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1 - 22.11.2017
Semaine en images n°507 :
The Mollahs Suicide !

En cette année 2017, les mollahs-agitateurs, qui avaient été menacés par l’arrivée de Trump et la fin du projet islamiste du réseau Brzezinski, avaient très vite renoué avec le terrorisme notamment en Syrie pour intimider les Arabes et les Occidentaux et les empêcher de se rallier à Trump. Ce choix leur avait valu un nouvel avis négatif du GAFI (FATF). Il avait aussi rapproché Trump et Poutine pour engendrer une alliance Est-Ouest afin de pacifier le sud de la Syrie (où se trouvent Damas et la frontière sensible avec Israël), privant les mollahs d’une zone indispensable pour leur nuisance vitale pour leur survie. La Chine, les G20 et la France avaient vite rejoint cette alliance pour la stabilité du Moyen-Orient.

Les mollahs avaient tenté de rebondir grâce au terrorisme du réseau Haqqani, agent des Talibans et d’Al Qaeda en Afghanistan et au Pakistan. Trump avait profité de ce choix pour souligner leurs liens avec toutes les formes du terrorisme islamique. L’opposition interne avait eu le courage d’attaquer les mollahs ! Certains experts du réseau Brzezinski avaient quitté ce réseau ! Les ténors de ce réseau étaient obligés de sanctionner les mollahs, mais avaient aussi pénalisé Poutine pour nuire à Trump.

Les Anglais, protecteurs initiaux des mollahs, adversaires pétroliers des États-Unis et de fait exclus des plans Est-Ouest de Trump, avaient tenté de séduire ce dernier en lui proposant de contourner cette nuisance américaine en renforçant ses liens avec les autres grandes puissances pour contrer les mollahs par l’inspection de leurs bases militaires selon la section T de l’accord de Vienne. Trump avait complété cette démarche en impliquant les grandes puissances dans son projet contre les mollahs par la résolution 2370 du CS de l’ONU pour combattre le terrorisme islamique.

Au début du mois de septembre (2017), les tirs de missiles de la Corée du Nord, qui est le principal partenaire balistique des mollahs, avaient justifié la nécessité de vigilance à l’égard de leurs missiles. Ces derniers avaient aggravé leur cas en misant sur la déstabilisation de la Syrie et avaient seulement engendré une coalition hostile Franco-Américano-Russe. Cette hostilité commune avait été confirmée lors des discours de la 72e AG de l’ONU.

Les mollahs avaient tenté d’intimider ces grandes puissances en prétendant d’avoir réussi le test d’un missile longue-portée susceptible de porter une tête nucléaire. Ils avaient aussi tenté de les forcer à reculer en provoquant une guerre entre les États-Unis la Russie en éliminant un général russe dans une zone américaine ou en provoquant une guerre régionale entre le Kurdistan Irakien et l’Irak, mais ils avaient échoué et tout le monde avait compris leur extrême nuisance.

Trump avait alors annoncé une nouvelle diplomatie pour l’Iran avec des nouvelles sanctions contre les mollahs terroristes et agitateurs et de l’aide au peuple pour les faire faire chuter. Les Européens avaient vite adhéré officiellement à cette ligne. Les Chinois l’avaient validée par leur silence. Les Russes avaient insisté sur une action commune pour profiter pleinement d’un changement du régime en Iran.

La semaine dernière (20-28 Oct. 2017/ 28 Mehr - 5 Abân 1396) Trump avait réussi à rapprocher les Irakiens et les Saoudiens pour générer un axe chiite-sunnite anti-mollahs. Trump avait aussi rallié le Pakistan à ses attaques aériennes sur les bases du réseau Haqqani. Il avait enfin validé implicitement le maintien d’Assad pour l’aider à couper les ponts avec les mollahs.


1 - 03.09.2020
Iran : Trump UP, régime down !

Le régime des mollahs n’a pu organiser des journées de deuil et flagellations en mémoire des saints du chiisme et a évoqué le coronavirus pour justifier son échec ! Cet échec a souligné la rupture de ses miliciens et aussi l’impopularité de l’Islam. Le régime est dans le temps confronté à une forte contestation ouvrière qu’il ne peut arrêter, car il n’a plus le soutien de ses policiers et ses officiers de renseignements. Ses affairistes et ses administrateurs s’agitent et participent à sa déchéance. Voici les nouvelles des 5 derniers jours.


1 - 27.04.2016
Iran : Semaine en images n°426
Rejetés de partout !

Le 11 février dernier, le boycott à 100% du 37e anniversaire de la révolution islamique par le peuple et aussi les derniers compagnons du régime a mis en alerte les mollahs. Ils ont opté pour un schéma de Parlement divisé et un régime en crises permanentes afin d’utiliser les tensions internes pour rompre leurs engagements de Vienne et provoquer l’escalade nécessaire pour leur chantage diplomatique sans que les forces qui l’ont permise puissent réclamer un droit pour concurrencer les leurs. Mais les groupes rivaux (les fondamentalistes et Rafsandjani) ainsi instrumentalisés par le clergé ont refusé de jouer le jeu et se sont focalisés sur l’opposition à Rohani, promettant un Parlement hostile à leur propre bénéfice !

Washington, inquiet par le choix du « Parlement agité quoiqu’il arrive », a repris ses médiations en se montrant implicitement ouvert à une évolution du régime au lieu d’une révolution de couleur. Ils ont aussi pris les dispositions pour réanimer le projet du gazoduc Nabucco pour obtenir le soutien des Européens et neutraliser les 5-1 et aussi pour rémunérer les mollahs.

Mais les mollahs & associés ont refusé car l’ouverture même limitée car elle peut permettre au peuple de protester et entraîner la chute du régime. Cependant, les mollahs ne sont pas revenus à la provocation. Les chefs Pasdaran ont en revanche réagi par des tirs des missiles, pour se poser en arbitres du jeu, mais ils se sont dégonflés quand le Conseil de Sécurité de l’ONU est intervenu ! La panique interne a explosé !

Dans le même temps, les mollahs et les chefs Pasdaran n’ont également pas réussi à mobiliser leurs membres pour empêcher la contestation populaire par des actions anti-voile lors de la Fête du Feu.

Les Chefs Pasdaran et les mollahs, impuissants dans tous les domaines, ont alors oublié les menaces contre Israël et les États-Unis, se montrant ainsi implicitement prêts à accepter un arrangement avec Washington ! Ce dernier leur a proposé un dialogue direct au Pakistan puis un autre en Autriche (pour rémunérer les Européens et les Russes afin d’obtenir leur adhésion) ! Mais les marchandages ont échoué au Pakistan. Par ailleurs, l’option autrichienne a été rejetée par les Russes au prétexte de leur solidarité avec les 5-1. Les Anglais ont évoqué la réticence de leurs banques et leurs assurances pour se défiler ! Washington a tenté de passer en force devant ces obstacles en évoquant la levée de son embargo sur le dollar !

© IRAN-RESIST.ORG
La semaine dernière, les mollahs étaient sérieusement accusés de terrorisme par leurs voisins arabes et guère défendus par les Russes ou les Chinois. Washington courtisait alors les mollahs par l’arrivée prochaine de son allié l’Italie pour agiter leur régime et aussi pour réveiller le sens commercial des 5-1 afin d’exploser leur unité hostile à ses projets. Washington était alors la seule solution pour les mollahs. Ils devaient pactiser avec eux pour avoir la paix.

Les chefs Pasdaran, exclus des marchandages et inquiets par l’insuccès de Rohani de négocier un bon arrangement, ont accentué les attaques contre le bilan économiquement nul de l’accord signé par Rohani et faisant valoir le chantage par les missiles pour trouver un accès aux marchandages et se poser en arbitres de chantages et des marchandages. Les fondamentalistes les ont soutenu leurs arguments pour obtenir leur soutien et mais ne l’ont pas obtenu.

Les mollahs, mis en danger et pressés de réussir, ont tenté de faire monter les enchères contre Washington en utilisant des sommets régionaux pour créer des tensions anti-américaines et pro-russes et obtenir les S-300. Ils n’y sont pas parvenus.

Les fondamentalistes ont tenté de s’imposer seuls en créant une commission de politique générale au Parlement avant qu’ils n’y perdent la majorité. Ali Larijani les a bloqués pour donner l’avantage à aux Réformateurs, alliés du clergé et partisans d’un deal avec Washington.

Cependant, le gouvernent Rohani restait en danger par les chefs Pasdaran. Rohani a condamné leur refus de dialogue (pour les exclure) tout en insinuant la reprise de l’enrichissement à un taux élevé au cours de la journée de l’industrie nucléaire pour garder la direction du chantage du régime, mais Washington a ignoré sa provocation et salué son ouverture pour l’intervention de ses partenaires, Italie, Inde et Boeing !

Les Russes ont reporté la date de livraison des S-300 pour agiter les mollahs et les amener à saboter ces deal ! Washington a surenchéri en affirmant qu’il changerait de ligne si les mollahs changeaient !

© IRAN-RESIST.ORG
Cette semaine, on devait assister à des changements ou au contraire à un raidissement ! Les mollahs avaient aussi une occasion d’avancer. Washington était ravi, mais par la Russie. Les mollahs devaient aussi aller au dernier sommet de l’organisation de coopération islamique et se mesurer à leurs ennemis arabes. Ils pouvaient changer ou les provoquer. Mais il y a pas eu de miracle. Ils ont restés compliqués. Les tensions internes ont repris et ils mollahs ont dû durcir leur position ! Washington est revenu au dialogue sous la menace ! Les mollahs ont surenchéri... Voici le récit en images d’une semaine très agitée et bien éprouvant pour les mollahs et leurs interlocuteurs.

Cette analyse a été diffusée en persan vers Iran le dimanche 17 avril 2016 à 20h via la chaîne indépendante Radio Bidari (Eveil) basée en Suède.


1 - 14.04.2009
Iran : Une ambiance électorale glaciale

Le régime des mollahs a en ce moment un très gros problème : il s’attend à une abstention monstre aux élections présidentielles du 12 juin 2009. Pour cacher ce malaise, il a passé commande à des journalistes amis pour prétendre le contraire. C’est une occasion pour prendre notre championne de bonnet d’âne, Delphine Minoui, en flagrant délit de mensonge caractérisé !


1 - 09.04.2009
Iran : Roxana Saberi, otage américain des mollahs !

D’une manière très inattendue, le régime des mollahs vient d’annoncer que la journaliste irano-américaine Roxana Saberi avait été inculpée pour espionnage, alors que précédemment, elle a été emprisonnée pour « exercice illégal de journaliste sans accréditation officielle ». Il y a depuis deux ans de nombreux cas d’irano-américains arrêtés et accusés de faits graves : ces arrestations sont directement liées à l’état des relations entre Téhéran et Washington.


1 - 06.07.2007
Iran : Ahmadinejad et la « crise de l’essence »

Dans un article consacré aux « émeutes de l’essence », nous avions évoqué une mise en scène, du moins dans les images vidéo basse-def et sans signature qui circulent sur la toile. Dans le même article, nous avions évoqué les slogans scandés par les soi-disant casseurs. Ces derniers auraient uniquement crié : « Mort à Ahmadinejad ».


1 - 15.04.2007
Iran : Bush refuse de libérer les 5 pasdaran arrêtés en Irak

Les Etats-Unis ont décidé de ne pas libérer les cinq agents d’infiltration du régime des mollahs arrêtés en janvier en Irak. Le régime des mollahs les présente comme des diplomates et a demandé leur libération.


1 - 20.06.2008
Iran : « Freeze for Freeze », brouillon pour un deal

Selon Delphine Minoui (à la fois dans les colonnes du Figaro mais aussi sur son blog), lors de son voyage en Iran, Solana aurait « très discrètement » remis aux mollahs une proposition bis appelée « Freeze for Freeze », qui consisterait à une reprise des négociations, mais sans la contrainte de suspension des activités nucléaires.


1 - 25.02.2007
Iran : Existerait-il un pacte de non-agression franco-iranien ?

Le jeudi 22, au lendemain de la fin de l’ultimatum du Conseil de Sécurité, un des acteurs principaux de l’affaire Eurodif, l’ex-ministre Charles Pasqua, a fait des révélations à l’antenne de RTL : La libération en 1986 des otages français au Liban avait été négociée au prix de l’uranium !


1 - 24.02.2007
Iran-USA : Une nouvelle étape dans la guerre d’usure

A la veille de la publication du rapport d’El Baradei, l’émissaire du Guide Suprême avait adressé un message doucereux aux décideurs français dans le quotidien Le Monde. Dans notre analyse de ses propos nous avions signalé qu’il y avait là des menaces précises et une volonté de gagner du temps, contrairement à de nombreux journalistes français qui pensent que les mollahs gagnent du temps pour mettre au point une bombe nucléaire ; nous pensons que ces délais leur permettent d’intensifier leurs actions terroristes en Irak (Note n°1).




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