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8 - 29.10.2020
Iran : L’opposition attend son heure !

Les mollahs sont sévèrement sanctionnés par Trump, mais aussi par la passivité des autres grandes puissances et enfin et surtout par les Iraniens (ainsi que plus de 99 % des miliciens ) qui veulent un changement de régime et le montrent en apportant leur soutien au prince Reza Pahlavi et sa famille et en paralysant depuis des mois les secteurs clefs touchant la sécurité du régime comme le pétrole, l’électricité, les industries lourdes et surtout les transports routiers et urbains ! Encouragés par l’isolement et l’affaiblissement du régime, les opposants ont évoqué la reprise des manifestations à partir de 25 octobre à l’occasion de divers anniversaires relatifs à la royauté. Bilan.


8 - 06.01.2011
Iran : Le Prince qui refusa le Néant

Soixante ans après le suicide à Paris de Sadeq Hedayat, le plus grand romancier iranien du XXème siècle, le Prince Ali-Réza Pahlavi, deuxième du nom, vient de se donner la mort à Boston à l’âge de 44 ans. Malgré la distance qui sépare ces deux drames dans le temps et dans l’espace, leur cause est commune et reste une constante dans la culture iranienne postislamique.

par Babak Khandani


8 - 31.05.2019
Semaines 584-586 (20 avril-11 Mai 19)
L’extension des menaces intérieures et internationales

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansarallah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen, mais aussi via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs pour tous leurs méfaits. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (SPV) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité par Trump.

Fin 2018, les mollahs, menacés de toute part, ont tiré un missile potentiellement nucléarisable susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen.

Le mouvement anti-mollahs s’est accéléré. Les Européens ont aussi puni les mollahs en excluant le pétrole de leur dispositif à venir d’échanges démonétisés. Trump a réuni la majorité des pays européens à Varsovie afin de coordonner des actions avec Israël et les Arabes contre les mollahs ! Les mollahs ont aussi été abandonnés par leurs derniers serviteurs lors du 40e anniversaire de la révolution islamique.

La Chine a alors choisi l’Arabie Saoudite. Les Européens se sont rapprochés des Arabes à Sharm-al-Sheikh par d’importants partenariats commerciaux et en acceptant leur projet de réintégrer Assad dans la Ligue Arabe. Assad s’est rendu alors à Téhéran pour demander aux mollahs de quitter la Syrie dans le respect de sa souveraineté ! Enfin, les pays musulmans, de l’organisation de la Coopération islamique (OCI), ont rejoint les Arabes en condamnant l’ingérence terroriste et déstabilisatrice des mollahs au Moyen-Orient et en excluant les mollahs du sommet parlementaire de leur organisation !

La panique a été telle que les mollahs ont déclaré une guerre judiciaire totale, officiellement anti-corruption, à tous leurs proches qui voulaient les quitter. Les mollahs ont alors tenté de relancer leur fausse opposante Nasrine Sotoudeh pour rassurer leurs proches, mais ils n’ont pas réussi.

Les mollahs ont alors eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte en laissant le pays être ravagé par les crues et les inondations ! Ces cataclysmes ont entraîné beaucoup de dégâts et des milliers de morts et de sans-abris. Ces choix ont aussi attisé la haine anti-régime et renforcé la contestation contre les mollahs et la milice administrative et sécuritaire des Pasdaran.

Washington a profité de cette hausse d’impopularité des mollahs et de leur milice pour classer cette dernière comme une entité terroriste et de fait classer le régime tout entier comme une entité terroriste. Les mollahs ont continué leur stratégie de chaos par les inondations tout en offrant un rôle de sauveurs à leurs miliciens pour les réhabiliter, mais ils n’ont pu les rendre populaires. Le résultat a été la rupture du chef du contre-espionnage de leur milice.

Avant l’élargissement des sanctions pétrolières à leur encontre, ils ont tenté de diviser la région pour sauver leur peau, mais ont seulement réussi à consolider leur isolement. Ils ont dû renforcer leurs punitions judiciaires contre leurs proches pour éviter leur chute.

Voici à présent un résumé compact et en images de trois dernières semaines qui ont suivi (20 avril – 11 mai 2019) et ont davantage renforcé les problèmes ainsi que le malaise des mollahs et de leurs proches.


8 - 26.06.2022
Sous le voile, l’Iran réel

Le régime des mollahs est dans une impasse. Il est sanctionné et ne peut pas accepter un apaisement sur le nucléaire, car il devrait alors s’ouvrir et craint le retour des pions islamistes de Washington et leur prise de pouvoir via ses propres élections. Il se doit de renforcer son terrorisme pour faire plier Washington. Il reste sanctionné. Il manque de dollars et ne peut s’approvisionner. Pour éviter les pénuries qui lui seront fatales, il bride la consommation en limitant sans cesse le pouvoir d’achat du peuple, à 97 % sous le seuil de pauvreté, mais aussi de ses propres collaborateurs. Depuis des mois, des milliers d’Iraniens manifestent quotidiennement contre le régime avec des slogans en faveur du prince Reza Pahlavi. Les miliciens, qui sont majoritairement sous le seuil de la pauvreté, aident la contestation par leur passivité ou des sabotages. Le point sur la situation.


8 - 17.07.2020
Iran : Manifestation en faveur du Roi !

En réaction à la condamnation à mort de 3 jeunes militants royalistes arrêtés lors du soulèvement de l’an dernier, les Iraniens se sont mobilisés depuis plusieurs jours. Les partisans de ces jeunes et de la chute des mollahs ont mis en garde le régime et ont appelé à manifester ce vendredi dans tout le pays. Cet appel a semé la panique et insufflé une nouvelle dynamique dans la lutte anti-régime.


8 - 05.09.2020
Iran : Sous le régime des pertes irréversibles !

Le régime des mollahs est très affaibli en raison des sanctions américaines et aussi la trahison de ses officiers des renseignements qui lui refusent leur aide pour réprimer une contestation de plus en plus forte et encouragent la lutte contre le régime en diffusant des éléments d’archives sur les grands projets de Pahlavi pour les Iraniens et l’état miteux de ces derniers par la faute des mollahs. Au cours des 3 derniers jours, sous cette double pression, l’opposition a marqué des points. Les mollahs ont aussi commis des erreurs qui devraient aggraver leur situation dans les jours à venir. Le point sur les événements du 2 à 4 septembre 2020.


7 - 05.07.2020
Iran : la guerre des Incendies et des diffamations

Un nouvel incendie a eu lieu ce samedi en Iran. La centrale thermique de fourniture d’électricité à la ville d’Ahwaz a pris feu. Qui est à l’origine de ce feu qui privera la ville d’Ahwaz d’électricité ? Certains parlent encore d’une responsabilité israélienne. Certains félicitent ce pays et d’autres l’insultent. La vérité est comme toujours bien différente. Israël n’est pour rien dans cet incendie. Voici des éléments qui permettent de désigner les vrais coupables et aussi comprendre l’insistance des affirmations de l’implication d’Israël.


7 - 23.02.2010
IRAN : THE MULLAHS’ LOBBYING NEW OUTFIT

Le Figaro published the opinions page of a certain Hamid Gharavi, lawyer of the Paris and New York Bars, which showed something disconcerting. The author appears critical towards the current leaders of the mullahs’ regime, without naming them, but he considers the Islamic revolution as a democratic and laic great moment. He also considers Khomeini as a kind democrat and laic ruler who solely wanted to re-establish morality into political choices. According to the author, sanctions against Iran would imply some sanctions against the course towards secularity. On the contrary, it’s necessary to cooperate with Iran. For those who know Iran and the exploits of the revolution, Mr. Gharavi chained-smoked ! We would like to ensure you that he didn’t smoke but he wants to smoke us out methodically.


7 - 06.11.2021
Iran : Derrière les murs,
la crise...


Les mollahs vont reprendre les négociations et relâcher leur enrichissement nucléaire anxiogène ou pas ? Nous pensons qu’il n’en sera rien, car arrivés au pouvoir illégitimement, leur seule assurance vie est la menace qui fait peser sur le Moyen-Orient et l’accès à ses réserves pétrolières. Ils acceptent de temps à autre, la reprise des négociations pour alléger leur isolement et leurs sanctions qui aggravent leur impopularité et mettent à mal leur relation avec leurs rares alliés intérieurs.


7 - 23.02.2010
Iran : Les habits neufs du lobbying des mollahs

Le Figaro a publié une tribune d’un certain Hamid Gharavi, avocat aux barreaux de Paris et de New-York, qui a quelque chose de déconcertant. L’auteur critique les dirigeants actuels du régime des mollahs, sans jamais les nommer, mais il tient la révolution islamique pour un grand moment démocratique et laïque. Il considère aussi Khomeiny comme un doux religieux démocrate et laïque qui voulait uniquement restaurer la moralité des choix politiques. Selon l’auteur, sanctionner l’Iran serait sanctionner la marche en avant vers la laïcité, il faut au contraire coopérer avec l’Iran. Pour ceux qui connaissent l’Iran et les exploits de cette révolution, Maître Gharavi a fumé ! Nous vous assurerons qu’il n’a pas fumé, mais veut nous enfumer avec méthode.




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