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Iran : Ahmadinejad est plus conciliant après Durban 2 A Genève, les délégations européennes ont quitté la salle pendant le discours d’Ahmadinejad. Ce départ a déclenché un rire satisfait chez Ahmadinejad. C’est ce qu’attendait Téhéran. Iran : Incendies à la chaîne contre des cibles choisies Les médias occidentaux ont relevé qu’une boutique de Benetton à Téhéran avait été incendiée lundi suite à des menaces formulées par le régime contre les compagnies ayant d’importants « actionnaires sionistes ». Cependant, il est déplacé de crier au pogrom car d’autres cibles pas vraiment sionistes ont été victimes des « étudiants en colère ». Iran : 1 Dollar pour vendre du négationnisme Alors que le magazine allemand Bild vient de publier 28 plans très explicites du camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz, le régime des mollahs a annoncé la mise en vente de la vidéo de sa super-production cinématographique : « La légende de l’Holocaust », un film bien évidemment négationniste. Iran : Les Arabes encore instrumentalisés Selon un article du Point, à Charm el Cheikh en Egypte, en marge d’une réunion du Quartet sur le conflit israélo-palestinien, les pays arabes modérés ont fait part à Condoleeza Rice, Javier Solana et Bernard Kouchner de leurs inquiétudes concernant l’influence croissante des mollahs au Moyen-Orient. Al Qaeda accuse l’Iran : décodages Aucune fatwa n’est venue des dirigeants chiites iraniens pour appeler au Jihad en Afghanistan ! C’est sur la base de ce constat clair et limpide qu’Ayman Al-Zawahiri, le n°2 d’Al-Qaeda, a accusé le régime des mollahs de collaboration avec les Américains. Bien que le constat soit irréfutable, on peut néanmoins reprocher à Zawahiri d’avoir attendu 5 ans pour s’en apercevoir ! Ce retard a une explication. Iran : Une allégorie égyptienne à l’adresse de la rue arabe Le régime des mollahs a réalisé un documentaire en arabe, c’est-à-dire uniquement destiné à la rue arabe, sur l’assassinat de l’ancien président égyptien, Anouar el-Sadate, en 1981. Le documentaire glorifie l’assassin Khaled Istambouli en le qualifiant de héros martyr et présente l’ex-chef de l’Etat égyptien comme un traître pour avoir signé en 1978 les accords de Camp David, accords marquant la reconnaissance d’Israël par l’Egypte. | Décodages d’un acte éminemment politique | Nucléaire iranien : Les égyptiens s’en mêlent aussi ! L’ambassadeur d’Egypte à Washington Nabil Fahmi a publié un plan de synthèse pour le règlement de la crise nucléaire iranienne. Le show de Kadhafi à Damas Le régime des mollahs espérait transformer le sommet de la Ligue Arabe en une tribune pour ses diatribes anti-américaines. Mais comme nous l’avions pressenti, la vedette de cette conférence devait être le colonel Kadhafi. Il a d’abord ceinturé le représentant des mollahs avant de se lancer dans un discours qui dépasse tout ce que pourraient dire les mollahs. Et ce discours dépasse celui des mollahs parce qu’il n’est pas un collage des vieux slogans khomeynistes mais un diagnostic sans complaisance du monde arabe. Syrie : L’Iran s’immisce dans les affaires des arabes Le ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki est arrivé en Syrie pour participer au XXème sommet de la Ligue arabe qui se tient dans la capitale syrienne à Damas les 29 et 30 mars. Iran : Les raisons de l’échec de Bush et de ses alliés arabes Pour Ahmadinejad, la tournée de Bush dans la région a été un « échec » car à peine achevée, les alliés arabes des Etats-Unis qui l’avaient accueilli, applaudi et salué, se sont empressés d’affirmer qu’ils étaient plutôt du côté de l’Iran. Cependant, si ce revirement est inéluctablement un échec, il n’est pas l’expression de l’échec de Bush mais celui des alliés arabes des Etats-Unis. Iran : L’insubordination arabe face à Bush Après le refus des saoudiens d’accepter d’aider les américains à isoler l’Iran, ce sont d’autres alliés des américains qui ont suivi cet exemple. Le Koweït a affirmé que son pays était l’ami de l’Iran ; et à la veille de l’arrivée de Bush en Egypte, le président égyptien Moubarak et son homologue turc Abdullah Gül en visite aux pays des pharaons, ont tous deux appelé à la résolution pacifique du problème du nucléaire iranien. L’Iran, Bush et ses alliés serviles Le président américain qui est en tournée au Moyen-Orient va d’un endroit à un autre en faisant des discours à la carte : aux Israéliens, il a parlé de la « menace iranienne » et leur a promis le soutien indéfectible des Etats-Unis à Israël. Aux palestiniens, il a promis la création d’un Etat palestinien dont les territoires seront continus et leur a parlé des bienfaits du processus démocratique… Pourtant, là aussi il aurait pu parler de la « menace iranienne » de l’ingérence des mollahs dans les affaires palestiniennes via le Hamas, mais non, Bush n’en a rien dit. Quel est donc l’objectif de cette tournée ? Iran – Israël : Bush cherche à relancer la polémique Le président américain George Bush qui prépare son arrivée au Moyen-Orient a décidé d’accorder un entretien à la radio militaire israélienne afin de préciser que les Etats-Unis soutiendraient Israël « sans réserve » s’il était attaqué par l’Iran. Il a également rappelé qu’il fallait prendre au sérieux les menaces formulées par Ahmadinejad d’« effacer Israël de la carte ». Ces propos donnent un avant-goût de la fin du mandat présidentiel de Bush. Annapolis : La solution se trouve à Téhéran et à Washington La conférence d’Annapolis s’est terminée après trois jours sur un accord sur la nécessité d’un accord de préférence avant fin 2008, c’est-à-dire pour la fin du mandat de Bush. Après deux jours de négociations et l’absence d’un consensus sur autre chose que la nécessité d’un accord de préférence avant fin 2008, Bush a même décrété qu’il s’agissait d’une réunion et non d’une conférence. On est loin des accords de Camp David, accords-cadres qui furent signés à la Maison-Blanche après 13 jours de négociations secrètes à Camp David. On dirait que la qualité de la publicité est inversement proportionnelle à la qualité des signatures. Ce n’est pas la seule différence entre Annapolis et Camp David. Et cette différence est liée au rôle de l’Iran. Iran : Washington relance la course aux armements Washington a accordé 30 milliards d’aides militaires à Israël et vendu d’importants stocks d’armes à ses alliés arabes. La secrétaire d’Etat Condoleezza Rice, qui s’apprête à quitter les Etats-Unis pour une tournée au Proche-Orient avec le secrétaire à la Défense Robert Gates, a annoncé lundi que ces nouveaux contrats visaient à contrer les influences « négatives » d’Al Qaeda, du Hezbollah ainsi que de la Syrie et l’Iran. Iran : L’architecte des conflits de Gaza au Liban Au cours de sa conférence hebdomadaire, le ministère iranien des affaires étrangères a officiellement démenti dimanche des accusations égyptiennes et palestiniennes selon lesquelles le régime des mollahs a encouragé le Hamas à prendre le pouvoir dans la bande de Gaza. Irak-Iran : Moqtada Sadr n’est qu’un pion dans le jeu des mollahs Moqtada Sadr a changé, il a le soutien des Britanniques qui souhaitent le voir jouer un rôle national en Irak. Si Téhéran aimerait aussi le voir prendre de l’importance, il n’est pas certain que les objectifs des mollahs et ceux des Britanniques soient totalement identiques. Iran : Rayer Israël ou ne pas le rayer ? Le conseiller en justice iranien Mohammad Javad Larijani a nié vendredi que Téhéran encourageait la politique consistant à « rayer Israël de la carte », condamnant une altération délibérée des médias occidentaux. Il ne faut pas confondre cet homme avec Ali Larijani, le chef du Conseil suprême iranien de la sécurité nationale et négociateur en chef du dossier nucléaire. Il y a eu erreur sur la personne. Iran – Egypte : La fin d’une époque, le début d’une autre Selon le JDD, les relations entre le régime des mollahs et l’Egypte sont au plus mal. Téhéran refuse d’effacer une fresque et de débaptiser une rue honorant l’assassin d’Anouar el Sadate, qui fut à la fois l’ami du Shah et le signataire d’un accord de paix historique avec Israël (accord réalisé par l’intermédiaire du Shah d’Iran, ami des Etats-Unis, d’Israël et de l’Egypte). Iran – Etats-Unis : Que veut dire l’expression « admettre leur échec » en Irak La rencontre qui doit avoir lieu à Bagdad le 28 mai entre les diplomates américains et les barbouzes islamiques reconvertis en diplomates commence à ressembler de plus en plus à la conférence de Charm El Cheikh. Ce sont les mollahs qui en avaient eu l’idée au départ et ce sont eux qui n’en voulaient plus à l’arrivée. La cote de popularité des Américains parmi les musulmans Selon un sondage réalisé en Egypte, au Maroc, au Pakistan et en Indonésie (par l’institut WorldPublicOpinion.org), 74% des musulmans souhaitent que les Etats-Unis abandonnent leurs bases et que tous les soldats américains quittent tous les pays musulmans ! La Jordanie avocat inattendu du régime des mollahs Pour la seconde fois en deux mois, le roi Abdallah II de Jordanie a appelé à un règlement négocié du conflit entre l’Iran et l’Occident au sujet de son programme nucléaire controversé. Iran : Analyse de la mise en garde du Roi Jordanien Le roi Abdallah II de Jordanie a affirmé mercredi qu’une éventuelle opération militaire contre l’Iran « fera exploser toute la région ». Le Qatar ou le placebo AVANT PROPOS d'IRAN-RESIST : La France cherche des remplaçants pour son fournisseur préféré : l’Iran. Elle a jeté son dévolu sur le Qatar et s’ingénie à donner un packaging démocratique et ambitieux à ce choix. [Retour à l'index des mots-clés] |