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1 - 29.12.2010
Iran : Neda n’est pas morte pour Sotoudeh !

Il y a plus d’un an du 15 au 25 juin 2009, des centaines de milliers de personnes défilaient dans les rues iraniennes avec des slogans hostiles au régime alors que pendant des années, des lobbyistes du régime avaient répété un peu partout que « le peuple ne voulait plus de révolution ». De ce côté-ci, sur Youtube, des millions de personnes ont découvert un peuple désireux de changements, mais les médias officiels ont fait obstruction car un changement de régime signifie l’annulation des contrats pétroliers au rabais que signent les mollahs pour qu’on les laisse faire. Dans ce climat étrange, le visage ensanglanté de Neda a brisé le silence. Elle est si loin à présent : les Occidentaux ont remplacé la pure Neda par Sakineh la meurtrière qui ne représente aucun combat politique. Et comme s’il ne suffisait pas d’avoir ainsi dépouillé la révolte de son symbole, tous les jours on diffuse des nouvelles de faux opposants, partisans de Moussavi, un des fondateurs les plus zélés du régime islamiste, pour nier l’envie d’un changement de régime.


1 - 12.03.2011
Iran : Le régime agonise, ses amis se mobilisent !

Il y a une semaine, le peuple iranien boycottait encore l’opposition officielle du régime des mollahs qui veut sauver le régime. Les Etats-Unis avaient alors tourné le dos aux Iraniens en apportant leur soutien à cette fausse opposition donc au régime car ils ont besoin de cet agitateur islamique pour déstabiliser l’Asie Centrale. Cette absence de soutien aux Iraniens n’a pas changé la donne : l’échec de la fausse opposition a convaincu les derniers collaborateurs du régime à prendre leur distance avant la première manifestation hostile au régime prévue pour le 15 mars. Cela a inquiété Washington. Il a proposé la reprise du dialogue pour geler de facto les sanctions qui pénalisent le régime. Téhéran n’a pas accepté car il ne veut pas de dialogue : cela l’obligerait à accepter un apaisement contraire à ses intérêts. Washington a laissé tomber cette piste, il vient d’autoriser un de ses partenaires européens à investir des dizaines de milliards de dollars en Iran !


1 - 09.04.2012
Iran : La semaine en images n°216

Il y a une semaine finissait les festivités de Norouz, le nouvel an iranien, honni par les ayatollahs car elle remet en cause l’identité islamique d’Iran et donc leur légitimité. Les Iraniens ont mis un point d’honneur à célébrer le plus massivement possible le dernier rituel de cette fête, la fête champêtre de Sizdeh Bedar, pour bien montrer leur hostilité au régime et à l’identité islamique qu’il veut imposer au pays.

Les Pasdaran, « Gardiens » de la révolution islamique, qui au cours des 15 derniers mois n’ont cessé de boycotter les manifestations officielles du régime, étaient aussi de la partie en laissant le peuple agir à sa guise, confirmant davantage leur rupture avec le régime et leur soutien à un soulèvement populaire hostile au régime.

Au même moment, les mollahs devaient célébrer l’anniversaire du référendum qui a aboli la monarchie laïque et progressiste des Pahlavi et installé à sa place le régime islamiste rétrograde que l’on connaît. Ils ont préféré oublier les festivités de peur d’un boycott qui serait un référendum à l’envers.

Washington n’a guère salué ce rejet sans appel du modèle islamiste car contrairement aux idées reçues, il ne veut pas la chute du régime islamique. En fait, Washington a été à l’origine de la révolution islamique de 1979 pour porter au pouvoir des islamo-fédéralistes qu’il finançait depuis 1954. Ces gens devaient agiter la région et détruire la Russie soviétique pour permettre à Washington de prendre pied en Asie centrale et de là, déstabiliser la Chine. Mais ces pions de Washington ont été chassés du pouvoir par les mollahs. Washington sanctionne uniquement les mollahs pour les forcer à restituer le pouvoir à ces pions.

Le processus est d’affaiblir l’économie iranienne, provoquer un risque de pénurie, une envie de soulèvement afin d’intimider les mollahs et leurs forcer la main. Mais l’objectif étant une passation de pouvoir via un rapprochement avec Washington et des « élections libres » organisées par les deux parties, à chaque fois que le peuple avance trop vers le renversement du régime, Washington recule d’un pas ou allège ses pressions. Ainsi, durant l’été 2009, quand le peuple était dans la rue (donc proche de la victoire), Obama a refusé tout soutien à un changement fermant les yeux sur les répressions.

La semaine dernière, Washington a évoqué de nouvelles sanctions très fortes pour amener Téhéran à ouvrir la porte à ses pions, mais il a aussi évoqué l’opposition de certains de leurs alliés à l’application des sanctions annoncées, pour se donner les moyens de ne pas appliquer ses mesures trop fortes et susceptibles de balayer le régime. Les mollahs n’ont pas accepté l’ouverture qui leur paraît inacceptable.

Cette semaine, les mollahs devaient organiser pendant trois jours la première partie du deuil en mémoire de Fatemeh, fille du prophète, qui selon les légendes chiites est morte en martyre tuée par Abu-Bakr, le premier des califes sunnites. Dès le 1er jour, le peuple, les Pasdaran et les responsables du régime n’ont pas été au rendez-vous. Le régime a oublié de parler de Fatemeh pour cacher ce nouveau boycott sans appel. Pour détourner l’attention de l’absence de mobilisation en mémoire de Fatemeh pendant les jours suivants, il lui fallait un scandale : Rafsandjani, l’ex-patron politique du régime, a laissé entendre que Khomeiny avait envisagé de renouer les relations avec Washington et le reste des responsables ont poussé des cris d’horreur !

Certes le régime a réussi à combler les colonnes de ses journaux avec un autre sujet que le programme initial qui avait été perturbé par le boycott du peuple, mais l’annonce d’une possible réconciliation a sonné comme l’acceptation d’une défaite et a semé la panique chez les derniers collaborateurs fidèles au régime qui seront certainement poursuivis en cas d’un changement de dirigeants. La journée a été marquée par des ventes massives d’actions à la Bourse de Téhéran dont l’indice a chuté de plusieurs centaines de points. Visiblement, les collaborateurs du régime s’y étaient à nouveau précipités pour brader leurs actions afin de réunir les fonds nécessaires pour fuir le pays.

Le régime était boycotté par le peuple et il était sur point d’être lâché par ses derniers fidèles. Washington a reparlé de sanctions et de dialogue pour obtenir le rapprochement bilatéral nécessaire pour la passation des pouvoirs. Les mollahs ont multiplié les attaques contre la Turquie, intermédiaire dans le dialogue avec Washington, pour provoquer la rupture, mais Washington a esquivé tout conflit par le silence. Le régime a donc eu une semaine bien laborieuse. Les images de la semaine montrent un aperçu assez fidèle de la fragilisation continuelle du régime des mollahs.


1 - 24.04.2011
Iran : La semaine en images n°166

Cette semaine, l’actualité a été encore une fois dominée par une nouvelle hausse vertigineuse du prix de l’or due à des achats de plus en plus importants de cette valeur-refuge par un nombre plus important de gens aisés du régime qui ne croient plus en sa survie. La demande a été si importante que la banque centrale a manqué de pièces à vendre !

Rappelons que cette ruée vers l’or, indice d’un manque de confiance dans la survie du régime, avait commencé quand les diverses forces armées du régime avaient refusé d’intervenir pour disperser ou réprimer les rassemblements contestataires de la fête du feu.

La ruée vers l’or s’était installée car le régime a été incapable de prouver qu’il jouissait du soutien d’une partie de la population à défaut de jouir du soutien de ses forces armées.

Cette semaine, on a rapidement manqué de pièces d’or et frôlé la banqueroute économique car les forces armées (les militaires, les Pasdaran et les bassidjis) ont boudé le défilé de la journée de l’armée qui avait lieu ce lundi ! Le régime est allé au bord du précipice.


1 - 27.05.2011
Iran : Ahmadinejad, incendiaire involontaire !

Lundi, Washington devait annoncer de nouvelles sanctions contre les fournisseurs de carburant aux mollahs. Pour neutraliser, l’effet démoralisant de l’annonce, les mollahs ont annoncé ce lundi l’inauguration par Ahmadinejad d’une nouvelle raffinerie capable de pourvoir aux besoins du pays en carburant alors que le régime n’avait aucun programme de ce genre en construction. La raffinerie en question a explosé pendant l’inauguration annoncée quand Ahmadinejad a appuyé sur un bouton pour démarrer son activité ! La honte ! Certains ont immédiatement évoqué l’hypothèse d’un attentat américain, mais Téhéran qui accuse régulièrement Washington pour le provoquer afin de l’amener à reculer a pris le parti d’insister sur une explosion accidentelle due à la vétusté des équipements avoisinants ou la précipitation dans l’inauguration d’un équipement non achevé. Face à cette insistance incongrue comportant un impossible aveu de l’incapacité du régime, il nous est paru utile d’envisager toutes les hypothèses et leur pertinence dans le contexte actuel pour comprendre les raisons de cette insistance du régime, mais aussi savoir s’il s’agissait plutôt d’un accident ou plutôt d’un attentat et dans ce cas, qui a plutôt été à l’origine de cette opération.


1 - 18.06.2011
Iran : Un hippopotame dans l’espace

La république islamique a annoncé l’envoi dans l’espace d’un singe en 2012. Téhéran parle en fait de l’amélioration de ses capacités balistiques. Il s’agit non pas d’un sujet spatial, mais d’une insinuation militaire pour provoquer une escalade avec Washington afin que la perspective d’une guerre pousse ce dernier à capituler face à Téhéran.


1 - 23.01.2012
Iran : La semaine en images n°205

Il y a trois semaines, au moment où Reza Pahlavi a lancé un appel à la communauté internationale pour aider les Iraniens à se débarrasser du régime islamique en traînant son chef spirituel devant la cour pénale internationale, les officiers des Pasdaran ont unanimement boycotté la journée de soutien au Guide. Les Pasdaran qui boycottaient les manifestations officielles depuis plus d’un an ont ainsi montré qu’ils ne jouaient pas une carte personnelle, mais qu’ils étaient au côté du peuple en faveur d’un changement du régime.

Les précédents boycotts des Pasdaran avaient paniqué des hommes d’affaires qui collaborent avec le régime : ils avaient commencé à liquider leurs avoirs pour acheter de l’or et des dollars (sur le marché libre en dehors des limites imposées par le régime) afin de pouvoir quitter le pays si les Pasdaran allaient plus loin. En prenant position en faveur d’un changement de régime au côté de Reza Pahlavi, les Pasdaran sont allés très loin : la cote du régime a évidemment chuté : dès le lendemain, les hommes d’affaires du régime ont accéléré leurs transactions afin de fuir dès que possible.

Le régime a été confronté à une très forte demande de dollars alors qu’il manque de devises et ne peut même pas satisfaire la demande de base nécessaire pour les importations. La demande survoltée allait mettre en évidence ses faiblesses et allait inciter d’autres collaborateurs à s’enfuir. Le régime s’est mis à parler de fermeture du détroit d’Ormuz ou de production accélérée de matière fissile pour provoquer une grande crise internationale afin que le risque d’une guerre détourne l’attention des Iraniens de l’envie de fuite de ses plus proches collaborateurs. Pour que les Iraniens ne saisissent pas cette opportunité pour se soulever.

On n’a alors guère entendu les Américains, si prompts à aider les peuples, car contrairement aux idées reçues, ils ne veulent pas la fin du régime islamique, mais le transfert des pouvoirs à leurs pions afin de disposer d’un allié islamiste naturellement agitateur pour soulever l’Asie Centrale contre les Chinois. Washington a même envoyé vers les mollahs son plus important allié stratégique de la région, la Turquie, avec une offre de 15 milliards de dollars d’investissement pour renflouer leur régime afin d’empêcher la chute de l’islamisme en Iran.

Les mollahs ont augmenté l’offre et promis des quantités illimitées de dollars bon marché dans l’espoir de rassurer leurs hommes d’affaires ou collaborateurs paniqués. Mais leur inquiétude n’est pas provoquée par un manque de devises, mais leur extrême vulnérabilité commune depuis la rupture des Pasdaran. C’est pourquoi l’arrivée de dollars bon marché a été vue comme une aubaine pour se remplir les poches : la demande a été multipliée par 4 ! Le dollar est reparti en hausse au rythme invraisemblable d’au moins 17% par jour. Chacun pouvait voir que la cote de confiance interne au régime était au plus bas.

Le régime devait neutraliser ce nouvel incendie et provoquer une crise qui l’éclipserait aussi. Pour neutraliser la crise, il a annoncé des punitions à l’encontre des gens qui achetaient le dollar plus haut que le prix officiel. Pour éclipser la crise, il a mis en scène un attentat à Téhéran en précisant que la victime était le responsable des achats de matériaux militaires pour son programme nucléaire. Washington n’a pas hurlé pour ne pas prendre le risque d’adopter des sanctions susceptibles de renverser le régime qu’il veut contrôler. Sachant que les mollahs continueraient dans cette voie, Washington a même incité ses alliés comme le Japon et l’Inde à revenir sur de précédentes promesses de sanctions. Le régime a été définitivement privé du ramdam qu’il souhaitait pour éclipser ses problèmes. Il a misé sur la terreur en mettant en scène des pendaisons…

En fin de semaine dernière, le boycott par le peuple et les Pasdaran des deuils chiites d’Arbaeyn a rappelé l’isolement et l’impopularité du régime. La panique devait gagner en intensité et il n’avait pas moyen de la cacher ou détourner l’attention des gens. Le régime a interdit la vente anonyme de dollar chez les agents de change. L’obligation de présenter sa carte d’identité aux agents de change a refroidi les acheteurs qui sont des « collaborateurs dissidents ». Les prix sur la devanture des agents de change se sont figés, les achats ont cessé et sont devenus souterrains. Le régime a annoncé des punitions lourdes contre les revendeurs non autorisés du marché noir, c’est pourquoi les acheteurs les plus prudents ont délaissé le dollar pour l’or qui a commencé à augmenter après plusieurs mois de calme grâce à la limitation de l’offre.

Cette semaine, la vedette et le vecteur de la crise a été l’or ! L’or a coulé d’entre les doigts du régime dans la poche de ceux qui souhaitent le quitter. Les prix des produits en or sont montés en flèche (le dollar a suivi la même trajectoire, mais plus discrètement). Le régime a tenté de limiter les dégâts en niant les deux crises et en tentant de détourner l’attention des Iraniens avec des provocations ou une interminable polémique sur les seins nus de Golshifteh Farahani, l’ex-ambassadrice cinématographique du régime qui aujourd’hui, dans un rôle de dissidente officielle vit en France pour être la voix de la jeunesse alors qu’elle ne fait rien contre le régime et combat même l’opposition. C’est bien révoltant de voir que l’on parle de son strip-tease alors qu’un pays est en feu, mais c’est aussi réjouissant de constater que le régime est à court de provocations et doit s’accrocher à la petite culotte d’une starlette. La prochaine étape sera sans doute un sex-tape de cette fille. En attendant voici les dernières images d’Iran et des efforts futiles du régime pour retarder sa chute.


1 - 24.07.2011
Iran : La semaine en images n°179

Depuis toujours, nous parlons de la politique américaine de sanction et de dialogue conçue pour affaiblir les mollahs et leurs associés afin de les amener à céder les pouvoirs politiques et économiques aux pions américains pour permettre à Washington de contrôler un Etat intégriste et agitateur pour pouvoir déstabiliser l’Asie Centrale chinoise.

Au cours des dernières semaines, le refus catégorique de mollahs et de leurs associés, quels que soient les sanctions ou les compromis américains, a entraîné la rupture des militaires et des jeunes Pasdaran. Cette rupture a en quelque sorte condamné le régime : ses associés ont paniqué et se sont mis à brader leurs actions et leurs biens pour acheter de l’or et des dollars en vue de préparer leur fuite. Les mollahs se sont mis à menacer Washington pour provoquer une escalade guerrière susceptible de le faire reculer. Leurs échecs avaient accéléré la frénésie des transactions…

La semaine dernière, cette agitation interne a provoqué l’effondrement de la bourse de Téhéran : les associés ont fini par vendre toutes leurs actions. Le régime a évoqué la création d’une bourse iranienne du pétrole pour s’enrichir tout en provoquant une hausse du baril pour faire reculer Washington, mais personne ne l’a pris au sérieux. Il a fini par annoncer son ouverture à un dialogue équitable avec Washington : il espérait utiliser la réponse positive de Washington pour rassurer ses associés paniqués.

Samedi dernier, Washington a accepté l’offre en envoyant le président pakistanais en Iran avec un contrat-cadeau d’achat gazier d’une valeur d’1 milliard de dollars. Mais en l’absence de résultats, le président pakistanais a annoncé qu’il ne réglerait plus ses factures en dollars, mais en rial iranien (qui ne vaut rien), privant les mollahs d’une de leurs dernières sources de devises. Le régime allait manquer de dollars, il allait vers la pénurie et le risque des émeutes forcément fatales en l’absence de soutien des Pasdaran.

En début de cette semaine (au lendemain de la claque infligée par Washington), les associés paniqués ont acheté l’équivalent de 30 milliards de dollars en lingots d’or ! Ils étaient visiblement désespérés. Ils avaient par ailleurs réussi à faire leurs valises. Les rats pouvaient quitter le navire ! Le régime devait les rassurer les retenir. Il ne pouvait plus parler de sa puissance économique pour les séduire : il s’est lancé dans des annonces autoritaires et sécuritaires grandiloquentes pour évoquer une forte capacité à défendre ses associés. Les images de presse de la semaine nous permettent de d’affirmer que la semaine a été placée sous le signe du mensonge et de la mystification. Voici la semaine mytho des mollahs !


1 - 14.12.2010
Iran - Salehi : Une nouvelle stratégie au sommet

En se basant sur la presse iranienne (contrôlée par le régime), les médias étrangers affirment que Mottaki, le ministre des affaires étrangères de la république islamique a été limogé car il avait accepté de faire un geste de modération dans la politique nucléaire du régime. Les médias occidentaux devraient mieux étudier la constitution iranienne : le programme nucléaire n’est pas géré par le ministère des affaires étrangères, mais par le Conseil national de Sécurité. Téhéran manipule les Occidentaux. Il cache son jeu. | Décodages |


1 - 23.11.2010
Iran : Des dialoguistes à Téhéran !

Récemment suite au refus des mollahs de dialoguer sur le nucléaire, l’Unesco s’est retirée des manifestations organisées à Téhéran pour célébrer la Journée mondiale de la philosophie. L’Unesco a remplacé la Conférence à Téhéran par un colloque à Paris. Cependant, la conférence prévue à Téhéran a commencé ce dimanche avec des dizaines de participants occidentaux y compris des habitués de l’Unesco. | enjeux culturels et images |




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