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1 - 22.04.2007
Iran-OMV : Le régime cherche à relancer les investissements pétroliers

Après le refus poli de Total très réticente à l’idée d’investir des capitaux en Iran, les mollahs ont jeté leur dévolu sur le groupe pétrolier et gazier autrichien OMV. Les deux parties ont signé un protocole d’accord pour l’ouverture de négociations sur le développement de la phase 12 de Pars Sud et la production de GNL.


1 - 05.04.2006
La diplomatie parallèle de l'Union Européenne en Iran

Le président du groupe parlementaire allemand de l’Alliance de gauche (ancien Parti communiste PDS), Oskar Lafontaine (lui-même, ancien président du Parti social-démocrate SPD) compte se rendre en Iran pour manifester son opposition à toute menace de guerre contre ce pays en raison de son programme nucléaire.


1 - 01.04.2006
La crise iranienne et les variations des cours du pétrole

Contrairement à l’impression que l’on a lors d’un passage à la pompe à essence avec une automobile en France, le prix du pétrole brut n’est pas en hausse. La baisse des cours depuis quelques temps est-elle la signification que les mollahs ne font plus peur avec leur pétrole ?


1 - 05.10.2006
Iran : Paris est devenu une partie du problème !

La France a estimé que les sanctions qui pourraient être prises contre l’Iran en cas de refus persistant de suspendre l’enrichissement d’uranium devraient avoir un caractère « progressif, proportionné et réversible ».


1 - 26.11.2017
Semaine en images n°508 :
Hariri rira bien le dernier !

En cette année 2017, les mollahs-agitateurs, qui avaient été menacés par l’arrivée de Trump et la fin du projet islamiste du réseau Brzezinski pour le Moyen-Orient et l’Asie Centrale, avaient très vite renoué avec le terrorisme notamment en Syrie pour intimider les Arabes et les Occidentaux et les empêcher de se rallier à Trump. Ce choix leur avait valu un nouvel avis négatif du GAFI (FATF). Il avait aussi rapproché Trump et Poutine pour engendrer une alliance Est-Ouest afin de pacifier le sud de la Syrie (où se trouvent Damas et la frontière sensible avec Israël), privant les mollahs d’une zone indispensable pour leur nuisance vitale pour leur survie. La Chine, les G20 et la France avaient vite rejoint cette alliance pour la stabilité du Moyen-Orient.

Les mollahs avaient tenté de rebondir grâce au terrorisme du réseau Haqqani, agent des Talibans et d’Al Qaeda en Afghanistan et au Pakistan. Trump avait profité de ce choix pour souligner leurs liens avec toutes les formes du terrorisme islamique. L’opposition interne avait eu le courage d’attaquer les mollahs ! Certains experts du réseau Brzezinski avaient quitté ce réseau ! Les ténors de ce réseau étaient obligés de sanctionner les mollahs, mais avaient aussi pénalisé Poutine pour nuire à Trump.

Les Anglais, protecteurs initiaux des mollahs, adversaires pétroliers des États-Unis et de fait exclus des plans Est-Ouest de Trump, avaient tenté de séduire ce dernier en lui proposant de contourner cette nuisance américaine en renforçant ses liens avec les autres grandes puissances pour contrer les mollahs par l’inspection de leurs bases militaires selon la section T de l’accord de Vienne. Trump avait complété cette démarche en impliquant les grandes puissances dans son projet contre les mollahs par la résolution 2370 du CS de l’ONU pour combattre le terrorisme islamique.

Au début du mois de septembre (2017), les tirs de missiles de la Corée du Nord, qui est le principal partenaire balistique des mollahs, avaient justifié la nécessité de vigilance à l’égard de leurs missiles. Ces derniers avaient aggravé leur cas en misant sur la déstabilisation de la Syrie et avaient seulement engendré une coalition hostile Franco-Américano-Russe. Cette hostilité commune avait été confirmée lors des discours de la 72e AG de l’ONU.

Les mollahs avaient tenté d’intimider davantage ces grandes puissances en prétendant d’avoir réussi le test d’un missile longue-portée susceptible de porter une tête nucléaire. Ils avaient tenté de les forcer à reculer en provoquant une guerre entre les États-Unis la Russie en éliminant un général russe dans une zone américaine ou en provoquant une guerre régionale entre le Kurdistan Irakien et l’Irak, mais ils avaient échoué et tout le monde avait compris leur extrême nuisance.

Trump avait alors annoncé une nouvelle diplomatie pour l’Iran avec de nouvelles sanctions contre les mollahs terroristes et agitateurs et de l’aide au peuple pour les faire faire chuter. Les Européens avaient vite adhéré officiellement à cette ligne. Les Chinois l’avaient validée par leur silence. Les Russes avaient insisté sur une action commune pour profiter pleinement d’un changement du régime en Iran.

Trump avait continué à alors renforcer sa coalition anti-mollahs en rapprochant les Irakiens et les Saoudiens pour générer un axe chiite-sunnite contre les mollahs. Trump avait aussi rallié le Pakistan à ses attaques aériennes sur les bases du réseau Haqqani. Il avait enfin validé implicitement le maintien d’Assad pour l’aider à couper les ponts avec les mollahs. Il devait consolider sa coalition dans une tournée prochaine en Asie, en Chine et en Russie.

La semaine dernière (28 Oct-3 Nov. 2017/5-12 Abân 1396), avant que ne débute cette tournée, Trump avait annoncé la mise en application de nouvelles sanctions et des négociations avec ses partenaires européens pour de nouvelles sanctions contre les mollahs...


1 - 30.01.2012
Iran : La semaine en images n°206

La semaine dernière, après de nouveaux boycotts d’importantes manifestations officielles par les Pasdaran et le clergé, la cote de confiance du régime a chuté. Les associés économiques du régime ont intensifié la liquidation de leurs actions et l’achat de l’or et du dollar pour pouvoir quitter le pays avant que le régime ne chute et les entraîne dans son effondrement. Leur agitation a miné le moral du reste des troupes fidèles.

Le régime devait aligner des Pasdaran ou des mollahs jihadistes dans les rues ou dans une grande salle pour rassurer ces gens, mais en raison de la chute de sa cote, il n’est même pas parvenu à réunir les 200 à 300 collaborateurs fidèles (dont une cinquantaine de jeunes) qui étaient à ses côtés il y encore un mois. Ses efforts ont mis en évidence son isolement.

Le régime était dépassé. Puisqu’il ne pouvait pas rassurer ses associés agités, il a cherché à limiter la visibilité de leur panique en forçant les agents de change à afficher un prix fixe très bas pour le dollar. Les agents de change ont cessé la vente du dollar sur le marché libre (qui ne l’était plus) et ont commencé la vente clandestine dans leur quartier. Le dollar vendu en toute liberté sur le marché noir a dépassé selon nos estimations le seuil de 2300 tomans, soit +90% que son taux officiel. L’or vendu sur le marché libre a aussi enregistré une hausse similaire.

La hausse du dollar a entraîné la hausse des prix du lait et de la viande car le pays n’en produit plus, il en achète en dollar à l’étranger. La hausse du dollar a aussi entraîné la hausse du prix du pain car le pays importe du près de 9 tonnes de céréales par an. Ainsi la semaine dernière, le pouvoir d’achat des Iraniens a chuté et leur niveau de mécontentement a augmenté : la crise interne du régime a ainsi commencé à réunir les conditions nécessaires pour un soulèvement.

On n’a alors guère entendu Washington adresser un message de soutien aux Iraniens car l’Etat américain ne veut pas la fin du régime islamique, mais le transfert des pouvoirs des mollahs à ses pions pour disposer d’un allié islamique agitateur à proximité de l’Asie centrale. Washington s’est non seulement détourné du peuple comme au moment du soulèvement de 2009, mais encore, il a cherché à sauver le système islamique en accueillant sur son territoire, le cinéaste pro-régime Asghar Farhadi pour primer son dernier film de propagande qui nie l’existence de toute envie de changement chez les Iraniens.

L’absence de soutien de Washington à un changement de régime n’a pas pu rassurer les associés économiques du régime quand chaque manifestation officielle est boycottée par le peuple et par les Pasdaran : la crise a perduré.

Cette semaine, le programme officiel du régime prévoyait de grands rassemblements le dimanche 22 et lundi 23 janvier sur les parvis des mosquées pour pleurer la mort de Mahomet et de l’Imam Reza, la grande figure du chiisme iranien. La peur de deux nouveaux boycotts prouvant l’isolement du régime a miné le moral des troupes. Le samedi 21 janvier (à la veille des événements), la semaine a commencé par une intensification des achats : le dollar et l’or ont atteint de nouveaux records.

On s’attendait à une nouvelle vague de panique dès mardi car Washington et l’Europe devaient alors annoncer de nouvelles sanctions économiques. Le régime était au pied du mur. Mais Washington a parlé de sanctions contre une banque dont il sanctionne les principales succursales et l’Europe a parlé de la fin de ses contrats d’achat de pétrole alors qu’elle obtient le pétrole iranien essentiellement via des contrats d’exploitation. C’est pourquoi l’annonce n’a pas fait montrer le prix du baril.

Mais malgré l’absence d’un durcissement effectif des sanctions, la réaction excessive du régime a induit ses hommes d’affaires en erreur : ils ont intensifié leurs achats d’or et du dollar. le régime s’est retrouvé avec une nouvelle crise soulignant le manque de confiance de ses associés en ses chances de survivre. Avec un peuple dressé contre lui, l’actuelle tension ne peut que monter. Voici les images qui confirment l’isolement du régime et annoncent un prochain boycott décisif dans trois semaines, le samedi 11 février 2012 lors de l’anniversaire de la révolution islamique.


1 - 01.12.2011
Iran : Battlefield UK !

Quand on parle de nouvelles sanctions, les mollahs cherchent l’escalade afin que le risque d’une guerre nuisible au transit pétrolier fasse reculer Washington. Ce dernier ignore les provocations des mollahs pour rester dans sa logique de guerre d’usure économique afin d’affaiblir les mollahs et les forcer à céder le pouvoir à ses pions islamiques. Cette semaine, la provocation a été l’invasion de l’ambassade de la Grande-Bretagne !

Londres a promis des « conséquences graves » (termes utilisés par les Américains pour évoquer des frappes punitives). Mais les Britanniques sont les alliés historiques des mollahs. Ils sont également parmi les plus importants partenaires du régime via leur ex-protectorat des Emirats (UEA) [1] et surtout via la compagnie pétrolière Vitol basée en Suisse qui en juin dernier a repris ses livraisons d’essence vers l’Iran. Les Britanniques ont intérêt à provoquer une escalade pour faire cesser les sanctions contre leurs protégés. Washington a subodoré un piège monté par les mollahs et les Britanniques pour l’entraîner dans l’escalade afin de le faire reculer. Il est resté d’un flegme britannique ! Plusieurs détails du récit diffusé par la BBC laissent d’ailleurs supposer qu’il s’agissait d’un coup monté. Révélations .


1 - 09.06.2011
Iran : Émergence d’une nouvelle crise interne autour du dollar

Les amis du régime affirment sans cesse que les sanctions n’ont pas d’effets sur les mollahs ou sur le peuple et que par ailleurs ce dernier ne cherche pas un changement de régime. Les Etats partenaires des mollahs diffusent largement ses avis et oublient de diffuser les vrais chiffres du régime ou encore les décisions inquiétantes comme celle qui a été prise ce lundi : la république des mollahs a rationné la vente de dollars !

- Le régime est en difficulté. Une occasion de faire un bilan de sa santé économique (le contexte historique & le contexte actuel) pour expliquer cette décision désespérée qui évoque un régime agonisant.


1 - 05.04.2011
Iran : Le formidable bouc émissaire des Arabes !

Les ministres des Affaires étrangères du Conseil de Coopération du Golfe viennent d’accuser les mollahs d’être derrière les troubles dans cette région alors que depuis le début, les insurgés ont le soutien flagrant des Etats-Unis. L’accusation est donc injustifiée, elle est en revanche un formidable moyen de diaboliser les insurrections pour empêcher Washington de continuer son ingérence ! C’est là une décision créative aux multiples conséquences. Décodages.


1 - 03.02.2011
Iran : 2011-2012, deux années bien tumultueuses pour les mollahs

Très récemment des personnalités proches de Washington avaient déclaré que Téhéran ne disposerait pas d’un savoir faire nucléaire militaire avant 2015. Ce lundi, Liam Fox, le ministre britannique de la Défense, a rejeté implicitement ces estimations en évoquant carrément l’accès à la bombe nucléaire en 2012, c’est-à-dire moins d’un an.




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