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Iran : Pourquoi Amnesty défend Persépolis de Satrapi
01.06.2007

La branche belge d’Amnesty international a volé au secours de Satrapi pour sauver la promo d’un film qui prétend que les femmes sont presque libres et dynamiques en Iran où la réalité est celle de l’esclavage sexuel légalisé. Quelle preuve plus éclatante de la partialité d’Amnesty international ! Nous en avions perçu des échantillons par le passé mais cette fois c’est le bouquet.



La branche belge d’Amnesty international a superbement ignoré nos remarques et publié sans aucune nuance un article inspiré du communiqué de presse de ce film à la vision très biaisée. Ces efforts veulent empêcher le désastre commercial d’un film qui a coûté 8 millions d’euros et ne sortira probablement qu’en vidéo pour éviter à son auteur de se retrouver face à des journalistes sceptiques et peu coopératifs.

Nous vous prions de rester vigilants et de bombarder la branche belge d’Amnesty international de courriels afin qu’ils cessent d’accorder leur soutien à ce film négationniste qui empêche les Français de connaître la vérité de l’Iran d’aujourd’hui afin de s’engager modestement mais sincèrement en faveur d’un changement de ton vis-à-vis des mollahs.

Nous avions également relevé des relents d’antisémitisme parmi les rédacteurs de la branche belge d’Amnesty international au moment de la remise en cause de la véracité de l’Holocauste par le régime des mollahs. A cette époque nous avions signalé quelques-uns de ses auteurs, Géraldine Fouarge, Pascal Fenaux, Pierre Vanrie [1], qui collaborent activement avec les médias du régime des mollahs et militent ouvertement pour la pérennité du régime des mollahs en faisant passer leur militantisme en soutien à Khatami le réformateur. On retrouve les mêmes en train de défendre les islamistes turcs de l’AKP. Or, il leur suffirait de se baser sur les textes légaux du régime des mollahs pour obtenir leur condamnation. Il ne faut pas attendre ce genre d’action de la part d’Amnesty international Belgique, ni d’ailleurs de la maison mère d’Amnesty International.

Amnesty international n’est pas le Bon Dieu ou le Graal de l’intégrité, cette association est gérée par des militants politiques qui ont une vision très particulière des droits de l’homme : ainsi Amnesty international s’affiche régulièrement aux côtés de Shirin Ebadi, une femme qui a joué un rôle décisif pour dissimuler les dispositions de la loi qui assurent l’impunité pour les pédophiles sur le sol iranien.

A aucun moment, dans aucun discours, Ebadi n’a dénoncé le statut marital des mineures en Iran. Et malgré nos remarques répétées, Amnesty international a apporté sa caution morale à cette dissimulation qui devrait être punie par une peine ferme comparable à celle que prévoit la loi pour les violeurs pédophiles multirécidivistes.

Tous les jours en Iran, des fillettes sont victimes de la loi instaurée par les mollahs, mais Shirin Ebadi reste muette et Amnesty international la soutient. Il est important de savoir que pour des raisons purement idéologiques, cette association a joué un rôle décisif dans la victoire des mollahs en Iran.

Le 8 mars 2007, nous avons signalé un nouveau dérapage d’Amnesty international qui reste alignée sur les revendications biaisées de Shirin Ebadi qui elle-même évite d’alarmer l’opinion internationale en évoquant la pédophilie légalisée en Iran depuis 1980. Amnesty international accompagne les mollahs dans tous les domaines, jusqu’à traficoter les chiffres des pendaisons pour les revoir à la baisse, sans doute pour éviter aux mollahs de caracoler en tête des classements. Les seuls cas qui intéressent Amnesty international sont ceux que le régime veut utiliser pour faire la promotion de ses faux opposants (étudiants ou journalistes) ou ses fausses féministes dont aucune ne signale la pédophilie autorisée par la loi. Amnesty recycle les fausses nouvelles d’arrestations et participe à la fabrication de faux opposants qui généralement quittent l’Iran pour infiltrer l’opposition et essayer de la détruire de l’intérieur. Amnesty, FIDH et RSF Iran ont ainsi participé conjointement à la fabrication des mythes de Sazgara ou de Ganji, 2 personnages hautement impliqués dans les services de renseignements des Pasdaran.

Amnesty a encore répondu présent quand le régime a décidé de promouvoir des fausses féministes (agents du régime faisant semblant d’être des féministes) et elle a commencé à s’intéresser aux cas de jeunes filles en instance de pendaison ou déjà pendues.

Le premier cas était celui d’Atefeh : des agents du régime avaient violé et pendu une fillette et ensuite une jeune avocate avait cherché à percer le mystère de cet abominable crime. Mais il y avait anguille sous roche : Cette affaire devait lancer la carrière médiatique de Shadi Sadr, une proche de Shirin Ebadi. Une fois célèbre, Shadi Sadr est devenue la chef des féministes islamiques iraniennes. Mais comme Ebadi, elle ne parle jamais de la loi autorisant la pédophilie.

Par la suite Amensty s’est également intéressée au cas de Delara Darabi. Nous avions nous-même appelé au soutien d’Amnesty international pour sauver cette jeune femme soi-disant condamnée à mort avant de nous apercevoir que le cas de Delara était devenue un feuilleton incohérent à la gloire de la souplesse des tribunaux islamiques en Iran, mais aussi à la gloire des prétendus angles morts du système qui permettent à la dissidence de se développer.

En revanche, quand le régime dérape vraiment et qu’il y a des cas avérés de violation des droits de l’homme, Amnesty soutient la version officielle du régime des mollahs et demande aux mauvaises langues de se taire !

De ce fait, nous sommes certes scandalisés mais peu surpris par la sortie médiatique d’Amnesty international Belgique en faveur de Persépolis de Marjane Satrapi. Quoique dise Amnesty international, les textes de la constitution du régime des mollahs et leur code civil sont explicites.

Depuis l’instauration de la république Islamique en Iran, la majorité pénale et l’âge de la puberté sont fixés à 9 ans pour les filles... Le mariage d’une fille qui se marie pour la première fois dépend seulement de la permission du père ou du tuteur ou d’un grand-père... Le mariage avant l’âge de la puberté (13 ans) est interdit, toutefois les contrats de mariage décidés par le père ou le tuteur des fillettes avant cet âge sont validés si les intérêts de la personne sous tutelle sont respectés. En Iran, il existe également une seconde disposition de loi pour ce genre de plaisir : il s’agit de mariages temporaires d’une durée choisie par le marié (parfois de quelques minutes). Comme 85% des iraniens vivent en dessous du seuil de pauvreté, les parents acceptent de « marier leurs fillettes » contre des sommes dérisoires pour les voyageurs étrangers ou les riches locaux.

Ceci est l’autorisation légale de l’impunité pour les pédophiles et les proxénètes. Ceci est valable pour tout le monde y compris pour les militants d’Amnesty dont l’auteur du texte pro Satrapi : Gilles Bechet.

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Recherche sur le site d’Amnesty pour connaître l’existence d’une campagne contre la pédophilie en Iran : RIEN !

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Amnesty France recherche nulle

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Amnesty Int. recherche nulle

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Recherche sur le site d’Amnesty pour connaître l’existence d’une campagne contre les « étudiants » malmenés : on retrouve en première ligne la future super vedette mondiale de la dissidence sexy : Kianoosh Sanjari !

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Amnesty coach de Sanjari

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| Mots Clefs | Violence : Etre Jeune en Iran... |

| Mots Clefs | Resistance : FAUSSE(s) OPPOSITION(s) |

| Mots Clefs | Fléaux : Pauvreté (et Disparité) |

| Mots Clefs | Auteurs & Textes : Marjane Satrapi, auteur de Persépolis |

| Mots Clefs | Violence : Violations des Droits de l’Homme |

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[1Pascal Fenaux | un militant islamo-gauchiste anti laïque et mythomane !

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- A propos des ambitions nucléaires du Shah d’Iran ! |