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1 - 12.04.2009
Iran : La semaine en images n°60

Le principal événement de la semaine était sans conteste l’organisation de la Journée nationale de la technologie nucléaire à Ispahan, seconde ville d’Iran, une ville historique, ancienne capitale d’Iran, mais une ville dont le régime se fiche éperdument. Ispahan le lui a rendu en centuple en boycottant massivement sa visite.


1 - 21.05.2009
Iran-missile : Washington change d’approche !

Au lendemain de l’annonce par le président américain de vouloir poursuive le dialogue au moins jusqu’en 2010, Téhéran a répondu par une provocation en annonçant le tir d’un missile aux capacités nucléaires et d’une portée de 2000 Km.


1 - 13.06.2009
Iran : Ahmadinejad réélu avec 65% selon nos prévisions

Si l’on en croit les différents sites d’info en Iran, Ahmadinejad serait réélu haut la main avec le score que nous avions annoncé il y a une semaine sur ce site : plus de 65% des suffrages avec un taux de participation dépassant les 75 % !


1 - 12.03.2019
Semaine 575-576 (16/02/19-02/03/19)
Seuls sur leur radeau de la Méduse !

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansarallah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen, mais aussi via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs pour tous leurs méfaits. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (SPV) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs, menacés de toute part, ont tiré un missile potentiellement nucléarisable susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen. Ce choix a surtout décidé les pays concernés notamment les grandes puissances à adopter une attitude plus ferme à propos des mollahs. Ils ont mis fin à la guerre au Yémen et en Syrie pour obliger les mollahs à quitter ces pays. Les Européens ont aussi puni les mollahs en excluant le pétrole de leur dispositif à venir d’échanges démonétisés.

Les mollahs, certains qu’ils étaient perdus, ont relancé leur fausse opposition tout en accentuant leurs efforts pour déstabiliser la région. Assad menacé par ces actions, a laissé Israël les frapper et éliminer le chef de leur terrorisme Qassem Soleimani. Trump a aussi annoncé une grande réunion avec ses alliés européens et arabes à Varsovie pour mettre au point une action générale contre les mollahs au moment où ils devaient célébrer le 40e anniversaire de leur arrivée au pouvoir.

Les Anglais ont perturbé cette initiative en encourageant les Français et les Allemands à bouder la rencontre et à monter une rencontre parallèle avec les pays de la ligue arabe à Sharm El Sheikh pour défendre leurs intérêts. Mais ils ont souligné leur volonté de négocier leur alliance avec Trump en réduisant leurs échanges démonétisés à des produits de première nécessité à l’invraisemblable condition que les mollahs adhèrent au GAFI (FATF) et acceptent ses verdicts contre leur terrorisme !

La semaine dernière (09 au 16/02/19), avec l’émergence de ces menaces contre le régime, le 40e anniversaire de leur révolution islamique a été un fiasco et la réunion de Varsovie a été mieux que Trump pouvait espérer avec des rencontres de coordination entre les Saoudiens et autres pays de la ligue arabe avec les Israéliens, mais aussi en raison de la présence surprise des Anglais et des Allemands et des menaces en aparté des Français contre les mollahs !

Les mollahs ont alors éliminé 40 de leurs miliciens pour accuser les Saoudiens et neutraliser les alliances fondées à Varsovie et celles à venir à Sharm El Sheikh. Ils n’y sont pas arrivés. Ils ont tenté de déstabiliser la Syrie. Ils ont seulement réussi à fâcher Poutine et l’encourager à s’impliquer dans les alliances anti-mollahs par l’ouverture d’un dialogue avec les Européens en marge de la conférence sécuritaire de Munich et à inviter Netanyahou à Moscou au moment de la conférence de Sharm El Sheikh pour intégrer le réseau des alliances anti-mollahs !

Voici à présent, un récit compressé des deux semaines qui ont suivi et ont été marquées par de nouvelles alliances pour mettre les mollahs hors jeu et en quasi-embargo pour en venir à bout.


1 - 01.02.2009
Iran : La semaine en images n°50

Semaine de toutes les émotions en Iran : alors que le régime s’apprêtait à fêter le retour de Khomeiny en Iran à bord d’un avion d’Air France, l’Europe a radié les Moudjahiddines du Peuple de sa liste des groupes terroristes, provoquant une grosse colère à Téhéran. La semaine a été partagée entre évènements pro-Khomeiny et manifs anti Moudj.


1 - 19.11.2019
Iran : un soulèvement national (J+4)

Les Iraniens sont dans les rues et manifestent contre le régime. Toutes les vidéos d’hier (dimanche 17.11.19) et d’aujourd’hui lundi (18.11.19).


1 - 24.08.2020
Iran : sous le chantage terrible de ses amis EU3 !

Les mollahs sont dans une situation extrêmement grave en raison de la rébellion de leurs officiers de renseignements et leurs sabotages, mais aussi en raison d’une grève illimitée dans de nombreux secteurs d’activités notamment le pétrole et les transports ferroviaires et urbains, aussi en raison de l’échec de leur terrorisme et enfin, en raison des sanctions programmées par l’administration Trump en réponse à leur terrorisme et leur nucléaire opaque. Dans ce contexte très tendu, les mollahs ont affirmé qu’ils accepteraient la visite de leur site nucléaire pour clarifier leur position. Ce lundi (24 août 2020), le nouveau directeur argentin de l’AIEA doit rencontrer les responsables du régime pour en savoir plus.

Le point sur toutes les sources de tensions en Iran.
© IRAN-RESIST.ORG


1 - 16.10.2008
Iran-France : On a perdu le contrat avec Renault !

Dans le cadre de la crise nucléaire, Téhéran espère diviser les Six en attirant la France dans son camp. Il laisse entendre que la coopération française sera récompensée par une bienveillance des alliés libanais des mollahs à l’égard de la France, un atout indispensable pour assurer à ce pays un rôle régional au Moyen-Orient. Ce partenariat important pour les mollahs aura un coût pour les Iraniens.


1 - 08.10.2019
Semaines 606 (19-26 sept. 2019)
Les mollahs vaincus à l’ONU et en Iran
(carton jaune pour Macron,
carton rouge pour les mollahs)

© IRAN-RESIST. ORG

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansar-Allah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi aidé les Talibans et se sont mis à financer Daesh, abandonnés par Trump ! Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen et en Syrie. La Russie et la Syrie ont laissé l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto sous l’embargo financier souhaité Trump.

Les collaborateurs du régime ont paniqué. Ils ont commencé à vendre leurs bien pour partir avec leurs dollars. Les mollahs leur ont déclaré la guerre judiciaire via une soi-disant lutte anti-corruption. Puis ils ont tenté de relancer leur fausse opposition, pour les rassurer, mais les ont davantage inquiétés et ont encouragé leur rupture.

Début 2019, les mollahs ont eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte populaire en laissant le pays être ravagé par des inondations. La milice a complété le plan en empêchant les secours. La haine anti-régime s’est amplifiée.

Washington en a profité pour classer comme entité terroriste la milice qui gère tout au sein du régime. Le responsable du contre-espionnage de la milice est alors fui vers les États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer la chute du régime. La Russie s’est montrée favorable à un deal avec Trump pour renforcer Assad et sa propre position en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces liées aux mollahs.

Les mollahs ont alors capturé des pétroliers étrangers tout en affichant des ambitions balistiques, menaçant davantage l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux afin de terroriser ces derniers et les éloigner de Trump. Mais ils ont seulement réussi à les braquer et à rapprocher les Chinois des Arabes et de Trump ! Ce dernier en a profité pour sanctionner Zarif et la diplomatie terroriste des mollahs !

Le président français a profité de leur isolement grandissant et s’est proposé en médiateur en leur proposant 15 milliards de dollars contre leur participation aux nouvelles négociations souhaitées par Trump. Ils ont simulé une ouverture pour geler les sanctions et sortir de leur isolement. Mais Trump a refusé de céder.

Les mollahs se sont alors tournés vers Poutine, mais ce dernier a ostentatoirement montré son intérêt d’aider la Turquie pour se rapprocher de l’OTAN et d’aider Israël à les attaquer.

Les mollahs désespérés ont concrétisé leur chantage en ciblant deux sites pétroliers saoudiens avec l’aide de leurs miliciens basés en Irak toucnant gravement l’approvisonnement pétroliers des Occidetnaux et des Asiatiques.

Les Saoudiens et les Américains ont apporté des preuves que les mollahs étaient pleinement impliqués. Les Anglais ont aussi accusé les mollahs. Les Français ont fait état de leur préoccupation tout en continuant à draguer les mollahs pour profiter de la situation comme médiateur et ainsi avoir un bon deal commercial avec les États-Unis et les mollahs.

Les mollahs ont profité de cette intervention et ont sondé Macron en saluant l’attaque contre les Saoudiens. Les Français n’ont pas réagi, mais Washington a sévèrement puni les mollahs en sanctionnant davantage la Banque Centrale Iranienne (BCI) qui est avant tout leur banque et celle de leur terrorisme.

Tous devaient se retrouver cette semaine, à partir du mardi 24 septembre, à NY à l’occasion du 74e AG de l’ONU. Macron, à l’affûr d’un succès international, espérait parvenir à faire plier les mollahs qui étaient déstabilisés par des ouvriers qui avaient bloqué les transports ferroviaires et tout approvisionnement interne du pays pour pousser à une action générale contre le régime.

Les mollahs espéraient manipuler le président français pour obtenir un consensus favorable pour rassurer leurs proches et démoraliser les 99 % d’Iraniens qui espèrent un soutien international à leur envie de changement de régime.

Voici le récit en images d’une semaine de feintes et contre feintesp entre Macron et les mollahs qui a finalement profité à aucun, mais à ceux que les deux avaient oubliés.


1 - 21.10.2008
Iran - Etats-Unis : Conséquences de l’échec d’un plan d’entente

L’administration Bush n’est pas parvenue à arracher une entente aux mollahs avant le 4 novembre, pas plus que de faire rompre Assad avec le Hezbollah même en lui promettant la restitution du Golan. Les républicains avaient besoin de ces victoires pour rassurer leurs donateurs mais aussi pour aider leur candidat McCain. Si ce dernier préserve néanmoins ses chances en raison de son conservatisme, qualité appréciée des peuples en temps de crise, les échecs diplomatiques de l’administration Bush ont aussi une influence ambiguë sur la politique iranienne des Etats-Unis et aussi sur le régime lui-même.




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