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2 - 01.03.2011
Iran : Une arrestation pour islamiser la contestation

Le régime a annoncé l’arrestation de Moussavi et Karroubi, les chefs de l’opposition officielle. Les médias s’agitent alors qu’il s’agit d’une opération publicitaire pour donner une actualité à une opposition moribonde en raison du mépris du peuple pour cette alternative factice. L’annonce n’a d’ailleurs suscité aucun rassemblement malgré les efforts des sites des deux hommes qui continuent à fonctionner alors qu’ils devraient normalement être bloqués !


2 - 29.11.2011
Iran : La semaine en images n°197

Indispensable rappel des faits et événements des semaines précédentes pour comprendre une semaine très palpitante | Au cours des derniers mois, les jeunes Pasdaran ont sans cesse boycotté les manifestations officielles politiques ou religieuses, mais aussi la participation à des actions répressives et intimidantes. Le régime est devenu de facto vulnérable face au peuple. Les associés économiques, membres des clans au pouvoir, qui selon une récente information serait 810 individus, ont estimé que les jours du régime étaient comptés. Ils se sont mis à vendre leurs actions pour acheter de l’or et des dollars. Cela vidait les réserves bancaires du régime. Cette frénésie est par ailleurs devenue l’indicateur du manque de confiance en l’avenir du régime et a commencé à provoquer la rupture d’autres collaborateurs. Le régime devait mettre fin à cette crise polymorphe.

Dans un réflexe pavlovien, le régime a d’abord annoncé des pendaisons collectives pour mettre en scène sa force afin de rassurer ses associés qu’il a le moyen de rester au pouvoir. Mais chaque nouveau boycott des Pasdaran contredisait cette soi-disant puissance. Les achats d’or et de dollars se sont accélérés. Le régime a alors inventé un scénario de Coup d’Etat des Pasdaran-Trafiquants pour insinuer qu’il pouvait arrêter et pendre les miliciens boycotteurs. Mais le risque d’un clash ouvert précipitant sa chute a amplifié la panique de ses associés. Le régime a dû arrêter ce scénario. Il a alors inventé une histoire de fraude bancaire de ses 810 associés économiques et a parlé de pendaisons pour atteinte à la sécurité nationale afin de les intimider.

Cette solution à l’emporte-pièce a démontré la détresse du régime : ses associés économiques ont été convaincus qu’il était dépassé et ont accéléré leurs achats. Les nervis du régime qui seront seuls au premier rang en cas de soulèvement ont réalisé qu’ils défendaient un régime condamné : ils ont commencé à prendre leur distance avec le régime. Le boycott du Ramadan par le peuple et le boycott la journée de Qods par les Pasdaran a convaincu chacun des collaborateurs du régime que le système était fichu. Puis le régime a été confronté au boycott de la Semaine de la Défense de la Révolution. C’était, il y deux mois.

Selon des informations parues cette semaine, les Américains, qui ne cherchent pas la fin du régime islamique, mais l’arrivée de leurs pions à la tête de ce régime auraient écrit aux mollahs deux lettres signées par Obama pour proposer la reprise du dialogue. C’est dans la foulée de cette correspondance qu’un émissaire du régime, Ahmad Rezaï, le fils d’un des plus haut personnages du régime, a quitté le pays pour se rendre à Dubaï. En 1998, il avait été au centre d’autres tractations irano-américaines pour un rapprochement basé sur un soi-disant coup d’Etat des Pasdaran et la mise à l’écart des personnes sanctionnées par Washington. Il semble que les mollahs cherchaient un rapprochement avec les pions islamiques de Washington dans le sens de leur intérêt commun avant que les jeunes Pasdaran devenus laïques parviennent à déstabiliser le régime avec un boycott massif de la semaine du Bassidj comme en 2010 et 2009.

Il est important de rappeler que ce boycott massif de la semaine du Bassidj n’était pas une supposition car le boycott des Pasdaran a commencé au sein des Bassidjis au point que le régime a démantelé leurs brigades et désarmé les jeunes en 2009. Le régime a gardé la semaine du Bassidj car le mot signifie l’engagement volontaire et populaire dans la résistance contre les ennemis de la révolution islamique et il ne voulait pas paraître plus seul qu’il n’est. Le régime et les Américains devaient se dépêcher !

Selon des informations officielles du régime, Ahmad Rezaï faisait sans cesse des allées et venues en Iran ou discutait tous les jours avec les gens de « sa famille ». Il travaillait donc durement pour parvenir à un résultat.

Mais il y a dix jours, Ahmad Rezaï a été trouvé mort dans sa chambre dans des conditions qui laissent supposer un meurtre. Il nous est paru évident que les seuls bénéficiaires étaient les Pasdaran en rupture avec le régime. Peut-être, ont-ils été aidés par les Britanniques qui ne peuvent pas accepter que les mollahs passent dans le camp américain. Ils ont déjà agi de manière très hostile envers le régime quand ce dernier a commencé à dialoguer avec Washington.

Deux jours après l’élimination de son intermédiaire Ahmad Rezaï, le régime a reçu un nouveau coup avec l’absence de près de 93% des jeunes officiers au défilé annuel de leur fin d’étude devant le Guide et l’Etat major des Pasdaran. Le régime allait recevoir le coup de grâce avec le boycott massif de la semaine du Bassidj. Une bombe a explosé décimant de nombreux officiers des Pasdaran. Les circonstances douteuses de l’explosion portent à croire qu’il s’agissait d’un coup monté pour éliminer des éléments actifs du groupe des Pasdaran en rupture avec le régime islamique. Cette bombe a aussi focalisé les attentions et détourné les regards du boycott de la semaine du Bassidj.

Deux jours plus tard après des funérailles bâclées, le régime organisait des fêtes, on distribuait des gâteaux ! La réponse ne s’est pas faite entendre : une des plus grandes mosquées du nord de l’Iran a brûlé sans qu’interviennent les pompiers qui font partie des Pasdaran. La police est également restée passive ainsi que la population. Le groupe des Pasdaran dissidents a démontré qu’il avait les moyens de partir en guerre contre les centres d’intérêts du régime avec le concours de la population en dehors du calendrier des manifestations. Le régime a seulement nié les faits malgré la publication de photos sur ses propres sites !

La semaine dernière, nous avons donc assistés aux premiers actes de guerre entre les mollahs et les jeunes Pasdaran. Par le passé, chaque boycott de la part des jeunes Pasdaran avait été suivi d’une panique chez les associés du régime, le déclenchement des hostilités aurait dû provoquer un vrai tsunami de panique. Les Pasdaran qui ont agi misaient peut-être sur cette panique, mais cela n’a pas eu lieu car au lendemain de l’attentat qui a décimés leurs figures charismatiques, le régime avait confisqué près de 3 millions de comptes bancaires utilisés par ses 810 associés économiques pour leurs achats de dollars. En l’absence de cash, le régime espérait aussi en finir avec la hausse des prix de l’or et du dollar qui est devenue l’indicateur de son affaiblissement. Mais ses associés spoliés ont commencé à vendre massivement des actions pour compenser la perte : la bourse a enregistré une baisse de son index par la chute des actions, en revanche, les 810 associés en rupture ont pu trouver des ressources pour continuer leurs achats. L’or et le dollar, malgré la baisse des ressources, ont vu leur prix rester à leur haut niveau.

Cette semaine, le régime devait neutraliser cette résistance de ses associés en rupture, mais aussi s’occuper des Pasdaran qui avaient détruit une mosquée, symbole du système en place. Leur capacité de destruction étant prouvée, le régime devait éviter de les énerver, mais il devait montrer sa propre puissance de résistance.

Etant donné que conformément au programme officiel, on était en pleine Semaine du Bassidj et de résistance aux ennemis, le régime devait neutraliser ses adversaires en mettant en avant le soutien des jeunes Bassidjis qui incarnent sa résistance. Le régime ne pouvait pas y couper et était de facto face à un défi impossible.

Après de vains échecs pour convaincre l’opinion que tout se déroulait bien, comme la semaine dernière, le régime a choisi la diversion médiatique. Mais cette fois, il n’a pas fait exploser une bombe (peut-être qu’il redoute la riposte des Pasdaran). Il a mis en scène une fausse crise politique basée sur l’interdiction du journal Etémad pour faire oublier son incapacité à organiser les événements programmés et aussi pour faire oublier les faits graves de la semaine dernière.

Le journal Etémad appartient à Karroubi, le faux opposant interne, membre du 1er cercle du pouvoir : le régime espérait également le relancer à un moment où un soulèvement devient possible. Mais la mayonnaise n’a pas pris, il a été obligé de lancer une autre fausse crise politique basée sur l’interdiction d’un autre journal ! Par ailleurs, pour des raisons électorales, Obama a été obligé d’adopter de nouvelles sanctions bancaires contre le régime. Cela a déplu aux associés du régime qui ont besoin de sortir le dollar du pays, on a assisté à une nouvelle vente massive d’actions et une reprise forte des achats. Le régime a été surpris, il devait réagir : il espérait diffuser des images d’archives de Bassidjis paradant dans les rues, mais il s’est mis à neiger et il n’a pas d’images de Bassidjis sous la neige. Il a dû composer avec ce qu’il avait sous la main. Voici les images d’une semaine bien mouvementée et pleine de rebondissements et d’échecs pour le régime agonisant des mollahs.


2 - 19.02.2009
Iran-EU-GB : Le renard est dans le poulailler

Lors d’une conférence de presse à Paris, le directeur de l’institution onusienne a répété que l’Iran se conformait à l’obligation de laisser des inspecteurs pénétrer sur ses sites nucléaires, mais que Téhéran ne coopérait pas en ce qui concerne ses activités passées. C’est une déclaration fondamentale pour la suite de la crise et du bras de fer qui oppose Téhéran à Washington. | Décodages |


2 - 30.10.2018
Semaine 556 : Fausses ripostes aux premières vraies sanctions européennnes !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, en décalquant la diplomatie islamophile anglaise pour contrer la suprématie pétrolière mondiale des Anglais depuis le début du siècle dernier, car cet ersatz avait produit des troubles géopolitiques graves contraires aux intérêts des grandes compagnies pétrolières américaines et profitables aux Anglais et les Chinois qui les talonnent en Afrique. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie américaine basée sur la fin de l’islamisme et le rapprochement avec la Russie pour contrer les Anglais et leur suprématie pétrolière mondiale.

(chantage terroriste & clientélisme / saison 1) Les mollahs ont alors soutenu les Houthis pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur instabilité et leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour menacer le rapprochement de Trump avec Poutine. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier et aussi pour affaiblir les Anglais. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad !

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les 30 députés du régime encore présents au Parlement, privés d’accès du dollar, ont remis en cause leur confiance à Rohani pour le forcer à leur accorder des dollars pas chers ou des places dans son gouvernement !

(chantage terroriste & clientélisme / saison 2) Dernièrement, les mollahs, menacés leurs compagnons, ont proposé le dialogue à Trump tout en attaquant ses alliés régionaux, mais ils ne sont pas parvenus à le faire flancher. Ils ont alors tenté d’obtenir le soutien des Anglais en bloquant l’adoption d’un statut pour la Caspienne, mais ont entraîné l’hostilité des pays riverains et leur unité pour aboutir un bon statut anti-BP.

Tous les gens du régime se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont mis un frein à ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les 30 députés du régime encore présents au Parlement, privés d’accès du dollar, ont remis en cause leur confiance à Rohani pour le forcer à leur accorder des dollars pas chers ou des places dans son gouvernement !

Les mollahs ont songé à une fausse révolution de couleur et ont fâché leurs proches collaborateurs qui pouvaient y perdre tout. Ils ont encore tenté de déstabiliser l’Irak et la Syrie et ont provoqué l’hostilité des Irakiens, des Syriens et des Russes. Trump a alors proposé une réunion au Conseil de Sécurité pour adopter de nouvelles sanctions mondiales à leur encontre.

(chantage terroriste & clientélisme / nouvelle version) Les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux en accusant les alliés régionaux de Trump pour se victimiser, échapper aux sanctions et trouver des alliés, de préférence les Européens, pour tenir tête à Trump, tout en lui proposant le dialogue pour aboutir à un deal sans aucune exigence de sa part.

Les Européens (mais aussi les Russes et les Chinois) se sont fâchés et ont puni les mollahs en leur proposant seulement un mécanisme de business démonétisé, les privant de facto de tout accès au dollar comme le souhaite Trump.

La demande de dollar a augmenté et le régime a dû augmenter son prix sur le marché libre qu’ils contrôlent à 20,000 tomans (4 fois son prix officiel) provoquant une plus grande panique parmi ses collaborateurs.

La semaine dernière Trump a obtenu le soutien ouvert des Français, des Allemands et tous les membres de l’OTAN à ses sanctions en insistant sur le terrorisme des mollahs.

Les mollahs ont nié leur échec et ont tenté de duper leurs collaborateurs et les pauvres qui les contestent. Aux plus riches, ils ont promis un dollar à 8000 tomans à condition qu’ils investissent beaucoup d’argent dans les entreprises moribondes du régime pour limiter leur pouvoir d’achat de devises et aussi de ruiner les cambistes et d’éliminer le marché libre. Ces derniers ont fait grève et ont de facto gardé les prix élevés. Le manque de dollars a obligé les mollahs à renoncer à leur projet.

Ils ont alors promis aux plus pauvres des allocations qui ne valent plus rien pour mettre fin à leur contestation et les réunir autour du Guide pour continuer leur fuite en avant. Les pauvres (miliciens qui rejettent le régime) ont intensifié leur contestation et ont aussi boycotté le grand rassemblement avec le Guide mettant en valeur l’isolement des mollahs et leurs camarades à la tête des Pasdaran.

Le dernier jour de la semaine dernière, les mollahs ont tenté de raviver leur fausse opposition dédiée à une fausse révolution de couleur, mais leurs collaborateurs ne les ont pas soutenus. Leur m-ae a accordé un entretien à la chaîne Al Jazeera pour insister sur leur disposition à accepter le dialogue, essayant d’inverser les rôles et obliger Trump à faire le premier pas en renonçant à ses exigences et ses sanctions, mais ce dernier a évidemment méprisé leur demande !

Cette semaine, les mollahs devaient gérer les progrès de Trump et leurs propres échecs ainsi que le prix du dollar pour éviter que leurs députés les attaques pour prendre le contrôle de leurs trésors afin d’obtenir les fonds nécessaires à leur fuite. Puisqu’ils sont seuls, ruinés et conscients qu’ils seraient pendus pour tous leurs crimes, les mollahs ont encore rusé en faisant semblant de renoncer à leur chantage terroriste pour apaiser les relations avec les Européens sans perdre le soutien de leurs agents terroristes. Ils ont échoué, ont déçu ces derniers et tous leurs autres collaborateurs et in fine ont provoqué de nouvelles crises qui ont aggravé leur situation.


2 - 10.11.2019
Semaines 607 ↔ 610
(28 sept.-25 oct. 2019)

Les mollahs ont perdu leurs partenaires historiques

© IRAN-RESIST. ORG

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansar-Allah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi aidé les Talibans et se sont mis à financer Daesh, abandonnés par Trump ! Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen et en Syrie. La Russie et la Syrie ont laissé l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto sous l’embargo financier souhaité Trump.

Les collaborateurs du régime ont paniqué. Ils ont commencé à vendre leurs bien pour partir avec leurs dollars. Les mollahs leur ont déclaré la guerre judiciaire via une soi-disant lutte anti-corruption. Puis ils ont tenté de relancer leur fausse opposition, pour les rassurer, mais les ont davantage inquiétés et ont encouragé leur rupture.

Début 2019, les mollahs ont eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte populaire en laissant le pays être ravagé par des inondations. La milice a complété le plan en empêchant les secours. La haine anti-régime s’est amplifiée.

Washington en a profité pour classer comme entité terroriste la milice qui gère tout au sein du régime. Le responsable du contre-espionnage de la milice est alors fui vers les États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer la chute du régime. La Russie s’est montrée favorable à un deal avec Trump pour renforcer Assad et sa propre position en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces liées aux mollahs.

Les mollahs ont alors capturé des pétroliers étrangers tout en affichant des ambitions balistiques, menaçant davantage l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux afin de terroriser ces derniers et les éloigner de Trump. Mais ils ont seulement réussi à les braquer et à rapprocher les Chinois des Arabes et de Trump ! Ce dernier en a profité pour sanctionner Zarif et la diplomatie terroriste des mollahs !

Le président français a profité de leur isolement grandissant et s’est proposé en médiateur en leur proposant 15 milliards de dollars contre leur participation aux nouvelles négociations souhaitées par Trump. Ils ont simulé une ouverture pour geler les sanctions et sortir de leur isolement. Mais Trump a refusé de céder.

Les mollahs se sont alors tournés vers Poutine, mais ce dernier a ostentatoirement montré son intérêt d’aider la Turquie pour se rapprocher de l’OTAN et d’aider Israël à les attaquer.

Les mollahs, désespérés par cet échec et aussi des grèves très pénalisantes de deux grands groupes industriels fondés par le Shah et dégradés par leur régime, ont concrétisé leur chantage en ciblant deux sites pétroliers saoudiens avec l’aide de leurs miliciens basés en Irak touchant gravement l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux et des Asiatiques.

Les Saoudiens, les Américains et les Anglais ont apporté des preuves que les mollahs étaient pleinement impliqués. Les Russes et les Chinois ont pris la partie des Saoudiens. Mais Macron, en quête d’un grand succès politique, s’est posé en médiateur pro-américain pour profiter d’un possible fléchissement des mollahs, mais a seulement réussi à les encourager à poursuivre leur chantage. Trump en a profité pour sanctionner leur banque centrale.

Fin septembre 2019, les mollahs, gravement pénalisés par cette sanction, ont menacé leurs collaborateurs agités grâce à leur soi-disant lutte contre la corruption, puis ils ont menacé tous les pays pétroliers et leurs clients avant le 74e AG de l’ONU en vue d’y obtenir leur aide pour rencontrer Trump et parvenir à un deal avec lui. Ces efforts et ceux des mollahs se sont soldées par une reconnaissance européenne de leur rôle dans l’attaque des installations d’Aramco.

Trump les a aussi désignés comme étant aux commandes du terrorisme dans le monde . La Russie et la Chine ne le lui ont pas reproché. Macron a alors changé de discours en déplorant comme tous les autres grands États européens le rôle négatif des mollahs dans la région.

Les mollahs sont revenus au chantage nucléaire en augmentant le volume de leur enrichissement nucléaire, mais ils n’ont pas réussi à paniquer et faire plier leurs adversaires. Les Européens ont dit qu’ils pourraient mettre fin à l’accord de Vienne, les exposant à de nouvelles sanctions onusiennes qui pourraient les renverser.

Les mollahs n’ont pas obtempéré, car la fin de leur d’ingérence terroriste régionale ne passerait pas l’arrestation de leurs proches serviteurs et la perte de leur force de répression et conduirait à leur chute. Ils n’ont pas pu profiter de leur chantage.

Les ouvriers en grève ont profité de l’impopularité du régime en Europe pour mettre en avant leur propre misère et le déstabiliser. Les Irakiens ont profité du déclin des mollahs pour manifester contre leur présence dans leur pays. Les mollahs n’ont pas osé défier vraiment les Européens ou Trump.

Voici le récit de ces deux semaines des séquelles de la défaite des mollahs à ONU.


2 - 29.01.2020
L’incroyable histoire de l’Iran au cœur de la guerre pétrolière anglo-américaine (texte+video & des liens)

Le Monde prétend que les Iraniens sont en conflit avec les Américains et non avec le régime, et ce par amour pour le "PM démocratiquement élu Mossadegh, renversé par les Américains" ! Il y a au moins 4 mensonges dans ce petit pitch et encore davantage dans la dernière vidéo du Monde avec la participation une journaliste stagiaire qui se veut drôle pour rendre potable les élucubrations de l’infatigable lobbyiste des mollahs, Yann Richard.

En réponse, voici un exposé écrit et en vidéo chronologique des grands événements de l’histoire iranienne pour démontrer la fausseté des avis de Yann Richard et ses collègues du Monde et d’ailleurs.

Pour une lecture plus fluide, nous avons opté un style télégraphique avec l’utilisation des abréviations : UK (Grande-Bretagne), US (États-Unis), FR (France), ALL (Allemagne), RU (Russie), IR (Iran impérial), MO (mollahs), RI (Republique Islamique), XX pour désigner des périodes troubles, Revo (révolution), REFO (réformateurs), Prj (projet), Mouv (Mouvement), Khom (Khomeini), Rafsa (Rafsandjani), Sanx (sanctions), Terror (terrorisme)...

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Mais aussi des couleurs.
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UK : Texte Noir Fond Aquamarine
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US : Texte Rouge Fond Jaune
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IR : Texte Bleu
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XX : Texte Noir Fond Gris
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RU : Texte Blanc Fond Rouge
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2 - 11.07.2008
Iran : Il s’agissait d’un missile sondeur !

Dans notre édition du 10 juillet, nous avons remis en cause l’authenticité de l’annonce sur un tir de missile longue portée par l’Iran. Suite à la publication d’une carte, les langues se délient et l’AFP a pris ses distances avec les infos qui lui sont transmises par les Pasdaran pour crier à une supercherie de clichés photographiques trafiqués. En réponse, Keyhan, le principal quotidien du soir en Iran, a publié une liste de toutes les agences de presse ou chaînes d’info qui ont diffusé l’annonce d’un tir réussi.


2 - 15.01.2019
Semaines 567 (22-29/12/18) :
Adieux forcés au terrorisme !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais, car cette stratégie islamiste avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs grâce à une belle passivité des autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1).

Les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux pour se victimiser et aboutir à un deal avec Trump. Mais ce dernier n’a pas marché et les 4+1 ont puni les mollahs en évoquant des échanges démonétisés (SPV), les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable de longue portée susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen pour faire pression sur tous leurs adversaires.

Cette provocation balistique a uni tout le monde contre les mollahs. Ils ont adopté une lecture rigoureuse de la résolution 2231 du Conseil de sécurité sur leur programme balistique des mollahs. Les Européens les ont aussi punis en retirant le pétrole de leur dispositif d’échanges démonétisés et ont souligné leur terrorisme en Europe !

La mauvaise conduite des mollahs a aussi provoqué une refonte géopolitique massive, car les Européens et les Américains sont parvenus à un plan de paix avec les alliés des mollahs au Yémen et ont pris le contrôle du terrain avec l’accord de l’ONU. Trump a aussi déclaré la défaite de Daesh en Syrie en annonçant son retrait pour valider Assad et la présence russe en Syrie avec l’accord de l’ONU mettant fin à tout prétexte pour les mollahs de rester sur place !

Enfin il a validé l’option du changement de régime en permettant au Prince Reza Pahlavi d’avoir des activités anti-régime aux États-Unis ! Les Européens ont soutenu le changement de régime en apportant leur soutien aux ouvriers en lutte contre le régime ! Ces derniers ont manifesté leur satisfaction par des slogans en faveur de Reza Pahlavi.

La panique s’est intensifiée parmi les compagnons du régime. Les mollahs ont tenté de les intimider en exécutant quelques hommes d’affaires et aussi de les rassurer en imaginant de nouvelles versions de leur fausse opposition, mais leurs compagnons n’ont pas validé cette option par peur d’aider la vraie opposition au régime.

La semaine dernière, les mollahs ont continué le même schéma avant de proposer un retour de leurs soi-disant réformateurs et en prévision à l’échec de ce simulacre, des manœuvres offensives dans le détroit d’Ormuz. Voici le récit de ces efforts et ce qu’ils ont apporté aux mollahs !


1 - 09.08.2019
Semaines 596-597 (13 au 27.07.2019)
Zinzin en Amériques

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansar-Allah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi aidé les Talibans et se sont mis à financer Daesh, abandonnés par Trump ! Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen et en Syrie. La Russie et la Syrie ont laissé l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto sous l’embargo financier souhaité Trump.

Les collaborateurs du régime ont paniqué. Ils ont commencé à vendre leurs bien pour partir avec leurs dollars. Les mollahs leur ont déclaré la guerre judiciaire via une soi-disant lutte anti-corruption. Puis ils ont tenté de relancer leur fausse opposition, pour les rassurer, mais les ont davantage inquiétés et ont encouragé leur rupture.

Début 2019, les mollahs ont eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte en laissant le pays être ravagé par des crues. La milice a complété le plan en empêchant les secours. La haine anti-régime s’est amplifiée.

Washington en a profité pour classer la milice du régime comme une entité terroriste. Le responsable du contre-espionnage de la milice est alors parti aux aux États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer la chute du régime.

La Russie a accepté de rencontrer les MAE américain et israélien en vue d’un deal en faveur d’Assad et sa propre présence en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces liées aux mollahs.

Les mollahs ont commencé à menacer l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux en tirant sur les installations pétrolières arabes. Ils ont seulement réussi à rapprocher les Chinois des Arabes et de Trump !

Les mollahs ont alors commencé à provoquer l’US Navy pour que le risque d’une nouvelle guerre isole Trump. Mais Trump l’a évité tout en intensifiant ses sanctions à leur égard.

Ils ont violé un peu les termes de l’accord sur leur nucléaire, menançant le rôle régional qu’offre l’accord aux Européens, dans l’espoir qu’ils reculent, mais ils ont seulement réussi à les rapprocher des Arabes et de Trump. Les Français ont en vain tenté de raisonner les mollahs.

Les mollahs dépités par ces echecs, mais aussi l’agitation de leurs proches et aussi des nombreuses manifestation hostiles à leur régime ont enfin qui accentuent leurs problèmes internes ont eu l’idée folle de capturer un cargo pétrolier américain pour déstabiliser les grandes compagnies pétrolières afin qu’ils forcent Trump à reculer ! Mais ils ont échoué.

Les Anglais qui espèrent empêcher l’alliance américano-russe, ont ’’vengé’’ les Américains en capturant un cargo pétrolier des mollahs aux larges de Gibraltar.

Les mollahs ont annoncé le départ de leur MAE à NY et à Vénézuela puis Nicaragua et Bolivie pour y défier Trump et y trouver des alliés anti-américains ou encore des interlocuteurs américains. Ils n’ont pas réussi. Ils ont été confronté à de plus forts remous. Voici le récit de ce voyage plein d’espoirs qui a fini en bad trip !


1 - 07.03.2018
Semaine en images n°522 :
Le dernier anniversaire du régime !

Récemment, les mollahs avaient été accusés d’aider les terroristes Houthis et s’étaient retrouvés menacés d’être sanctionnés à l’issue des rencontres prévues entre m-ae américain et ses homologues d’EU3.

Les gens du régime avaient paniqué et avaient tenté de se débarrasser de leurs avoirs et acheter des dollars pour fuir... Le gouvernement désigné par le clergé avait alors tenté un deal avec Washington via les Kurdes puis un deal contre Washington avec l’aide des Français.

La France avait accepté la proposition en annonçant la visite de son m-ae à Téhéran dans l’espoir de marquer des points sur la scène internationale et aussi pour préserver ses contrats d’achats pétroliers bon marché avec les mollahs ! Mais sous la pression des Anglais et des Allemands, elle n’avait s’était alignée sur la position américaine en acceptant la formation d’un groupe pour réviser les contraintes imposées aux mollahs.

Le président français avait tenté de relancer son projet en formulant secrètement 3 pré-conditions à sa visite (la fin du programme balistique des mollahs, la fin de leur ingérence terroriste au Yémen et leur participation à une table ronde -comme ils l’avaient formulée eux-mêmes avec les Américains et les Saoudiens pour régler leurs différents). Les mollahs avaient gardé secrète la demande qui leur semblait humiliante et l’avait rejetée en affirmant que personne ne pouvait leur dicter leur conduite et qu’ils développeraient tous les missiles qu’ils voudraient. Mais ils n’avaient pas annulé le projet de la visite de Macron, espérant sans doute négocier un deal sur leur idée de la table ronde afin d’imposer leur ingérence comme un droit et pour sortir de leur isolement et mettre fin aux pressions économiques et humanitaires qui les condamnent même à court terme.

La semaine dernière, 03-10 Février 2018 (que nous avons analysée pour nos auditeurs en Iran, sans traduire nos conclusions en français), les cadres miliciens qui espèrent participer à la chute du régime pour sauver leur peau avaient d’emblée révélé les trois conditions humiliantes de Macron et l’absence d’annulation de son voyage pour souligner la détresse des mollahs et avaient réussi à provoquer une très grande panique. Le gouvernement avait dû augmenter le taux du dollar pour dissuader leur ruée vers le dollar, mais n’avait pu l’endiguer...




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