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1 - 26.11.2017
Semaine en images n°508 :
Hariri rira bien le dernier !

En cette année 2017, les mollahs-agitateurs, qui avaient été menacés par l’arrivée de Trump et la fin du projet islamiste du réseau Brzezinski pour le Moyen-Orient et l’Asie Centrale, avaient très vite renoué avec le terrorisme notamment en Syrie pour intimider les Arabes et les Occidentaux et les empêcher de se rallier à Trump. Ce choix leur avait valu un nouvel avis négatif du GAFI (FATF). Il avait aussi rapproché Trump et Poutine pour engendrer une alliance Est-Ouest afin de pacifier le sud de la Syrie (où se trouvent Damas et la frontière sensible avec Israël), privant les mollahs d’une zone indispensable pour leur nuisance vitale pour leur survie. La Chine, les G20 et la France avaient vite rejoint cette alliance pour la stabilité du Moyen-Orient.

Les mollahs avaient tenté de rebondir grâce au terrorisme du réseau Haqqani, agent des Talibans et d’Al Qaeda en Afghanistan et au Pakistan. Trump avait profité de ce choix pour souligner leurs liens avec toutes les formes du terrorisme islamique. L’opposition interne avait eu le courage d’attaquer les mollahs ! Certains experts du réseau Brzezinski avaient quitté ce réseau ! Les ténors de ce réseau étaient obligés de sanctionner les mollahs, mais avaient aussi pénalisé Poutine pour nuire à Trump.

Les Anglais, protecteurs initiaux des mollahs, adversaires pétroliers des États-Unis et de fait exclus des plans Est-Ouest de Trump, avaient tenté de séduire ce dernier en lui proposant de contourner cette nuisance américaine en renforçant ses liens avec les autres grandes puissances pour contrer les mollahs par l’inspection de leurs bases militaires selon la section T de l’accord de Vienne. Trump avait complété cette démarche en impliquant les grandes puissances dans son projet contre les mollahs par la résolution 2370 du CS de l’ONU pour combattre le terrorisme islamique.

Au début du mois de septembre (2017), les tirs de missiles de la Corée du Nord, qui est le principal partenaire balistique des mollahs, avaient justifié la nécessité de vigilance à l’égard de leurs missiles. Ces derniers avaient aggravé leur cas en misant sur la déstabilisation de la Syrie et avaient seulement engendré une coalition hostile Franco-Américano-Russe. Cette hostilité commune avait été confirmée lors des discours de la 72e AG de l’ONU.

Les mollahs avaient tenté d’intimider davantage ces grandes puissances en prétendant d’avoir réussi le test d’un missile longue-portée susceptible de porter une tête nucléaire. Ils avaient tenté de les forcer à reculer en provoquant une guerre entre les États-Unis la Russie en éliminant un général russe dans une zone américaine ou en provoquant une guerre régionale entre le Kurdistan Irakien et l’Irak, mais ils avaient échoué et tout le monde avait compris leur extrême nuisance.

Trump avait alors annoncé une nouvelle diplomatie pour l’Iran avec de nouvelles sanctions contre les mollahs terroristes et agitateurs et de l’aide au peuple pour les faire faire chuter. Les Européens avaient vite adhéré officiellement à cette ligne. Les Chinois l’avaient validée par leur silence. Les Russes avaient insisté sur une action commune pour profiter pleinement d’un changement du régime en Iran.

Trump avait continué à alors renforcer sa coalition anti-mollahs en rapprochant les Irakiens et les Saoudiens pour générer un axe chiite-sunnite contre les mollahs. Trump avait aussi rallié le Pakistan à ses attaques aériennes sur les bases du réseau Haqqani. Il avait enfin validé implicitement le maintien d’Assad pour l’aider à couper les ponts avec les mollahs. Il devait consolider sa coalition dans une tournée prochaine en Asie, en Chine et en Russie.

La semaine dernière (28 Oct-3 Nov. 2017/5-12 Abân 1396), avant que ne débute cette tournée, Trump avait annoncé la mise en application de nouvelles sanctions et des négociations avec ses partenaires européens pour de nouvelles sanctions contre les mollahs...


1 - 11.01.2009
Iran : La semaine en images n°47

L’événement public de la semaine en Iran a été Achoura ou la commémoration de la mort d’Hussein, le troisième imam des chiites, lors de la Bataille de Karbala. Pendant cette période, les croyants se promènent en procession (Dasté) dans leur quartier, se frappant la poitrine avec leurs mains, le dos avec des chaînes ou le crâne avec des lames acérées. On organise aussi des représentations costumées de cette bataille. Le régime a cherché d’exploiter les rassemblements de fidèles en lançant le slogan Gaza est le Karbala d’aujourd’hui. Les photos montrent que le régime a échoué.


1 - 12.10.2020
Iran : Shajarian, le mauvais bluff !

Depuis une semaine, le régime est face à un tsunami de pénuries alimentaires grandissantes de jour en jour, car à l’appel du prince Reza Pahlavi, les routiers ont rejoint la contestation populaire en bloquant le principal accès du régime vers le Kurdistan irakien, son dernier fournisseur de produits alimentaires et de médicaments. Les Iraniens ont aussi suivi la directive du prince en manifestant massivement contre le régime au prétexte de la célébration d’une victoire sportive internationale. L’appel a aussi été entendu au sein de l’opposition anti-mollahs, mais aussi anti-Pahlavi. Les policiers invités à se joindre la lutte ont aussi répondu présents. Le régime a décidé de raviver sa fausse opposition en instrumentalisant la mort du chanteur Shajarian qui en faisait partie. Mais il a échoué et son bluff a entraîné des conséquences inattendues !


1 - 24.09.2017
Iran : La semaine en images n°495
Une investiture sous de bien mauvais augures

Dès le début de cette année 2017, les mollahs-agitateurs, qui étaient menacés par l’arrivée de Trump et la fin du projet islamiste du réseau Brzezinski, avaient renoué avec le terrorisme pour intimider ou désorganiser la région et empêcher Trump de créer une coalition globale à leur encontre. Mais, Trump et Poutine avaient bloqué leur élan en refusant d’admettre leur rôle dans ces attentats tout en les punissant en se rapprochant davantage en Syrie ou par un nouvel avis négatif du GAFI (FATF).

Le réseau Brzezinski, réduit à une influence médiatique et une nuisance parlementaire certaine pour diaboliser la Russie et toute alliance avec elle. Mais le rapprochement hors du commun entre Trump et Poutine avait finalement eu lieu en donnant naissance à une alliance Est-Ouest et un cessez-le-feu inattendu dans le sud de la Syrie (où se trouvent Damas et la frontière sensible avec Israël), privant les mollahs d’une zone indispensable pour leur nuisance vitale pour leur survie. La Chine, les G20 et la France avaient rejoint cette alliance à différents degrés. Les mollahs avaient tenté de rebondir grâce au terrorisme du réseau Haqqani. Washington avait profité de ce choix pour souligner leurs liens avec toutes les formes du terrorisme islamique. Ce constat avait mis fin à toute possibilité pour les mollahs de trouver un arrangement pour s’assurer une fuite sécurisée hors du pays.

La condamnation sans appel des mollahs avaient galvanisé les opposants internes. On avait assisté à 2 agressions remarquables des responsables du régime. Les experts de l’institut Aspen (du réseau Brzezinski) avaient cessé de justifier le dialogue avec les mollahs afin de ne pas couler avec les politiciens de leur réseau et avaient révélé les liens autorisés par ces derniers entre les mollahs et 33 grandes universités américaines ainsi que 3 fondations, dont celle des Clinton.

Les politiciens du réseau se voyant en danger avaient décidé de voter des sanctions contre les mollahs, mais en incluant un lourd volet russe pour empêcher Trump d’utiliser ces mesures pour renverser les mollahs et parachever son alliance Est-Ouest avec Poutine. Trump avait annoncé le remplacement des sanctions par l’inspection des bases militaires par l’AIEA, pour avancer avec ses alliés internationaux contre ses ennemis américains qui oeuvraient aussi pour les mollahs.

La semaine dernière (28 juillet-4 Août 2017 / 6-13 Mordad1396), les mollahs, désespérés par cette trouvaille de l’administration Trump, avaient renoué avec le terrorisme avec l’aide du réseau afghan Haqqani, mais ils n’avaient pas pu s’inviter dans le dernier conflit israélo-palestinien pour l’accès à la mosquée Al Aqsa. Ils avaient alors opté pour une résistance pacifique via l’OCI, mais ils n’avaient pas trouvé la formule pour cette approche très loin de leur habitude et leur échec avait davantage accentué la panique de leurs proches.

L’administration Trump avait posé un obstacle infranchissable à l’émigration des Iraniens (c.-à-d. la fuite des gens du régime de l’Iran) en leur demandant des justificatifs sur le passé et leur navigation internet sur 5 ans.

Les mollahs avaient alors bloqué les comptes bancaires de leurs proches pour contrarier les projets de fuite afin de rendre inutile leur trahison. Puis ils avaient tenté de se consolider la cérémonie de la validation du résultat des élections par leur chef, le Guide suprême de la révolution islamique !

Trump avait accentué son hostilité à leur égard en associant les autres grandes puissances à ses actions par une nouvelle résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU contre le terrorisme islamique.

Les mollahs avaient alors changé de discours lors de la cérémonie de la validation de l’élection de leur pion, se montrant très bienveillants vis-à-vis du peuple en demandant de manière très opportuniste à leurs fidèles de ne guère contrarier ses attentes. Leurs collaborateurs avaient compris que les mollahs allaient les livrer au peuple pour obtenir leurs visas de sortie vers des pays d’accueil.

Un ancien négociateur nucléaire avait pris ses distances avec les mollahs en les accusant de corruption et en se posant comme l’avocat des pauvres kurdes contraints au larcin qu’ils condamnent sans pitié.

Les mollahs avaient alors continué leur virage en annonçant un certain Nahavandian, ex-patron de la chambre de commerce de Téhéran, comme futur ministre de l’Économie pour insinuer une braderie de toutes les richesses iraniennes pour se lancer dans un marathon de marchandages en vue d’obtention des visas auprès des représentants des pays étrangers qui devaient arriver dès le lendemain pour la cérémonie de l’investiture de Rohani qui devait avoir lieu le surlendemain (samedi) à 17h au Parlement iranien.


1 - 27.02.2009
Iran : Selon Washington, 89 % des Iraniens ne veulent pas de Khatami

La chaîne télévisée de langue persane Voice of America (VOA), très regardée en Iran, a effectué la semaine dernière un sondage sur un large échantillon d’Iraniens : 89 % ne veulent pas d’un troisième mandat de Mohammad Khatami.


1 - 20.02.2009
IRAN : THE AEIA REPORT LEAVES THE MULLAHS SPEECHLESS !

© IRAN-RESIST.ORG – Feb 20 2009 | Mohammad El Baradai edited his new report regarding the nuclear activities of Iran. According to him, Iran is trying to acquire the technology accessing the atomic weapon in order to “send a message” but not necessarily to “manufacture nuclear weapons”. | Decoding of this unreleased declaration |


1 - 14.03.2009
Afghanistan : L’Iran donne son accord avant de nier - Décodages

Il y a quelques jours, Hillary Clinton évoquait l’opportunité d’une participation iranienne à la prochaine conférence internationale sur l’Afghanistan. Après avoir refusé de répondre à cette suggestion ainsi qu’aux initiatives de médiation turque ou pakistanaise, Téhéran a soudainement annoncé sa participation avant de démentir 24 heures plus tard car il n’a pas obtenu l’effet qu’il désirait après l’annonce de son accord. | Décodages |


1 - 02.02.2008
IRAN, 1ST FEBRUARY 1979 : KHOMEINI AND HIS DEMOCRAT SUPPORTERS

© IRAN-RESIST.ORG – Feb 02 2008 | This time, the author of the Nouvel Obs block calendar didn’t mistake : on the 1st February 1979, Khomeini entered in Iran after 15 years of exile. At his arrival, he made a speech on the illegality of the Shah’s power. His speech was matching with the expectations of the democrats who were for long time described as laic (Mossadegh, Bakhtiar…) and who demanded that the king submits to the 1906 constitution and to the Parliament, two symbols of the limits of the absolute power. The non respect of the 1906 constitution made the Shah a dictator ! However the Iranian, European or American ones who followed the opinions of the Iranian democrats probably never read this constitution that is still presented as a laic one.
| Shocking Document |


1 - 31.03.2009
G20 - Obama : Ce que lui dira Medvedev sur l’Iran

Depuis son installation à la Maison-blanche, Obama a tendu la main aux mollahs à plusieurs reprises. Suite à leurs refus, il a à deux reprises alourdi les sanctions à leur encontre. Le sujet de l’augmentation des sanctions reste donc très actuel pour Washington, mais aussi pour les adversaires de cette politique : en première ligne la Russie dont le président rencontrera bientôt Obama à Londres en marge du sommet des G20.


1 - 11.04.2009
Iran : 3 pendaisons contre les Six !

Le régime des mollahs a pendu hier matin dans prison de la ville de Shiraz trois hommes accusés d’avoir commis un attentat contre une salle de prière en avril 2008. Ces 3 pendaisons qui portent à au moins 89 le nombre des exécutions depuis le 1er janvier 2009 est en fait liée à la crise nucléaire, puisque le régime accusait les trois hommes d’être des agents britanniques : Téhéran cherche un prétexte pour refuser la dernière offre de dialogue des Six.




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