a eu l’idée du Mouvement Vert, une opposition soi-disant populaire et hostile à tout marchandage (négociations) sur le droit au nucléaire. En raison de ce genre de slogans, il a vite été clair pour les Iraniens que le Mouvement Vert était lié au régime, ce qui a ruiné ses chances de mobiliser les Iraniens. Il y a deux jours, pour inciter les Iraniens à descendre dans la rue sous la bannière verte, le régime a fait bruyamment état d’un manque de respect des manifestants verts vis-à-vis du portrait de Khomeiny. Si les gens avaient gobé cette rumeur, on aurait eu une grande manifestation de soutien au Mouvement Vert et l’actualité aurait été centrée sur ce sujet, mais la rumeur n’a pas convaincu les Iraniens : il n’y a pas eu de grandes manifestations en faveur des Verts. Pire encore, il n’y a pas eu non plus de manifestations populaires en faveur de Khomeiny. En l’absence de ces manifestations qui auraient accaparé les médias, la rumeur est restée au centre de l’actualité comme un malfaisant cheveu dans la soupe du régime, provoquant des réactions les plus inattendues !


14.12.2009

Iran – 4 novembre : La dernière surprise des mollahs

Il y a 2 mois, le Mouvement Vert mené par Moussavi s’est mis en branle pour mobiliser les Iraniens pour manifester pendant la journée de Qods qui est consacrée à la gloire du Hezbollah, l’arme du régime pour exporter sa révolution islamiste. Nous avons été le seul groupe à informer les Iraniens pour qu’ils ne consolident pas ainsi les fondements du régime. Cet appel a été entendu en Iran, mais critiqué en Occident. La récente prise de position de Moussavi en faveur d’un refus de compromis sur le nucléaire a dissipé les doutes quant à l’appartenance politique de ce personnage. Il confirme cette appartenance en appelant les Iraniens à se mobiliser pour le 30ième anniversaire de la prise en otage de l’ambassade américaine le 4 novembre 1979 pour montrer la cohésion sociale autour de la révolution islamique.


03.11.2009

Iran : La semaine en images n°50

Semaine de toutes les émotions en Iran : alors que le régime s’apprêtait à fêter le retour de Khomeiny en Iran à bord d’un avion d’Air France, l’Europe a radié les Moudjahiddines du Peuple de sa liste des groupes terroristes, provoquant une grosse colère à Téhéran. La semaine a été partagée entre évènements pro-Khomeiny et manifs anti Moudj.


01.02.2009

Iran : La semaine en images n°49

La guerre de Gaza s’est terminée sans que les mollahs réussissent à organiser une manifestation digne de l’intérêt qu’ils portent à ce conflit. En début de la semaine, il y a eu encore 6 mini-manifestations en l’honneur de Gaza et ensuite le régime a permuté son attention sur les évènements qui tournent autour de la célébration de l’anniversaire du retour de Khomeiny en Iran, retour qui précéda la victoire de la révolution islamique.


25.01.2009

Iran : A Islamabad, Al Qaeda a rendu hommage à Khomeiny

Selon l’AFP, un groupe inconnu appelé les « Fedayin de l’islam » a revendiqué lundi la responsabilité de l’attentat suicide contre le grand hôtel Marriott d’Islamabad qui a fait au moins 60 morts. Or, les « Fedayin de l’islam » n’est pas du tout un groupe inconnu, mais le nom exact d’un mouvement terroriste islamique dans lequel militait Khomeiny pour prendre le pouvoir en Iran !


25.09.2008

Iran : Les pensées impures de Bouteflika

Très récemment, Bouteflika courtisé par les mollahs est allé se prosterner devant les restes de Khomeiny qu’il a qualifié de « lumière pour les hommes épris de justice et d’équité ». Nous avons enfin trouvé les images de cette visite en Iran : l’accueil par Ahmadinejad, la rencontre avec le ministre-terroriste Mottaki et son pèlerinage sur le tombeau du fondateur du terrorisme islamique.


26.08.2008

Iran : Le carton plein algérien avec Bouteflika

Arrivé dimanche à la tête d’une imposante délégation, Bouteflika a signé d’importants accords financiers avec les mollahs et conclu sa visite par un recueillement médiatique sur le tombeau de Khomeiny qu’il a qualifié de « lumière pour les hommes épris de justice et d’équité ».


13.08.2008

Iran : La semaine en images (édition n°16)

La semaine en images est chargée : Les mollahs commémoraient la disparition de Khomeiny, Ahmadinejad se rendait à Rome pour parler de la faim dans le monde et poser avec le Pape.


08.06.2008

Iran : A Rome, Ahmadinejad révèle le nouveau discours du régime - décodages

Invité à Rome à l’occasion du forum de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), Ahmadinejad n’a pas déçu ses fans c’est-à-dire les journalistes : dans un long discours, il a encore attaqué les Etats-Unis et évidemment Israël, annonçant la fin prochaine de ces deux Etats. Pourtant, derrière ces figures de styles, il y avait un autre discours plus dangereux.


04.06.2008

Iran – Ahmadinejad : Le mépris de Washington

Demain, le régime des mollahs commémore la disparition de Khomeiny le fondateur du régime dont le principal slogan était d’annoncer la disparition des Etats-Unis et d’Israël. A ce titre, différents responsables du régime se sont succédés aux différentes tribunes pour louer ce message de leur Imam. Il y a eu Khatami, mais aussi Mottaki et le dernier en date Ahmadinejad qui a répété des slogans fondateurs du régime. La réponse de la Maison-blanche à ces propos relève également de slogans.


03.06.2008

Iran : La semaine en images (édition n°15)

Les évènements marquants de la semaine ont porté la marque de deux caractéristiques du régime des mollahs : le retour permanent vers le passé révolutionnaire et ses slogans et la fuite désordonnée vers l’avant.


01.06.2008

Iran : Le nouveau Khatami et le nouveau Khomeiny

Dans un discours la semaine dernière devant des étudiants dans une pièce fermée et sans présence de journalistes, Khatami a condamné l’usage du terrorisme pour exporter la révolution islamique, pratique qui selon lui trahirait l’héritage spirituel de Khomeiny. Etrange constat de la part de l’homme qui fut à l’origine des purges révolutionnaires et des commandos pour l’élimination physique des opposants exilés ! Ses propos polémiques bien que très confidentiels ont été largement commentés en Iran par le régime lui-même.
| Décodages |


07.05.2008

Iran : Khatami vole au secours du petit-fils de Khomeiny !

Ali Eshraghi, le petit-fils de Khomeiny a été privé de participation aux élections législatives de mars pour manque de qualification ! L’AFP qui recycle sans discernement les dépêches de l’agence officielle du régime, l’IRNA, présente ce cas comme une injustice supplémentaire imposée par les amis d’Ahmadinejad contre les soi-disant réformateurs : on est vraiment loin du compte.


09.02.2008

Iran, 1er février 1979 : Khomeiny et ses partisans démocrates

Cette fois, l’auteur de l’éphéméride du Nouvel Obs ne s’est pas trompé : le 1er février 1979, Khomeiny était rentré en Iran après 15 années d’exil. A son arrivée, il fit un discours sur l’illégalité du pouvoir du Chah , son discours rejoignait les exigences des démocrates longtemps qualifiés de laïques (Mossadegh, Bakhtiar…) qui exigeaient que le roi se soumette à la constitution de 1906 et au Parlement, les deux symboles de la limite du pouvoir absolu. La non-respect de la constitution de 1906 faisait du Chah un dictateur ! Mais ceux, iraniens, européens ou américains qui suivaient les avis des démocrates iraniens n’avaient sans doute jamais lu cette constitution, encore aujourd’hui présentée comme laïque. | Document choc |


02.02.2008

Iran : Les mollahs préparent une entente avec les Etats-Unis

Le rapport du renseignement américain affirmant que l’Iran avait suspendu son programme nucléaire militaire depuis 2003 a suscité des mécontentements importants au niveau des britanniques, mécontentements qui ne sont compréhensibles si l’on méconnaît l’histoire contemporaine de l’Iran.


11.12.2007

Iran : Ahmadinejad, hué par les étudiants américains

Ahmadinejad a été invité à l’Université Columbia pour répondre aux questions des étudiants. Cette invitation avait été rendue possible grâce à Gary Sick, lobbyiste universitaire au sein du Think Tank pro-mollahs « Middle East Policy Council ». En revanche, les étudiants attendaient Mahmoud au tournant et ce dernier ne les a pas déçus. Il a nié l’existence de l’Holocauste et des homosexuels en Iran.


26.09.2007

Iran : Khomeiny ne fait plus recette

Lundi 4 juin, les mollahs pleuraient la mort du démon Khomeiny, fondateur de la République islamique. Les mollahs attendaient la foule qui n’a pas été au rendez-vous malgré les moyens employés. Impossible d’impressionner les médias en montrant de belles images de rassemblement, le régime a choisi de remplacer le choc des photos par le poids des mots.


05.06.2007

Iran : 4 juin, commémoration de la mort de Khomeiny

« Le compte à rebours pour la fin d’Israël a commencé », a dit Ahmadinejad lors d’un discours commémorant le décès Khomeiny.


04.06.2007

Iran : Selon la presse, Zidane aurait dit « oui » aux mollahs !

Zidane est devenu coutumier des affaires d’amours cachées depuis quelque temps et comme d’autres préretraités français (Dumas, Lang, Dieudonné) il serait sur le point d’aller en république islamique d’Iran.


05.03.2007

L’analyse de la lettre de Khomeiny sur la bombe nucléaire

La BBC persane, qui est très écoutée et lue par les Iraniens, a publié une lettre qui aurait été écrite par Khomeiny en 1988. La lettre révèle que le fondateur de la république des mollahs voulait équiper l’Iran d’armes atomiques pour remporter la guerre contre l’Irak.


01.10.2006

[Prière du Vendredi] Ahmadinejad inspire Dieu et les chercheurs !

Le mollah Jannati (La’anti, le maudit) que nous n’avons plus besoin de vous présenter s’est lancé du haut de sa tribune de la mosquée de l’université de Téhéran dans un chant de louanges sur la prose d’Ahmadinejad (cf notre traduction).


14.05.2006

Iran, 1er Avril 1979 : Le jour du grand mensonge

Habituellement sur IRAN-RESIST nous n’avons pas pour habitude de vous faire part du courrier que nous recevons de nos lecteurs, mais pour une fois nous dérogeons à la règle, en supprimant les noms propres et après mail de confirmation de notre lecteur pour vous relater son histoire qui vous permettra de voir que dès son origine le régime islamique de Téhéran a démarré sur mensonges, carambouilles, et terreur.


02.04.2006

L’Enjeu : Et si Arafat avait fait basculer le destin de l’Iran ?

Le régime des mollahs vit, perdure et prospère grâce à son recours à l’arme du terrorisme. La main mise sur le Liban et le règlement du Contentieux nucléaire d’Eurodif par des attentats à Paris et des prises d’otages au Liban ont été ses plus importants succès des années 80, mais parallèlement, il avait enchaîné les défaites militaires dans la guerre Iran-Irak. Pourquoi ?


31.03.2006

La société de Hojjatieh Mahdavieh

Le nouveau président du régime des mollahs appartient à des cercles islamiques ultra intégristes. Le nom de Hojjatieh revient souvent. Un article écrit par un certain Abbas William (Bill) Samii prétend que le Chah était de mèche avec ces intégristes. Cette rumeur a été « copiée/collée » des centaines de fois sur Internet, mais elle est infondée voire à l’opposée de la réalité…


23.03.2006

Nowrouz : Les voeux obscènes de Ahmadinejad

Malgré les menaces qui pèsent sur l’Iran, Ahmadinejad a présenté la poursuite du programme nucléaire iranien comme un instrument d’indépendance et de progrès pour son pays.


22.03.2006

L’Iran dément l’existence de la journaliste violée et suicidée

Elham Foroutan ou Afroutan est une Iranienne de 21 ans. Elle a écrit un article dans un petit journal de la ville Portuaire de Bandar Abbas. Elle a écrit que la venue de Khomeiny en Iran était comparable à l’apparition du Sida.


25.02.2006

Khomeiny : Le Gagne-pain de Jean Daniel et l’assassin d’1,000,000 d’Iraniens

Voici une liste de 50 choses que la république islamique a apportée aux iraniens depuis 1980.... Il parait que là où l’islam s’impose le monde va mieux, alors voici le meilleur qu’ont reçus en avant première les Iraniens...


11.02.2006

Les dessous de la Révolution de Khomeiny . . . Le Vendredi Noir

Le vendredi 8 septembre 1978 est surnommé le vendredi noir. « C’est le jour où l’armée iranienne a ouvert le feu sur le Peuple. Le 8 septembre est la date officielle du début de la répression du mouvement révolutionnaire islamique par le Chah et son armée ». Cette version très répandue est néanmoins contestée par les Iraniens eux-mêmes, par ceux qui y étaient ce jour-là, par les preuves contradictoires et par de nombreux ouvrages en persan ou en français.


07.02.2006

Khomeiny a combattu l’obscurantisme jusqu’à la fin de ses jours !

Eh bien non, ces mots ne sont pas de Ahmadinejad, le primate, mais d’un ayatollah réformateur proche de Khatami, qui selon l’AFP s’est élevé contre l’utilisation des superstitions à des fins politiques.


18.12.2005

Après la condamnation du Conseil de Sécurité, les mollahs adoptent le Taqieh (mensonge nécessaire)

L’Iran a affirmé samedi qu’il n’a aucune intention d’attaquer Israël et qu’il s’estime tenu par ses engagements internationaux en vertu de la Charte des Nations Unies, a rapporté Irna.


29.10.2005

Rafsandjani : Maître absolu de la République Islamique

L’ancien président Akbar (Hachemi Bahrémani) Rafsandjani, chef du Conseil de discernement, la plus haute instance d’arbitrage et de décision de la République Islamique, a renforcé ses pouvoirs avec la décision du Guide suprême de lui déléguer un rôle de contrôle du Gouvernement , du Parlement et de la justice.


06.10.2005

Journée Int. du Souvenir des prisonniers politiques

Le 1er Septembre est reconnu par Amnesty International comme la « journée internationale du souvenir des prisonniers politiques » en souvenir du massacre de 1988 des prisonniers politiques en Iran.


02.09.2005

Khomeiny, la révolution islamique et Al-Qaïda

9.12.2004 : Le philosophe iranien Dariush Shayegan évoque, sur France culture, l’influence de la révolution iranienne sur le terrorisme contemporain (propos recueillis par Luc Chatel de Témoignage Chrétien)


13.07.2005

Arbre Généalogique des Khomeyni

Mieux qu’une Alliance Rouge-Brun-Vert ...


08.07.2002



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