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1 - 15.11.2009
Iran : La semaine en images n°91

Cette semaine, le monde n’en a pas fini d’attendre la réponse des mollahs à l’offre américaine d’un échange de leur stock d’uranium enrichi contre du combustible nucléaire franco-russe. Au lieu de les punir pour cette attitude, Washington met un point d’honneur à les choyer : cette semaine, il a demandé à son allié turc de donner une place de choix à Ahmadinejad pendant la conférence économique des pays musulmans. Pour continuer ces manœuvres qui lui donne l’occasion de fanfaronner, le régime des mollahs prétend qu’une réponse est impossible en raison d’une querelle entre le président de la république Ahmadinejad et le président de l’Assemblée Larijani. Les images nous racontent une autre histoire.


1 - 16.11.2009
Iran : Obama s’accorde un round supplémentaire

Au cours des semaines passées, sans refuser l’offre américaine d’un échange de son stock d’uranium faiblement enrichi contre du combustible franco-russe, Téhéran a remis en cause toutes ses clauses : les quantités échangées, les pays fournisseurs et même les solutions de rechange. Washington, qui avait conçu ce plan pour parvenir à une entente avec Téhéran, fait semblant que ce dernier n’a pas de facto rejeté son offre.


1 - 16.11.2009
Iran : Obama goes one more round

During the last weeks without going as far as refusing the American offer of a uranium stock exchange for Franco-Russian fuel rods, Tehran has questioned every single clause of the agreement : the quantity of uranium to be exchanged, the supplying countries and even the exchange solutions. Washington having conceived this agreement in order to reach an entente with Tehran continues to pretend that Tehran has not rejected its plan de facto.


1 - 22.11.2009
Iran : La semaine en images n°92

Encore une fois, l’actualité internationale de l’Iran promettait d’être riche. On attendait la réponse des mollahs à l’offre de compromis des Six, le rapport de l’AIEA et enfin une réunion des Six sur ces deux sujets. Pour obtenir le oui des mollahs, de nombreuses médiations ont été organisées via les alliés régionaux des Etats-Unis : Inde, Turquie, Kuwait. On a même invité la femme d’Ahmadinejad à Rome pour le sommet des épouses des chefs d’Etats non alignés en la flattant au maximum sur la pertinence de son intervention ! Finalement, il ne s’est rien passé de palpitant car finalement les mollahs ont encore dit non à l’offre des Six, avant d’annoncer des manœuvres aériennes pour montrer qu’ils seraient prêts à toutes les éventualités (nous verrons les images de ces manoeuvres la semaine prochaine). En attendant, encore une fois, le présent numéro de la semaine en images vous promène dans cette actualité cocasse et peut même montrer que Téhéran n’est pas prêt à toutes les éventualités.


1 - 25.11.2009
Iran : Les Six encouragent le refus des mollahs

En octobre dernier, pour échapper à l’adoption de nouvelles sanctions américaines, le régime des mollahs a accepté un projet de compromis qui lui avait été soumis en avril dernier par les Américains d’échanger de ses réserves d’uranium faiblement enrichi contre du combustible nucléaire franco-russe. Il s’agissait d’une reculade tactique iranienne, quand les Américains ont suspendu l’adoption de nouvelles sanctions, Téhéran s’est mis en action pour faire capoter l’accord sans pour autant le refuser ouvertement de peur de faire réactiver la menace de nouvelles sanctions. Depuis chaque jour, il dit une chose et son contraire.


1 - 02.12.2009
Iran : Vers un changement nuancé de la politique nucléaire

Téhéran espérait entraîner les Etats-Unis dans une crise aiguë avec l’annonce provocatrice de la construction de 10 centres supplémentaires d’enrichissement nucléaire pour faire reculer les Etats-Unis par peur d’un conflit. Sous Bush, on aurait peut-être assisté à une escalade, mais présentement, il ne s’est rien passé. Obama n’a fait aucune déclaration forte : il a évoqué une possibilité de renforcement des sanctions avant d’appeler à la poursuite du dialogue en parallèle avec les sanctions déjà en place. Cette réaction a jeté un froid sur les ardeurs provocatrices de nos mollahs qui peinent à trouver la bonne réplique. Auraient-ils été déçus au point de renoncer à leur politique de provocations délibérées ? Pour le savoir, il faut passer en revue l’historique des relations chaotiques entre Téhéran et Washington.


1 - 04.12.2009
Iran : Petit aperçu de l’année 2010

Le porte-parole de la Maison-Blanche, Robert Gibbs, a rappelé jeudi qu’il restait « jusqu’à fin 2009 à l’Iran pour répondre favorablement à la proposition de transférer 75% de l’uranium iranien faiblement enrichi en Russie puis en France afin qu’il y soit converti en combustible nucléaire ». Téhéran n’a rien répondu car il a la certitude qu’il n’y aura aucune sanction car cela irait à l’encontre des intérêts même des Etats-Unis.


1 - 09.12.2009
Iran : Le chant lancinant d’Obama et les paillassons

Hier, à Washington, le 1ier ministre turc Erdogan dont le pays siège au Conseil de Sécurité jusqu’à fin 2010 s’est dit opposé à de nouvelles sanctions contre l’Iran. Obama a affirmé qu’il avait échoué à le convaincre, insinuant ainsi son impuissance à imposer de nouvelles sanctions qu’il avait promises pour le 1ier janvier 2010 en cas d’échec de la diplomatie. L’argument est faux car il avait promis des sanctions unilatérales américaines qui ne demandent aucune autorisation d’un pays allié. Washington cherche des excuses. |Décodages|


1 - 22.08.2018
Semaine 547 : La logique de la panique !

En 2016, Washington a renoncé à sa diplomatie islamiste conçue par le géopoliticien russophobe et sinophobe Brzezinski, car elle avait produit des troubles géopolitiques graves contraires à ses intérêts pétroliers. Ce changement diplomatique a été concrétisé par la mise à l’écart de l’Establishment républicain et démocrate, en place depuis 1973, par des révélations pénalisant son candidat Hillary Clinton pour aider l’élection de Trump qui n’en faisait pas partie. Les États arabes ont enfin été autorisés à évoquer le terrorisme des mollahs !

Les mollahs ont alors soutenu les Houthis. Ils ont aussi essayé de liguer les Européens contre Trump en leur vendant du pétrole très bon marché et en leur achetant tous leurs surplus non vendus. Mais les Européens n’ont pu les sauver en raison de leur terrorisme. Les mollahs se sont retrouvés incapables d’approvisionner leur marché intérieur. Ils ont annulé les comptes d’épargne de leurs miliciens de base pour limiter leur pouvoir d’achat et éviter une pénurie généralisée. Ce geste a entraîné la rupture de ces derniers en novembre 2017 ! Ces miliciens se sont ralliés au peuple pour demander la fin du régime et le rétablissement de la monarchie progressiste des Pahlavi.

Les mollahs fragilisés en Iran ont alors intensifié le terrorisme en Syrie contre les Américains et les Israéliens pour diviser la coalition russo-américaine souhaitée par Trump et par Poutine. Ils ont excédé la Russie et la Syrie. Ces deux États ont laissé les troupes de l’OTAN bombarder le centre de commandement du terrorisme des mollahs situé à Al Qisa près de Damas, privant ces derniers de tout moyen terroriste pour assurer leur survie par le chaos.

Trump a profité de cette unité internationale implicite contre le terrorisme des mollahs pour se retirer de l’accord de Vienne afin d’annoncer de nouvelles sanctionner contre les mollahs. Trump a aussi encouragé l’alliance pétrolière de Poutine avec l’OPEP pour priver les mollahs d’un possible chantage pétrolier. Enfin, dernièrement, à 3 semaines de ses nouvelles sanctions, Trump a mis un terme à la capacité de nuisance terroriste des mollahs au Moyen-Orient et en Europe en obtenant leur expulsion de la Syrie en échange de la reconnaissance de la souveraineté d’Assad et le droit de Poutine à préserver des bases en Syrie.

Tous les gens du régime ont paniqué et se sont mis à acheter des dollars et des pièces d’or pour quitter le pays. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont bloqué ces achats en augmentant les prix de ces produits pour les garder pour eux-mêmes. Les miliciens dissidents ont révélé la fuite de 1700 responsables ! Une explosion dans une importante base tactique du régime a signalé que les miliciens de base étaient en pleine insurrection ! Les opposants ont alors annoncé des actions de plus en plus fortes et continuelles pour profiter de la déroute internationale du régime !

Il y a deux semaines, à 2 semaines des sanctions, le M-AE de Trump a apporté son soutien à l’opposition du peuple iranien. Les mollahs, menacés de toute part, ont attaqué 2 pétroliers saoudiens pour insinuer la capacité de provoquer une pénurie pétrolière, mais ils n’ont pas provoqué la panique qu’ils souhaitaient. Washington a riposté en leur envoyant 4 grands bâtiments de sa marine. Les mollahs ont alors simulé une ouverture au dialogue afin d’échapper aux sanctions et aux tensions internes qui les déstabilisent. Trump a exigé des preuves par une ouverture aux attentes du peuple iranien. Ils n’en ont montré aucun et n’ont pu continuer leur plan.

La semaine dernière, une semaine avant les sanctions, les mollahs ont inclus des menaces dans leur fausse ouverture pour imposer celle-ci ! Ils ont échoué ! Ils ont fait appel à leurs terroristes de Daesh et n’ont pas réussi à intimider les Occidentaux. Ils ont à nouveau simulé l’apaisement au moment d’un sommet Est-Ouest à Singapour ! Les Chinois n’y ont signé aucun contrat avec eux ! Les Allemands les ont punis en gelant leurs avoirs ! Les Anglais les ont exposés à une saisie d’avoirs et à davantage de sanctions en annonçant la saisie de pièces pour le développement des missiles nucléaires. Et leur soutien aux auteurs de l’attentat du 11 septembre 2001.

Vendredi dernier, après ces très mauvaises nouvelles, les mollahs ont sondé leurs associés à propos de l’ouverture pragmatique des négociations avec Trump par une lettre ouverte du député Motaharri (beau-frère d’Ali Larijani) aux chefs Pasdaran, leur interdisant d’outrepasser leur neutralité pour s’opposer à cette décision nécessaire à la survie du régime de Tutelle du Guide Suprême !

Les chefs Pasdaran n’ont pas réagi. On a compris qu’ils étaient d’accord pour les négociations avec Trump pour retarder ses sanctions et aussi celles des Allemands et les Anglais ! Mais il n’y a eu aucune réponse de la part de Trump, car il n’y avait aucun geste d’apaisement du côté des mollahs & associés. Il était clair qu’ils ne voulaient pas déposer les armes, mais trouver un deal pour éviter les tribunaux iraniens ou internationaux ou gagner du temps pour fuir vers une destination secrète avec tous les trésors du régime ! Les députés révoltés par cet égoïsme des mollahs leur ont déclaré la guerre en s’attaquant aux bilans de leur président et la presque totalité de ses ministres !

Cette semaine, Trump devait mettre en application ses sanctions. Les mollahs étaient confrontés à des sanctions inattendues, à la colère du peuple et au désaveu de leurs collaborateurs et redoutaient le pire ! Ils ont tenté de se préserver en faisant de belles promesses au peuple qui veut leur disparition, à leurs collaborateurs et à certains de leurs adversaires internationaux. Ces initiatives n’ont pas réussi à éviter la crise qu’ils redoutaient. Voici le récit d’une semaine trépidante pour expliquer leur échec, et pourquoi cela continuera !


1 - 10.10.2009
Iran : l’Etat est en rupture de paiements

L’Iran dépend grandement du carburant importé pour ses besoins énergétiques et cette dépendance donne un moyen supplémentaire de pression aux Américains. Alors que l’on parle de plus en plus d’embargo, pour rassurer les consommateurs le ministre du pétrole du régime a évoqué une importante capacité d’approvisionnement.




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