Accueil > Résultats de recherche - dca
Résultats de la recherche « dca » triés par

0 | ... | 30 | 40 | 50 | 60 | 70 | 80 | 90 | 100 | 110 | ... | 160

2 - 22.11.2018
Semaine 558-559-560 :
Seuls au monde et en Iran !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, en décalquant la diplomatie islamophile anglaise pour contrer la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car cet ersatz avait produit des troubles géopolitiques graves contraires aux intérêts des grandes compagnies pétrolières américaines et profitables aux Anglais et les Chinois qui les talonnent en Afrique. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie américaine basée sur la fin de l’islamisme et le rapprochement avec la Russie pour contrer les Anglais et leur suprématie pétrolière mondiale.

(chantage terroriste & clientélisme |saison 1) Les mollahs ont alors soutenu les Houthis pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur instabilité et leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour menacer le rapprochement de Trump avec Poutine. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier et aussi pour affaiblir les Anglais. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad !

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars ou de l’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les 30 députés du régime encore présents au Parlement, privés d’accès du dollar, ont remis en cause leur confiance à Rohani pour le forcer à leur accorder des dollars pas chers !

(chantage terroriste & clientélisme | saison 2) Les mollahs ont alors tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ont amplifié l’hostilité de la Russie et des autres pays riverains de la Caspienne et leur unité pour aboutir un bon statut anti-BP.

La panique interne s’est amplifiée. Les mollahs ont songé à une fausse révolution de couleur et ont fâché leurs proches collaborateurs qui pouvaient y perdre tout. Ils ont encore tenté de déstabiliser l’Irak et la Syrie... Trump en a profité pour proposer une réunion au Conseil de Sécurité afin d’adopter de nouvelles sanctions mondiales à l’encontre de leur terrorisme qui était unanimement condamné.

(chantage terroriste & clientélisme |nouvelle version) Les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux en accusant les alliés régionaux de Trump pour se victimiser, échapper aux sanctions et trouver des alliés, de préférence les Européens, pour tenir tête à Trump, tout en lui proposant le dialogue pour aboutir à un deal sans aucune exigence de sa part. Les 4+1 instrumentalisés par les mollahs les ont punis en maintenant leur proposition de business démonétisé, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Le dollar allait manquer. La demande de dollar a augmenté. Les mollahs ont promis des dollars soldés à leurs collaborateurs paniqués à condition qu’ils investissent beaucoup d’argent dans les entreprises moribondes du régime. Mais cela n’a pas marché. Ils ont alors promis des allocations plus fortes aux plus pauvres pour les réunir autour du Guide. Mais ce fut encore un cuisant échec.

Ils ont alors simulé l’adhésion à la Convention contre le Financement du Terrorisme (CFT) pour obliger les Européens à les fréquenter. Mais leur texte était opposé à cette convention et a seulement réussi à convaincre tout le monde qu’ils ne pouvaient pas s’assagir.

Les Anglais ont tenté de bloquer la victoire annoncée de Trump en disloquant son équipe par un complot visant à attribuer à MBS l’assassinat d’un agent islamiste qui est proche du prince saoudien qui a leur soutien. Mais Washington a soutenu MBS et les autres grandes puissances n’ont pas suivi les Anglais. Parmi ces pays, les Européens ont aussi souligné le terrorisme des mollahs contre les opposants à leur régime et leurs liens avec l’Al Qaeda.

Dernièrement, les mollahs ont nié ces succès de Trump pour s’éviter plus de ruptures avec leurs collaborateurs financiers ! Surprise : une douzaine d’officiers chargés de la sécurité de ses frontières ont déserté et fui vers le Pakistan ! Les opposants au régime ont aussi profité de la situation et ont renforcé leur action contre le régime ! La panique interne s’est alors amplifiée.

Les mollahs ont demandé de l’aide à Oman, au Qatar et à la Russie et n’ont obtenu aucun soutien ! Ils ont alors autorisé leurs proches à exporter en contrebande des produits pétroliers soldés à 95% pour qu’ils restent en Iran, mais ils n’ont pas réussi à contenir la crise. Ce choix de promouvoir la corruption et le désordre a aussi convaincu leurs partenaires internationaux qu’ils ne pouvaient pas assurer leurs intérêts en Iran.

Trump a profité de l’occasion pour étendre ses sanctions contre les mollahs et à ouvrir des négociations avec les Européens pour les convaincre d’afficher leur hostilité aux mollahs pour accélérer leur chute.

Les Russes et les Chinois ont confirmé leur absence de soutien aux mollahs et leur disposition à coopérer pour arriver aussi à des arrangements avec Trump et assurer leurs intérêts en Iran ou dans la région. Trump a accordé un délai supplémentaire à tous ces pays pour retirer leurs billes d’Iran en acceptant une prolongation de 6 mois avant d’interdire tout échange par le Gafi (FATF).

Voici à présent un récit en trois volets des trois semaines qui ont suivi et ont permis à Trump de consolider sa disposition pour sanctionner les mollahs et façonner leur chute.
1. Semaine 578 : Les arrangements inattendus
2.Semaine 579 : Cascades de sanctions
3. Semaine 560 : Pas de midterms pour les mollahs


2 - 12.09.2018
Semaine 549-550 :
La fortune des mollahs fait leur infortune

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski,, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition souhaitée par Trump et Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les députés privés de dollars ont accusé Rohani de corruption pour obtenir la baisse du dollar ! Des milliers de responsables politiques se sont enfuis avec les budgets à leur disposition !

Les mollahs ont alors attaqué 2 pétroliers saoudiens via les Houtihs pour provoquer une pénurie pétrolière. Mais ils n’ont pas pu intimider leurs interlocuteurs internationaux. Washington leur a envoyé 4 grands bâtiments de sa marine. Ils ont simulé une ouverture au dialogue, mais sans faire de vraies concessions. Trump a maintenu son cap ! Ils ont renoué avec le terrorisme pour intimider tous les alliés de Trump et l’isoler, mais leur choix les a seulement convaincus de ne pas s’opposer à ses sanctions. Ils ont ainsi été à l’origine de leur isolement à 100% !

La semaine dernière, les mollahs ont arrêté quelques affairistes pour calmer leur agitation tout en jouant avec l’adoption du statut de Lac pour la Caspienne afin de faire pression sur les Russes et les Anglais intéressés par les richesses pétrolières de cette région. Mais, ils n’ont pu gagner, car tous les autres États riverains avaient décidé de nationaliser la Caspienne et d’évincer les Anglais dans leur propre intérêt et celui des États-Unis.

Leur échec a démontré leur manque de vision et a intensifié les tensions au sein de leur régime. L’assassinat de l’un des chefs Pasdaran chargé d’une des régions les plus contestataires a augmenté la panique interne.

Les mollahs ont alors mis en avant leur fausse opposition pour canaliser la contestation du peuple dans la lutte contre les Russes (et leur statut pour la Caspienne) espérant ainsi canaliser le peuple et relancer les marchandages pour l’accès à la Caspienne afin de draguer les Européens ! Mais ces derniers ont choisi la Russie !

Les mollahs ont continué l’action de leur fausse opposition. Les chefs Pasdaran ont craint que cette ouverture poussive se fasse à leurs dépens. Ils ont organisé un rassemblement où ils ont menacé de mort Rohani et ses patrons ! Ces derniers ont cessé de mépriser les députés pour les empêcher de s’allier aux chefs Pasdaran. Mais en l’absence d’une annonce de baisse du prix du dollar, les députés ont continué à attaquer Rohani !

Cette semaine, les mollahs devaient se ressaisir, redéfinir des objectifs ou des approches pour contenir ou dominer leurs adversaires d’Iran et ailleurs avant mercredi, car leur incapacité à mobiliser alors pour la fête islamique de sacrifice pouvait accentuer la panique au sein de leur régime. Pressés de réussir vite, ils ont fait de très mauvais choix en sacrifiant la raison ! Voici le récit de ces choix et leurs terribles résultats !


1 - 10.11.2019
Semaines 607 ↔ 610
(28 sept.-25 oct. 2019)

Les mollahs ont perdu leurs partenaires historiques

© IRAN-RESIST. ORG

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansar-Allah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi aidé les Talibans et se sont mis à financer Daesh, abandonnés par Trump ! Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen et en Syrie. La Russie et la Syrie ont laissé l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto sous l’embargo financier souhaité Trump.

Les collaborateurs du régime ont paniqué. Ils ont commencé à vendre leurs bien pour partir avec leurs dollars. Les mollahs leur ont déclaré la guerre judiciaire via une soi-disant lutte anti-corruption. Puis ils ont tenté de relancer leur fausse opposition, pour les rassurer, mais les ont davantage inquiétés et ont encouragé leur rupture.

Début 2019, les mollahs ont eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte populaire en laissant le pays être ravagé par des inondations. La milice a complété le plan en empêchant les secours. La haine anti-régime s’est amplifiée.

Washington en a profité pour classer comme entité terroriste la milice qui gère tout au sein du régime. Le responsable du contre-espionnage de la milice est alors fui vers les États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer la chute du régime. La Russie s’est montrée favorable à un deal avec Trump pour renforcer Assad et sa propre position en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces liées aux mollahs.

Les mollahs ont alors capturé des pétroliers étrangers tout en affichant des ambitions balistiques, menaçant davantage l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux afin de terroriser ces derniers et les éloigner de Trump. Mais ils ont seulement réussi à les braquer et à rapprocher les Chinois des Arabes et de Trump ! Ce dernier en a profité pour sanctionner Zarif et la diplomatie terroriste des mollahs !

Le président français a profité de leur isolement grandissant et s’est proposé en médiateur en leur proposant 15 milliards de dollars contre leur participation aux nouvelles négociations souhaitées par Trump. Ils ont simulé une ouverture pour geler les sanctions et sortir de leur isolement. Mais Trump a refusé de céder.

Les mollahs se sont alors tournés vers Poutine, mais ce dernier a ostentatoirement montré son intérêt d’aider la Turquie pour se rapprocher de l’OTAN et d’aider Israël à les attaquer.

Les mollahs, désespérés par cet échec et aussi des grèves très pénalisantes de deux grands groupes industriels fondés par le Shah et dégradés par leur régime, ont concrétisé leur chantage en ciblant deux sites pétroliers saoudiens avec l’aide de leurs miliciens basés en Irak touchant gravement l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux et des Asiatiques.

Les Saoudiens, les Américains et les Anglais ont apporté des preuves que les mollahs étaient pleinement impliqués. Les Russes et les Chinois ont pris la partie des Saoudiens. Mais Macron, en quête d’un grand succès politique, s’est posé en médiateur pro-américain pour profiter d’un possible fléchissement des mollahs, mais a seulement réussi à les encourager à poursuivre leur chantage. Trump en a profité pour sanctionner leur banque centrale.

Fin septembre 2019, les mollahs, gravement pénalisés par cette sanction, ont menacé leurs collaborateurs agités grâce à leur soi-disant lutte contre la corruption, puis ils ont menacé tous les pays pétroliers et leurs clients avant le 74e AG de l’ONU en vue d’y obtenir leur aide pour rencontrer Trump et parvenir à un deal avec lui. Ces efforts et ceux des mollahs se sont soldées par une reconnaissance européenne de leur rôle dans l’attaque des installations d’Aramco.

Trump les a aussi désignés comme étant aux commandes du terrorisme dans le monde . La Russie et la Chine ne le lui ont pas reproché. Macron a alors changé de discours en déplorant comme tous les autres grands États européens le rôle négatif des mollahs dans la région.

Les mollahs sont revenus au chantage nucléaire en augmentant le volume de leur enrichissement nucléaire, mais ils n’ont pas réussi à paniquer et faire plier leurs adversaires. Les Européens ont dit qu’ils pourraient mettre fin à l’accord de Vienne, les exposant à de nouvelles sanctions onusiennes qui pourraient les renverser.

Les mollahs n’ont pas obtempéré, car la fin de leur d’ingérence terroriste régionale ne passerait pas l’arrestation de leurs proches serviteurs et la perte de leur force de répression et conduirait à leur chute. Ils n’ont pas pu profiter de leur chantage.

Les ouvriers en grève ont profité de l’impopularité du régime en Europe pour mettre en avant leur propre misère et le déstabiliser. Les Irakiens ont profité du déclin des mollahs pour manifester contre leur présence dans leur pays. Les mollahs n’ont pas osé défier vraiment les Européens ou Trump.

Voici le récit de ces deux semaines des séquelles de la défaite des mollahs à ONU.


1 - 09.11.2009
Iran nucléaire : Mollahs, mode d’emploi

Il y a deux semaines, Téhéran n’avait pas rejeté l’offre des Six d’un échange d’une partie de son stock d’uranium faiblement enrichi contre du combustible franco-russe à base d’uranium moyennement enrichi. Il y a deux jours, il a rejeté catégoriquement l’offre par la voix de son président ainsi que du chef de la commission des affaires étrangères du Parlement, avant de revenir encore sur cette position. A chaque fois, sa réponse était prévisible car en réaction à l’attitude adoptée quelques jours plus tôt par les Américains.


1 - 05.09.2009
Iran : Missiles perdus en haute mer

Un quotidien autrichien affirme que l’Etat russe a envoyé sa marine militaire pour libérer le Cargo Arctic Sea car il souhaitait récupérer des missiles S-300 achetés clandestinement par les mollahs à des trafiquants russes. L’info est plausible car Moscou ne souhaite plus livrer ces missiles anti-missiles à l’Iran.


1 - 20.08.2009
Iran : Avec l’accord d’Obama, Israël arme le Hamas

Selon une source sûre en Israël, la majeure partie des missiles iraniens destinés au Hamas transite vers Gaza via la frontière israélienne. En Israël, Haaretz parle de liens entre les Pasdaran et la mafia locale. C’est une explication peu réaliste car cela n’explique pas l’inaction de l’armée israélienne et l’étrange silence du gouvernement de ce pays démocratique qui ne dénonce pas ces livraisons. Il n’y a pas d’erreur, mais une stratégie.
| Décodages |


1 - 25.12.2019
Semaines 611-618 (26 oct-21 dec 2019)
La saison des frissons !

© IRAN-RESIST. ORG

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.
Les mollahs ont alors soutenu les Ansar-Allah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi aidé les Talibans et se sont mis à financer Daesh, abandonnés par Trump ! Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen et en Syrie. La Russie et la Syrie ont laissé l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto sous l’embargo financier souhaité Trump.

Les collaborateurs du régime ont paniqué. Ils ont commencé à vendre leurs biens pour partir avec leurs dollars. Les mollahs leur ont déclaré la guerre judiciaire via une soi-disant lutte anti-corruption. Puis ils ont tenté de relancer leur fausse opposition, pour les rassurer, mais les ont davantage inquiétés et ont encouragé leur rupture.

Début 2019, les mollahs ont eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte populaire en laissant le pays être ravagé par des inondations. La milice a complété le plan en empêchant les secours. La haine anti-régime s’est amplifiée.

Washington en a profité pour classer comme entité terroriste la milice qui gère tout au sein du régime. Le responsable du contre-espionnage de la milice est alors fui vers les États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer la chute du régime. La Russie s’est montrée favorable à un deal avec Trump pour renforcer Assad et sa propre position en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces liées aux mollahs.

Les mollahs ont alors capturé des pétroliers étrangers tout en affichant des ambitions balistiques, menaçant davantage l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux afin de terroriser ces derniers et les éloigner de Trump. Mais ils ont seulement réussi à les braquer et à rapprocher les Chinois des Arabes et de Trump ! Ce dernier en a profité pour sanctionner Zarif et la diplomatie terroriste des mollahs !

Le président français a profité de leur isolement grandissant et s’est proposé en médiateur en leur proposant 15 milliards de dollars contre leur participation aux nouvelles négociations souhaitées par Trump. Ils ont simulé une ouverture pour geler les sanctions et sortir de leur isolement. Mais Trump a refusé de céder.

Les mollahs se sont alors tournés vers Poutine, mais ce dernier a ostentatoirement montré son intérêt d’aider la Turquie pour se rapprocher de l’OTAN et d’aider Israël à les attaquer.

Les mollahs, désespérés par cet échec et aussi des grèves très pénalisantes de deux grands groupes industriels fondés par le Shah et dégradés par leur régime, ont concrétisé leur chantage en ciblant deux sites pétroliers saoudiens avec l’aide de leurs miliciens basés en Irak touchant gravement l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux et des Asiatiques.

Les Saoudiens, les Américains et les Anglais ont apporté des preuves que les mollahs étaient pleinement impliqués. Les Russes et les Chinois ont pris la partie des Saoudiens. Mais Macron, en quête d’un grand succès politique, s’est posé en médiateur pro-américain pour profiter d’un possible fléchissement des mollahs, mais a seulement réussi à les encourager à poursuivre leur chantage. Trump en a profité pour sanctionner leur banque centrale.
Fin septembre 2019, les mollahs, gravement pénalisés par cette sanction, ont menacé leurs collaborateurs agités grâce à leur soi-disant lutte contre la corruption, puis ils ont menacé tous les pays pétroliers et leurs clients avant le 74e AG de l’ONU en vue d’y obtenir leur aide pour rencontrer Trump et parvenir à un deal avec lui. Ces efforts et ceux des mollahs se sont soldées par une reconnaissance européenne de leur rôle dans l’attaque des installations d’Aramco. Les Européens ont également dit qu’ils pourraient mettre fin à l’accord de Vienne...
Les mollahs, également de plus en plus déstabilisés par les grèves en Iran, n’ont pas obtempéré, car la fin de leur d’ingérence terroriste régionale ne passerait pas l’arrestation de leurs proches serviteurs et la perte de leur force de répression et conduirait à leur chute. Ils n’ont pas pu profiter de leur chantage.

Les Irakiens et les Libanais ont aussi profité du déclin des mollahs pour manifester contre leur présence dans leur pays, directement ou via le Hezbollah. Poutine et Assad ont aussi choisi Trump et MBS. Les Chinois ont aussi cessé de leurs achats pétroliers en Iran.

Les mollahs, ainsi mondialement remis en cause pour leur agitation et ingérence régionale, ont craint de nouvelles sanctions onusiennes et une unité internationale active pour mettre fin à leur régime par le soutien à leurs opposants en Iran et en exil.

Ils ont tenté d’empêcher cela en évoquant une possibilité d’adhérer partiellement aux conventions du FATF, sans parvenir à calmer diviser leurs ennemis. Ils ont parlé de la nécessité d’une diplomatie multilatérale pour draguer les pays du Mouvement des non alignés et ainsi mettre la pression aux Européens pour qu’ils restent à leur côté, mais ils n’y sont pas arrivés.

C’était il y a 2 mois. Notre dernière analyse en détails de l’actualité iranienne date du 19 octobre 2019. Depuis les mollahs ont eu bien des revers sur la scène internationale et surtout en Iran avec un soulèvement populaire qu’ils ont eux-mêmes qualifié de vraie guerre contre leur régime. Ils ont affirmé qu’ils l’ont vaincu, mais nous vous apportons régulièrement la preuve que la guerre du peuple iranien contre les mollahs continue.

À présent, voici le récit résumé, chronologique et illustré, des grands faits politiques, économiques des mollahs depuis le 19 octobre dernier, informations qui vous feront comprendre mieux l’affaiblissement des mollahs et le soulèvement qui risque fort de les renverser dans les semaines ou les mois à venir.


1 - 03.01.2020
Iran : Les deux morts de Qassem Soleimani !

Washington vient d’annoncer la mort de Qassem Soleimani. Or, il est mort il y a bien longtemps (en janvier 2019). Décodage.


1 - 17.03.2010
IRAN : THE FIRE DAY DIDN’T TURN GREEN !

The Fire Day is the yearly appointment of the regime’s adversaries. It took place yesterday night. The Iranian bureau of the AFP reported that the mobilization was very low further to a request Mussavi made. This is wrong. According to every eyewitness account, participation was much important not only in Tehran but also in the regions. Moreover there was no reference at all to the Green Movement. | Decoding in images |


1 - 29.06.2019
Semaines 587-590 (11.05-07.06.2019)
Mollahs pas zen !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansarallah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen, mais aussi via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs pour tous leurs méfaits. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (SPV) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Fin 2018, les mollahs, menacés de toute part, ont tiré un missile potentiellement nucléarisable susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen.

Le mouvement anti-mollahs s’est accéléré. L’ organisation de la Coopération islamique (OCI), ont rejoint les Arabes. Les Européens ont alors puni les mollahs en excluant le pétrole de leur dispositif à venir d’échanges démonétisés et ont choisi les Arabes anti-mollahs. La Chine a aussi choisi l’Arabie Saoudite.

La panique a été telle que les mollahs ont déclaré une guerre judiciaire totale, officiellement anti-corruption, à tous leurs proches qui voulaient les quitter. Les mollahs ont alors tenté de relancer leur fausse opposante Nasrine Sotoudeh pour rassurer leurs proches, mais ils n’ont pas réussi.

Les mollahs ont alors eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte en laissant le pays être ravagé par les crues et les inondations ! Ces cataclysmes ont entraîné beaucoup de dégâts et des milliers de morts et de sans-abris et ont aussi attisé la haine anti-régime.

Washington a profité de cette hausse d’impopularité des mollahs et de leur milice pour classer cette dernière comme une entité terroriste et de fait classer le régime tout entier comme une entité terroriste. Il a aussi radicalisé ses sanctions pétrolières et a expédié le porte-avions Lincoln dans le golfe Persique pour affaiblir le régime et terroriser ses derniers complices.

Le responsable du contre-espionnage des mollahs a alors fui l’Iran vers les États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer leur chute. Les mollahs fragilisés ont fait état de leur opposition à l’entourage de Trump mais leur ouverture à négocier avec lui, essayant de le convaincre qu’il pourrait s’offrir un grand succès diplomatique en sacrifiant ses proches. Il n’est évidement pas tombé dans le piège...

Après cet échec et des manifestations du 1er mai très hostiles à leur régime, les mollahs ont annoncé une possible rupture de leur accord nucléaire lançant un ultimatum aux 4+1 pour les forcer à les soutenir afin de ne pas perdre leur influence dans le golfe Persique. Leur faiblesse face aux opposants et leur espoir d’un soutien des 4+1 ont déçu leurs associés insolvables, accélérant les efforts de ces derniers pour fuir le régime.

La Russie qui utilise les mollahs comme potentiels alliés afin d’obtenir la Syrie et l’Ukraine a aussi annoncé sa disposition à rencontrer le ministre des AE de Trump avant que les mollahs ne capitulent et désorganisent son chantage diplomatique.

Trump a profité de l’occasion pour déclarer un embargo sur les métaux iraniens, réduisant au néant les derniers revenus des mollahs et empêchant aussi leurs associés de fuir avec des lingots d’or... C’était il y a un mois (le 11 mai 2019). Voici le récit résumant les grands faits marquants depuis cette date.




0 | ... | 30 | 40 | 50 | 60 | 70 | 80 | 90 | 100 | 110 | ... | 160