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1 - 20.02.2019
Semaines 570-573 (12/01-08/02/19)
La guerre internationale pour les enjeux iraniens

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansarallah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais cette dualité diplomatique ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen, mais aussi via les Talibans en Afghanistan et via Daesh en Syrie. La Russie et la Syrie, excédées par cette ingérence contraire à leurs intérêts ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs pour tous leurs méfaits. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (SPV) avec les mollahs, les plaçant de facto dans l’embargo financier souhaité Trump.

Les mollahs menacés de toute part ont tiré un missile potentiellement nucléarisable susceptible de déstabiliser le Moyen-Orient et le bassin méditerranéen. Ce choix a surtout décidé les pays concernés notamment les grandes puissances à adopter une attitude plus ferme à propos des mollahs, leurs missiles aux objectifs terroristes. Ils ont mis fin à la guerre au Yémen et en Syrie pour obliger les mollahs à quitter ces pays. Les Européens ont aussi puni les mollahs en excluant le pétrole de leur dispositif à venir d’échanges démonétisés. Le prince Reza Pahlavi qui a le soutien du peuple iranien a pu enfin accéder à quelques médias américains.

Les mollahs, certains qu’ils étaient perdus, ont relancé leur fausse opposition avec de soi-disant étudiants se disant partisans des ouvriers grévistes en lutte contre le régime. Mais ils n’ont pas réussi à duper ces derniers ! La neige a aussi perturbé l’usage des images d’archives pour promouvoir leur pion et a aussi aggravé les pénuries existantes. Ils ont tenté de rebondir en perturbant les négociations de paix entre les responsables afghans et les talibans ! Ils ont échoué. Ils ont repris leurs diverses menaces contre Israël. Une frappe punitive israélienne a tué le commandant de leurs actions terroristes dans le Moyen-Orient !

Enfin de compte, les mollahs ont adopté la méthode Rafsandjnian en alternant du terrorisme et du faux apaisement en relançant la fausse opposition avec le soi-disant ouvrier gréviste Bakhshi ou en démarchant les Indiens avec une offre de gaz soldé et les Irakiens avec de l’eau à gogo pour obtenir leur soutien ou mettre la pression aux Européens.

Mais leur faux opposant n’a eu aucun soutien populaire. Les Indiens et les Irakiens ont refusé de les aider. Enfin, les Européens les ont punis par des sanctions en réaction à leur terrorisme ! Ces échecs ont paniqué les leurs. Les mollahs ont ouvert un procès de corruption visant tous leurs proches. Les mollahs sont revenus au terrorisme au Yémen ! Washington en a profité pour appeler à une conférence internationale au moment du 40e anniversaire de leur arrivée au pouvoir pour créer un front international hostile à leur encontre et mettre un terme à leur régime.

C’était il y a 4 dernières semaines. Voici le récit compressé de principaux évènements de cette période juste avant l’anniversaire de l’arrivée des mollahs au pouvoir et la conférence pour les en chasser. Quatre semaines d’efforts des mollahs pour éviter l’effondrement de leur régime, mais aussi 4 semaines d’échecs tous azimuts en raison de la résistance des Iraniens, des ruptures spectaculaires au sein du régime et enfin les efforts subtils et invisibles de tous des grandes puissances pour se débarrasser d’eux et préserver leurs intérêts après cette chute.


1 - 10.12.2005
El Baradei et les mensonges du programme nucléaire iranien

Le régime iranien n’a fait que gagner en audace depuis ce jour.


Par Kenneth R. TIMMERMAN,
auteur de « Countdown to Crisis : The Coming Nuclear Showdown with Iran » (Compte à rebours de crise : l’épreuve de force nucléaire avec l’Iran est proche) est le président du Middle East Data Project.


1 - 01.02.2006
L’Iran dispose d’un « manuel de cuisine » pour fabriquer des armes nucléaires

L’AIEA a annoncé que ses inspecteurs avaient vu des documents en Iran ayant trait à la fabrication de composants pour l’arme nucléaire et a confirmé que Téhéran avait bien commencé les recherches visant à enrichir l’uranium.


1 - 10.12.2005
Iran-Troïka : Une reprise de Pourparlers pour voir s’il y a lieu de préparer une Rencontre !

Les Européens et les mollahs comptent se rencontrer le 21 décembre ; Lordre du jour : « une reprise de pourparlers » pour voir s’il y a lieu de préparer une rencontre au niveau ministériel !


1 - 08.10.2019
Semaines 606 (19-26 sept. 2019)
Les mollahs vaincus à l’ONU et en Iran
(carton jaune pour Macron,
carton rouge pour les mollahs)

© IRAN-RESIST. ORG

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansar-Allah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi aidé les Talibans et se sont mis à financer Daesh, abandonnés par Trump ! Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen et en Syrie. La Russie et la Syrie ont laissé l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto sous l’embargo financier souhaité Trump.

Les collaborateurs du régime ont paniqué. Ils ont commencé à vendre leurs bien pour partir avec leurs dollars. Les mollahs leur ont déclaré la guerre judiciaire via une soi-disant lutte anti-corruption. Puis ils ont tenté de relancer leur fausse opposition, pour les rassurer, mais les ont davantage inquiétés et ont encouragé leur rupture.

Début 2019, les mollahs ont eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte populaire en laissant le pays être ravagé par des inondations. La milice a complété le plan en empêchant les secours. La haine anti-régime s’est amplifiée.

Washington en a profité pour classer comme entité terroriste la milice qui gère tout au sein du régime. Le responsable du contre-espionnage de la milice est alors fui vers les États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer la chute du régime. La Russie s’est montrée favorable à un deal avec Trump pour renforcer Assad et sa propre position en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces liées aux mollahs.

Les mollahs ont alors capturé des pétroliers étrangers tout en affichant des ambitions balistiques, menaçant davantage l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux afin de terroriser ces derniers et les éloigner de Trump. Mais ils ont seulement réussi à les braquer et à rapprocher les Chinois des Arabes et de Trump ! Ce dernier en a profité pour sanctionner Zarif et la diplomatie terroriste des mollahs !

Le président français a profité de leur isolement grandissant et s’est proposé en médiateur en leur proposant 15 milliards de dollars contre leur participation aux nouvelles négociations souhaitées par Trump. Ils ont simulé une ouverture pour geler les sanctions et sortir de leur isolement. Mais Trump a refusé de céder.

Les mollahs se sont alors tournés vers Poutine, mais ce dernier a ostentatoirement montré son intérêt d’aider la Turquie pour se rapprocher de l’OTAN et d’aider Israël à les attaquer.

Les mollahs désespérés ont concrétisé leur chantage en ciblant deux sites pétroliers saoudiens avec l’aide de leurs miliciens basés en Irak toucnant gravement l’approvisonnement pétroliers des Occidetnaux et des Asiatiques.

Les Saoudiens et les Américains ont apporté des preuves que les mollahs étaient pleinement impliqués. Les Anglais ont aussi accusé les mollahs. Les Français ont fait état de leur préoccupation tout en continuant à draguer les mollahs pour profiter de la situation comme médiateur et ainsi avoir un bon deal commercial avec les États-Unis et les mollahs.

Les mollahs ont profité de cette intervention et ont sondé Macron en saluant l’attaque contre les Saoudiens. Les Français n’ont pas réagi, mais Washington a sévèrement puni les mollahs en sanctionnant davantage la Banque Centrale Iranienne (BCI) qui est avant tout leur banque et celle de leur terrorisme.

Tous devaient se retrouver cette semaine, à partir du mardi 24 septembre, à NY à l’occasion du 74e AG de l’ONU. Macron, à l’affûr d’un succès international, espérait parvenir à faire plier les mollahs qui étaient déstabilisés par des ouvriers qui avaient bloqué les transports ferroviaires et tout approvisionnement interne du pays pour pousser à une action générale contre le régime.

Les mollahs espéraient manipuler le président français pour obtenir un consensus favorable pour rassurer leurs proches et démoraliser les 99 % d’Iraniens qui espèrent un soutien international à leur envie de changement de régime.

Voici le récit en images d’une semaine de feintes et contre feintesp entre Macron et les mollahs qui a finalement profité à aucun, mais à ceux que les deux avaient oubliés.


1 - 17.12.2005
Ahmadinejad : des représailles en cas de saisine

Ahmadinejad a promulgué une loi selon laquelle le pays pourrait se soustraire à un régime renforcé de contrôle de ses activités nucléaires et reprendre l’enrichissement d’uranium si son dossier est envoyé devant le Conseil de Sécurité de l’ONU.


1 - 22.12.2005
Les mollahs se disent Très Satisfaits de la reprise du dialogue avec l’UE

Le régime des mollahs s’est dit satisfait jeudi de la reprise du dialogue avec les Européens, sans avoir été contraint de revenir sur la reprise d’une partie de ses activités nucléaires ultrasensibles, même si les divergences sur le sujet rendent un compromis difficile.


1 - 03.01.2006
USA : L’Iran doit tenir parole et faire preuve de bonne foi

La Maison Blanche a affirmé mardi que l’Iran devait respecter ses engagements internationaux et faire preuve de « bonne foi » après l’annonce par la République islamique de son intention de reprendre la recherche sur la production de combustible nucléaire.


1 - 28.01.2006
L’Iran promet un accès à un site militaire lié au nucléaire

Le régime des mollahs a promis de laisser les inspecteurs de l’AIEA visiter l’ancien site militaire de Lavizan, ce qui, selon l’AIEA apparaît comme une concession de Téhéran. L’AIEA a déjà visité par le passé ce site dont les bâtiments ont disparu et les sols ont été arasés.


1 - 26.01.2006
L’UE « sceptique » sur l’acceptation par l’Iran du plan russe

La commissaire européenne aux Relations extérieures Benita Ferrero-Waldner s’est dite « plutôt sceptique » jeudi après que l’Iran s’est déclaré favorable à la proposition russe d’enrichir son uranium.




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