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1 - 22.09.2007
Iran : Alexandre Adler, vous êtes un menteur !

Dès que le régime des mollahs va mal, ses attachés de presse se mettent en branle. Hier ce fut le cas du menteur Yann Richard dans le Monde et aujourd’hui nous avons droit à Alexandre Adler [1].


1 - 10.10.2007
Iran : Le choléra et le diplomatiquement correct frontalier !

L’Iran a fait état ce samedi de 43 cas de choléra sur son territoire, la plupart d’entre eux étant détectés dans la province (iranienne occidentale) du Kurdistan, chez des gens qui ont fréquemment franchi la frontière irakienne, a déclaré un responsable du ministère de la Santé, Mohsen Zahraï. Décodages


1 - 14.10.2007
Iran : Communiqué pour une troisième mi-temps musclée

Un communiqué a été diffusé depuis quelques jours sur la toile et ceux qui se donnent le nom de la « Coalition des opposants de l’intérieur » appellent leurs compatriotes iraniens à venir nombreux pour remplir le grand stade de Téhéran d’une capacité de 100,000 places afin de se déverser comme à l’unisson dans l’une des principales artères de la ville pour une manifestation anti-régime. Le rendez-vous a été fixé pour ce dimanche lors d’un match phare opposant les deux leaders du championnat iranien.


1 - 03.06.2020
Iran : Un nouveau Parlement d’ultras losers !

Le régime des mollahs a un nouveau Parlement et un nouveau président de Parlement, le milicien Ghalibaf, qualifié d’ultra conservateur. Les médias français évoquent un certain durcissement du régime, ce qui revient à dire qu’il ne l’était pas jusque là et qu’il serait en état de tenir malgré la contestation et les sanctions. Mais tout cela est faux. Comme d’habitude, la France cherche à courtiser le régime et son actuel président. En réalité, le nouveau Parlement du régime est le contraire de ce que décrivent les médias français. C’est un Parlement de losers qui ne peut pas sauver le régime.


1 - 23.03.2008
Iran : Un exilé iranien assassiné à Madrid

Encore une fois, les exilés iraniens sont réduits à compter leurs morts. Jeudi, le jour de l’an persan (Nowrouz), Manouchehr Farhangui, éminent mécène zoroastrien habitant à Madrid, succomba aux blessures des coups de poignards qu’il venait de recevoir d’une personne non encore identifiée.


1 - 02.04.2012
Iran : La semaine en images n°215

Il y a une semaine, c’était Norouz, le nouvel an iranien, que le régime rejette, mais n’a jamais pu abolir. C’était là une occasion de contester le régime islamique. Les Iraniens l’ont saisie en envahissant les grandes mosquées de chaque ville avec les symboles de Norouz, sauf à Mashad car Guide pour son discours du nouvel an. Dans cette ville, le mausolée d’Imam Reza qui compte des dizaines de mosquées a été boycotté par le peuple. Ces actions spectaculaires qui contestent le régime n’auraient pas été possibles si celui-ci n’avait pas perdu le soutien des Pasdaran. Ce Norouz, les Iraniens ont pu constater la rupture des Pasdaran de base avec le régime et l’isolement de ce dernier.

Le régime devait organiser un grand rassemblement religieux pour nier cet isolement, mais il n’y est pas parvenu à l’occasion de la 1ère Prière de Vendredi de la nouvelle année. Le nombre des participants a même fondu comme si les collaborateurs du régime admettaient que les rassemblements pour Norouz étaient les prémices d’un soulèvement.

Cette semaine, le régime a tenté d’organiser des manifestations liées à Norouz pour rassembler le peuple sous sa bannière, il n’y est pas arrivé. Supposant que son échec pouvait provoquer une nouvelle fonte de ses troupes, de nouvelles ruptures internes, il a bloqué les canaux d’émigration pour retenir ses partisans à ses côtés.

La contestation de Norouz n’a pas seulement alarmé les mollahs, mais aussi Washington qui a jadis aidé la révolution islamique et aujourd’hui ne cherche pas à renverser ce régime, mais à remplacer ses dirigeants par ses propres pions islamistes. Washington a laissé échapper des confidences de spécialistes de renseignements sur « l’absence d’un danger immédiat du programme nucléaire iranien ». On a également vu des publications de grands « spécialistes de relations internationales » sur la nécessité d’un compromis la république islamique. Enfin selon un schéma déjà-vu et bien rôdé, quelques-uns parmi des grands alliés de Washington comme l’Inde et le Japon ont refusé d’appliquer les dernières sanctions promulguées par Washington.

Israël a également mis en veilleuse ses menaces d’attaque. Des grands spécialistes israéliens de renseignement ont mis leurs compatriotes en garde contre le « danger d’une guerre contre l’Iran ». On a même entendu parler d’une « déclaration israélienne d’amour à l’Iran » (donc au régime) sur FaceBook !

Mais, malgré ses difficultés internes, le régime n’a pas saisi la main tendue par Washington car il considère le dialogue comme un moyen pour les Américains et leurs pions de revenir en Iran pour prendre le pouvoir de l’intérieur. Par ailleurs, le moindre échange avec Washington inquiète ses derniers fidèles qui craignent d’être sacrifiés dans le deal, c’est pourquoi le régime a même lancé des pics en direction de Washington et d’Israël !

Cette réponse doublement négative de Téhéran a mis Washington dans l’embarras, il ne pouvait pas continuer à parler d’ouverture et de dialogue bien qu’il le faut pour éviter d’affaiblir le régime islamique qu’il veut préserver.

Au cours de la semaine passée, Washington a changé d’approche pour sauver le régime tout en sauvant la face : il a encore parlé de dialogue, mais tout en évoquant le « soutien du peuple américain à une frappe préventive ». On a également eu droit à une réplique israélienne de cette menace sous la forme d’un « sondage israélien très favorable à la guerre ». Mais, la Turquie qui est le pays clef pour l’attaque américaine ou israélienne est intervenue pour apporter son soutien aux mollahs !

Alors que le régime va mal et ne tient qu’un un fil, Washington a ainsi écarté toutes menaces de sanctions ou de frappes du régime islamique qu’il veut préserver et transférer à ses pions. Cela ne doit pas décourager les Iraniens car le régime reste le même : faible, haï, isolé, déconnecté de ses troupes et de la rue. Les images de la semaine confirment ce constat d’un régime qui se désagrège.


1 - 29.08.2020
Iran, Trump, Macron et le papillon japonais !

Il y a trois jours, les trois grands États européens, la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne avaient insisté encore sur leur opposition à la demande américaine du rétablissement de toutes les sanctions onusiennes contre les mollahs. Mais depuis hier, l’Allemagne a changé d’avis et la Grande-Bretagne a fait une révélation laissant supposer qu’elle allait aussi changer son approche. Mais ces changements ne sont pas arrivés par hasard. Il résulte des pressions américaines assez inattendues sur ces Européens et une évolution étonnante du rapport de force internationale.


1 - 05.10.2008
Iran : La semaine en images n°33

Fin de ramadan : les musulmans du monde entier se précipitent dans les mosquées pour prier en communauté. L’Iran des mollahs est le seul pays où l’on organise cet événement religieux sur les places publiques pour en faire une vitrine de la popularité du régime. Les images nous montrent des grandes foules, mais tout est relatif. Décodages en images.


1 - 24.06.2011
Iran : Une vraie crise au sommet

En ce moment, l’actualité iranienne est centrée sur l’abus de pouvoir du ministre des affaires étrangères, Ali-Akbar Salehi et de son président Ahmadinejad pour nommer comme vice ministre un certain Malek-zadeh pour mettre en place un coup d’Etat destiné à renverser le Guide et prendre le pouvoir. On parle de leurs limogeages, on hésite, il y a débat : à l’heure de la publication, nous avons appris la destitution et l’éventuelle arrestation du vice-ministre Malek-zadeh…

Mais cela n’a aucun sens car selon la constitution de la république islamique, le Guide n’a pas de pouvoir politique, le pouvoir politique est entre les mains des 22 membres à vie du Conseil de Discernement, les représentants des clans alliés de Khomeiny, qui tels des parrains mafieux décident ensemble toutes les politiques de l’Etat dans l’intérêt du régime, mais aussi dans leurs propres intérêts personnels. On pourrait renverser le Guide et changer le président et tous les ministres (qui sont de simples exécutants) rien ne changera si l’on ne touche pas à ce cartel qui par son fonctionnement rappelle le syndicat du crime façon Coppola.

D’ailleurs, les années passent et ce cartel reste inchangé alors que le pays a connu de nombreux ministres ou présidents. Cependant, on ne peut pour autant parler de beaucoup de bruit pour rien ou d’un autre show du régime pour brouiller les cartes quand tout va mal car à chaque fois que ce cartel dirigeant a décidé de changer de cap, il l’a fait au travers d’un changement d’exécutants.

Dans le cas présent, il n’y a pas qu’un débat indécis sur un ou plusieurs ministres, mais plutôt un débat au sein du Conseil de Discernement sur la politique menée par un des clans qui composent ce cartel. Cela veut dire qu’un ou plusieurs membres du premier cercle du pouvoir sont sur la sellette, critiqués par leurs pairs pour leur incapacité à contrer les sanctions et arrêter la contestation.

C’est donc une grave crise interne ! Cependant, ce n’est pas le conflit qui oppose les clans au pouvoir : les intérêts en jeu les opposent souvent. A chaque conflit, les vielles rancœurs refont surface, on cherche des alliés pour se maintenir ou prendre le pouvoir. La présente crise s’inscrit dans cette même logique : il y a la crise et une guerre ouverte au sommet de l’Etat. Pour comprendre ce qui se trame actuellement à Téhéran et nous concerne tous, voici un bref historique du Conseil de Discernement suivi d’une analyse des faits présents.


1 - 24.02.2020
Iran : Boycott à 100% & Coronavirus à 30% vs les mollahs !

Il y a le pourcentage le plus élevé de morts par coronavirus en Iran, soit 30% de morts selon le régime contre 2,9% en Chine ! Est-ce que l’Iran va devenir le foyer le plus important de ce virus ? La réponse est négative, car il y a tout de même peu de cas et les mollahs ont eux-mêmes participé aux rumeurs de risque d’endémie pour expliquer un nouveau boycott massif de leurs élections et continuent encore par intermittence pour faire diversion après cet échec qui a souligné leur impuissance et a aussi engendré des effets internationaux très négatifs qu’ils ne soupçonnaient pas. Le coronavirus et son exploitation malsaine par les mollahs pourraient aggraver le désaveu de ces derniers et in fine entraîner leur chute.




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