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1 - 18.07.2006
STRATFOR RED ALERT : Petit historique du Hezbollah

 [1] La décision du Hezbollah d’augmenter ses opérations contre Israël n’a pas été prise à la légère. La conduite de Hezbollah ne s’est pas modérée au cours de ces dernières années et les chefs du groupe sont devenus avec le temps (et l’âge) plus établis et souvent aussi plus riches. Ils se sont installés, sont moins aventureux qu’il y a 20 ans. Les hommes du Hezbollah font même partie du processus politique libanais, et dans un certain sens de l’establishment libanais.


1 - 26.12.2006
Iran : Delphine Minoui dérape encore

Delphine Minoui la correspondante du Figaro en Iran n’écrit que des articles complaisants avec le régime des mollahs (et son chef Rafsandjani). Ainsi quand ce dernier a été éclaboussé par un mandat d’arrêt pour crime contre l’humanité pour sa participation au plus grand attentat antisémite de l’histoire, Delphine Minoui n’a rien écrit sur l’affaire et ses conséquences.


1 - 24.05.2006
L'Iran des mollahs aux abois

Nous étions les premiers à l’écrire en décembre dernier : le régime des mollahs cherche désespérément à attirer les Américains à la table des négociations. Selon le Washington Post, l’Iran a demandé par l’entremise d’intermédiaires : Madeleine Albright, Hubert Vedrine, Kofi Annan, El Baradei, le Japon, la Turquie...) à discuter directement de son programme nucléaire avec Washington [2].


1 - 18.04.2006
Le peuple Iranien en colère contre les « Palestiniens »

La municipalité de Téhéran dont Ahmadinejad était il y a encore peu le maire vient de faire savoir dans un communiqué qu’elle allait aider le gouvernement du Hamas dans les « zones libérée » en lui fournissant du matériel et le savoir-faire technologique.


1 - 02.02.2006
Ahmadinejad fait beaucoup de bruit pour cacher le manque d’option du régime iranien

Ahmadinejad, surnommé le primate par les iraniens, a qualifié le Conseil de sécurité de « puissances de paille » qui n’empêcheront pas l’Iran de poursuivre son programme nucléaire.


1 - 30.04.2021
Iran-Resist Fact-checking 11 | 210429
Zarif leaks ou le dernier enfumage du régime

Tout le monde parle en ce moment d’un enregistrement fuité par des comploteurs dans lequel le ministre des Affaires étrangères des mollahs se plaint des ingérences malsaines des Pasdaran et des Russes, complices par ailleurs, dans les relations extérieures du régime pour faire échouer l’accord sur le nucléaire et la paix en Syrie tous les deux souhaités par les États-Unis. Attention ! Il s’agit d’une mise en scène pour esquisser un possible deal avec Biden sans cependant faire aucun effort concret en ce sens. Voici les dessous de la dernière tentative diplomatique [3] d’enfumage médiatique des mollahs.


1 - 07.08.2007
Iran : L’affaire de l’homosexuelle interviewée par Shargh

Une depêche de l’AFP nous révélait hier que les mollahs avaient ordonné la fermeture du grand quotidien modéré Shargh pour avoir publié une interview d’une militante homosexuelle. L’affaire mérite un décodage.


1 - 25.12.2019
Semaines 611-618 (26 oct-21 dec 2019)
La saison des frissons !

© IRAN-RESIST. ORG

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.
Les mollahs ont alors soutenu les Ansar-Allah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi aidé les Talibans et se sont mis à financer Daesh, abandonnés par Trump ! Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen et en Syrie. La Russie et la Syrie ont laissé l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto sous l’embargo financier souhaité Trump.

Les collaborateurs du régime ont paniqué. Ils ont commencé à vendre leurs biens pour partir avec leurs dollars. Les mollahs leur ont déclaré la guerre judiciaire via une soi-disant lutte anti-corruption. Puis ils ont tenté de relancer leur fausse opposition, pour les rassurer, mais les ont davantage inquiétés et ont encouragé leur rupture.

Début 2019, les mollahs ont eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte populaire en laissant le pays être ravagé par des inondations. La milice a complété le plan en empêchant les secours. La haine anti-régime s’est amplifiée.

Washington en a profité pour classer comme entité terroriste la milice qui gère tout au sein du régime. Le responsable du contre-espionnage de la milice est alors fui vers les États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer la chute du régime. La Russie s’est montrée favorable à un deal avec Trump pour renforcer Assad et sa propre position en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces liées aux mollahs.

Les mollahs ont alors capturé des pétroliers étrangers tout en affichant des ambitions balistiques, menaçant davantage l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux afin de terroriser ces derniers et les éloigner de Trump. Mais ils ont seulement réussi à les braquer et à rapprocher les Chinois des Arabes et de Trump ! Ce dernier en a profité pour sanctionner Zarif et la diplomatie terroriste des mollahs !

Le président français a profité de leur isolement grandissant et s’est proposé en médiateur en leur proposant 15 milliards de dollars contre leur participation aux nouvelles négociations souhaitées par Trump. Ils ont simulé une ouverture pour geler les sanctions et sortir de leur isolement. Mais Trump a refusé de céder.

Les mollahs se sont alors tournés vers Poutine, mais ce dernier a ostentatoirement montré son intérêt d’aider la Turquie pour se rapprocher de l’OTAN et d’aider Israël à les attaquer.

Les mollahs, désespérés par cet échec et aussi des grèves très pénalisantes de deux grands groupes industriels fondés par le Shah et dégradés par leur régime, ont concrétisé leur chantage en ciblant deux sites pétroliers saoudiens avec l’aide de leurs miliciens basés en Irak touchant gravement l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux et des Asiatiques.

Les Saoudiens, les Américains et les Anglais ont apporté des preuves que les mollahs étaient pleinement impliqués. Les Russes et les Chinois ont pris la partie des Saoudiens. Mais Macron, en quête d’un grand succès politique, s’est posé en médiateur pro-américain pour profiter d’un possible fléchissement des mollahs, mais a seulement réussi à les encourager à poursuivre leur chantage. Trump en a profité pour sanctionner leur banque centrale.
Fin septembre 2019, les mollahs, gravement pénalisés par cette sanction, ont menacé leurs collaborateurs agités grâce à leur soi-disant lutte contre la corruption, puis ils ont menacé tous les pays pétroliers et leurs clients avant le 74e AG de l’ONU en vue d’y obtenir leur aide pour rencontrer Trump et parvenir à un deal avec lui. Ces efforts et ceux des mollahs se sont soldées par une reconnaissance européenne de leur rôle dans l’attaque des installations d’Aramco. Les Européens ont également dit qu’ils pourraient mettre fin à l’accord de Vienne...
Les mollahs, également de plus en plus déstabilisés par les grèves en Iran, n’ont pas obtempéré, car la fin de leur d’ingérence terroriste régionale ne passerait pas l’arrestation de leurs proches serviteurs et la perte de leur force de répression et conduirait à leur chute. Ils n’ont pas pu profiter de leur chantage.

Les Irakiens et les Libanais ont aussi profité du déclin des mollahs pour manifester contre leur présence dans leur pays, directement ou via le Hezbollah. Poutine et Assad ont aussi choisi Trump et MBS. Les Chinois ont aussi cessé de leurs achats pétroliers en Iran.

Les mollahs, ainsi mondialement remis en cause pour leur agitation et ingérence régionale, ont craint de nouvelles sanctions onusiennes et une unité internationale active pour mettre fin à leur régime par le soutien à leurs opposants en Iran et en exil.

Ils ont tenté d’empêcher cela en évoquant une possibilité d’adhérer partiellement aux conventions du FATF, sans parvenir à calmer diviser leurs ennemis. Ils ont parlé de la nécessité d’une diplomatie multilatérale pour draguer les pays du Mouvement des non alignés et ainsi mettre la pression aux Européens pour qu’ils restent à leur côté, mais ils n’y sont pas arrivés.

C’était il y a 2 mois. Notre dernière analyse en détails de l’actualité iranienne date du 19 octobre 2019. Depuis les mollahs ont eu bien des revers sur la scène internationale et surtout en Iran avec un soulèvement populaire qu’ils ont eux-mêmes qualifié de vraie guerre contre leur régime. Ils ont affirmé qu’ils l’ont vaincu, mais nous vous apportons régulièrement la preuve que la guerre du peuple iranien contre les mollahs continue.

À présent, voici le récit résumé, chronologique et illustré, des grands faits politiques, économiques des mollahs depuis le 19 octobre dernier, informations qui vous feront comprendre mieux l’affaiblissement des mollahs et le soulèvement qui risque fort de les renverser dans les semaines ou les mois à venir.


1 - 25.01.2018
Semaine en images n°516-17 :
Zigzags & Naufrage !

Les mollahs arrivés au pouvoir en marge de la stratégie islamiste des grands décideurs pétroliers américains se sont retrouvés en difficulté quand ces grands décideurs pétroliers américains, échaudés par l’échec de leurs printemps arabes (islamistes) et de leur dernière trouvaille, Daesh, ont chargé Trump d’y mettre fin.

Les mollahs et leurs associés les chefs Pasdaran en danger ont alors récupéré Daesh et ont réactivé d’autres organes terroristes qu’ils entretenaient pour résister à Trump. Ils ont manqué d’argent. Les sanctions ont augmenté. Les mollahs & associés ont davantage manqué d’argent. Ils ont dû augmenter les prix pour diminuer le pouvoir d’achat des Iraniens surtout de leurs propres partisans pour éviter de se retrouver rapidement en pénurie.

Les mollahs et leurs associés Pasdaran ont aussi détourné les épargnes de leurs collaborateurs de base pour limiter leur pouvoir d’achat. Ces gens se sont révoltés avec des slogans hostiles à cette décision. Les mollahs et leurs associés les ont ignorés et ont continué leur fuite en avant. Les miliciens trahis ont finalement rompu avec le régime peu avant la journée de fidélité à son principe fondateur du régime, en manifestant avec des slogans en faveur des Pahlavi qui jouissent d’une grande popularité en Iran.

Le peuple ravi par cette contre-révolution les a rejoints. Cela fait près de 3 semaines qu’ils harcèlent et malmènent les mollahs. Voici le résumé au jour le jour des deux premières semaines de cette lutte contre le régime ainsi que des décisions prises par les mollahs pour la neutraliser les effets qu’elles ont provoqués.


1 - 09.01.2018
Iran-Mardi 09.01.18 | Rapport Explosif :
Le feu couve sous la glace !

Depuis 3 jours, les médias français annoncent de la fin ou l’essoufflement de la contestation politique en Iran. Certains vont plus loin en niant la nature contre-révolutionnaire de ce mouvement. Mais tous oublient de préciser que depuis 3 jours, toues les régions contestataires sont sous d’impressionnantes couches de neige qui les ont coupées du reste du pays et empêchent les habitants de se déplacer. Le feu couve sous la glace !




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