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1 - 26.01.2006
Nucléaire Iranien : Les Britanniques restent fair-play avec les mollahs

L’Iran s’est déclaré mercredi favorable à la proposition du Kremlin d’enrichir son uranium en Russie pour lever les craintes des Occidentaux, mais a menacé une nouvelle fois de lancer lui-même son programme d’enrichissement si le Conseil de Sécurité était saisi.


1 - 10.01.2006
Reprise des activités à Natanz : les réactions internationales

En août 2005, le régime des mollahs reprenait les activités liées à la conversion du minerai de l’uranium à Ispahan. On avait alors assisté à une levée de boucliers, il y avait des menaces de saisine, des offres de reprise des négociations et puis... rien. Les Européens ont laissé passer et ils ont cédé. La conversion a été acceptée. Aujourd’hui, nous assistons aux mêmes réactions indignées et il est fort probable que les intérêts économiques l’emportent sur le commun intérêt d’une planète à l’abri d’une nouvelle bombe.


1 - 25.01.2006
L'Iran acceptera la Proposition Russe : retour à une « stratégie de la modération »

L’Iran s’est déclaré favorable mercredi à la proposition du Kremlin d’enrichir son uranium en Russie pour lever les craintes des Occidentaux, mais a menacé une nouvelle fois de lancer lui-même son programme d’enrichissement si le Conseil de sécurité de l’Onu était saisi.


1 - 27.07.2019
Semaines 591-595 (08.06.2019-12.07.2019)
Chronologie d’une mortelle fuite en avant

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansarallah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen, mais aussi via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs pour tous leurs méfaits. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (SPVpuis Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Fin 2018, les mollahs, menacés de toute part, ont tiré un missile potentiellement nucléarisable susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen.

Le mouvement anti-mollahs s’est accéléré. L’ organisation de la Coopération islamique (OCI), ont rejoint les Arabes. Les Européens ont alors puni les mollahs en excluant le pétrole de leur dispositif à venir d’échanges démonétisés et ont choisi les Arabes anti-mollahs. La Chine a aussi choisi l’Arabie Saoudite.

La panique a été telle que les mollahs ont déclaré une guerre judiciaire totale, officiellement anti-corruption, à tous leurs proches qui voulaient les quitter. Les mollahs ont alors tenté de relancer leur fausse opposante Nasrine Sotoudeh pour rassurer leurs proches, mais ils n’ont pas réussi.

Les mollahs ont alors eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte en laissant le pays être ravagé par les crues et les inondations ! Ces cataclysmes ont entraîné beaucoup de dégâts et des milliers de morts et de sans-abris et ont aussi attisé la haine anti-régime.

Washington a profité de cette hausse d’impopularité des mollahs et de leur milice pour classer cette dernière comme une entité terroriste et de fait classer le régime tout entier comme une entité terroriste. Il a aussi radicalisé ses sanctions pétrolières et a expédié le porte-avions Lincoln dans le golfe Persique pour affaiblir le régime et terroriser ses derniers complices.

Le responsable du contre-espionnage des mollahs a alors fui l’Iran vers les États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer leur chute. Les mollahs fragilisés ont fait état de leur opposition à l’entourage de Trump mais leur ouverture à négocier avec lui, essayant de le convaincre qu’il pourrait s’offrir un grand succès diplomatique en sacrifiant ses proches. Il n’est évidement pas tombé dans le piège...

Après cet échec et des manifestations du 1er mai très hostiles à leur régime, les mollahs ont annoncé une possible rupture de leur accord nucléaire lançant un ultimatum aux 4+1 pour les forcer à les soutenir afin de ne pas perdre leur influence dans le golfe Persique. Ils n’ont pas réussi et ont accentué les ruptures au sein de leur régime.

La Russie qui utilise les mollahs comme potentiels alliés afin d’obtenir la Syrie et l’Ukraine a accepté de rencontrer les MAE américain et israélien en vue d’un deal en faveur d’Assad et sa propre présence en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces financées par les mollahs.

Trump a profité de l’occasion pour déclarer un embargo sur les métaux iraniens, réduisant au néant les derniers revenus des mollahs et empêchant aussi leurs associés de fuir avec des lingots d’or... Les mollahs ont renforcé leur répression judiciaire pour empêcher la rupture de leurs collaborateurs financiers. Ils ont aussi attaqué des pétroliers saoudiens sous pavillon norvégien pour menacer l’approvisionnement de l’Europe et forcer les Européens à pencher en leur faveur. Mais les Européens n’ont pas plié et les Norvégiens et les Américains ont souligné le terrorisme des mollahs. En revanche, la panique interne s’est intensifiée après cet échec des mollahs à provoquer une crise bénéfique à leur régime et ses collaborateurs.

Les mollahs ont alors tenté de dialogue via les Démocrates, mais ces derniers se sont gardés de les aider en raison de leur terrorisme. Tous les pays de la région ont aussi condamné leur aventurisme. Les pays de l’OCI ont soutenu le plan de paix de Trump pour la Palestine et ont exclu les mollahs de leur réunion pour les empêcher d’opposer.

Les mollahs ont fait pression sur les Français et les Japonais pour parler à Trump. Les Japonais inquiets pour ses cargos qui transitent via le détroit d’Ormuz ont accepté la visite de leur MAE en Iran pour calmer les mollahs et leur offrir une occasion d’apaisement. Les mollahs ont donné des signes d’apaisement et ont convaincu leurs proches qu’ils allaient capituler. Les Russes ont aussi alors malmené les troupes du régime en Syrie par peur que cette capitulation les prive du deal projeté avec Trump. Les Palestiniens les plus radicaux ont aussi confirmé leur rupture avec le régime en boycottant la journée d’hommages à Khomeiny et la journée anti-sioniste de Qods. Les gens du régime ont fait de même !

Les mollahs, conscients qu’ils devaient se durcir pour préserver le soutien de leurs collaborateurs, mais aussi s’assouplir pour trouver un deal avec leur contact japonais, se sont inventés des partisans en parlant d’une grande mobilisation à l’occasion de l’enterrement de l’un d’eux qui a récemment été tué par les opposants au régime tout en lâchant du lest à propos de la Palestine pendant leur journée anti-sioniste en affirmant que le choix appartenait aux Palestiniens !

C’était il y a un mois (le 8 juin 2019). Les mollahs devaient zigzaguer entre les obstacles internes et externes et trouver rapidement un deal avant d’être lâchés par les leurs et les Russes. En raison de nombreuses initiatives très risquées qu’ils ont prises et ont engendrées beaucoup de réactions négatives, voici un récit plus concis et résumé des événements survenus au cours du mois écoulé (7 juin-7 juillet 2019).


1 - 14.07.2018
Semaine en images n°539-540-541 :
Défaite avant les sanctions !

.En 2016 , Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

.En 2017 , sous l’impulsion de ce changement diplomatique majeur américain, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs dans le golfe Persique et le bassin méditerranéen. Moqtada Sadr et le Hezbollah ont aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive en Irak et au Liban.

.Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs, incapables de riposter, ont alors menacé la sécurité du détroit d’Ormuz. Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme  ! Ils ont intensifié ce terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser cette coalition. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ils ont laissé les troupes de l’OTAN (États-Unis+France+Grande-Bretagne) bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a alors profité de cette unité contre les mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne et demander un nouvel accord pour garantir la fin de leur terrorisme. Il a aussi annoncé le rétablissement progressif des précédentes sanctions américaines contre eux et leurs partenaires pour y parvenir.

Les autres signataires, les 4+1 dont les Européens, qui étaient ces partenaires, ont critiqué Trump tout en lui donnant raison sur le fonds et ont tenté d’obtenir des compensations pour leur soutien à son plan. Trump a contré ses manœuvres qui retardaient son succès en s’approchant des Russes tout en annonçant des sanctions contre les Européens et les Chinois.

Les mollahs ont alors tablé sur un revirement des Européens en leur faveur, mais ces derniers n’ont pas choisi les mollahs. Les collaborateurs du régime ont paniqué et se sont rués sur le dollar et l’or pour se remplir les poches et fuir. Les opposants du régime ont profité de ce désordre pour manifester à tout prétexte.

Les mollahs ont alors provoqué une émeute populaire d’une ville de garnison de Kazeroun avec l’espoir d’écraser les habitants pour rassurer les collaborateurs. Mais les miliciens présents sur place ne sont pas intervenus contre le peuple et Kazeroun est devenu la vitrine de l’incapacité des mollahs à assurer leur sécurité. Les routiers iraniens ont alors cessé de travailler pour les paralyser et les faire chuter !

Dans notre dernière analyse, nous avons signalé qu’il y a trois semaines, alors que le régime était déstabilisé par cette grève, Trump a accéléré son jeu en annonçant qu’il allait rencontrer leur seul fournisseur balistique, Kim Jung Un ! La Russie consciente du renforcement de Trump à l’issue de cette rencontre a vite confirmé son deal avec Trump en mettant fin au projet d’investissement de Lukoil en Iran. La Chine a aussi choisi Trump en payant de lourdes pénalités qu’il exigeait pour continuer à être présent sur le marché américain. L’Europe a renoncé à sa demande d’exemption des sanctions pour ses grandes entreprises partenaires des mollahs !

Les compagnons du régime ont alors pris leur distance à l’occasion de plusieurs journées officielles, dont celle de la communion annuelle avec Khomeiny. Les routiers ont mis en évidence ce boycott en bloquant l’accès des villes empêchant les mollahs de déployer des réfugiés afghans afin de combler le manque de participation de leurs collaborateurs à la journée du refus du sionisme !

Les mollahs, totalement déstabilisés, ont menacé de quitter l’accord de Vienne, mais n’ont pas osé mettre à exécution leur menace. Rohani est parti en Chine en annonçant qu’il allait obtenir le soutien de la Russie et de la Chine lors du sommet à venir de l’organisation de Coopération de Shanghaï alors que les dirigeants de ces pays les avaient rejetés ! On a compris qu’il bluffait pour empêcher la propagation de la panique chez les derniers fidèles au régime !

Voici le récit compact ce qui est passé depuis : tous les bluffs et les mensonges qui devaient sauver les mollahs ont conduit à une crise irréversible qui menace sérieusement le régime des mollahs !


1 - 08.02.2006
L’Iran : Petit cachottier

L’Iran a demandé à l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique de retirer ses caméras de surveillance et les scellés de l’agence de ses sites nucléaires avant la fin de la semaine prochaine.


1 - 26.04.2007
Iran : Ahmadinejad et le feuilleton médiatico-nucléaire de l’été

Ahmadinejad, ex-assassin élu président par la volonté de Rafsandjani, est devenu par la même occasion celui qui permet au régime de réalimenter la machine des polémiques. L’utilité de ce personnage est de créer des situations où d’autres pourront jouer le rôle de modérés, et à l’issue de cette mise en scène surmédiatisée, prétendre qu’il existe en Iran une certaine forme de démocratie à la sauce mollah.


1 - 10.04.2006
Quand le nucléaire débouche sur les bonnes affaires !

Des parties du Bois de Lavizan, où avait été situé un des sites nucléaires les plus suspects du programme nucléaire iranien, ont été détruites par un incendie d’origine criminelle. Ce site préoccupe le régime des mollahs ; en mars dernier, la municipalité a coupé 7000 arbres à la veille d’une visite des inspecteurs de l’AIEA.


1 - 31.10.2005
L’Iran ne retournera pas à une suspension totale

Ahmadinejad a déclaré dimanche que l’Iran ne reviendrait pas à une suspension complète de ses activités nucléaires et a dénoncé comme un «  mensonge  » l'argument des Occidentaux selon lequel il s'agirait d'une mesure de «  confiance  ».


1 - 02.11.2005
Le Parlement Islamique pousserait à l’enrichissement si le Conseil de Sécurité était saisi

Le Parlement Islamique aurait fait un pas mardi vers l’adoption d’une loi laissant supposer que le Gouvernement serait contraint de reprendre toutes ses activités nucléaires sensibles si le dossier iranien était transmis au Conseil de Sécurité.




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