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1 - 25.03.2007
Iran – Grande-Bretagne : le Partenariat Subtil !

On pouvait lire dans un article écrit par le correspondant du Monde à Londres : « les relations, déjà difficiles, entre l’Iran et la Grande-Bretagne se sont encore tendues après la capture, vendredi 23 mars, dans le Chatt Al-Arab, de quinze marins britanniques par des hommes armés iraniens... »


1 - 22.09.2007
Iran : Alexandre Adler, vous êtes un menteur !

Dès que le régime des mollahs va mal, ses attachés de presse se mettent en branle. Hier ce fut le cas du menteur Yann Richard dans le Monde et aujourd’hui nous avons droit à Alexandre Adler [1].


1 - 12.09.2018
Semaine 549-550 :
La fortune des mollahs fait leur infortune

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski,, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition souhaitée par Trump et Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne. Il a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine et l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Il a enfin mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les députés privés de dollars ont accusé Rohani de corruption pour obtenir la baisse du dollar ! Des milliers de responsables politiques se sont enfuis avec les budgets à leur disposition !

Les mollahs ont alors attaqué 2 pétroliers saoudiens via les Houtihs pour provoquer une pénurie pétrolière. Mais ils n’ont pas pu intimider leurs interlocuteurs internationaux. Washington leur a envoyé 4 grands bâtiments de sa marine. Ils ont simulé une ouverture au dialogue, mais sans faire de vraies concessions. Trump a maintenu son cap ! Ils ont renoué avec le terrorisme pour intimider tous les alliés de Trump et l’isoler, mais leur choix les a seulement convaincus de ne pas s’opposer à ses sanctions. Ils ont ainsi été à l’origine de leur isolement à 100% !

La semaine dernière, les mollahs ont arrêté quelques affairistes pour calmer leur agitation tout en jouant avec l’adoption du statut de Lac pour la Caspienne afin de faire pression sur les Russes et les Anglais intéressés par les richesses pétrolières de cette région. Mais, ils n’ont pu gagner, car tous les autres États riverains avaient décidé de nationaliser la Caspienne et d’évincer les Anglais dans leur propre intérêt et celui des États-Unis.

Leur échec a démontré leur manque de vision et a intensifié les tensions au sein de leur régime. L’assassinat de l’un des chefs Pasdaran chargé d’une des régions les plus contestataires a augmenté la panique interne.

Les mollahs ont alors mis en avant leur fausse opposition pour canaliser la contestation du peuple dans la lutte contre les Russes (et leur statut pour la Caspienne) espérant ainsi canaliser le peuple et relancer les marchandages pour l’accès à la Caspienne afin de draguer les Européens ! Mais ces derniers ont choisi la Russie !

Les mollahs ont continué l’action de leur fausse opposition. Les chefs Pasdaran ont craint que cette ouverture poussive se fasse à leurs dépens. Ils ont organisé un rassemblement où ils ont menacé de mort Rohani et ses patrons ! Ces derniers ont cessé de mépriser les députés pour les empêcher de s’allier aux chefs Pasdaran. Mais en l’absence d’une annonce de baisse du prix du dollar, les députés ont continué à attaquer Rohani !

Cette semaine, les mollahs devaient se ressaisir, redéfinir des objectifs ou des approches pour contenir ou dominer leurs adversaires d’Iran et ailleurs avant mercredi, car leur incapacité à mobiliser alors pour la fête islamique de sacrifice pouvait accentuer la panique au sein de leur régime. Pressés de réussir vite, ils ont fait de très mauvais choix en sacrifiant la raison ! Voici le récit de ces choix et leurs terribles résultats !


1 - 02.04.2007
L’Iran et l’option militaire : Les lecteurs du Monde bernés !

Flynt Leverett, agent notoire du « Lobby des mollahs aux Etats-Unis » a été interviewé par le responsable politique du Monde. Sylvie Kauffmann a dressé un portrait élogieux de Flynt Leverett. Nous publions l’interview avec nos remarques.


1 - 09.02.2007
Laurent Murawiec : Frapper l’Iran ?

C’est bien tard : découvrir aujourd’hui que l’Iran est l’un des grands soutiens des insurrections irakiennes !


1 - 07.10.2009
Iran : Ahmadinejad juif, une rumeur boomerang

Depuis une semaine, une rumeur est sans cesse reprise par tous les médias virtuels : Ahmadinejad serait juif. Il s’agit d’une rumeur qui a été inventée par les mollahs eux-mêmes en Iran en janvier 2009 dans un but très précis. Elle a été reprise par le Daily Telegraph à l’identique et dans le même but. | Décodages |


1 - 02.02.2008
Iran, 1er février 1979 : Khomeiny et ses partisans démocrates

Cette fois, l’auteur de l’éphéméride du Nouvel Obs ne s’est pas trompé : le 1er février 1979, Khomeiny était rentré en Iran après 15 années d’exil. A son arrivée, il fit un discours sur l’illégalité du pouvoir du Chah , son discours rejoignait les exigences des démocrates longtemps qualifiés de laïques (Mossadegh, Bakhtiar…) qui exigeaient que le roi se soumette à la constitution de 1906 et au Parlement, les deux symboles de la limite du pouvoir absolu. La non-respect de la constitution de 1906 faisait du Chah un dictateur ! Mais ceux, iraniens, européens ou américains qui suivaient les avis des démocrates iraniens n’avaient sans doute jamais lu cette constitution, encore aujourd’hui présentée comme laïque. | Document choc |


1 - 07.03.2018
Semaine en images n°522 :
Le dernier anniversaire du régime !

Récemment, les mollahs avaient été accusés d’aider les terroristes Houthis et s’étaient retrouvés menacés d’être sanctionnés à l’issue des rencontres prévues entre m-ae américain et ses homologues d’EU3.

Les gens du régime avaient paniqué et avaient tenté de se débarrasser de leurs avoirs et acheter des dollars pour fuir... Le gouvernement désigné par le clergé avait alors tenté un deal avec Washington via les Kurdes puis un deal contre Washington avec l’aide des Français.

La France avait accepté la proposition en annonçant la visite de son m-ae à Téhéran dans l’espoir de marquer des points sur la scène internationale et aussi pour préserver ses contrats d’achats pétroliers bon marché avec les mollahs ! Mais sous la pression des Anglais et des Allemands, elle n’avait s’était alignée sur la position américaine en acceptant la formation d’un groupe pour réviser les contraintes imposées aux mollahs.

Le président français avait tenté de relancer son projet en formulant secrètement 3 pré-conditions à sa visite (la fin du programme balistique des mollahs, la fin de leur ingérence terroriste au Yémen et leur participation à une table ronde -comme ils l’avaient formulée eux-mêmes avec les Américains et les Saoudiens pour régler leurs différents). Les mollahs avaient gardé secrète la demande qui leur semblait humiliante et l’avait rejetée en affirmant que personne ne pouvait leur dicter leur conduite et qu’ils développeraient tous les missiles qu’ils voudraient. Mais ils n’avaient pas annulé le projet de la visite de Macron, espérant sans doute négocier un deal sur leur idée de la table ronde afin d’imposer leur ingérence comme un droit et pour sortir de leur isolement et mettre fin aux pressions économiques et humanitaires qui les condamnent même à court terme.

La semaine dernière, 03-10 Février 2018 (que nous avons analysée pour nos auditeurs en Iran, sans traduire nos conclusions en français), les cadres miliciens qui espèrent participer à la chute du régime pour sauver leur peau avaient d’emblée révélé les trois conditions humiliantes de Macron et l’absence d’annulation de son voyage pour souligner la détresse des mollahs et avaient réussi à provoquer une très grande panique. Le gouvernement avait dû augmenter le taux du dollar pour dissuader leur ruée vers le dollar, mais n’avait pu l’endiguer...


1 - 09.08.2019
Semaines 596-597 (13 au 27.07.2019)
Zinzin en Amériques

En 2016, les grands patrons américains qui dominent la politique des États-Unis ont renoncé à leur diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe, Brzezinski (sur un malicieux conseil de leur ennemi anglais Bernard Lewis), pour contrer les Chinois et la suprématie pétrolière mondiale des Anglais (!?), car cette stratégie avait produit des effets inverses. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate pour favoriser l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. L’Amérique a alors affiché une nouvelle diplomatie basée sur le rapprochement pétro et diplo avec la Russie pour contrer la suprématie pétrolière anglaise.

Les mollahs ont alors soutenu les Ansar-Allah et les Houthis de Yémen pour menacer la livraison de pétrole du golfe Persique via la mer Rouge et le canal de Suez. Ils ont aussi aidé les Talibans et se sont mis à financer Daesh, abandonnés par Trump ! Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais leur terrorisme ne leur a pas permis de réussir. Les mollahs ont manqué de dollar et n’ont pas pu approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 et leur ralliement au peuple pour demander la fin du régime et le retour de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs ont alors intensifié leur terrorisme au Yémen et en Syrie. La Russie et la Syrie ont laissé l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale pour se retirer de l’accord de Vienne et d’imposer de nouvelles sanctions aux mollahs. Les autres grandes puissances signataires de l’accord (devenues les 4+1) ont abondé en son sens en se disant en faveur d’échanges démonétisés (Instex) avec les mollahs, les plaçant de facto sous l’embargo financier souhaité Trump.

Les collaborateurs du régime ont paniqué. Ils ont commencé à vendre leurs bien pour partir avec leurs dollars. Les mollahs leur ont déclaré la guerre judiciaire via une soi-disant lutte anti-corruption. Puis ils ont tenté de relancer leur fausse opposition, pour les rassurer, mais les ont davantage inquiétés et ont encouragé leur rupture.

Début 2019, les mollahs ont eu la très mauvaise idée de désorganiser la lutte en laissant le pays être ravagé par des crues. La milice a complété le plan en empêchant les secours. La haine anti-régime s’est amplifiée.

Washington en a profité pour classer la milice du régime comme une entité terroriste. Le responsable du contre-espionnage de la milice est alors parti aux aux États-Unis avec de précieuses informations pour accélérer la chute du régime.

La Russie a accepté de rencontrer les MAE américain et israélien en vue d’un deal en faveur d’Assad et sa propre présence en Syrie en échange de l’éviction de toutes les forces liées aux mollahs.

Les mollahs ont commencé à menacer l’approvisionnement pétrolier des Occidentaux en tirant sur les installations pétrolières arabes. Ils ont seulement réussi à rapprocher les Chinois des Arabes et de Trump !

Les mollahs ont alors commencé à provoquer l’US Navy pour que le risque d’une nouvelle guerre isole Trump. Mais Trump l’a évité tout en intensifiant ses sanctions à leur égard.

Ils ont violé un peu les termes de l’accord sur leur nucléaire, menançant le rôle régional qu’offre l’accord aux Européens, dans l’espoir qu’ils reculent, mais ils ont seulement réussi à les rapprocher des Arabes et de Trump. Les Français ont en vain tenté de raisonner les mollahs.

Les mollahs dépités par ces echecs, mais aussi l’agitation de leurs proches et aussi des nombreuses manifestation hostiles à leur régime ont enfin qui accentuent leurs problèmes internes ont eu l’idée folle de capturer un cargo pétrolier américain pour déstabiliser les grandes compagnies pétrolières afin qu’ils forcent Trump à reculer ! Mais ils ont échoué.

Les Anglais qui espèrent empêcher l’alliance américano-russe, ont ’’vengé’’ les Américains en capturant un cargo pétrolier des mollahs aux larges de Gibraltar.

Les mollahs ont annoncé le départ de leur MAE à NY et à Vénézuela puis Nicaragua et Bolivie pour y défier Trump et y trouver des alliés anti-américains ou encore des interlocuteurs américains. Ils n’ont pas réussi. Ils ont été confronté à de plus forts remous. Voici le récit de ce voyage plein d’espoirs qui a fini en bad trip !


1 - 22.03.2020
Iran-France : Prises d’otages et relations inavouables !

Selon l’AFP et Malbrunot du Figaro, la France a pu obtenir la libération de l’un de ses deux chercheurs français détenus par les mollahs en échange de la libération d’un de leurs agents détenus en France et réclamé par Trump. L’annonce nous est parue très soft, car il a été omis de signaler que cela rappelait les prises d’otages des mollahs via le Hezbollah dans les années 80. L’AFP a aussi oublié d’évoquer les circonstances de la prise d’otages de deux Français par les mollahs. Il s’agit plutôt d’un long bras de fer entre Macron et les mollahs avec des objectifs souvent inavouables. Voici le récit de ces péripéties inavouables d’après nos archives.




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