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1 - 11.04.2018
Semaine en images n°528 :
Dans l’oeil du cyclone !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste de géopoliticien Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers . Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

En 2017, sous l’impulsion de ce changement, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs notamment leurs soutiens aux islamistes du Liban et de la Syrie et de Yémen pour perturber la sécurité du golfe Persique et du bassin méditerranéen afin d’avoir des moyens de pression sur les grandes puissances et ainsi garantir leur propre survie. Les États musulmans ont soutenu la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme et in fine, ces relations ont seulement aggravé leur faillite économique. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi. Des milliers d’ouvriers que le régime payait mal ou rarement -dont ceux du secteur pétrolier- ont rejoint le mouvement en cessant de travailler. De nombreux gradés de la milice et l’armée ont rejoint le mouvement par des actions violentes contre le régime. Les barbouzes du Parlement ont aussi pris leur distance avec leurs dirigeants en les accusant de corruption ! Les hommes d’affaires du régime ont paniqué et se sont mis à vendre leurs actions et à acheter des dollars pour fuir le régime.

Les mollahs, incapables de riposter, ont intensifié le soutien aux Houthis avant de menacer directement la sécurité du détroit d’Ormuz.

Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger ou transfert de fonds vers l’étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme !

Au même moment, Trump a créé la surprise en parvenant à établir un contact avec Kim Jung-Un, unique fournisseur de missiles aux mollahs qui (pour sa survie) pouvait dévoiler des informations sur les capacité, les failles et les lieux de stockages des missiles des mollahs. Les Anglais (mentor historique du clergé chiite iranien) ont aussi annoncé leur soutien aux ennemis saoudiens du régime.

Les autres Européens, dont les Français, se sont retrouvés obligés d’annoncer des sanctions tout en espérant un arrangement en faveur des mollahs pour préserver leurs contrats avantageux avec ces derniers. Les mollahs ont profité de ce laxisme pour intensifier leur terrorisme et ont eux-mêmes encouragé l’adoption de sanctions contre leur régime. Le 16 mars dernier, les 3 plus grandes puissances européennes se sont finalement prononcées en faveur de nouvelles sanctions après un regain d’actions hostiles au régime durant la fête du feu !

La semaine dernière (17 au 24 mars 2018 | 26 Esfand 1396 au 04 Farvardin 1397), Trump a profité de cette annonce pour assurer les Iraniens de son soutien dans des vœux de Norouz alliant l’éloge de leur identité persane et la promesse des sanctions pour neutraliser le ralentissement d’internet imposé par les mollahs pour les empêcher de faire connaître leur mouvement et obtenir des aides pour atteindre leur objectif.

Les Iraniens ont immédiatement renforcé leur hostilité au régime ! À Ispahan, des milliers d’agriculteurs ruinés par le régime ont montré qu’ils étaient prêts à se battre !

Trump espérait alors le même engagement anti-régime du côté de ses alliés. Les Saoudiens ont demandé un sommet arabo-américain au Camp David pour en finir avec le régime. Mais les Européens n’ont rien fait. Trump a compris qu’ils utilisaient leur annonce pour parvenir à un arrangement avec les mollahs. Il a alors remplacé son conseiller en sécurité Mac-Master par John Bolton pour insinuer qu’il pouvait préférer la guerre aux sanctions et se passer du soutien des Européens. Pour rester dans le jeu, ces derniers ont confirmé à contrecœur leur décision de sanctionner les mollahs !

Trump a alors sanctionné le ralentissement de la vitesse de connexion à l’internet en Iran en ciblant la section cyberterrorisme du régime. Les Anglais ont rejoint la guerre économique, juridique et psychologique de Trump contre les mollahs en insistant sur leur cyberterrorisme. Les Russes ont fait mieux en promettant d’aider Bolton et en votant en faveur des pressions onusiennes sur les violations des droits de l’homme par les mollahs. Les Français et les Allemands ont rejoint le mouvement en cherchant à se distinguer en annonçant des rencontres mardi en Israël pour la journée d’hommages aux victimes de la Shoah et pour discuter de l’avenir des mollahs (qui se définissent par la négation de ce génocide) ! Cela sentait le règlement de comptes...

Cette semaine, 24 au 31 mars 2018 | 04-11 Farvardin 1397, les mollahs étaient dans l’œil du cyclone ! Ils risquaient des sanctions de toute part ! Ils pouvaient aussi perdre leurs derniers serviteurs ! Ils devaient trouver un scénario pour intimider leurs ennemis ou trouver des alliés pour fuir. Ils ont tout tenté et ont tout échoué s’enfonçant ainsi par leur propre faute dans l’œil du cyclone !


1 - 01.03.2010
IRAN : THE AFP HAS SAVED AGAIN MUSSAVI’S SKIN

According to the AFP and other Western agencies, “the main Iranian opponent, Mir Hussein Mussavi, stated on Saturday that the power was seized by a sect in Iran”. According to another French media, this was “his most virulent attack until then against the mullahs’ regime”. In terms of deontology, this is much pitiful because Mussavi didn’t say such words. On the contrary, in his latest discussion, Mussavi solely told about his commitment to the system and to its institutions whose first one is obviously the Supreme Guide’s trusteeship. | Double Decoding |


1 - 29.07.2020
Iran : Offensives et défaites secrètes des mollahs en Irak et au Liban !
+ nouveaux liens et de nouvelles vidéos sur les événements de dim. en Irak et sur les condamnés à mort d’Ispahan. (ajoutées le 30.07.20 à 10H00)

Les mollahs sont chaque jour ébranlé par des sabotages perpétués par des officiers de leurs renseignements, ceux-mêmes qui sont censés les protéger. C’est pourquoi au début de la semaine dernière, les mollahs ont joué la carte du chantage terroriste en Irak pour obtenir un couloir de fuite dans ce pays. Mais le PM irakien Kazemi a tenu bon et a contre-attaqué en arrêtant des membres du Hezbollah irakien. Les mollahs ont exporté des armes lourdes vers le Hezbollah Libanais et ont provoqué une chaîne de réactions négatives au Liban et en Syrie et aussi en Iran. Ils ont tenté de restaurer leur image par une manœuvres balistiques, mais suite à un sabotage, leurs missiles ont détruit leurs propres stocks de missiles sol-mer  ! Voici les derniers événements survenus depuis :de nouvelles initiatives ratées qui ont lourdement pénalisé les mollahs.


1 - 26.04.2018
Semaine en images n°529-530 :
La chute du château de verre !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste de géopoliticien Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

En 2017, sous l’impulsion de ce changement, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs notamment leurs soutiens aux islamistes du Liban et de la Syrie et de Yémen pour perturber la sécurité du golfe Persique et du bassin méditerranéen afin d’avoir des moyens de pression sur les grandes puissances et ainsi garantir leur propre survie. Les États musulmans ont soutenu la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme et in fine, ces relations ont seulement aggravé leur faillite économique. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi. Des milliers d’ouvriers que le régime payait mal ou rarement -dont ceux du secteur pétrolier- ont rejoint le mouvement en cessant de travailler. De nombreux gradés de la milice et l’armée ont rejoint le mouvement par des actions violentes contre le régime. Les barbouzes du Parlement ont aussi pris leur distance avec leurs dirigeants en les accusant de corruption ! Les hommes d’affaires du régime ont paniqué et se sont mis à vendre leurs actions et à acheter des dollars pour fuir le régime.

Les mollahs, incapables de riposter, ont intensifié le soutien aux Houthis avant de menacer directement la sécurité du détroit d’Ormuz.

Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger ou transfert de fonds vers l’étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme !

Au même moment, Trump a créé la surprise en parvenant à établir un contact avec Kim Jung-Un, unique fournisseur de missiles aux mollahs qui (pour sa survie) pouvait dévoiler des informations sur les capacité, les failles et les lieux de stockages des missiles des mollahs. Les Anglais (mentor historique du clergé chiite iranien) ont aussi annoncé leur soutien aux ennemis saoudiens du régime.

Les autres Européens, dont les Français, se sont retrouvés obligés d’annoncer des sanctions tout en espérant un arrangement en faveur des mollahs pour préserver leurs contrats avantageux avec ces derniers. Les mollahs ont profité de ce laxisme pour intensifier leur terrorisme et ont eux-mêmes encouragé l’adoption de sanctions contre leur régime. Le 16 mars dernier, les 3 plus grandes puissances européennes se sont finalement prononcées en faveur de nouvelles sanctions après un regain d’actions hostiles au régime durant la fête du feu !

Il y a deux semaines (17 au 24 mars 2018 | 26 Esfand 1396 au 04 Farvardin 1397), Trump a profité de cette annonce pour assurer les Iraniens de son soutien dans des vœux de Norouz alliant l’éloge de leur identité persane et la promesse des sanctions pour neutraliser le ralentissement d’internet imposé par les mollahs pour les empêcher de faire connaître leur mouvement et obtenir des aides pour atteindre leur objectif.

Les Iraniens ont adoré ce message et ont immédiatement renforcé leur hostilité au régime ! À Ispahan, des milliers d’agriculteurs ruinés par le régime ont montré qu’ils étaient prêts à se battre !

Trump espérait alors le même engagement anti-régime du côté de ses alliés. Les Saoudiens ont demandé un sommet arabo-américain au Camp David pour en finir avec le régime. Mais les Européens n’ont rien fait. Trump a alors remplacé son conseiller en sécurité Mac-Master par John Bolton pour insinuer qu’il pouvait préférer la guerre aux sanctions et se passer du soutien des Européens. Pour rester dans le jeu, ces derniers ont confirmé à contrecœur leur décision de sanctionner les mollahs. Les Russes ont profité de cette hésitation pour améliorer leur place dans le processus en promettant d’aider Bolton et en votant en faveur des pressions onusiennes sur les violations des droits de l’homme par les mollahs.

Les mollahs ont remis en cause l’appartenance des Arabes iraniens (réfugiés en Iran depuis des siècles et complètement assimilés) à la nation iranienne pour les inciter à renier cette appartenance et défiler avec des slogans indépendantistes pour la séparation de la région pétrolière de Khouzestan, où ils résident majoritairement, pour convaincre les Iraniens qu’ils provoqueraient l’éclatement de leur pays en continuant leur protestation. Mais les Arabes iraniens ont déçu les mollahs en affirmant leur identité iranienne et en renforçant leur contestation contre le régime !

La semaine dernière, du 23 au 30 mars 2018 | du 03 au 10 Farvardin 1397, les mollahs, déstabilisés par ces annonces et l’intensification de la contestation populaire, ont vite tenté conclure des accords avec le Turkménistan de l’Azerbaïdjan pour l’acheminement de leur pétrole et leur gaz vers l’Europe sans passer par la Russie qui s’enrichit à leurs dépens afin de détourner les Européens de Trump. Les Européens ont ralenti les démarches pour sanctionner les mollahs, mais le Turkménistan et l’Azerbaïdjan n’ont pas accepté, car ils allaient perdre de nombreux autres marchés. Les mollahs ont perdu tout intérêt aux yeux des Européens. Ces derniers ont annoncé qu’ils allaient sous peu définir leurs nouvelles sanctions contre les mollahs !

Les mollahs ont tenté d’envenimer les relations avec les Arabes iraniens pour les excéder, mais ces derniers ont durci davantage leur action anti-régime !

Le régime a basculé dans la panique, car sa fin lui semblait proche. La demande de l’or et du dollar a augmenté. Les dirigeants du régime ont alors augmenté le prix vente de ces deux produits pour empêcher leurs serviteurs d’en acheter et de fait garder les réserves du régime pour eux-mêmes (pour une fuite difficile en raison de leur isolement).

En fin de la semaine dernière, les mollahs, désespérés par leur conflit avec le monde, le peuple et leurs propres derniers serviteurs, ont tenté de faire reculer leurs ennemis étrangers en menaçant, via l’intervention du chef des Houthis sur une chaine française, d’augmenter leur aide balistique aux Houthis pour l’invasion de l’Arabie Saoudite. Les Saoudiens ont riposté via les médias russes en affirmant qu’ils avaient des missiles chinois capables de raser Téhéran. Les mollahs effrayés par cet axe inédit (Riyad-Moscou-Pékin) ont cessé de provoquer les Saoudiens.

Ils ont alors tenté d’agiter le Moyen-Orient et casser la coalition entre Israël et l’Arabie Saoudite en provoquant des confrontations lors de la marche palestinienne vers Gaza pour déclencher une intifada contre les Israéliens. Les dirigeants palestiniens ont tenté d’arrêter ces provocations, mais ils n’y sont pas arrivés. Les Israéliens ont riposté. Toutes les grandes puissances ont adopté une position neutre pour empêcher l’escalade souhaitée par les mollahs ! Ces derniers vaincus par l’esquive de tous les pays au monde n’ont pas prendre la défense des Palestiniens qu’ils avaient si bien manipulés !

Depuis, nous avons assisté à deux semaines d’efforts des mollahs pour provoquer une nouvelle crise régionale ou trouver un pays refuge. Ils n’y sont pas arrivés, mais ont augmenté le nombre et la détermination de leurs ennemis internationaux et iraniens. Leur isolement grandissant a permis à leurs ennemis de les attaquer sur de nombreux fronts. Voici le récit en images et l’analyse des efforts et terribles échecs des mollahs qui les ont peu à peu privés de toutes leurs armes.


1 - 10.01.2010
IRAN : THE NUCLEAR ISSUE ACCORDING TO MUSSAVI

© IRAN-RESIST.ORG – Feb 10, 2010 | At a time when, in order to force Westerners to give in, the Islamic Republic is intending to induce an escalation that would be susceptible to threaten the security of the Ormuz, it would have been interesting to know the opinion of the regime’s moderate people. Mir Hussein Mussavi who is described by Western States as an opponent or even a moderate mentioned the issue in a speech about the Green Movement’s objectives. Western media censured his words.

Decoding of the speech and the reasons of such censure

1 - 11.08.2018
Semaine 545-546 : La fin des feintes

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Ce changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs au Moyen-Orient.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné leur rupture en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition russo-américaine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ils ont laissé les troupes de l’OTAN (États-Unis+France+Grande-Bretagne) bombarder le centre de commandement des actions terroristes des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, les privant de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Depuis, l’administration Trump a poursuivi avec brio sa guerre contre les mollahs grâce à cette unité internationale pour combattre les nuisances de ces derniers. Tout d’abord, Trump s’est retiré de l’accord de Vienne en imposant la nécessité d’un nouvel accord pour garantir la fin du terrorisme des mollahs et pour limiter les relations économiques avec eux. Puis, il les a privés des missiles de Kim Jung Un en pactisant avec ce dernier ! Puis, il a contré les menaces de pénuries pétrolières formulées par les mollahs grâce à un pacte pétrolier russo-saoudien pour augmenter la production pétrolière mondiale.

Les mollahs, totalement menacés par cette mesure, ont diminué la distribution de l’eau en Iran pour augmenter leurs fournitures d’eau aux Irakiens et aux Koweitiens pour s’assurer leur soutien et en faire des sorties de secours au cas où la contestation interne et les pressions externes les feraient chuter. Ce choix improvisé n’a pas pu casser le pacte pétrolier russo-saoudien et a aussi entraîné de graves troubles en Iran et au sein du régime. Tous les gens du régime se sont mis à acheter de l’or et des dollars. Les mollahs ont alors augmenté le prix de ces produits pour garder ces trésors pour eux-mêmes et ont ainsi déçu leurs collaborateurs, perdu des alliés et gagnés de nouveaux ennemis !

Trump a alors continué son plan anti-mollahs en reconnaissant la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver les bases russes en Syrie en échange de l’expulsion des mollahs de ce pays et l’engagement des Syriens d’assurer la sécurité d’Israël.

Dernièrement, Trump a finalisé son entente avec Poutine à Helsinki jetant ainsi les bases d’un nouveau Moyen-Orient assurément plus stable. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump et bien plus intéressant d’un point de vue économique ! Les Européens ont vite choisi cette stabilité en affirmant qu’ils ne pouvaient pas garantir les investissements promis aux mollahs ! Les amis palestiniens des mollahs les ont aussi lâchés ! Les chiites irakiens ont profité de la confirmation de l’isolement des mollahs pour attaquer les symboles de leur présence dans leur pays ! Assad a aussi vite mis en œuvre ses engagements pour assurer son avenir !

La panique s’est alors graduellement amplifiée au sein du régime. Les dissidents ont révélé la fuite de 1700 hauts responsables du régime ! Les mollahs ont nié leur défaite et ont menacé leurs serviteurs agités pour les empêcher de fuir ou d’encourager l’insurrection en cours ! Les Larijani ont critiqué les choix des mollahs sans proposer une alternative ! Les mollahs les ont rendus responsables des problèmes de corruption pour les calmer !

Dans ce contexte de guerre interne bien nuisible au régime, une explosion et de nombreux morts survenus dans une importante base tactique du régime ont signalé que la milice était aussi en pleine insurrection ! Les dirigeants ont caché l’affaire et ont ainsi admis leur peur que l’insurrection se développe et ont aussi admis leur incapacité à l’empêcher et éviter l’explosion à très court terme de leur régime !

Dans ce contexte explosif, Pompeo devait parler au peuple iranien et les assurer du soutien de l’administration Trump... La contestation et les insurrections internes devaient se renforcer à l’issue de ce discours et déstabiliser le régime dès le début des sanctions ! Les mollahs devaient trouver des solutions pour contenir les insurrections internes et les pressions externes pour empêcher le début du compte à rebours de leur chute. Voici le récit de ces efforts au cours des deux dernières semaines !


1 - 30.08.2018
Semaine 548 : Comme des chiens dans un jeu de quilles !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition russo-américaine souhaitée par Trump et par Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne afin d’annoncer de nouvelles sanctionner contre les mollahs. Trump a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine avec l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Enfin, à l’approche de ses nouvelles sanctions,Trump a mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Des milliers de responsables se sont enfuis ! On a constaté un cas de mutineries dans une très importante base tactique du régime !

À 2 semaines du début des nouvelles sanctions pétrolières et financières américaines, le m-AE de Trump a apporté son soutien à l’opposition du peuple iranien au régime. Les opposants ont alors annoncé des actions de plus en plus fortes et continuelles pour profiter de ces sanctions !

Les mollahs, menacés de toute part, ont attaqué 2 pétroliers saoudiens pour provoquer une pénurie pétrolière, mais ils n’ont pas provoqué la panique qu’ils souhaitaient. Washington leur a envoyé 4 grands bâtiments de sa marine. Les mollahs ont simulé une ouverture au dialogue. Trump a exigé des preuves de leur ouverture. Ils n’en ont montré aucun et n’ont pu continuer leur plan.

À une semaine du début des sanctions, les mollahs ont renoué avec le terrorisme pour intimider les Américains et les 4+1 avant de les rencontrer à un sommet à Singapour ! Ils n’ont rien obtenu d’eux. Les Allemands et les Anglais ont même durci leur position en évoquant la saisie des avoirs des mollahs dans leur pays.

La semaine dernière, le début de nouvelles sanctions a confirmé l’isolement à 100 % du régime des mollahs ! Les affairistes ont augmenté leurs achats d’or et de dollar du régime à n’importe quel prix. Les députés qui n’en ont pas les moyens ont accusé Rohani de corruption pour forcer les mollahs à baisser le prix du dollar.

Les mollahs ont menacé de pendre les acheteurs de dollar, mais ils n’ont pas osé le faire. Ils ont aussi reconnu leur responsabilité dans l’attaque des pétroliers saoudiens sans oser surenchérir par de nouvelles attaques... Ainsi le début des nouvelles sanctions a démontré la fragilité des mollahs et leur manque de courage pour faire face aux menaces venues de l’extérieur ou de l’intérieur du pays et de leur régime.

Cette semaine, les mollahs ont tenté de se rallier la Russie ou l’Europe en jouant avec la détermination du statut de la mer Caspienne qui a de très importantes réserves d’hydrocarbures, mais ils ont échoué, ils ont perdu des gisements sans obtenir les soutiens espérés. Les paniques internes se sont intensifiées comme la colère du peuple pour avoir encore mis en danger l’avenir économique du pays.


1 - 29.01.2020
L’incroyable histoire de l’Iran au cœur de la guerre pétrolière anglo-américaine (texte+video & des liens)

Le Monde prétend que les Iraniens sont en conflit avec les Américains et non avec le régime, et ce par amour pour le "PM démocratiquement élu Mossadegh, renversé par les Américains" ! Il y a au moins 4 mensonges dans ce petit pitch et encore davantage dans la dernière vidéo du Monde avec la participation une journaliste stagiaire qui se veut drôle pour rendre potable les élucubrations de l’infatigable lobbyiste des mollahs, Yann Richard.

En réponse, voici un exposé écrit et en vidéo chronologique des grands événements de l’histoire iranienne pour démontrer la fausseté des avis de Yann Richard et ses collègues du Monde et d’ailleurs.

Pour une lecture plus fluide, nous avons opté un style télégraphique avec l’utilisation des abréviations : UK (Grande-Bretagne), US (États-Unis), FR (France), ALL (Allemagne), RU (Russie), IR (Iran impérial), MO (mollahs), RI (Republique Islamique), XX pour désigner des périodes troubles, Revo (révolution), REFO (réformateurs), Prj (projet), Mouv (Mouvement), Khom (Khomeini), Rafsa (Rafsandjani), Sanx (sanctions), Terror (terrorisme)...

© IRAN-RESIST.ORG
Mais aussi des couleurs.
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UK : Texte Noir Fond Aquamarine
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US : Texte Rouge Fond Jaune
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IR : Texte Bleu
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XX : Texte Noir Fond Gris
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RU : Texte Blanc Fond Rouge
© IRAN-RESIST.ORG


1 - 29.11.2009
Iran : La semaine en images n°93

La semaine en images est une véritable aubaine pour nous. Elle montre la république islamique sans son masque de slogans et d’annonces grandiloquentes et nous rappelle qu’elle est de plus en plus faible. Cette semaine par exemple, le régime célébrait la création de la milice Bassidj qui est réputée d’avoir au moins 10 millions de membres. Nous ne les avons pas vus manifester dans les rues. Modestement, le régime a revendiqué un rassemblement de 60,000 miliciens dans une salle de prière qui peut contenir 10,000 personnes. Ils étaient en vérité moins de 5,000, principalement des vieux et non ces jeunes costauds qui devraient défendre le régime. Cette semaine, Téhéran devait aussi déployer des centaines d’avions et de missiles, mais nous ne les avons pas vus non plus.


1 - 15.01.2019
Semaines 567 (22-29/12/18) :
Adieux forcés au terrorisme !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais, car cette stratégie islamiste avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs grâce à une belle passivité des autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1).

Les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux pour se victimiser et aboutir à un deal avec Trump. Mais ce dernier n’a pas marché et les 4+1 ont puni les mollahs en évoquant des échanges démonétisés (SPV), les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable de longue portée susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen pour faire pression sur tous leurs adversaires.

Cette provocation balistique a uni tout le monde contre les mollahs. Ils ont adopté une lecture rigoureuse de la résolution 2231 du Conseil de sécurité sur leur programme balistique des mollahs. Les Européens les ont aussi punis en retirant le pétrole de leur dispositif d’échanges démonétisés et ont souligné leur terrorisme en Europe !

La mauvaise conduite des mollahs a aussi provoqué une refonte géopolitique massive, car les Européens et les Américains sont parvenus à un plan de paix avec les alliés des mollahs au Yémen et ont pris le contrôle du terrain avec l’accord de l’ONU. Trump a aussi déclaré la défaite de Daesh en Syrie en annonçant son retrait pour valider Assad et la présence russe en Syrie avec l’accord de l’ONU mettant fin à tout prétexte pour les mollahs de rester sur place !

Enfin il a validé l’option du changement de régime en permettant au Prince Reza Pahlavi d’avoir des activités anti-régime aux États-Unis ! Les Européens ont soutenu le changement de régime en apportant leur soutien aux ouvriers en lutte contre le régime ! Ces derniers ont manifesté leur satisfaction par des slogans en faveur de Reza Pahlavi.

La panique s’est intensifiée parmi les compagnons du régime. Les mollahs ont tenté de les intimider en exécutant quelques hommes d’affaires et aussi de les rassurer en imaginant de nouvelles versions de leur fausse opposition, mais leurs compagnons n’ont pas validé cette option par peur d’aider la vraie opposition au régime.

La semaine dernière, les mollahs ont continué le même schéma avant de proposer un retour de leurs soi-disant réformateurs et en prévision à l’échec de ce simulacre, des manœuvres offensives dans le détroit d’Ormuz. Voici le récit de ces efforts et ce qu’ils ont apporté aux mollahs !




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