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Iran : Les mollahs adorent l’affaire DSK ! L’affaire DSK passionne les médias. En Iran, les mollahs sont ravis, non par passion pour DSK, mais parce qu’on ne parle plus d’eux alors qu’en raison du refus des Pasdaran à réprimer les manifestations, ils ont du mal à gérer un contexte intérieur très difficile. Les mollahs prient pour que cela dure afin de continuer à dissimuler leur malaise et préparer une grande crise internationale pour pousser Washington à négocier une entente avant qu’ils ne chutent. Iran : Les Occidentaux cherchent à faire diversion Il y a une semaine, l’actualité iranienne était la remise en cause par les mollahs de leur engagement à Genève qui n’avait suscité aucune réaction négative des Six. Les médias occidentaux ont alors occulté cette information en comblant le vide avec la rumeur bidon de la « judaïté d’Ahmadinejad ». A présent, l’actualité iranienne est toujours la même, mais cette fois, on occupe les lecteurs avec le cas de « Fariba Pajooh, traductrice du quotidien espagnol El Mundo en Iran », injustement arrêtée par le régime pour son soutien au Mouvement Vert. Iran : Le pétrole en représailles contre l’offensive israélienne En représailles à l’intervention militaire israélienne à Gaza, un milicien des Pasdaran a appelé dimanche les pays islamiques « à ne plus vendre de pétrole aux pays qui soutiennent Israël ». OPA russe sur l’OPEP de gaz ! Les pays exportateurs de gaz ont adopté la charte du nouveau Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) qui aura son siège social au Qatar. Selon Sergueï Chmatko, le ministre russe de l’Energie, « une nouvelle organisation est née aujourd’hui ». Iran : L’incidence du prix du pétrole sur l’économie iranienne L’OPEP baissera sa production, mais cela ne sera pas suffisant pour faire remonter le prix du baril. Cette info a inspiré une analyse à Jean-Michel Bezat du Monde qui pense que l’Iran sera durement touché. C’est la preuve d’une parfaite méconnaissance de la situation économique en Iran. Gaz : Iran, Qatar et Russie s’unissent pour résister à la crise L’Iran, le Qatar et la Russie, les trois principaux producteurs de gaz, ont convenus mardi à Téhéran de former un club pour dynamiser leurs exportations. Bien que ses trois initiateurs s’en défendent, le projet recèle l’idée d’une OPEP de gaz, un projet dont la Russie ne voulait pas. Ce retournement est une des conséquences de la crise financière conçue par Washington comme un outil pour endetter ses créanciers : les institutions financières de la Chine, de l’Europe, des Etats pétroliers arabes et de la Russie (qui vivaient au-dessus de leurs moyens comme leur débiteur). Iran : Adieu à l’OPEP de Gaz Lors du Congrès mondial du pétrole à Madrid, le ministre russe du pétrole s’est opposé à la création d’une OPEP de Gaz. Il a été imité sur ce point par Nozari, le ministre iranien du Pétrole, bien que ce projet avait été décidé en février 2007 à Téhéran par le n°1 officiel du régime, le guide suprême de la révolution islamique, l’ayatollah Khamenei. L’Iran, un instrument pour dérégler le marché et nuire à la Chine A Madrid au XIXème congrès mondial du pétrole (qui se tient tous les trois ans), le ministre iranien du pétrole Nozari a affirmé que « la république islamique d’Iran oeuvrait pour la stabilité du marché du pétrole ! » AFP | L’Irak va octroyer des contrats à 41 compagnies pétrolières Benjamin Morgan | Agence France-Presse | Bagdad | Les autorités irakiennes, soucieuses d’augmenter la production d’hydrocarbures, ont annoncé dimanche qu’elles allaient attribuer des contrats à 41 compagnies pétrolières étrangères pour l’extraction de pétrole dans le nord et le sud du pays. L’Iran aurait décidé d’une hausse d’1 million de barils par jour ! Alors que Téhéran proteste contre la décision saoudienne d’augmenter sa production de 300,000 barils par jour suite à une demande apparente américaine, le vice-ministre iranien du Pétrole a fait état dans les médias iraniens d’une augmentation d’un million de barils par jour de la production de brut iranien. Est-ce un tournant décisif et révolutionnaire de la diplomatie iranienne ? Dollar-Euro : L’OPEP pourrait suivre l’avis de l’Iran Selon l’agence britannique Reuters, l’OPEP pourrait à terme abandonner le dollar au profit de l’euro pour fixer le prix du baril. L’annonce a été faite par l’actuel secrétaire général de l’OPEP, le libyen Abdallah al Badri dans un entretien à paraître dans la prochaine livraison du Middle East Economic Digest (MEED). OPEP : L’Iran demande une baisse de production Le ministre iranien du Pétrole Nozari n’a pas exclu dimanche une baisse du quota de production de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) lors de son prochain sommet en mars. Iran : La crise nucléaire occulte des enjeux pétroliers historiques L’agence britannique Reuters évoque dans une de ses dernières dépêches, qu’un nouveau modèle de centrifugeuse qui permet d’enrichir l’uranium plus rapidement est à l’essai au centre de recherches nucléaires iranien de Natanz. Malgré l’absence d’inspection sur ce site, Reuters est catégorique alors que tout est fondé sur des rumeurs ! Cette affirmation n’est pas anodine car elle contient un message caché de reconnaissance régionale pour le régime des mollahs. | Décodages géopolitiques d’une rumeur peu anodine. | Iran : A l’OPEP, Ahmadinejad accuse presque les saoudiens de trahison ! Le président de la République Islamique d’Iran, Mahmoud Ahmadinejad, a qualifié l’Organisation de Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP) d’« organisation économique et énergétique très importante », mais qui « se trouve sous pression politique et économique, raison pour laquelle les combustibles fossiles n’ont pas encore trouvé la place qui leur est due au sein de cette organisation ». Iran - sanctions : Le bras de fer entre les Etats-Unis et la Chine Le rapport d’El Baradei qui traitait non pas de l’état des activités nucléaires iraniennes, mais de la qualité de la coopération entre les mollahs et l’AIEA a suscité des réactions très différentes. Téhéran a accueilli avec bonne humeur ce rapport qui lui a décerné des bons points, les mollahs ont même rebondi en réaffirmant qu’ils souhaitaient continuer cette bonne coopération qui semble satisfaire l’AIEA. Tour d’horizon des autres réactions. OPEP : Ahmadinejad veut politiser le débat En septembre dernier, les mollahs ont obtenu une remarquable victoire au sein de l’OPEP en réussissant de retarder de 3 mois une augmentation de la production malgré les recommandations pressantes de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) qui représente les intérêts énergétiques des pays industrialisés. Ils avaient réussi à aligner les 12 pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole sur leur position très politisée dictée par la nécessité de faire flamber les prix pour hypothéquer les chances d’adoption de nouvelles sanctions à leur encontre. Ce délai de 3 mois a expiré et les pays membres se retrouvent pour parler pétrole. Iran : Le baril monte, Téhéran est ravi Les cours du pétrole brut ont légèrement baissé vendredi après avoir dépassé la veille, pour la première fois, le seuil des 90 dollars le baril, mais Gholam Hossein Nozari, le ministre iranien du Pétrole, estime que « le prix du pétrole est encore trop bas ». Pétrole : L’OPEP ne croit pas à la menace Turque, mais à une autre menace Les prix du pétrole ont dépassé pour la première fois de leur histoire les 88 dollars à New York et les 84 dollars à Londres mardi. Selon les médias occidentaux, cette hausse serait due au risque d’une éventuelle offensive turque à la frontière irakienne car le pétrole extrait dans le nord de l’Irak est acheminé hors du pays via un oléoduc aboutissant au terminal Turc de Ceyhan, sur la Méditerranée. OPEP : Une petite victoire remarquable pour l’Iran Les pays membres de l’OPEP ont finalement refusé de suivre les recommandations de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) qui représente les intérêts énergétiques des pays industrialisés. Téhéran avait appelé à ne pas voter une augmentation. La hausse adoptée est le quart de la hausse demandée. C’est une petite victoire pour Téhéran. Iran : L’OPEP ne veut pas être instrumentalisée par Washington L’OPEP doit-elle augmenter sa production ? Telle était la question qui a occupé les pensées de tous les acteurs de la crise nucléaire iranienne. Iran : L’AIE se prépare à un embargo sur le pétrole iranien Depuis une semaine, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) qui représente les intérêts énergétiques des pays industrialisés, appelle l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) à augmenter sa production lors de sa réunion du 11 septembre : le cartel devrait selon elle mettre sur le marché 2,5 mb/j de plus pour le quatrième trimestre, pour faire face à une plus forte demande à l’orée de l’hiver. Iran : Les mollahs veulent un baril cher Depuis le début du bras de fer nucléaire entre Téhéran et la communauté internationale, le régime des mollahs avait toujours promis de faire monter le prix du baril à 200 $, 400 $, voire à 500 $. Ces menaces avaient été proférées chaque fois que la communauté internationale avait évoqué un renvoi du dossier nucléaire iranien devant le Conseil de Sécurité. Le dossier fut envoyé devant ce Conseil et il n’y eut aucune explosion des prix. Depuis, les mollahs ont changé de méthode et de menaces, mais l’objectif reste de maintenir les prix élevés. Planete Energies | Le marché international du pétrole : les majors Aujourd’hui, les principales compagnies pétrolières internationales, celles qu’on appelle les majors, sont au nombre de 5 : Iran : Déçu par le baril à 57 dollars Les cours du pétrole poursuivent leur dérive depuis lundi, en deçà de 57 dollars le baril de brut, malgré les tensions créées par le régime des mollahs qui espéraient ainsi influer sur les cours du pétrole afin d’empêcher l’adoption de nouvelles résolutions à son encontre. Pétrole : L’Iran est contré par l’Arabie Saoudite au sein de l’OPEP Depuis le début du bras de fer nucléaire entre Téhéran et la communauté internationale, le régime des mollahs a promis de faire monter le prix du baril à 200 $, 400 $, voire à 500 $. Or, les tendances indiquent un mouvement contraire et le baril ne cesse de descendre. Iran : Ahmadinejad (es)cale à Alger ! La politique irakienne des mollahs a provoqué des sentiments anti-iraniens qui ont accentué l’isolement international de l’Iran. La tournée Sud Américaine d’Ahmadinejad était une sortie pour prouver aux Américains que l’Iran n’était pas isolé. Mais il fallait aussi que les mollahs puissent prouver la même chose « aux arabes ». Iran : mauvaises nouvelles pétrolières L’arme du pétrole des mollahs : il semble que cette arme soit avant tout un effort accru de communication sur le pétrole. Depuis des mois, chacun s’attendait à ce que la crise iranienne ne conduise à une flambée incontrôlable des prix et les experts autoproclamés officiant via le net parlaient même du baril à 500 $. France-Iran : Les conséquences internationales du rapprochement Une réunion extraordinaire du Comité exécutif de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI) consacrée au Proche-Orient se tiendra mercredi dans la capitale malaisienne, Kuala Lumpur. Cette réunion a été convoquée sur l’initiative du régime des mollahs, avec l’appui de la Malaisie, présidente de l’OCI, et de la Turquie, dont un représentant occupe le poste de secrétaire général de cette organisation. Iran nucléaire : Les leçons de Shanghaï Comme nous l’avions prévu dans l’article qui traitait de l’annulation de la visite de Larijani en Europe, il y avait un lien de cause à effet entre cette annulation annoncée le 14 juin et le voyage de Ahmadinejad à Shanghai le 15 juin [1]. Nous avions effectivement vu juste : le régime des mollahs voulait se concerter avec ses alliés du moment : la Chine et la Russie. L’AIE et l’OPEP peuvent compenser l’absence d’exportations iraniennes L’Agence internationale de l’Energie (AIE) pourrait compenser une absence éventuelle d’exportations de pétrole iranien pendant « de nombreux mois », a affirmé vendredi à Bruxelles son directeur exécutif, Claude Mandil. L’OPEP et le dossier nucléaire iranien Les prix du pétrole ont significativement reculé lundi, les investisseurs misant sur un maintien des quotas de production de l’OPEP et faisant preuve d’optimisme sur l’issue du dossier nucléaire iranien. Le baril de brut a perdu 1,26 dollar, clôturant à 62,41 USD. OPEP : Le Venezuela apporte son soutien à l’Iran Le Venezuela va apporter son soutien à l’Iran dans la dispute qui oppose Téhéran à l’Occident sur son dossier nucléaire, a déclaré lundi le ministre vénézuélien de l’Energie Rafael Ramirez. Les seuls alliés valables de l’Iran au Conseil des Gouverneurs sont ses clients L’Iran militera mardi à Vienne en faveur d’une réduction de la production de brut de l’OPEP pour faire pression sur les Occidentaux qui, deux jours après la réunion du cartel, doivent se prononcer sur l’éventuel transfert à l’ONU du dossier nucléaire de Téhéran. OPEP : Les Saoudiens se prononceront pour une augmentation de la production Les mollahs essaient de convaincre les dix autres pays membres du cartel (Arabie saoudite, Algérie, Indonésie, Irak, Koweït, Libye, Nigeria, Qatar, Emirats arabes unis, Venezuela) pour demander une baisse de la production. Afin que l’OPEP ne puisse pas remplacer les barils de l’Iran si ceux-ci venaient à manquer. L’OPEP : Sans états d’âme vis-à-vis de l’Iran Régulièrement, l’OPEP décide de baisser sa production afin de garder le prix stable ... L’OPEP a une dizaine de jours de décider de sa politique de production pour les mois à venir. Elle risque de se retrouver entraînée malgré elle dans la querelle entre l’Iran et l’Occident sur le nucléaire ... Le Qatar ou le placebo AVANT PROPOS d'IRAN-RESIST : La France cherche des remplaçants pour son fournisseur préféré : l’Iran. Elle a jeté son dévolu sur le Qatar et s’ingénie à donner un packaging démocratique et ambitieux à ce choix. Pétrole : l’Arabie s’engage à approvisionner « suffisamment » le marché L’Arabie saoudite s’est engagée samedi à alimenter « suffisamment » le marché pétrolier, mais a appelé les principaux pays consommateurs à réduire les taxes sur les produits pétroliers pour contrer la hausse des prix. [Retour à l'index des mots-clés] |