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Iran : La semaine en images n°491
Alliances inattendues contre les mollahs

07.08.2017

Cette année (2017), les mollahs-agitateurs se sont retrouvés enfin en danger en raison de leur soutien à Daesh et aussi le fait que Trump avait réussi à contrer l’establishment américain trilatéraliste pro-islamiste (engendré par Brzezinski depuis une cinquantaine d’années) pour leur opposer un front mondial via une OTAN arabo-israélienne qui a été rapidement soutenu par l’Europe et la Russie pour aboutir à un nouveau Moyen-Orient stable et apaisé.

Les mollahs qui avaient feint la modération via un second mandat pour Rohani avaient vite renoué avec le terrorisme en visant ce front mondial à Kabul avant de simuler un attentat à Téhéran pour rester insoupçonnables. Les grandes puissances dont la Russie n’avaient pas accusé les mollahs pour Kaboul pour ne pas les laisser mener le jeu, mais ils les avaient punis en les maintenant sur la liste noire du GAFI. Les Européens avaient aussi reconduit les sanctions en vigueur contre les mollahs et les chefs Pasdaran. Enfin, Trump avait pu justifier son projet de restriction des visas pour les mollahs et faire aboutir ses nouvelles sanctions S722 afin de leur imposer un embargo air-mer-banque. Poutine avait commencé le projet d’isolement des mollahs en partageant le maintien de la paix dans le sud de la Syrie avec les États-Unis.

Les mollahs et associés s’étaient attribués un tir réussi de 6 missiles pour intimider leurs adversaires régionaux ou les 6 mondiaux. Aucun Etat n’avait admis leur succès afin qu’ils ne puissent se poser en position de force. Mais tous s’étaient dit en faveur du maintien de l’accord de Vienne et d’un durcissement de la résolution 2231 qui le complète. Trump et Poutine avaient annoncé qu’ils se rencontreraient dans une semaine en marge du sommet des G20 pour concrétiser leur rapprochement par des accords sur les grands sujets du moment

La perspective d’une alliance Est-Ouest et leurs échecs pour l’empêcher étaient la preuve qu’ils seraient vaincus sous peu. Une grande majorité des derniers collaborateurs fidèles aux mollahs et même des dirigeants de haut niveau avait pris leur distance avec le régime en boycottant la journée anti-israélienne de Qods.

La semaine dernière (1-8 juillet 2017 / 10-18 Tir 1396), les mollahs & associés avaient offert le plus grand gisement gazier du monde qui se trouve en Iran à Total (qui a des actionnaires majoritairement américains et une direction française) et à la CNPC chinoise dans l’espoir d’attirer d’autres investisseurs étrangers en Iran pour bénéficier du même type de contrat et en échange, bénéficier de leur soutien pour neutraliser l’alliance Est-ouest que devaient conclure Trump et Poutine à son encontre...



Mais les mollahs n’avaient obtenu aucun soutien diplomatique de la France et de la Chine ou encore un soutien des grandes compagnies intéressées par les immenses opportunités économiques iraniennes. Le contrat qui n’apportait rien au pays et au régime avait alors été très critiqué par les rivaux des mollahs, dont les chefs Pasdaran, et il est devenu un problème supplémentaire pour eux.

Les mollahs et leur pion Rohani avaient alors tenté de bloquer la conférence d’Astana qui devait confirmer la coopération américano-russe dans le sud de la Syrie pour bloquer les ambitions de Poutine et l’obliger à changer de direction, mais ce dernier n’avait pas cédé.

Les mollahs avaient parlé alors de leur soutien aux chefs Pasdaran pour les garder avec eux et avoir leurs missiles pour résister à l’alliance Est-ouest de Trump et Poutine qui venait compléter les précédents éléments de son plan pour les renverser. Les chefs Pasdaran n’avaient pas répondu en pensant qu’ils pouvaient sacrifier les mollahs pour sauver leurs propres peaux. Rohani avait lâché les mollahs pour s’approcher des Larijani et flirter avec les Irakiens pour se ménager un exil sécurisé dans ce pays. Les Irakiens n’avaient pas répondu à ce projet.

Vendredi | 08 Juin 2017 | 19 TIR 1396 | Dernier jour de la semaine dernière, Trump et Poutine s’étaient rencontrés comme prévu en affichant une belle entente et en annonçant un cessez-le-feu conclu entre leurs militaires quelques heures plus tôt en Jordanie et la gestion en commun du sud de la Syrie et la sécurité de Damas, c’est-à-dire d’Assad ! Ce qui signifiait que la résistance des mollahs à Astana pour empêcher la paix avait consolidé la nécessité du rapprochement entre Trump et Poutine et avait aussi sauvé Assad !

Les mollahs avaient censuré ces faits qui confirmaient leur fin. Mais ce n’en était pas avec leurs malheurs, car la Chine avait alors rejoint l’alliance déjà fort prometteuse de Trump-Poutine en annonçant que sa politique énergétique avait changé et qu’elle n’achèterait plus les produits pétrochimiques iraniens. Cela signifiait une baisse de 40 % des maigres revenus pétroliers du régime !

Les mollahs ont censuré aussi cette rupture. Les cadres Pasdaran l’avait révélée ! Les chefs Pasdaran n’avaient pas surenchéri. Sans révéler la rupture chinoise, ils avaient alors critiqué la composition du cabinet de Rohani pour exiger l’intégration des jeunes proches d’eux, à la fois pour se renforcer et aussi pour obtenir le pilotage du régime dans le but de faciliter leur projet de changement de régime avec une révolution contrôlée (une révolution de couleur). Mais leur offensive n’avait pas trouvé de partisans au sein du régime, personne ne les jugeait aptes à gouverner le pays !

Les mollahs avaient respiré un peu, mais il leur restait leur principal problème : l’alliance Est-Ouest de Trump & Poutine contre le régime qui avait le soutien des Arabes, des Israéliens, des Européens et des Chinois.

Incapables de trouver un allié économique pour résister, ils avaient tout simplement zappé ce problème dans leur sermon de vendredi. Ils avaient aussi oublié leurs efforts ratés de la semaine, comme le contrat avec Total, qui soulignait leur total manque de discernement et ils étaient revenus à l’option d’intimidation avec une nouvelle offre d’alliance en insistant sur les inspections internes parlementaires pour s’allier les Larijani et les députés et avec eux pour préserver la cohésion du régime !

Puis dans l’après-midi, ils avaient focalisé leur média sur leurs partis politiques et leur participation à la vie politique voire au gouvernement pour attirer leur sympathie et leur soutien. Tous les composants avaient participé mollement à cette ouverture sachant qu’ils ne pourraient pas s’en tirer en simulant plus la démocratie et que la seule solution était de rompre avec le système et trahir ses secrets !

La nouvelle semaine devait en principe donner lieu à des crises et des krachs sans précédent. Cette agitation risquait de s’amplifier en milieu de la semaine avec l’adhésion des G20 et de nouvelles alliances contre les mollahs, puis en fin de la semaine avec l’anniversaire de l’accord de Vienne qui a engagé les mollahs à renoncé à leur provocation sur le thème nucléaire sans les sauver en leur faisant parvenir les torrents de dollars qu’ils espéraient ! Les mollahs étaient devant la réalité de leur isolement et leur impuissance d’agir. Ils ne pouvaient empêcher cette crise, ils devaient juste limiter la casse !

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Samedi | 08 Juillet 2017 | 17 TIR 1396 | IRAN, organe du gouvernement boiteux du clergé, ne parlait pas de la rencontre entre Trump et Poutine et ses deux premiers effets à savoir l’exclusion du régime du sud de la Syrie et la perte des achats pétrochimiques chinois. Le journal du gouvernement annonçait qu’une enquête des inspecteurs du régime avait révélé plus en détail la corruption au sein de la direction des Pasdaran sous Ahmadinejad et la vente illégale de millions de barils offerts à cet organisme à ce moment pour compenser des budgets accordés, mais impossibles à payer. La somme qualifiée de détournement s’élevait à 23 milliards de dollars ! Le départ en retraite d’Ahmadi-Moghadam, l’ancien chef de la police du régime était qualifié de destitution punitive. L’accusé affirmait que l’argent était disponible, mais le ministre de l’Économie d’Ahmadinejad ne le lui avait pas réclamé...

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Cela n’avait pas de sens, car le régime lui-même n’a pas ce genre de revenus avec toute sa production. Par ailleurs, pourquoi reprocher à la police du régime (NAJA) de vendre du pétrole qui lui était donné pour être vendu ! Par ailleurs, pourquoi accuser un retraité sans demander des comptes à son successeur ou son supérieur le commandant en chef des Pasdaran Jaafari ? Enfin si l’argent était détourné, mais toujours disponible l’affaire ne devait pas être divulguée à un moment critique pour le régime. Tout cela était un scénario monté les Larijani et les députés pour menacer et soumettre les chefs Pasdaran afin de les contraindre à servir le clergé et aussi les empêcher de vendre des actions et participer à la banqueroute du régime.

Tehran Times, organe anglophone du clergé condamné à mort, évoquait les manifestations populaires contre les chefs des États de G20 et insistait sur la hausse des investissements étrangers en Iran, invitant implicitement des investisseurs étrangers à miser sur le régime. Le clergé espérait déstabiliser les chefs d’État des G20 et encourager aussi les patrons de leurs pays à se révolter contre leurs sanctions et leur adhésion à l’alliance Est-Ouest à son encontre.

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Abrar, l’organe des lieutenants orphelins de Rafsandjani, le défunt parrain du régime mafieux, contraints de suivre le clergé pour ne pas être purgés, avait mis en avant Ali Larijani, l’allié préféré du clergé qui minimisait la puissance américaine. Les lieutenants orphelins de Rafsandjani avaient reçu la consigne de mentir aux autres actionnaires du régime pour cacher leur faillite et éviter qu’ils vendent leurs actions et poussent sa Banque Centrale à la faillite.

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Javan, organe des cadres miliciens prêts à trahir le régime, n’évoquait pas une fois la réalité hostile aux mollahs. Ils ne se voyaient pas assez fort pour les défier frontalement, mais ils avaient pris la partie de les dénigrer en insistant sur leur gestion très médiocre qui avait plombé l’économie iranienne même dans les domaines où le pays excellait ou pouvait exceller grâce à ses capacités naturelles.

On apprenait ainsi que les trois régions du nord de l’Iran en bordure de la mer Caspienne avaient presque la même surface que les Pays-Bas et deux fois plus de précipitations que ce pays et pouvaient permettre à l’Iran de figurer parmi les premiers pays agricoles du monde, mais que l’on en était très loin par la faute du régime ! L’article dénonçait aussi le fait que le pays produisait 95 % du safran du monde en ayant seulement 1 % du marché mondial ! Cela signifiait que les récoltes étaient vendues en cachette à des négociants étrangers.

L’article évoquait aussi des possibilités très élevées de développement de l’activité portuaire en Iran grâce à des milliers de km de front marin en précisant que la faute du régime ces régions qui ailleurs seraient très prospèrent étaient les plus pauvres en Iran. C’était un appel à la révolte contre le régime et ses patrons ripoux. Un choix que nous avons jugé pertinent et malicieux au moment où le régime parlait de sa lutte contre la corruption pour intimider ses composants.

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On avait donc un régime conscient de ses problèmes avec une direction unie pour cacher ces problèmes et contrôler leurs effets par la censure, la désinformation, la propagande, la diversion et aussi l’intimidation des éléments agités ! Ce choix très classique pour le régime a été renforcé en tout début de la matinée par l’ouverture surprise du procès des complices de Zanjani. Ce dernier est un milicien qui avait été chargé par Rafsandjani de contourner les sanctions par la vente secrète du pétrole et récolter les commissions à sa place et se retrouve en prison pour cet enrichissement qu’il refuse d’assumer. L’ouverture du procès de ses complices était donc une menace inédite contre les pions politiques et les très riches proches du défunt Rafsandjani pour les dissuader de privilégier leurs intérêts par quelques moyens que ce soient.

Ainsi après avoir utilisé les médias de ces gens pour la promotion de ses propagandes, le clergé les menaçait pour qu’ils n’exigent rien en échange et ne prennent pas le large en l’absence de la compensation espérée. On pouvait être certains que les gens menacés de la direction des Pasdaran et du clan Rafsandjani n’allaient pas vendre des actions !

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Mais ce plan n’était pas infaillible parce que toute arrestation après ces menaces pouvait éliminer quelques personnes dangereuses, mais aggraver la crise de confiance entre le clergé et ses subordonnés et entrainer la rupture de tous les rescapés de cette purge. De plus, les médias rusés des cadres miliciens ont vite déploré l’absence du ministre de pétrole Zanganeh, également à ce même poste sous Rafsandjani, pour retourner le plan contre les mollahs et engendrer plus de crises internes contraires à la stabilité du régime.

C’est pourquoi le gouvernement a aussi maintenu le nombre des entreprises privées de vente normale (sans perte de prix) au-dessus du Top 50 (50+6) pour limiter les ventes, mais il a aussi commencé la séance hebdomadaire de la bourse par une forte injection de fonds de 420 milliards de tomans faisant grimper l’indice bousier (indice de confiance au régime) de 181 points. Cette forte hausse signifiait que le clergé avait rémunéré les grosses fortunes de son économie après les avoir menacés. Il leur signifiait qu’il ne cherchait pas la guerre, mais d’éviter les problèmes.

Très rapidement, le commandant Gheybparvar, des chefs Pasdaran, chargé de la milice anti-émeutes Bassidj (dont il ne reste pratiquement rien) a pris la parole pour dire qu’il ne servait à rien de frapper la milice, car elle servait le régime. Les mollahs et les gouvernements ont compris que la milice avait compris les enjeux et ses devoirs.

On connut une matinée calme au sein du régime avec très peu de transactions, seulement 9 milliards de tomans, après l’injection de fonds en début de séance. On avait ainsi un cocktail très classique de propagande, d’intimidation et gratifications à l’attention des amis du régime pour éviter leur rupture après l’avènement fort, mais discret d’une alliance Est-Ouest contre le régime !

En fin de la matinée, Ali Larijani a affirmé que Rohani n’avait pris aucune décision contraire aux lois depuis le début de l’année pour souligner sa légitimité et son soutien à son égard afin que préserver le consensus au sein du régime et continuer dans le même calme tout au long de la semaine. Les médias du clergé ont pris la suite pour promouvoir cette fausse paix basée sur le déni de toutes les réalités du régime.

Dans l’après-midi, les mollahs ont focalisé leurs médias sur Motavaselian, un milicien enlevé il y a une trentaine d’années au Liban par des inconnus pour accuser pêle-mêle les Israéliens ou les Américains afin de montrer aussi une belle unité au sein du régime et ainsi simuler une forte fidélité de tous ses composants dans ses objectifs et ses slogans.

Cette belle harmonie a été perturbée par un interview du député mollah-agitateur Haji-Deligani d’Ispahan à l’agence FARS des cadres miliciens pour remettre en cause le contrat avec Total dans sa forme sans effleurer ses vrais défauts notamment une vente au rabais pour assurer l’avenir politique du régime. Ce député reprochait par ailleurs au gouvernement de négliger l’application du 6e Plan de développement et le modèle de nouveau contrat pétrolier IPC alors que tous les deux autorisent la privatisation du pays au profit des Étrangers et le type de contrat accordé à Total. Cela n’avait pas réellement de sens. Pour nous, le clergé avait mandaté ce député pour s’inviter dans un média hostile pour prendre le contrôle des critiques et brouiller leurs cartes pour les ridiculiser. On avait un nouveau plan pour éliminer de nouvelles critiques ou attaques au cas où les plans d’intimidations déjà mis en place s’avéraient inefficaces ou contreproductifs !

Par ce choix, le clergé a admis qu’il ne croyait pas pouvoir contenir ses collaborateurs avec ses plans bâclés pour les intimider qui pouvaient se retourner contre lui. Ses choix n’étaient pas bons. Il devait les reformuler pour mieux réussir à berner ses collaborateurs désespérés et donc imprévisibles après l’avènement d’une alliance est-ouest à son encontre.

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Dimanche | 09 Juillet 2017 | 18 TIR 1396 | IRAN, organe du gouvernement boiteux du clergé, était resté sur la même ligne de propagande et d’intimidation, mais un cran plus doux en parlant de la bande de Zanjani pour évacuer le risque de l’accusation de Zanganeh. Il affirmait par ailleurs que le contrat avec Total avait de facto arrêté l’adoption des sanctions S722 alors que le projet était en stand-bye par opposition de Trump aux sanctions anti-russes qui y étaient ajoutées par ses adversaires, mais devaient sauter après le geste fort de la Russie sur le cessez-le-feu en Syrie !

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Tehran Times, organe anglophone du clergé condamné à mort, évoquait une importante vente de tableaux à Téhéran pour dire qu’il se sentait serein ! Le clergé évoquait aussi la hausse de ses exportations pétrolières pour draguer les acheteurs étrangers et résister avec leurs aides. C’était idiot et désespéré après le rapprochement entre Trump et Poutine où les deux hommes avaient aussi évoqué le partage du marché énergétique de l’Europe ! À ce moment, le clergé n’avait aucune solution viable et réaliste pour contrer l’alliance Est-Ouest qui le menaçait.

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Abrar, l’organe des lieutenants orphelins de Rafsandjani, le défunt parrain du régime mafieux, annonçait que la veille Zanganeh avait affirmé qu’il espérait proposer des « contrats de 40 à 50 ans aux investisseurs étrangers » (mêmes Américains) « car il n’y avait pas de place pour la fraternité dans le monde du pétrole » !

En affichant cette confidence au ministre ripou de Pétrole des mollahs, les lieutenants orphelins de Rafsandjani se prétendaient l’aider, mais ils se vengeaient en fait, car ils soulignaient à quel point le clergé était sans scrupule et prêt à sacrifier les intérêts du pays pour préserver son pouvoir !

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Javan, organe des cadres miliciens prêts à trahir le régime, piété la veille par le clergé avec les fausses critiques de Haji-Deligani contre le contrat avec Total, ne citait pas cet enfumage du gouvernement. Le journal dénonçait aussi la prise en main des critiques contre le gouvernement par le gouvernement pour encourager de vrais critiques en dehors de l’écran de fumée inventée par le régime pour sa défense !

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On avait d’un côté le clergé et sa propagande et de l’autre la résistance résiduelle des cadres miliciens. Ahmadinejad qui sert de bouc émissaire à tous les problèmes du régime était intervenu via son journal Bahar (Printemps- vestige d’un plan de simulation d’un faux printemps iranien en réponse au printemps arabe d’Obama) et s’était vengé en révélant le cessez-le-feu en Syrie contre les intérêts du régime pour souligner l’incompétence des mollahs & associés.

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Le clergé a demandé à son bon pion Haji-Deligani de continuer à marteler son opposition au contrat avec Total tout en restant fidèle aux lois qui les rendaient possibles. Les autres députés faisaient semblant de l’ignorer ou s’amuser entre eux pour lui donner une image de vrai opposant pour qu’il soit pris au sérieux et puisse enfumer l’opinion et l’empêcher d’aller à la récolte de vraies informations sur le régime et sa situation internationale ! Le clergé pris au dépourvu continuait ainsi sa fuite en avant !

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Conscient des risques, il a ouvert la bourse avec 35 % de plus d’injection de fonds soit 568 milliards de tomans (172 millions de dollars au taux officiel ou 150 millions de dollars en taux libre) étalée sur 3 heures et bénéficiant à un plus grand nombre d’actionnaires du régime !

Dans l’après-midi, le régime a promis la visite de Zanganeh mercredi pour répondre aux critiques de Haji-Deligani afin de relancer cette polémique qui peinait à décoller. Il a aussi inventé un débat à ce sujet pour relancer sa diversion sans y parvenir cependant.

Le clergé et tous les autres ont alors lâché cette diversion et ont massivement félicité les Irakiens pour la libération à 100 % de Mossoul pour rassurer les leurs que ce pays restait leur ami et de fait une base de repli où ils pourraient se réfugier en cas d’un changement de régime en Iran. Mais encore une fois, personne ne leur a parlé et l’échec a souligné leur isolement et leur manque d’imagination pour y échapper.

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Lundi | 10 Juillet 2017 | 19 TIR 1396 | IRAN, organe du gouvernement boiteux du clergé, avait mis l’accent sur la libération de Mossoul et son propre rôle positif pour promettre que l’option irakienne était possible.

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Tehran Times, organe anglophone du clergé condamné à mort, insistait sur la joie du régime pour la libération de Mossoul pour insinuer qu’il n’avait aucun lien avec Daesh !

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Abrar, l’organe des lieutenants orphelins de Rafsandjani, le défunt parrain du régime mafieux, avait mis en avant cette même joie pour aider les mollahs.

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Javan, organe des cadres miliciens prêts à trahir le régime, heureux de la révélation de l’accord Trump+Poutine sur la Syrie, affirmait que l’objet de leur prise en main du sud de la Syrie était la création d’une zone bouclier pour protéger Israël et ce dernier malgré sa joie de l’élimination de facto du régime demandait des gestes plus importants contre le régime.

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Hors Iran, les médias américains affirmaient qu’un écolier, rédacteur en chef du journal de son lycée, avait par hasard entrevu le numéro personnel du ministre de défense Mattis et l’avait appelé et réussi à l’interviewé. Il y disait que les élections du régime n’étaient qu’en show et les gens en place n’avaient aucune légitimité et de plus il était impossible de s’entendre avec eux, c’est pourquoi les États-Unis n’avaient comme seule option que d’aider un changement de régime. Pour nous, l’équipe Trump avait réalisé un grand coup médiatique, un buzz, pour porter ses idées et forcer l’armada médiatique du réseau Brzezinski à le citer !

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Les mollahs ont ignoré cette annonce pour populariser leur reversement. Ils avaient vraiment besoin des chefs Pasdaran pour les utiliser comme boucliers. Ils ont annoncé la nomination d’un nouveau mollah à la direction idéologique des Pasdaran... pour les attirer à lui, mais ces derniers ont gardé leur distance se contentant de remerciements sans s’afficher à leur côté.

Les chefs Pasdaran se sont donné une actualité indépendante en annonçant un grand rassemblement pour donner un aspect militaire renforcé à leur pèlerinage de jeunes sur les sites de la guerre Iran-Irak. Étant donné que ces pèlerinages sont un bide depuis des années, leur essai pour se renforcer avec des jeunes qui les boycottent soulignait qu’ils n’avaient plus personne dans les filières officielles. Leur rassemblement était d’ailleurs un échec, car il n’a réuni qu’une trentaine de personnes et aucun des jeunes qu’ils espéraient !

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Les chefs Pasdaran ont alors repris les critiques du contrat Total par leur branche universitaire en remettant en cause les contrats pétroliers IPC pour attirer les jeunes avec cette action subversive, mais cela n’a rien donné. Les cadres miliciens ont cependant repris l’info pour déstabiliser le régime. In fine, les pions universitaires des Pasdaran ont oublié leur critique, car il travaillait contre leurs intérêts !

Les mollahs ont contré ce nouvel obstacle né de leur improvisation face à l’Alliance Est-Ouest de Trump+Poutine en demandant à Haji-Deligani d’aller plus loin et demander la suspension provisoire du modèle IPC sans relier ce contrat type au contrat de Total !

Réalisant qu’ils pouvaient générer un plus grand malaise, ils ont aussi pris la partie de rassurer les petits nantis qu’ils avaient eux-mêmes volé via l’organisation de crédit Kaspian en leur annonçant que le président avait donné l’ordre de rembourser leurs pertes. Ils entendaient les faire revenir vers le régime et aussi forcer les plus riches clients de Kaspian à revenir vers eux pour bénéficier de la même mesure.

Par ailleurs, Ali Larijani et les parlementaires, complices du moment des mollahs, ont été chargés d’annoncer une longue enquête à ce sujet et d’autres organismes de crédit montés par la Banque centrale iranienne pour intéresser d’autres victimes et les faire venir dans le sillage du régime.

Ces frictions au sein du régime ont inquiété les collaborateurs désespérés des mollahs. L’indice boursier boosté par des injections étalées à commencer à baisser par palier sous l’effet des actions mises en ventes après chaque échec. Le gouvernement a fini cette séance de molle inquiétude par une injection tardive qui a permis de finir avec un indice très légèrement en hausse de 19 points malgré une nouvelle rechute de dernière minute. La faiblesse du résultat malgré une perte de 431 milliards de tomans (comme au début de la semaine) indiquait que les fonds étaient injectés pour les plus nantis qui étaient les plus inquiets en raison de leur accès aux vraies infos.

Dans l’après-midi, le n°2 de la diplomatie russe Ryabkov alarmé par l’intérêt des mollahs pour les chefs Pasdaran a débarqué à Téhéran pour insister sur le respect de l’accord de Vienne afin de les dissuader de provoquer une crise qui contrarierait le processus de paix en Syrie et la possibilité pour la Russie de se réhabiliter pour échapper aux sanctions souhaitées par les gens du réseau Brzezinski. La rencontre a paru tendue entre Ryabkov et le m-AE du régime malgré les sourires affichés avant que les deux hommes se parlent. L’absence de conférence de presse sur un ton amical a démontré que les deux pays n’étaient plus des alliés. Sans doute, le Russe avait menacé les mollahs pour les dissuader de provoquer une crise régionale.

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Aussitôt, les Russes ont annoncé un grand contrat d’armement avec les Saoudiens en précisant qu’il y avait eu des contacts au cours des dernières années et la condition pour la concrétisation des projets avait été la réduction des livraisons des S-300 aux mollahs.

Le responsable à l’origine de ces propos affirmait alors que les Saoudiens n’avaient pas tenu leur parole laissant supposer que la Russie l’avait fait et avait réduit ses livraisons aux mollahs. Nous l’avions d’ailleurs signalé alors en précisant qu’ils avaient reçu une seule batterie avec 50 % de lanceurs et de missiles en moins.

Les mollahs n’ont pas critiqué les annonces, car c’était la preuve de l’éloignement de la Russie et son absence d’intérêt pour leur offre anti-Trump. L’annonce était aussi un avertissement aux mollahs au cas ou la fermeté de Ryabkov s’avérerait inefficace.

Les mollahs ont implicitement démenti l’annonce de réduction de livraison des S-300 en affirmant qu’ils avaient eux 300 lanceurs et donc des milliers de missiles pour contrarier au passage Trump et laisser supposer qu’ils avaient le moyen de provoquer une très grosse crise régionale.

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Le gouvernement a cependant prétendu le contraire dans sa conférence pour la paix dans la région pour éviter de voir accélérer les alliances à son encontre encore une fois par sa propre faute.

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Le ministre de l’Intérieur de Rohani a aussi insisté au même moment dans une rencontre avec les responsables d’Interpol qu’il était disposé à coopérer sur le dossier d’Amia pour éviter les accusations qui pèsent sur le régime afin d’éviter de renforcer les alliances à son encontre.

Ces initiatives n’ont pas été saluées par des éloges sur la bonne foi du régime. Il devint clair que les dés étaient jetés et rien ne pourrait les sauver. Désespérés, les mollahs ont annoncé une rencontre entre Rohani et Aref, le chef des réformateurs pour améliorer son image. Mais les cadres de la milice ont torpillé cette opération en parlant de marchandages incongrus...

Les mollahs désespérés ont alors annoncé une belle investiture en grande pompe pour le second mandat de Rohani avec des dizaines d’invités étrangers le 14 Mordad / 5 ou 6 Août, la date anniversaire de la révolution constitutionnaliste qui avait doté la royauté iranienne d’un Parlement (proche de la Grande-Bretagne), pour se prétendre d’une part l’héritier de cette révolution réputée comme populaire et aussi demander le soutien de Londres que l’on n’entendait plus depuis l’alliance Est-Ouest de Trump+Poutine. Les Anglais n’ont rien dit. Les mollahs ont oublié cette investiture chargée de symboles pour éviter d’autres remarques désobligeantes à leur encontre et contre ce projet afin d’en servir plus tard sans doute avec une meilleure présentation.

Alors que les mollahs cherchaient sans trouver une solution pour échapper à l’alliance Trump+Poutine. L’administration Trump a fait part de ses efforts pour neutraliser les sanctions anti-russes incluses dans les sanctions S722. Elle a précisé que les démocrates s’y opposaient et de fait, elle ne pouvait parvenir à les faire adopter sans ses sanctions et leur adoption était retardée. Mais cela ne pouvait pas sauver les mollahs, car le rapprochement avec les Russes, leur décision d’aider les Saoudiens à menacer les mollahs et la sanction pétrolière directe de la Chine contre ces derniers étaient la preuve que Trump pouvait se passer de ses sanctions pour déstabiliser les mollahs, mais il en avait besoin pour garder la direction des opérations et de fait il était certain d’obtenir un consensus sur les sanctions qui lui convenaient !

En résumé, le régime avait encore perdu une journée dans ses efforts contre les siens ou dans une propagande sans intérêt pour les pays étrangers sans réussir à trouver une échappatoire et dans le même temps, l’alliance à son encontre était renforcée grâce au dynamique politique qu’elle avait suscité : encore un point qui avait échappé aux mollahs ! Ils devaient trouver un moyen pour passer de leurs slogans à des actes ou à un nouveau contrat pour rassurer leurs gens sur leur capacité à résister au processus performant qui œuvrait pour leur déstabilisation.

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Mardi | 11 Juillet 2017 | 20 TIR 1396 | à J-3 de l’anniversaire de l’accord encombrant de Vienne | Etela’at (Renseignments), autre organe du gouvernement boiteux du clergé, il n’y avait rien sur la visite du Ryabkov en Iran, car lesRusses n’étaient plus du côté des mollahs. Le gouvernement avait zappé leur intervention et sa renonciation à une crise. En revanche, il annonçait des contrats avec 22 grandes compagnies pétrolières, dont certaines compagnies russes, pour laisser supposer qu’il pouvait récupérer les Russes. Le gouvernement voulait une dynamique positive pour restaurer la confiance de ses compagnons désespérés, mais il ne montrait rien de concert et ne pouvait que les décevoir et augmenter leur panique.

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Tehran Times, organe anglophone du clergé condamné à mort, citait Zarif qui avait dénoncé le manque de légitimité de l’Arabie Saoudite et son terrorisme pour encourager les discours hostiles à ce pays en Europe comme durant l’ère Brzezinski. Le clergé espérait aussi un dynamique positif, mais il fondait ses espoirs sur un modèle périmé.

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Abrar, l’organe des lieutenants orphelins de Rafsandjani, le défunt parrain du régime mafieux, avait mis en avant l’arrestation d’un proche d’Ahmadinejad et la diversion de Hadji Deligani, un projet de loi triple-urgence. Les lieutenants orphelins de Rafsandjani étaient pleinement dans leur rôle de soutien au régime pour bénéficier de son soutien et un meilleur accès à leurs avoirs et aux moyens de les sortir d’Iran avant que l’embargo mondial les en empêche.

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Javan, organe des cadres miliciens prêts à trahir le régime, évoquait encore l’attribution d’une zone tampon par les Russes aux Israéliens pour insister sur la rupture effective de la Russie avec le régime.

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On avait donc des mollahs mal à l’aise et dépourvus de solution après des exemples concrets d’effets de l’alliance Est-Ouest de Trump+Poutine.

Trump a alors serré l’étau sur leur régime en demandant aux membres du G20 de cesser toute coopération économique avec eux. Interrogés à ce sujet, les Européens et les Russes n’ont pas rejeté la demande, laissant entrevoir qu’ils allaient appliquer la demande dans les faits sans se prononcer clairement. Les mollahs étaient

Rohani devait alors prononcer un discours sur sa réforme de la santé (la sécurité sociale pour tous qui en réalité ne profite pas à tout le monde). Il a oublié les sujets médicaux qui contredisaient la réalité de sa réforme pour affirmer que les missiles développés par les Pasdaran étaient en fait ses projets afin de disposer en image des missiles que les chefs Pasdaran refusaient au clergé et donner ainsi une image forte de lui-même et du clergé pour bousculer la paix fragile instaurée en Syrie !

En parallèle à ce projet de provocation, Hadji Deligani a aussi annoncé un projet de loi triple-urgence (pour une adoption rapide sans attente d’un créneau pour un débat à son sujet) pour l’annulation du contrat avec Total en vue de faire pression sur la France qui malgré ce contrat avait affiché une belle entente avec Trump !

En résumé, le clergé misait sur deux provocations : une provocation balistique (pour s’affranchir de l’accord encombrant de Vienne) et un clash avec la direction de Total et donc la France pour faire reculer son président ou encourager le président d’un autre pays de se rapprocher du régime dans l’espoir d’un contrat pétrolier similaire pour son pays.

Pour avancer sans être handicapés par une panique à bourse, le gouvernement a augmenté le nombre des entreprises privées de vente normale à Top 50+18, avant d’abreuver les plus riches qui pouvaient continuer en leur offrant 444 milliards de tomans en une fois. Ces gens se sont reportés sur le marché des devises et leurs demandes ont fait monter le dollar de 5 tomans ce qui n’est pas beaucoup. On en a conclu qu’ils espéraient déstabiliser les Français avec la menace d’annulation du contrat avec Total ou faire reculer les Arabes de la région avec la menace de missiles déstabilisant la paix américano-russe.

Mais il n’y a eu rien de tel au cours de l’après-midi. Les mollahs ont même récolté un résultat contraire, car le président français a invité Trump à Paris pour parler des grandes questions du moment comme la Syrie (la réhabilitation d’Assad) et le terrorisme (le renversement des mollahs).

Désespérés par ce résultat négatif de leurs menaces, les mollahs ont fait profil bas devant leurs compagnons en annonçant le début des remboursements des victimes de Kaspian ! Ils ont aussi insisté à fond sur le projet de loi triple-urgence de Hadji Deligani contre Total pour intimider les Français et surtout convaincre leurs compagnons qu’ils pouvaient arriver à un bon résultat pour les dissuader de se mettre à vendre leurs actions et mettre ainsi en péril le régime et ses maigres avoirs.

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Mercredi | 12 Juillet 2017 | 21 TIR 1396 | à J-2 de l’anniversaire de l’accord encombrant de Vienne | IRAN, organe du gouvernement boiteux du clergé, avait mis en avant le discours musclé de Rohani pour donner une image forte du régime et convaincre ses serviteurs désespérés qu’ils pouvaient résister à la coalition mondiale qui les menaçait et même s’imposer par la menace !

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Tehran Times, organe anglophone du clergé condamné à mort, insistait tardivement sur l’attachement de la Russie à l’accord de Vienne pour engendrer un conflit avec Trump qui se dit opposé à l’accord, mais leur entente était faite au-delà de cet accord et leur entente rendait, à terme, caduque cet accord. Les mollahs n’avaient donc rien pour se protéger et parlaient dans le vide ! Ils faisaient du Saddam Hussein avant sa chute !

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Abrar, l’organe des lieutenants orphelins de Rafsandjani, le défunt parrain du régime mafieux, avait mis en avant Rohani et son discours pour plaire aux mollahs.

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Javan, organe des cadres miliciens prêts à trahir le régime, n’avait pas suivi la tendance et s’était moqué du discours de Rohani, car il se disait un gouvernement anti-militariste pour se donner une image démocratique et il avait finalement confisqué les missiles de ses rivaux par manque d’argument diplomatique !

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On avait donc des mollahs qui fondaient son espoir sur des missiles inexistants qui ne pouvaient intimider personne et sur les Russes qui n’en avaient jamais été leurs alliés et les Anglais qui ne voyaient rien de bénéfique à leur compagnie et refusaient de voler à leur secours !

Le réseau Brzezinski a alors renoncé à leur sauvetage en faisant via Richard Haass, le patron de CFR, la promotion de Moudjahidines du peuple ! C’était un désastre pour les mollahs même si personne ne veut de ces gens en Iran.

Les chefs Pasdaran ont encore parlé de leur pèlerinage pour dire qu’ils avaient des jeunes, mais on n’a vu aucun grand rassemblement même de vieux !

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Zanganeh était au Parlement, pour répondre sur le contrat avec Total. Il a dit qu’il avait appliqué le modèle d’IPC adopté par le Parlement et qu’il avait aussi agi pour allier un grand pays européen (la France) au régime. Aussitôt Ali Larijani a classé le projet de loi de Haji-Deligani et ce dernier a renoncé à lui répondre.

Au même moment, un adjoint de Zanganeh présent à une conférence énergétique en Turquie a fait état de très nombreux projets de contrats en cours de validation avec 22 grandes entreprises pétrolières internationales et on a compris que le régime avait choisi la braderie au lieu du bras de fer. Cependant, personne n’a confirmé les promesses des mollahs.

Mais quand le gouvernement a demandé au peuple et à ses serviteurs de diminuer leurs consommations d’énergie, tout le monde a compris que le régime manquait de réserves pour alimenter les centrales thermiques de production de l’électricité et qu’il n’était nullement proche de la délivrance grâce à de nombreuses alliances pétrolières et économiques, mais toujours plongé dans les problèmes et les ennuis. On avait donc un régime qui alignait de belles promesses pour solutionner des problèmes insurmontables.

Il a alors annoncé une visite du m-AE d’Oman à Téhéran en oubliant de dire qu’il s’agissait de son initiative pour voire la possibilité d’un marchandage avec Washington. Son invité est reparti aussi discrètement qu’il était venu sans donner les raisons de sa visite. Les mollahs n’ont également pas annoncé de visite en Oman et il est devenu clair que l’on avait rejeté leur demande.

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La bourse boostée par une nouvelle rémunération aux nantis paniqués a chuté peu après ce geste, preuve que les gens du régime n’appréciaient guère qu’on les promène sans cesse et sans aucun bon résultat. Les mollahs ont cessé d’acheter des actions pour limiter la casse, mais ont baissé le dollar de 8 tomans pour dévoyer les paniqués de la bourse vers le bazar où ils peuvent aussi acheter de l’or. La bourse a fini avec 249 milliards tomans de pertes, bien plus qu’en début de la semaine. La seule explication possible que les super-nantis du régime avaient été rassurés que le clergé avait un joker dans son jeu pour les sauver. Étant donné que le régime était au dernier jour, toujours critique de l’activité boursière, il pouvait avoir menti pour calmer ses interlocuteurs en espérant que ses problèmes s’évanouissent avec une visite ratée de Trump à Paris.

Dans l’après-midi, le clergé et ses associés du moment se sont focalisés sur le Hijab dont c’était la journée. Mais il n’y a eu presque personne pour célébrer son port. En ce jour, on a vu trois manifestations pour le voile avec une quarantaine de personnes à Chiraz, autant à Hamedan et seulement 3 personnes à Téhéran sur le plan Emam Hossein (3 dernières photos). En persévérant, le régime a pu quintupler ses partisanes de la Voile (Hejab) en réunissant 14 personnes en faveur du voile !

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Le gouvernement qui collectionnait les échecs a oublié le sujet des sanctions et des boycotts en mettant en avant un rapport parlementaire sur l’engagement du régime dans l’accord de Vienne pour éviter d’étaler son impuissance et permettre à ses ennemis de consolider leurs alliances sans rien craindre de sa part !

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Jeudi | 13 Juillet 2017 | 22 TIR 1396 | à J-1 de l’anniversaire de l’accord encombrant de Vienne | IRAN, organe du gouvernement boiteux du clergé, annonçait que Zanganeh avait réussi à justifier le contrat avec Total ! Le gouvernement s’attribuait ainsi une victoire dans une bagarre imaginaire pour dire qu’il n’était pas sans cesse vaincu ! C’était pitoyable !

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Tehran Times, organe anglophone du clergé condamné à mort, annonçait un contrat de 1,2 milliards de dollars avec les chemins de fer italiens pour la modernisation d’une ligne en Iran. C’était une victoire ridicule, car le régime avait signé un contrat pour payer 1,2 milliards de dollars aux Italiens ! La citation de ce contrat comme une victoire était le signe que les partenaires pour les contrats pétroliers promis la veille n’avaient pas a accepté d’être citée, car leurs contrats n’étaient plus une priorité à leurs yeux ou encore que les contrats annoncés n’existaient pas ! Le choix des mollahs avait révélé leur isolement depuis l’avènement de l’alliance Est-ouest de Trump avec Poutine.

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Abrar, l’organe des lieutenants orphelins de Rafsandjani, le défunt parrain du régime mafieux, annonçait la reculade du Parlement face à Zanganeh. Les lieutenants orphelins de Rafsandjani semblaient aider le gouvernement, mais en fait ils le critiquaient aussi, car ils ne voyaient aucune possibilité de réussite dans le choix de la drague pétrolière européenne du régime qui avait échoué et ne pouvait réussir avec le rapprochement entre Trump et Poutine et le partage du marché européen de gaz entre ces deux grands partenaires.

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Javan, organe des cadres miliciens prêts à trahir le régime, fidèle à sa ligne, citait la CIA qui affirmait que le régime était son plus grand défi. Les cadres miliciens entendaient paniquer les désespérés et les dirigeants menteurs du régime.

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Hors Iran, les Anglais sollicités deux jours plus tôt par les mollahs avaient finalement choisi de les dénigrer en insistant dans une note de leur m-AE sur la menace qu’ils représentaient et en se félicitant qu’ils soient contenus par l’accord de Vienne et ses inspections qui les empêchaient de pouvoir se redresser et nuire à nouveau à la paix dans le monde !

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On avait donc un régime sans avenir, décrié par une partie de ses alliés de la semaine, aussi par tous ses ennemis habituels, et ce, le jour de rencontre entre Trump et Macron.

Il y avait aussi une très mauvaise nouvelle dans un important média russe (artificiellement hostile à Poutine). La France avait certes des intérêts économiques en Iran, mais Macron allait sans doute privilégier les intérêts stratégiques de son pays pour lui permettre de retrouver une grande place sur la scène internationale. Pour nous, il s’agissait de réclamer une place en Syrie pour s’offrir une place forte dans le bassin méditerranéen et relancer le très bon projet euro-méditerranée lancé sous Sarkozy qui avait été bêtement abandonné par ce dernier au profit du Printemps Arabe où il ne pouvait rien gagner.

Les mollahs se sont tus, car les Français étaient leurs seuls arguments.

Les mauvaises nouvelles ont continué avec l’adhésion de Trump à la poursuite de l’accord de Vienne dont l’abrogation était vue par les mollahs comme une chance de se débarrasser de Trump. Les Forces islamistes opposées à Assad que la précédente administration qualifiait de modérées ont annoncé qu’elles étaient abandonnées par Trump dans le sud de la Syrie ! Les mollahs ne pouvaient en profiter en raison de leur exclusion de cette zone. Assad pouvait faire le ménage.

Mais ce n’était pas fini, car à J-1 de l’anniversaire de l’accord encombrant de Vienne, Macron n’a pas salué les mollahs pour avoir signé l’accord de Vienne. Il a affiché une totale entente géopolitique avec leur ennemi Trump. Le président français s’est dit solidaire de Trump sur le terrorisme c’est-à-dire contre les mollahs. Il s’est aussi dit partisan de maintien d’Assad comme le souhaitent Trump et Poutine. Il a ainsi choisi de donner un avenir géopolitique à son pays au lieu de rester focalisé comme ses mauvais prédécesseurs sur des intérêts économiques qui n’étaient en rien garantis.

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Les mollahs n’ont rien dit puisqu’ils étaient hors jeu et contraints d’y rester. Cela signifiait qu’ils n’avaient plus de capacité de nuisance régionale pour intimider les autres pays et ainsi influer sur les décisions des États-Unis pour échapper à leurs prochaines sanctions aux prétextes de la lutte contre leur terrorisme.

Les chefs Pasdaran étaient aussi hors jeu voire encore plus que les mollahs. Ils ont alors oublié leur mission première qui est d’assurer la survie du régime par une nuisance terroriste permanente dans des pays fragiles comme la Syrie actuelle et se sont dits totalement au service du peuple dans l’espoir d’être sauvés par des reconversions très tardives.

Les amis américains des mollahs, à savoir ceux du réseau Brzezinski -qui restent quand même des ennemis, mais avec un objectif presque commun-, ont alors offert une nouvelle chance aux mollahs en invitant leur m-AE Zarif à une conférence au Council on Foreign Relations (CFR) en marge de sa présence à NY pour une réunion à l’ONU. Zarif a vite fait part de la nouvelle pour laisser supposer qu’il restait des chances de survie au régime ainsi malmené. Les médias du réseau ont salué ce choix en victimisant le régime par de fausses rumeurs sur l’opposition malsaine de l’administration Trump à l’accord de Vienne et à ses signataires.

Zarif avait profité de ce soutien indirect dès son arrivée à NY en multipliant des interviews pour affirmer que Trump avait violé l’esprit de l’accord de Vienne avec ses projets de sanctions ou pour dénigrer le soutien au peuple iranien pour un changement de régime en le comparant à l’intervention américaine en Irak. Il avait aussi parlé de la nécessité de la paix en Syrie, mais sans évoquer le cessez-le-feu conclu par Trump et Poutine et en insistant sur le processus d’Astana qu’il avait bloqué ou sur la nécessité d’exclusion des « islamistes modérés » soutenus par e réseau Brzezinski.

En étant pressé par la nécessité d’un clash avec l’administration Trump, il était ainsi sorti très rapidement du cadre du processus d’apaisement proposé par le réseau Brzezinski et n’avait pas bénéficié d’une plus grande couverture. Le régime a cessé de parler de lui, car en insistant dans sa voie il pouvait se voir punir par ceux qui lui avaient tendu la main, mais avaient réalisé qu’il était trop désespéré pour être fiable !

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Vendredi | 14 Juillet 2017 | 23 TIR 1396 | Anniversaire de l’accord encombrant de Vienne | Le régime était KO debout et sa seule option de riposte était gâchée par sa faute et celle de la bêtise crasse de son ministre des AE.

Téhéran était alors inondée et le régime n’avait en conséquence pas le moyen d’utiliser des images d’archives pour prétendre à une manifestation en sa faveur.

Hors Iran, le journal militaire Janes avait révélé que les mollahs avaient installé une batterie de S-300 (la seule qu’ils ont) dans le sud du pays, signalant ainsi qu’ils craignaient une attaque ou qu’ils se protégeaient en projetant de tirer des missiles sur leurs voisins arabes ou les navires américains !

L’administration Trump avait profité de cette fragilisation des mollahs-agitateurs pour dénoncer leur danger et la nécessité de revoir le texte de l’accord de Vienne. Un important représentant américain avait aussi demandé l’interdiction unilatérale de vente de tout avion aux mollahs ! Zarif n’a pas alors trouvé de micro pour répondre....

Le commandant en chef des armées américaines, l’amiral Vettel, avait aussi souligné le danger des mollahs pour affirmer leur soutien américain à Israël et aux Saoudiens et mettre en garde les mollahs contre toute provocation. Mais sachant qu’une crise régionale profitait aux mollahs, Washington affirma aussi son pacifisme en adoptant une loi à la chambre des représentants interdisant des ripostes inconsidérées en réponse à d’éventuels incidents maritimes initiés par les mollahs ! Zarif n’a pas trouvé de micro à NY pour riposter à ces mesures qui affaiblissaient le régime qu’il représentait.

Les mollahs récoltaient les effets de leur isolement et leur bêtise. Les chefs Pasdaran les ont attaqués par l’intermédiaire des étudiants de l’université milicienne Emam Sadegh (chargée de former les communicants du régime) et remettant pleinement en cause le contrat avec Total qui ne pouvait rien apporter au régime en le qualifiant d’une vraie faillite pour le pays ! Les chefs Pasdaran préparaient donc ainsi le terrain pour leur recyclage en défenseurs du peuple pour sauver leur vie après la chute du régime !

En réponse à cette attaque, le clergé a fait appel aux députés pour légitimer le contrat avec Total en reprochant cette fois à Rohani son retard dans l’application du 6e plan de développement qui autorise ce type de contrat. Le clergé entendait aussi affirmer son droit de brader toutes les richesses du pays pour s’acheter un éventuel lieu d’exil.

Le clergé a davantage déçu, car personne ne voudra ni signer des contrats avec des gens inculpéq de terrorisme ni les loger.

Cependant, le clergé a continué l’insistance sur l’application de ce plan, qui par ailleurs est déjà appliqué, comme une diversion pour cacher ses défaites, son incapacité à contrer la dynamique hostile née de l’alliance Est-Ouest de Trump + Poutine et la difficulté à faire face à la fronde des chefs Pasdaran à son encontre.

En conformité avec cette impossible fuite sécurisée garantie par d’impossibles contrats mirifiques, les mollahs ont oublié d’évoquer dans leur sermon de vendredi, les problèmes rencontrés cette semaine et ils se sont inventés un soutien secret de la part de la Russie par l’affirmation que Poutine était un grand admirateur de Khamenei et qu’il avait passé plus d’une heure avec lui lors de son passage éclair à Téhéran en 2016 (un mensonge qu’il avait déjà évoqué et avait sans cesse été démenti surtout par son récent accord historique avec Trump).

Au-delà du fait que les mollahs niaient leurs échecs, ils entendaient aussi duper leurs compagnons pour ne rien tenter pour leur sauvetage et privilégier leur propre avenir !

Conscients de la médiocrité de leur solution, ils ont vite oublié cette fausse référence à Poutine pour reprendre la propagande pour la pleine application du 6e plan, s’accrochant à la fausse solution de brader le pays pour s’acheter un avenir, mais ils ont fini la journée sans trouver d’alliés assez fous pour contrer les coalitions fortes et hostiles qui venaient de renforcer l’alliance Est-Ouest de Trump et Poutine.

Cette semaine, le clergé devait se renforcer en Iran pour lancer une formidable résistance islamo-révolutionnaire, c’est-à-dire terroriste contre l’alliance Est-Ouest de Trump et Poutine.

Ses principaux agents de ce terrorisme avaient jeté l’éponge avant même la conclusion de cette alliance Est-Ouest hostile au régime et n’ont pas voulu s’y risquer. Le clergé a mis en place une alliance avec les Larijani, très impliqués dans la répression de ces dernières années pour forcer les chefs Pasdaran à revenir à ses côtés, ils n’ont pas voulu. Il a alors opté pour un retour à sa drague pétrolière des Européens qui avait déjà échoué et n’avait pas lieu d’être avec l’alliance qui supposait le partage du marché européen. Cette drague n’a rien donné.

Le clergé s’est inventé alors des contrats qui n’ont pas été confirmés. Il a ainsi déployé beaucoup d’énergie à forcer et à forger des alliances utiles en Iran et hors Iran sans y parvenir et dans cet effort, il a perdu de vue les progrès de l’alliance Est-Ouest de Trump+Poutine dont notamment l’adhésion tacite de la France à cette alliance et sa totale éviction du sud de la Syrie qui lui ont ôté tout espoir de survivre grâce à des nuisances diplomatiques avec la France ou des nuisances terroristes en Syrie. Le choc a été si rude que le clergé a refusé d’en parler. Il devait se renforcer et faute d’avoir su le faire, il a été catapulté hors de ces zones d’influences.

Cette semaine lui semblait peut-être peu décisive, elle l’est devenue par son manque d’action réelle et aussi grâce au dynamisme de Trump, Poutine et tous ceux qui veulent un Moyen-Orient différent.

La semaine dernière, les mollahs avaient été condamnés, cette semaine, ils ont rendu irréversible leur condamnation en refusant d’admettre la gravité de ce verdict et en se perdant dans des manœuvres superficielles qui ont surtout marqué leur incompétence mentale et leur impuissance effective.

Ils étaient piégés en Iran, les voilà aussi dévalorisés auprès des leurs, voire en guerre avec eux. On peut donc miser sur leur défaite prochaine et la chute en cascade de tous ceux qui les ont aidés à survivre durant leur existence. Ils seront ainsi au centre d’un tremblement de terre pour de nombreux puissants qui feront tout pour les anéantir afin d’enterrer leurs lourds secrets. Ils sont de fait dans une dynamique de déclin qui est impossible à inverser.

L’alliance Est-Ouest de Trump et Poutine, antithèse du projet de la guerre des civilisations du clan Brzezinski, a permuté le monde. Les mollahs se retrouvent emportés par un courant qu’ils n’imaginaient pas. Ils n’ont jamais été si impopulaires avec si peu d’alliances vitales. C’est pourquoi on peut vraiment miser sur leur disparition prochaine.

Cette disparition sera effective dès que les grands du monde (dont Trump et macron) étendront leurs alliances au peuple iranien et au leader incontournable de son opposition, le prince Reza Pahlavi. Espérons cette alliance le plus vite possible et qu’elle soit le début d’une grande ère de prospérité bénéfique à l’Iran et ses futurs alliés.