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1 - 08.06.2022

Iran : Les mollahs bien dans la merde !

Les mollahs sont dans une impasse, ils sont sanctionnés, incapables d’approvisionner le pays, contraints de limiter sans cesse le pouvoir d’achat pour reculer les pénuries, ils ne peuvent cependant pas envisager un deal avec Biden, car tout apaisement permettra à ce dernier d’introduire ses propres islamistes en Iran. Les mollahs sont condamnés à rejeter tout apaisement. Harcelés par les sanctions, les pénuries et les contestations, ils ont trouvé une solution  : éliminer ses propres agents de terrorisme pour apaiser Biden sans passer par un deal officiel. Cette semaine, les mollahs, confrontés à une nouvelle vague de contestation, ont renoué avec cette méthode et entrainé une nouvelle crise au sein de leur régime. Le point sur la situation.


1 - 20.02.2019
Semaines 570-573 (12/01-08/02/19)
La guerre internationale pour les enjeux iraniens

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansarallah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen, mais aussi via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs pour tous leurs méfaits. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (SPV) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen. Ce choix a surtout décidé les pays concernés notamment les grandes puissances à adopter une attitude plus ferme à propos des mollahs, leurs missiles aux objectifs terroristes. Ils ont mis fin à la guerre au Yémen et en Syrie pour obliger les mollahs à quitter ces pays. Les Européens ont aussi puni les mollahs en excluant le pétrole de leur dispositif à venir d’échanges démonétisés. Le prince Reza Pahlavi qui a le soutien du peuple iranien a pu enfin accéder à quelques médias américains.

Les mollahs, certains qu’ils étaient perdus, ont relancé leur fausse opposition avec de soi-disant étudiants se disant partisans des ouvriers grévistes en lutte contre le régime. Mais ils n’ont pas réussi à duper ces derniers ! La neige a aussi perturbé l’usage des images d’archives pour promouvoir leur pion et a aussi aggravé les pénuries existantes. Ils ont tenté de rebondir en perturbant les négociations de paix entre les responsables afghans et les talibans ! Ils ont échoué. Ils ont repris leurs diverses menaces contre Israël. Une frappe punitive israélienne a tué le commandant de leurs actions terroristes dans le Moyen-Orient !

Enfin de compte, les mollahs ont adopté la méthode Rafsandjnian en alternant du terrorisme et du faux apaisement en relançant la fausse opposition avec le soi-disant ouvrier gréviste Bakhshi ou en démarchant les Indiens avec une offre de gaz soldé et les Irakiens avec de l’eau à gogo pour obtenir leur soutien ou mettre la pression aux Européens.

Mais leur faux opposant n’a eu aucun soutien populaire. Les Indiens et les Irakiens ont refusé de les aider. Enfin, les Européens les ont punis par des sanctions en réaction à leur terrorisme ! Ces échecs ont paniqué les leurs. Les mollahs ont ouvert un procès de corruption visant tous leurs proches. Les mollahs sont revenus au terrorisme au Yémen ! Washington en a profité pour appeler à une conférence internationale au moment du 40e anniversaire de leur arrivée au pouvoir pour créer un front international hostile à leur encontre et mettre un terme à leur régime.

C’était il y a 4 dernières semaines. Voici le récit compressé de principaux évènements de cette période juste avant l’anniversaire de l’arrivée des mollahs au pouvoir et la conférence pour les en chasser. Quatre semaines d’efforts des mollahs pour éviter l’effondrement de leur régime, mais aussi 4 semaines d’échecs tous azimuts en raison de la résistance des Iraniens, des ruptures spectaculaires au sein du régime et enfin les efforts subtils et invisibles de tous des grandes puissances pour se débarrasser d’eux et préserver leurs intérêts après cette chute.


1 - 15.01.2019
Semaines 567 (22-29/12/18) :
Adieux forcés au terrorisme !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski, pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais, car cette stratégie islamiste avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs grâce à une belle passivité des autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1).

Les mollahs ont alors mis en scène un faux attentat chez eux pour se victimiser et aboutir à un deal avec Trump. Mais ce dernier n’a pas marché et les 4+1 ont puni les mollahs en évoquant des échanges démonétisés (SPV), les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable de longue portée susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen pour faire pression sur tous leurs adversaires.

Cette provocation balistique a uni tout le monde contre les mollahs. Ils ont adopté une lecture rigoureuse de la résolution 2231 du Conseil de sécurité sur leur programme balistique des mollahs. Les Européens les ont aussi punis en retirant le pétrole de leur dispositif d’échanges démonétisés et ont souligné leur terrorisme en Europe !

La mauvaise conduite des mollahs a aussi provoqué une refonte géopolitique massive, car les Européens et les Américains sont parvenus à un plan de paix avec les alliés des mollahs au Yémen et ont pris le contrôle du terrain avec l’accord de l’ONU. Trump a aussi déclaré la défaite de Daesh en Syrie en annonçant son retrait pour valider Assad et la présence russe en Syrie avec l’accord de l’ONU mettant fin à tout prétexte pour les mollahs de rester sur place !

Enfin il a validé l’option du changement de régime en permettant au Prince Reza Pahlavi d’avoir des activités anti-régime aux États-Unis ! Les Européens ont soutenu le changement de régime en apportant leur soutien aux ouvriers en lutte contre le régime ! Ces derniers ont manifesté leur satisfaction par des slogans en faveur de Reza Pahlavi.

La panique s’est intensifiée parmi les compagnons du régime. Les mollahs ont tenté de les intimider en exécutant quelques hommes d’affaires et aussi de les rassurer en imaginant de nouvelles versions de leur fausse opposition, mais leurs compagnons n’ont pas validé cette option par peur d’aider la vraie opposition au régime.

La semaine dernière, les mollahs ont continué le même schéma avant de proposer un retour de leurs soi-disant réformateurs et en prévision à l’échec de ce simulacre, des manœuvres offensives dans le détroit d’Ormuz. Voici le récit de ces efforts et ce qu’ils ont apporté aux mollahs !


1 - 12.09.2018
Semaine 549-550 :
La fortune des mollahs fait leur infortune

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski,, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition souhaitée par Trump et Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les députés privés de dollars ont accusé Rohani de corruption pour obtenir la baisse du dollar ! Des milliers de responsables politiques se sont enfuis avec les budgets à leur disposition !

Les mollahs ont alors attaqué 2 pétroliers saoudiens via les Houtihs pour provoquer une pénurie pétrolière. Mais ils n’ont pas pu intimider leurs interlocuteurs internationaux. Washington leur a envoyé 4 grands bâtiments de sa marine. Ils ont simulé une ouverture au dialogue, mais sans faire de vraies concessions. Trump a maintenu son cap ! Ils ont renoué avec le terrorisme pour intimider tous les alliés de Trump et l’isoler, mais leur choix les a seulement convaincus de ne pas s’opposer à ses sanctions. Ils ont ainsi été à l’origine de leur isolement à 100% !

La semaine dernière, les mollahs ont arrêté quelques affairistes pour calmer leur agitation tout en jouant avec l’adoption du statut de Lac pour la Caspienne afin de faire pression sur les Russes et les Anglais intéressés par les richesses pétrolières de cette région. Mais, ils n’ont pu gagner, car tous les autres États riverains avaient décidé de nationaliser la Caspienne et d’évincer les Anglais dans leur propre intérêt et celui des États-Unis.

Leur échec a démontré leur manque de vision et a intensifié les tensions au sein de leur régime. L’assassinat de l’un des chefs Pasdaran chargé d’une des régions les plus contestataires a augmenté la panique interne.

Les mollahs ont alors mis en avant leur fausse opposition pour canaliser la contestation du peuple dans la lutte contre les Russes (et leur statut pour la Caspienne) espérant ainsi canaliser le peuple et relancer les marchandages pour l’accès à la Caspienne afin de draguer les Européens ! Mais ces derniers ont choisi la Russie !

Les mollahs ont continué l’action de leur fausse opposition. Les chefs Pasdaran ont craint que cette ouverture poussive se fasse à leurs dépens. Ils ont organisé un rassemblement où ils ont menacé de mort Rohani et ses patrons ! Ces derniers ont cessé de mépriser les députés pour les empêcher de s’allier aux chefs Pasdaran. Mais en l’absence d’une annonce de baisse du prix du dollar, les députés ont continué à attaquer Rohani !

Cette semaine, les mollahs devaient se ressaisir, redéfinir des objectifs ou des approches pour contenir ou dominer leurs adversaires d’Iran et ailleurs avant mercredi, car leur incapacité à mobiliser alors pour la fête islamique de sacrifice pouvait accentuer la panique au sein de leur régime. Pressés de réussir vite, ils ont fait de très mauvais choix en sacrifiant la raison ! Voici le récit de ces choix et leurs terribles résultats !


1 - 01.02.2017
Iran : Semaine en images n°465
Le sacrifice inutile de Rafsandjani !

© IRAN-RESIST.ORG

La semaine dernière (30 Décembre 2016-06 Janvier 2017 / 10-17 Dey 1395) commençait sous de très mauvais auspices pour les mollahs, car la semaine précédente, ils n’avaient pas pu convaincre leurs rivaux ou l’administration démocrate et son mentor Brzezinski (partisan d’une diplomatie islamiste) de laisser le faux modéré et vrai terroriste Rafsandjani créer un nouveau parti pour piéger Trump. Puis, ils n’avaient également pas pu rassembler à l’occasion de la journée d’unité avec le Guide. Enfin, ils avaient misé sur la crise en Syrie et ils s’étaient vus punis par Poutine par leur exclusion des négociations pour le cessez-le-feu en Syrie. Ils avaient insisté. En réponse, Poutine avait menacé leur stabilité grâce à l’arrêt de fourniture de gaz par son allié le Turkménistan. Les mollahs n’avaient pas osé surenchérir et avaient seulement dissimulé ces revers qui montraient qu’ils étaient condamnés à 100% !


1 - 15.03.2017
La semaine en images 469
L’aube noire des mollahs  !

© IRAN-RESIST.ORG

La semaine dernière (27 Jan. - 03 Fév. 2017 / 8-15 Bahman 1395) | Les mollahs et leur régime subissaient Trump depuis une semaine et s’en portaient bien mal par le spectre du démontage de la diplomatie islamiste américaine (de ses prédécesseurs sous la direction de Brzezinski).

Les Russes, partisans de Trump et de son projet d’un Moyen-Orient débarrassé de l’islamisme politique américain de Brzezinski, avaient montré leur soutien en écartant les mollahs de la direction de la conférence d’Astana pour la paix en Syrie.

Les mollahs avaient tenté de rebondir en mettant aux enchères le développement de la zone portuaire de Makran qui surplombe le détroit stratégique d’Ormuz, mais ils n’avaient rien obtenu. Trump avait fini sa première semaine de présidence en les attaquant par un décret bannissant les voyages de leurs sympathisants et collaborateurs financiers en Amérique pour les forcer à rompre et priver le régime de leur soutien tant financier que politique, dont la propagande pour Rohani, ex-coordinateur des projets terroristes du régime. Aucun État ou organisme partenaires du régime n’avaient condamné cette mesure.


1 - 20.04.2017
Iran : La semaine en images n°473
Une menace pour la région !

© IRAN-RESIST.ORG

La semaine dernière (24 Février-3 Mars 2017 / 7-14 Esfand 1395), les mollahs et leurs associés-rivaux, en grand danger depuis la fin de la diplomatie islamiste américaine grâce à l’arrivée de Trump, n’avaient pu contrer ce dernier sa coalition avec la Russie, l’Arabie Saoudite et Israël en provoquant une nouvelle crise israélo-palestinienne grâce à une conférence de soutien à l’Intifada à Téhéran avec les pays musulmans et la Russie. Ces derniers avaient évacué les provocations anti-sionistes et pro-terroristes du régime pour se concentrer sur la demande de la fin de la colonisation des territoires occupés. L’insistance des mollahs sur leur position avait alarmé les grandes puissances. Ces derniers les avaient discrètement menacés d’un blocus bancaire fin juin en rappelant via le Groupe d’action financière (GAFI) ou Financial Action Task Force (FATF) qu’ils n’avaient pas encore désopacifié leurs transactions bancaires selon leur engagement dans le cadre de l’accord de Vienne.


1 - 06.10.2017
Semaine en images n°496 :
En état permanent de Coups d’Etat

Dès le début de cette année 2017, les mollahs-agitateurs, qui avaient été menacés par l’arrivée de Trump et la fin du projet islamiste du réseau Brzezinski, avaient renoué avec le terrorisme pour intimider ou désorganiser la région et ainsi empêcher Trump de créer une coalition globale à leur encontre. Mais Trump et Poutine avaient bloqué leur élan en refusant d’admettre leurs rôles dans leurs attentats tout en les punissant en se rapprochant davantage en Syrie ou par un nouvel avis négatif du GAFI (FATF). Les deux hommes avaient aussi fini par se rapprocher pour engendrer une alliance Est-Ouest et un cessez-le-feu inattendu dans le sud de la Syrie (où se trouvent Damas et la frontière sensible avec Israël), privant les mollahs d’une zone indispensable pour leur nuisance vitale pour leur survie.

La Chine, les G20 et la France avaient rejoint cette alliance à différents degrés. Les mollahs avaient tenté de rebondir grâce au terrorisme du réseau Haqqani. Washington avait profité de ce choix pour souligner leurs liens avec toutes les formes du terrorisme islamique. Ce constat avait mis fin à toute possibilité pour les mollahs de trouver un arrangement pour s’assurer une fuite sécurisée hors du pays.

La condamnation sans appel des mollahs avait galvanisé les opposants internes. On avait assisté à 2 agressions remarquables des responsables du régime par des civiles ou de jeunes miliciens. Par ailleurs, la désignation des mollahs comme patrons de tous les terrorismes islamiques avait divisé le réseau Brzezinski. Certains experts avaient rejoint Trump en révélant des liens entre les mollahs et 33 grandes universités américaines ainsi que 3 fondations, dont celle des Clintons.

Les politiciens du réseau se voyant en danger avaient décidé de voter des sanctions contre les mollahs, mais en incluant un lourd volet russe pour empêcher Trump d’utiliser ces mesures pour renverser les mollahs et parachever son alliance Est-Ouest avec Poutine. Trump avait court-circuité cette nuisance en se prononçant en faveur des inspections des bases militaires par l’AIEA, pour avancer avec ses alliés internationaux contre ses ennemis américains qui oeuvraient aussi pour les mollahs. Puis ils avaient renforcé ce lien avec ses alliés internationaux par la résolution 2370 du CS de l’ONU obligeant tous les pays à combattre le terrorisme islamiste, les engageant à combattre les mollahs.

Pris ainsi à la gorge, Rohani, le pion des mollahs, avait (avec l’accord de ses patrons) changé de discours lors de la cérémonie de la validation de son élection, se montrant très bienveillant vis-à-vis du peuple en demandant de manière très opportuniste à tous agents du régime de ne guère contrarier le peuple et ses aspirations. Leurs collaborateurs avaient compris que les mollahs allaient les livrer au peuple pour sauver leur propre tête.

Mais cette feinte n’avait pas changé la donne internationale en faveur du régime. De plus, certains hauts responsables avaient doublé les mollahs en devenant des partisans du peuple ! Les mollahs avaient alors implicitement rappelé le passé sanglant du régime pour dissuader les ruptures.

La semaine dernière (4-11 Août 2017 / 13-20 Mordad 1396), avant la cérémonie de son investiture, Rohani avait encore changé de ligne en recevant les représentants de quelques pays pour raviver divers conflits en veille entre de petits États et les grandes puissances dont la les États-Unis, l’Europe et la Russie pour forcer leurs dirigeants et reculer. Mais cela n’avait pas marché et les trois grandes puissances s’étaient rencontrées par la suite pour parler des questions relatives à leurs sécurités et au terrorisme, se montrant unies pour combattre les mollahs...


1 - 03.09.2020
Iran : Trump UP, régime down !

Le régime des mollahs n’a pu organiser des journées de deuil et flagellations en mémoire des saints du chiisme et a évoqué le coronavirus pour justifier son échec ! Cet échec a souligné la rupture de ses miliciens et aussi l’impopularité de l’Islam. Le régime est dans le temps confronté à une forte contestation ouvrière qu’il ne peut arrêter, car il n’a plus le soutien de ses policiers et ses officiers de renseignements. Ses affairistes et ses administrateurs s’agitent et participent à sa déchéance. Voici les nouvelles des 5 derniers jours.


1 - 26.04.2018
Semaine en images n°529-530 :
La chute du château de verre !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste de géopoliticien Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves sans lui offrir des alliés bénéfiques à ses intérêts pétroliers. Le changement de ligne a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate en place depuis 1973 par des révélations pénalisantes sur son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie.

En 2017, sous l’impulsion de ce changement, les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme sciemment déstabilisateur des mollahs notamment leurs soutiens aux islamistes du Liban et de la Syrie et de Yémen pour perturber la sécurité du golfe Persique et du bassin méditerranéen afin d’avoir des moyens de pression sur les grandes puissances et ainsi garantir leur propre survie. Les États musulmans ont soutenu la coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite. Le Hezbollah a aussi fait un pays vers l’Arabie Saoudite, privant les mollahs de leur ingérence décisive au Liban.

Fuite en avant & conséquences | Les mollahs ont alors amplifié leur soutien aux Houthis. Ils ont aussi essayé de s’allier les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais ces partenaires commerciaux n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme et in fine, ces relations ont seulement aggravé leur faillite économique. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les épargnes de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée.

En novembre dernier, ces miliciens se sont révoltés en se ralliant au peuple pour demander par leurs slogans la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi. Des milliers d’ouvriers que le régime payait mal ou rarement -dont ceux du secteur pétrolier- ont rejoint le mouvement en cessant de travailler. De nombreux gradés de la milice et l’armée ont rejoint le mouvement par des actions violentes contre le régime. Les barbouzes du Parlement ont aussi pris leur distance avec leurs dirigeants en les accusant de corruption ! Les hommes d’affaires du régime ont paniqué et se sont mis à vendre leurs actions et à acheter des dollars pour fuir le régime.

Les mollahs, incapables de riposter, ont intensifié le soutien aux Houthis avant de menacer directement la sécurité du détroit d’Ormuz.

Les grandes puissances dont la Russie les ont punis en les privant de tout investissement étranger ou transfert de fonds vers l’étranger en renouvelant leur classement sur la liste noire des pays qui financent le terrorisme !

Au même moment, Trump a créé la surprise en parvenant à établir un contact avec Kim Jung-Un, unique fournisseur de missiles aux mollahs qui (pour sa survie) pouvait dévoiler des informations sur les capacité, les failles et les lieux de stockages des missiles des mollahs. Les Anglais (mentor historique du clergé chiite iranien) ont aussi annoncé leur soutien aux ennemis saoudiens du régime.

Les autres Européens, dont les Français, se sont retrouvés obligés d’annoncer des sanctions tout en espérant un arrangement en faveur des mollahs pour préserver leurs contrats avantageux avec ces derniers. Les mollahs ont profité de ce laxisme pour intensifier leur terrorisme et ont eux-mêmes encouragé l’adoption de sanctions contre leur régime. Le 16 mars dernier, les 3 plus grandes puissances européennes se sont finalement prononcées en faveur de nouvelles sanctions après un regain d’actions hostiles au régime durant la fête du feu !

Il y a deux semaines (17 au 24 mars 2018 | 26 Esfand 1396 au 04 Farvardin 1397), Trump a profité de cette annonce pour assurer les Iraniens de son soutien dans des vœux de Norouz alliant l’éloge de leur identité persane et la promesse des sanctions pour neutraliser le ralentissement d’internet imposé par les mollahs pour les empêcher de faire connaître leur mouvement et obtenir des aides pour atteindre leur objectif.

Les Iraniens ont adoré ce message et ont immédiatement renforcé leur hostilité au régime ! À Ispahan, des milliers d’agriculteurs ruinés par le régime ont montré qu’ils étaient prêts à se battre !

Trump espérait alors le même engagement anti-régime du côté de ses alliés. Les Saoudiens ont demandé un sommet arabo-américain au Camp David pour en finir avec le régime. Mais les Européens n’ont rien fait. Trump a alors remplacé son conseiller en sécurité Mac-Master par John Bolton pour insinuer qu’il pouvait préférer la guerre aux sanctions et se passer du soutien des Européens. Pour rester dans le jeu, ces derniers ont confirmé à contrecœur leur décision de sanctionner les mollahs. Les Russes ont profité de cette hésitation pour améliorer leur place dans le processus en promettant d’aider Bolton et en votant en faveur des pressions onusiennes sur les violations des droits de l’homme par les mollahs.

Les mollahs ont remis en cause l’appartenance des Arabes iraniens (réfugiés en Iran depuis des siècles et complètement assimilés) à la nation iranienne pour les inciter à renier cette appartenance et défiler avec des slogans indépendantistes pour la séparation de la région pétrolière de Khouzestan, où ils résident majoritairement, pour convaincre les Iraniens qu’ils provoqueraient l’éclatement de leur pays en continuant leur protestation. Mais les Arabes iraniens ont déçu les mollahs en affirmant leur identité iranienne et en renforçant leur contestation contre le régime !

La semaine dernière, du 23 au 30 mars 2018 | du 03 au 10 Farvardin 1397, les mollahs, déstabilisés par ces annonces et l’intensification de la contestation populaire, ont vite tenté conclure des accords avec le Turkménistan de l’Azerbaïdjan pour l’acheminement de leur pétrole et leur gaz vers l’Europe sans passer par la Russie qui s’enrichit à leurs dépens afin de détourner les Européens de Trump. Les Européens ont ralenti les démarches pour sanctionner les mollahs, mais le Turkménistan et l’Azerbaïdjan n’ont pas accepté, car ils allaient perdre de nombreux autres marchés. Les mollahs ont perdu tout intérêt aux yeux des Européens. Ces derniers ont annoncé qu’ils allaient sous peu définir leurs nouvelles sanctions contre les mollahs !

Les mollahs ont tenté d’envenimer les relations avec les Arabes iraniens pour les excéder, mais ces derniers ont durci davantage leur action anti-régime !

Le régime a basculé dans la panique, car sa fin lui semblait proche. La demande de l’or et du dollar a augmenté. Les dirigeants du régime ont alors augmenté le prix vente de ces deux produits pour empêcher leurs serviteurs d’en acheter et de fait garder les réserves du régime pour eux-mêmes (pour une fuite difficile en raison de leur isolement).

En fin de la semaine dernière, les mollahs, désespérés par leur conflit avec le monde, le peuple et leurs propres derniers serviteurs, ont tenté de faire reculer leurs ennemis étrangers en menaçant, via l’intervention du chef des Houthis sur une chaine française, d’augmenter leur aide balistique aux Houthis pour l’invasion de l’Arabie Saoudite. Les Saoudiens ont riposté via les médias russes en affirmant qu’ils avaient des missiles chinois capables de raser Téhéran. Les mollahs effrayés par cet axe inédit (Riyad-Moscou-Pékin) ont cessé de provoquer les Saoudiens.

Ils ont alors tenté d’agiter le Moyen-Orient et casser la coalition entre Israël et l’Arabie Saoudite en provoquant des confrontations lors de la marche palestinienne vers Gaza pour déclencher une intifada contre les Israéliens. Les dirigeants palestiniens ont tenté d’arrêter ces provocations, mais ils n’y sont pas arrivés. Les Israéliens ont riposté. Toutes les grandes puissances ont adopté une position neutre pour empêcher l’escalade souhaitée par les mollahs ! Ces derniers vaincus par l’esquive de tous les pays au monde n’ont pas prendre la défense des Palestiniens qu’ils avaient si bien manipulés !

Depuis, nous avons assisté à deux semaines d’efforts des mollahs pour provoquer une nouvelle crise régionale ou trouver un pays refuge. Ils n’y sont pas arrivés, mais ont augmenté le nombre et la détermination de leurs ennemis internationaux et iraniens. Leur isolement grandissant a permis à leurs ennemis de les attaquer sur de nombreux fronts. Voici le récit en images et l’analyse des efforts et terribles échecs des mollahs qui les ont peu à peu privés de toutes leurs armes.




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