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1 - 21.01.2007
IRAN-RESIST apporte son soutien à Charlie Hebdo

Rectificatif | Nous avions par erreur écrit que Mouloud Aounit, membre du MRAP, avait porté plainte contre Charlie Hebdo, un journal qui a eu pour seul tort de publier des caricatures dont les auteurs étaient calomniés et condamnés à mort par des édits religieux.


1 - 03.11.2020
Iran : Trump & en avant !

Les Français détestent Trump sous l’influence de leurs dirigeants et les journalistes au service des derniers, mais aussi, car ils ne connaissent rien en géopolitique notamment le Moyen-Orient désordonné façonné par la diplomatie des Démocrates américains par leur soutien aux islamo-gauchistes révolutionnaires et terroristes depuis 50 ans ! Les Français espèrent la victoire de Biden et y croient en lisant les sondages commandés par des médias mainstream américains qui ont moins de 30 % de crédibilité populaire et en méprisant les sondages indépendants qui prévoit une réélection avec un haut score. Mardi soir, les Français vont pleurer la victoire de Trump qui est pourtant leur allié dans la lutte contre le terrorisme islamique.

En revanche, les Iraniens, victimes de la diplomatie pro-mollahs des démocrates et leurs alliés néo-cons depuis 42 ans, espèrent la réélection de Trump qui en plus de sa lutte contre l’islamisme, il n’a cessé de soutenir leur lutte pour libérer l’Iran. Ils vont lui montrer leur gratitude en boycottant ce mardi d’abord la journée anti-américaine du régime et puis manifester massivement dans tout le pays pour saluer sa victoire et déstabiliser le régime.


1 - 06.02.2018
Iran vs Mollahs | 07.02.18 :
Actions fortes pour l’anniversaire du retour de Khomeiny

La lutte continue en Iran. Les dirigeants peinent à rassembler ses fidèles pour les cérémonie de l’anniversaire de leur révolution islamique.


1 - 24.02.2010
Iran : Le Jundallah, le cadeau d’adieu de la CIA

Téhéran vient d’annoncer avoir intercepté à bord d’un avion en vol au-dessus de ses eaux territoriales Abdol-Malek Riggi, le chef du groupe armé séparatiste Baloutche financé par les Américains. Dans un communiqué publié sur le net, les partisans de Riggi affirment que leur chef a été donné par la CIA sur un fond de marchandage politique irano-américain. Nous partageons ce point de vue car ce n’est pas la première fois que Washington livre un combattant de ce groupe pour contribuer à la reprise du dialogue avec les mollahs dont il a besoin pour asseoir son autorité dans la région.


1 - 01.03.2010
Iran : L’AFP a encore sauvé la peau de Moussavi !

Selon l’AFP et les autres agences occidentales, « le principal opposant iranien Mir Hossein Moussavi a déclaré samedi qu’une secte avait confisqué le pouvoir en Iran ». Selon un autre média français, c’est « son attaque la plus virulente à ce jour contre le régime des mollahs ». C’est bien désolant pour la déontologie, car Moussavi n’a pas dit ces mots. Bien au contraire, dans son dernier entretien, Moussavi ne parle que de son attachement au système et à ses institutions dont la première est naturellement la tutelle du Guide suprême.

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1 - 24.09.2017
Iran : La semaine en images n°495
Une investiture sous de bien mauvais augures

Dès le début de cette année 2017, les mollahs-agitateurs, qui étaient menacés par l’arrivée de Trump et la fin du projet islamiste du réseau Brzezinski, avaient renoué avec le terrorisme pour intimider ou désorganiser la région et empêcher Trump de créer une coalition globale à leur encontre. Mais, Trump et Poutine avaient bloqué leur élan en refusant d’admettre leur rôle dans ces attentats tout en les punissant en se rapprochant davantage en Syrie ou par un nouvel avis négatif du GAFI (FATF).

Le réseau Brzezinski, réduit à une influence médiatique et une nuisance parlementaire certaine pour diaboliser la Russie et toute alliance avec elle. Mais le rapprochement hors du commun entre Trump et Poutine avait finalement eu lieu en donnant naissance à une alliance Est-Ouest et un cessez-le-feu inattendu dans le sud de la Syrie (où se trouvent Damas et la frontière sensible avec Israël), privant les mollahs d’une zone indispensable pour leur nuisance vitale pour leur survie. La Chine, les G20 et la France avaient rejoint cette alliance à différents degrés. Les mollahs avaient tenté de rebondir grâce au terrorisme du réseau Haqqani. Washington avait profité de ce choix pour souligner leurs liens avec toutes les formes du terrorisme islamique. Ce constat avait mis fin à toute possibilité pour les mollahs de trouver un arrangement pour s’assurer une fuite sécurisée hors du pays.

La condamnation sans appel des mollahs avaient galvanisé les opposants internes. On avait assisté à 2 agressions remarquables des responsables du régime. Les experts de l’institut Aspen (du réseau Brzezinski) avaient cessé de justifier le dialogue avec les mollahs afin de ne pas couler avec les politiciens de leur réseau et avaient révélé les liens autorisés par ces derniers entre les mollahs et 33 grandes universités américaines ainsi que 3 fondations, dont celle des Clinton.

Les politiciens du réseau se voyant en danger avaient décidé de voter des sanctions contre les mollahs, mais en incluant un lourd volet russe pour empêcher Trump d’utiliser ces mesures pour renverser les mollahs et parachever son alliance Est-Ouest avec Poutine. Trump avait annoncé le remplacement des sanctions par l’inspection des bases militaires par l’AIEA, pour avancer avec ses alliés internationaux contre ses ennemis américains qui oeuvraient aussi pour les mollahs.

La semaine dernière (28 juillet-4 Août 2017 / 6-13 Mordad1396), les mollahs, désespérés par cette trouvaille de l’administration Trump, avaient renoué avec le terrorisme avec l’aide du réseau afghan Haqqani, mais ils n’avaient pas pu s’inviter dans le dernier conflit israélo-palestinien pour l’accès à la mosquée Al Aqsa. Ils avaient alors opté pour une résistance pacifique via l’OCI, mais ils n’avaient pas trouvé la formule pour cette approche très loin de leur habitude et leur échec avait davantage accentué la panique de leurs proches.

L’administration Trump avait posé un obstacle infranchissable à l’émigration des Iraniens (c.-à-d. la fuite des gens du régime de l’Iran) en leur demandant des justificatifs sur le passé et leur navigation internet sur 5 ans.

Les mollahs avaient alors bloqué les comptes bancaires de leurs proches pour contrarier les projets de fuite afin de rendre inutile leur trahison. Puis ils avaient tenté de se consolider la cérémonie de la validation du résultat des élections par leur chef, le Guide suprême de la révolution islamique !

Trump avait accentué son hostilité à leur égard en associant les autres grandes puissances à ses actions par une nouvelle résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU contre le terrorisme islamique.

Les mollahs avaient alors changé de discours lors de la cérémonie de la validation de l’élection de leur pion, se montrant très bienveillants vis-à-vis du peuple en demandant de manière très opportuniste à leurs fidèles de ne guère contrarier ses attentes. Leurs collaborateurs avaient compris que les mollahs allaient les livrer au peuple pour obtenir leurs visas de sortie vers des pays d’accueil.

Un ancien négociateur nucléaire avait pris ses distances avec les mollahs en les accusant de corruption et en se posant comme l’avocat des pauvres kurdes contraints au larcin qu’ils condamnent sans pitié.

Les mollahs avaient alors continué leur virage en annonçant un certain Nahavandian, ex-patron de la chambre de commerce de Téhéran, comme futur ministre de l’Économie pour insinuer une braderie de toutes les richesses iraniennes pour se lancer dans un marathon de marchandages en vue d’obtention des visas auprès des représentants des pays étrangers qui devaient arriver dès le lendemain pour la cérémonie de l’investiture de Rohani qui devait avoir lieu le surlendemain (samedi) à 17h au Parlement iranien.


1 - 02.05.2010
Iran : La semaine en images n°115

Le début de la semaine a été marqué par les annonces d’attaques contre les pétroliers alors que les Gardiens de la Révolution procédaient à des tirs de missiles sur le golfe Persique, une provocation évidente pour bloquer tout apaisement avec Washington. Sans se laisser perturber par cette attitude négative des mollahs, Washington qui a besoin d’une entente pour étendre son hégémonie régionale, a expédié son émissaire, le ministre brésilien des affaires étrangères, à Téhéran pour trouver un terrain d’entente avec les mollahs. Ces derniers ont encore une fois dit non à tout compromis. La fin de la semaine a été différente car si nos enturbannés ont bien évidemment des priorités internationales, ils ont aussi des priorités intérieures : l’été revient et s’approche le 1er anniversaire du soulèvement du peuple iranien contre l’ensemble du régime. Ne sachant ce qui pourrait advenir nos barbus de toutes tendances se sont lancés dans des célébrations de type social pour se montrer proches du peuple.


1 - 07.09.2017
Iran : La semaine en images n°493
Improvisation d’un nouveau terrorisme

Cette année 2017, les mollahs-agitateurs, menacés par l’arrivée de Trump et la fin du projet islamiste du réseau Brzezinski, avaient renoué avec le terrorisme pour intimider ou désorganiser la région et empêcher Trump de créer une coalition globale à leur encontre. Mais, Trump et Poutine avaient bloqué leur élan en refusant d’admettre leurs rôles dans leurs attentats tout en les punissant en se rapprochant davantage en Syrie ou par un nouvel avis négatif du GAFI (FATF). Poutine avait aussi fait un effort supplémentaire en se montrant tacitement prêt à coopérer pour contrer leurs activités balistiques délibérément provocatrices par une application plus ferme de l’accord de Vienne et de la résolution 2231 voire par un soutien tacite à de nouvelles sanctions économiques.

Le réseau Brzezinski, réduit à une influence médiatique et une nuisance parlementaire certaine, avait multiplié les efforts pour sauver les mollahs en diabolisant la Russie et son rapprochement avec les mollahs. Mais ces derniers avaient déçu ce réseau, car leur but était de trouver un deal avec Trump. Ils avaient continué à le décevoir en cherchant à le manipuler en offrant le plus grand champ gazier du monde qui est en Iran pour 25 ans à Total (qui a des actionnaires américains et une direction française) ainsi qu’à la CNPC chinoise (qui est loin d’être un ami du réseau Brzezinski) pour former un front américano-franco-chinois à l’alliance entre Trump et Poutine. Mais ils n’avaient pas obtenu les soutiens désirés et avaient davantage déçu le réseau Brzezinski.

Le rapprochement hors du commun entre Trump et Poutine avait finalement eu lieu en donnant naissance à une alliance Est-Ouest et un cessez-le-feu inattendu dans le sud de la Syrie (où se trouvent Damas et la frontière sensible avec Israël), privant les mollahs d’une zone indispensable pour leur nuisance vitale pour leur survie. De facto, la Russie était réhabilitée et pouvait échapper à la diabolisation et les sanctions désirées par le réseau Brzezinski et de fait, elle pouvait aider pleinement Trump pour son projet. La Chine avait rejoint cette alliance en refusant d’acheter du pétrole aux mollahs ! Les membres de G20 avaient rejoint la coalition en ne se montrant nullement opposés à la demande de Trump de rompre les relations économiques avec les mollahs. Parmi eux, la France avait aussi rejoint la coalition en affichant une belle solidarité avec Trump par un soutien à la Syrie stable (avec Assad) et à sa lutte anti-terroriste qui vise les mollahs !

La semaine dernière, les mollahs n’avaient pas réagi à ces ruptures des alliés qu’ils espéraient avoir pour sauver leur peau. Ils avaient aussi nié la gravité de la situation. Ils avaient misé sur l’invitation de leur M-AE Zarif à NY au Council on Foreign Relations, le principal think tank du réseau Brzezinski pour torpiller les décisions de Trump et gagner la bataille de l’opinion à son encontre ! Mais ce réseau conscient de l’objectif du régime avait aussi émis des informations sur le terrorisme du régime en Irak et en Syrie, limitant le projet de gagner la bataille de l’opinion. Les mollahs n’avaient pas protesté contre ce qui est dit et avaient ainsi souligné leur grand isolement qui limitait leur moyen d’action ou de riposte.

Cet irrémédiable isolement avait donné du courage à la résistance interne. Un homme seul avait attaqué et gravement blessé un mollah du pouvoir et ses gardes grâce à la passivité de la foule et de la police. Un appelé avait ouvert le feu sur les officiers de sa base pendant leur heure de sieste !

Les Chefs Pasdaran avaient vite minimisé les actes et avaient porté leur soutien aux victimes, mais les cadres de la milice et les autres officiers ne les avaient pas suivis. Inquiétés par le soutien implicite de leurs officiers aux ennemis du régime, les chefs Pasdaran avaient renoué avec la propagande militaire et balistique et des projets terroristes pour intimider le peuple et aussi provoquer une crise avec Trump, notamment de le pousser à rompre l’accord de Vienne pour perdre ses soutiens en Iran et de fait, en finir avec ses attaques contre eux-mêmes et contre le reste du régime.

Les mollahs et Rohani n’avaient pas contredit cette conduite, car elle leur convenait, mais avaient continué à nier la gravité de la situation et misé sur Zarif dans l’espoir de gagner la bataille de l’opinion et forcer Trump à renoncer à ses projets.

Trump les avait tous punis en soulignant leurs liens avec tous les terrorismes islamiques, tant chiites que sunnites, dans le rapport annuel de son administration sur les menaces contre les États-Unis.

Les politiciens du réseau Brzezinski avaient zappé le rapport pour ne pas donner raison à Trump. Mais les experts de l’Institut Aspen, du réseau Brzezinski, avaient rompu avec les politiciens de ce réseau par peur de couler avec eux. Certains avaient aussi dénoncé des liens secrets entre les mollahs de 22 universités et 2 fondations américaines, dont celle de la famille Clinton.

Les politiciens du groupe accusés de facto d’aider les mollahs avaient annoncé un vote rapide en faveur des sanctions contre les mollahs au cours de la semaine à venir tout en prévoyant aussi des sanctions contre la Russie pour empêcher Trump de profiter de ces sanctions, mettre fin à leur projet et les mettre en danger de poursuite pour leurs méfaits par leurs victimes à travers le monde !

La semaine dernière (14-21 juillet 2017 / 23-30 Tir 1396), Trump pouvait cependant bloquer cette partie et continuer sa coalition contre les mollahs ou trouver un deal sur l’Ukraine pour diluer ces sanctions et réduire au néant les mollahs ! Ces derniers étaient donc à la veille d’une semaine cruciale pour leur avenir. Tout pouvait basculer dès mardi après le vote de la chambre des représentants en faveur des sanctions mettant le régime face à un embargo total.


1 - 07.08.2017
Iran : La semaine en images n°491
Alliances inattendues contre les mollahs

Cette année (2017), les mollahs-agitateurs se sont retrouvés enfin en danger en raison de leur soutien à Daesh et aussi le fait que Trump avait réussi à contrer l’establishment américain trilatéraliste pro-islamiste (engendré par Brzezinski depuis une cinquantaine d’années) pour leur opposer un front mondial via une OTAN arabo-israélienne qui a été rapidement soutenu par l’Europe et la Russie pour aboutir à un nouveau Moyen-Orient stable et apaisé.

Les mollahs qui avaient feint la modération via un second mandat pour Rohani avaient vite renoué avec le terrorisme en visant ce front mondial à Kabul avant de simuler un attentat à Téhéran pour rester insoupçonnables. Les grandes puissances dont la Russie n’avaient pas accusé les mollahs pour Kaboul pour ne pas les laisser mener le jeu, mais ils les avaient punis en les maintenant sur la liste noire du GAFI. Les Européens avaient aussi reconduit les sanctions en vigueur contre les mollahs et les chefs Pasdaran. Enfin, Trump avait pu justifier son projet de restriction des visas pour les mollahs et faire aboutir ses nouvelles sanctions S722 afin de leur imposer un embargo air-mer-banque. Poutine avait commencé le projet d’isolement des mollahs en partageant le maintien de la paix dans le sud de la Syrie avec les États-Unis.

Les mollahs et associés s’étaient attribués un tir réussi de 6 missiles pour intimider leurs adversaires régionaux ou les 6 mondiaux. Aucun Etat n’avait admis leur succès afin qu’ils ne puissent se poser en position de force. Mais tous s’étaient dit en faveur du maintien de l’accord de Vienne et d’un durcissement de la résolution 2231 qui le complète. Trump et Poutine avaient annoncé qu’ils se rencontreraient dans une semaine en marge du sommet des G20 pour concrétiser leur rapprochement par des accords sur les grands sujets du moment

La perspective d’une alliance Est-Ouest et leurs échecs pour l’empêcher étaient la preuve qu’ils seraient vaincus sous peu. Une grande majorité des derniers collaborateurs fidèles aux mollahs et même des dirigeants de haut niveau avait pris leur distance avec le régime en boycottant la journée anti-israélienne de Qods.

La semaine dernière (1-8 juillet 2017 / 10-18 Tir 1396), les mollahs & associés avaient offert le plus grand gisement gazier du monde qui se trouve en Iran à Total (qui a des actionnaires majoritairement américains et une direction française) et à la CNPC chinoise dans l’espoir d’attirer d’autres investisseurs étrangers en Iran pour bénéficier du même type de contrat et en échange, bénéficier de leur soutien pour neutraliser l’alliance Est-ouest que devaient conclure Trump et Poutine à son encontre...


1 - 28.04.2017
Iran : La semaine en images n°479
Le peuple, le Prince, la révolution !
(Le père, le fils et ...)

Au progamme : des accusations de liens avec Daesh, le boycott de la journée de l’Armée, un ultimatum du prince Reza Pahlavi, le leader des forces patriotiques aux mollahs et les premières grosses fissures dans le régime des mollahs !




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