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Une base chinoise en Iran, une autre facette de la diplomatie de chantage Hasard de l’actualité, nous avons évoqué encore aujourd’hui la diplomatie de chantage du régime des mollahs. L’un des exemples les plus frappants de cette diplomatie de chantage est le maintien d’un programme d’enrichissement injustifié malgré des sanctions très pénalisantes pour le peuple iranien. Le programme controversé est maintenu afin d’obtenir en échange de son abandon des compensations géopolitiques comme l’immunité pour le Hezbollah et l’abandon du programme de démilitarisation de cette milice liée à Téhéran. C’est une diplomatie de tensions délibérées qui ne se résument pas au soutien des mouvements terroristes, il y a également un volet de préparation médiatique.
Iran – Chine : Important contrat gazier en vue Selon une information Dow Jones du 12 janvier confirmée le 23 janvier par l’Iran, le pétrolier chinois CNOOC (China National Offshore Oil Corp) serait sur le point de signer un contrat de 6 milliards de dollars pour la livraison de 10 milliards de tonnes de gaz naturel liquéfié (GNL) à la Chine. Le gaz proviendrait du gisement gazier de North Pars (Pars Nord). Iran : The subtilities of the new resolution On January 23 2008, the five permanent members of U.N.’s Security Council and Germany came to an agreement for a new resolution concerning Iran during a meeting in Berlin. The Americans succeeded in changing Russia and China’s inflexibility on imposing sanctions on Iran. | Deciphering of a very fine tactic that leaves no chance for the Tehran-Moscow-Beijing axe. | Iran : Les incroyables subtilités de la nouvelle résolution Le 23 janvier 2008, les 5 membres du Conseil de Sécurité plus l’Allemagne ont convenu à Berlin du texte d’une nouvelle résolution du Conseil de sécurité. Les américains ont réussi l’exploit de vaincre les réticences des russes et des chinois. | Décodages d’une tactique très étudiée qui ne laisse aucune chance à l’Axe Téhéran-Moscou-Pékin. | Iran : La méthode chinoise de négociation A quelques jours d’une réunion des 5 membres permanents du Conseil de sécurité à propos du dossier nucléaire iranien, le négociateur nucléaire en chef de l’Iran Saïd Jalili est arrivé à Pékin pour rencontrer le ministre chinois des Affaires étrangères Yang Jiechi. Nouvel Obs | 2008 sera religieux ! L’élection présidentielle, aux Etats-Unis d’Amérique, va plus que jamais se jouer sous l’arbitrage des représentants de Dieu. En Chine, même, où la religion, naguère encore, était à peine tolérée, le plus souvent persécutée, les dirigeants reconnaissent maintenant son rôle irremplaçable. Iran : Vers une résolution mais n’importe laquelle ! Le chef de la diplomatie américaine Condoleezza Rice a indiqué que des « divergences tactiques » séparaient toujours les six grandes puissances engagées dans les discussions sur le programme nucléaire iranien. Selon elle, il y aurait aussi bien des divergences sur le calendrier que sur le contenu de la résolution à venir... Iran nucléaire : Le retour de l’axe Téhéran-Moscou-Pékin Hosseini, le Porte-parole de la diplomatie iranienne a rappelé que Téhéran était prêt aux négociations sans conditions préalables avec le groupe 5+1. Cette proposition est alignée sur les positions des deux principaux alliés de Téhéran : Moscou et Pékin. Iran : Les chinois s’invitent au premier plan Selon l’agence britannique Reuters, le régime des mollahs a signé dimanche un contrat avec le chinois Sinopec pour le développement de l’imposant gisement pétrolier de Yadavaran. Cette signature est un des autres effets du rapport de réévaluation de la menace nucléaire iranienne de la part des services secrets américains. Iran : Nouvelles restrictions bancaires chinoises et allemandes Les Etats-Unis ont promis d’effacer le système bancaire iranien de la surface de la planète. EN effet, sous l’effet des sanctions bancaires américaines, de nombreux pays sont obligés de réduire leurs relations bancaires avec les mollahs sous peine de se voir appliquer la même punition par leurs homologues américaines. Après les banques allemandes, les japonaises, et voici qu’arrive le tour des banques chinoises. Iran : Les Six se réunissent pour évoquer de nouvelles sanctions Au lendemain d’une dernière réunion prévue pour le 30 novembre entre le Représentant des mollahs et Javier Solana à Londres, les représentants des Six se rencontreront le 1er décembre à Paris afin d’examiner le texte d’une nouvelle résolution du Conseil de sécurité de l’ONU envisageant des sanctions à l’encontre de l’Iran. Iran : Décodages d’un retournement inattendu de la Chine et de la Russie Les autorités chinoises ont exhorté mardi le régime des mollahs à se soumettre aux résolutions des Nations unies lui demandant de suspendre ses opérations d’enrichissement d’uranium, tout en assurant qu’il restait une certaine marge pour la négociation. La veille de cette demande, c’est Moscou qui avait demandé aux mollahs de faire encore de nouveaux efforts pour éliminer tout soupçon sur ses activités nucléaires. | Décodages d’un double retournement synchrone ! | Iran - sanctions : Le bras de fer entre les Etats-Unis et la Chine Le rapport d’El Baradei qui traitait non pas de l’état des activités nucléaires iraniennes, mais de la qualité de la coopération entre les mollahs et l’AIEA a suscité des réactions très différentes. Téhéran a accueilli avec bonne humeur ce rapport qui lui a décerné des bons points, les mollahs ont même rebondi en réaffirmant qu’ils souhaitaient continuer cette bonne coopération qui semble satisfaire l’AIEA. Tour d’horizon des autres réactions. Iran : Téhéran change de ton et fait confiance à ses deux alliés la Chine et la Russie Au lendemain de la publication du rapport d’El Baradei, Téhéran est revenu à l’une de ses revendications de base : que son cas ne soit plus géré par le Conseil de Sécurité mais par le Conseil des gouverneurs de l’AIEA. Selon les mollahs, si le Conseil de sécurité de l’ONU remettait le dossier nucléaire iranien à l’AIEA, les conditions seraient propices à la promotion de la coopération entre l’Iran et l’agence. Ce qui fut une revendication véhémente est devenue une proposition cordiale. Ce changement de ton est la conséquence du crédit accordé par la communauté internationale à un rapport qui n’a aucune validité puisqu’il n’est fondé sur aucune inspection. Iran : La Chine imite la Russie Le 8 novembre, au lendemain de l’annonce de l’installation iranienne des 3000 centrifugeuses à Natanz, la Chine appelait l’Iran à faire preuve de retenue et à adopter une attitude flexible dans ses dialogues et contacts concernant son programme nucléaire. Selon nos estimations, les russes avaient également demandé aux mollahs de faire preuve de plus de retenue dans leur langage. Iran - sanctions : Un consensus qui cache de terribles divergences Les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité plus l’Allemagne ont convenu d’oeuvrer en faveur d’une troisième série de sanctions contre l’Iran. Cette déclaration cache une absence totale de consensus aussi bien au sujet de ces sanctions qu’au sujet des conditions nécessaires à leur adoption. Iran : Deux réactions prévisibles aux sanctions américaines Comme nous l’avions diagnostiqué dans notre analyse, la décision américaine de mettre en place des sanctions unilatérales à l’encontre des Pasdaran a braqué les chinois et les russes, mais également Téhéran qui cherche un prétexte pour remettre en cause sa soi-disant coopération avec l’AIEA. AP | La Chine modernise son armée pendant que les Etats-Unis se débattent en Irak Par Eric Talmadge AP – BASE AERIENNE DE KADENA, Japon - Pendant que les Etats-Unis engloutissent leur budget militaire en Irak, la Chine modernise à grands pas son armée au risque de prendre une longueur d’avance, notamment dans les airs. Le général Bruce Wright, patron des forces US au Japon, lance un cri d’alarme : désormais, plus aucun avion ne peut pénétrer les défenses aériennes chinoises, à l’exception de la dernière génération de chasseurs américains. Kommersant | Derrière la crise en Birmanie, une rivalité énergétique entre les grandes puissances Le Conseil de sécurité de l’ONU ne sait plus comment réagir face à la répression des manifestations antigouvernementales de masse par les autorités birmanes. Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France appellent à sanctionner le régime de Rangoon, tandis que la Chine et la Russie considèrent la situation en Birmanie (également appelée le Myanmar) comme une affaire intérieure. Selon des experts, une chute du régime militaire birman porterait atteinte aux intérêts chinois et russes. Iran : Chery automobile utilisée pour du blanchiment d’argent Le site china-roots.com a signalé la création d’une co-entreprise formée entre le constructeur chinois Chery Automobile, le plus grand constructeur iranien Iran Khodro et une société canadienne du nom de Solitac. L’affaire ne se résume pas à une sorte de délocalisation de la Chine vers l’Iran pour chercher une main d’œuvre moins cher qu’en Chine : l’affaire est plus complexe et cache en réalité un mécanisme de transfert de capitaux. Iran : La Chine suivra-t-elle la demande de solidarité de Bush ? George Bush et Hu Jintao se sont rencontrés à Sydney en marge du Forum de l’Asie Pacifique (APEC [1]) à Sydney. Bush a demandé à son homologue chinois de ne pas s’opposer à l’adoption d’une nouvelle résolution contre les mollahs. Iran : Vers de nouvelles sanctions ou vers un statu quo ? Et l’on reparle d’une nouvelle résolution dans le cadre du contentieux nucléaire avec l’Iran. Cette résolution est attendue en septembre ou en octobre. Mais elle ne changera rien à ce contentieux qui ne se résume pas au droit des mollahs à l’enrichissement nucléaire. | Rétrospective et analyse La rupture des banques allemandes : l’Iran glisse à l’Est Le régime des mollahs transfère de l’argent via des comptes dans la Deutsche Bank et la Commerzbank pour le financement de ses opérations commerciales. Ces deux plus grandes banques allemandes d’Europe ont annoncé qu’elles cesseraient la plupart de leurs relations avec les sociétés iraniennes. L’Iran distribue des armes chinoises en Irak Les Etats-Unis ont fait part de leur préoccupation à la Chine, au sujet de la découverte d’armes et de munitions anti-blindages de fabrication Chinoise, et trouvées en Irak et en Afghanistan. Le vendredi 6 juillet, Richard Lawless, un responsable de la région Asie au Pentagone, a déclaré que Washington avait évoqué le problème avec Pékin [2]. Iran : La Chine veut devenir son premier partenaire commercial Selon l’ambassadeur de Chine en Iran, Lio Tan, les échanges entre l’Iran et la Chine devraient représenter la somme de 16 milliards de dollars en 2007. Iran : Vers un renouveau de l’axe Téhéran-Moscou-Pékin Le président chinois Hu Jintao a entamé lundi une visite officielle de trois jours en Russie, avec en perspective la signature de contrats pour plusieurs milliards de dollars [3], sur fond de bras-de-fer entre les grandes puissances au sujet du nucléaire iranien. Darfour : Khartoum s’offre la protection de Pékin Premier importateur du pétrole soudanais, la Chine soutient sans réserve le régime d’Omar El-Béchir, mis au ban de la communauté internationale. Ni la situation au Darfour ni les violations des droits de l’homme n’ont le moindre effet sur l’attitude des autorités chinoises. Iran : Les Russes et des Chinois face aux sanctions Un projet de résolution du Conseil de Sécurité intensifiant les sanctions contre la république islamique d’Iran pourrait être prêt à être présenté dès la semaine prochaine. C’est du moins ce qu’a dit un haut personnage du Département d’État américain à un journaliste d’US News. Selon lui, après discussions entre les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité plus l’Allemagne, un accord de principe serait intervenu. Analyse : Pour la Chine, l’Iran est une clef d’accès au Moyen-Orient La décision de la Chine d’envoyer 1000 soldats au Sud Liban pour intégrer les forces de l’ONU est le dernier exemple de l’implication grandissante de Pékin au Moyen-Orient. Pour la géostratégie chinoise, l’importance du Moyen-Orient dans le monde est aussi croissante. La Chine cherche de nouveaux alliés régionaux parce qu’elle tient à poursuivre ses objectifs stratégiques : obtenir un accès privilégié aux plus importantes réserves de pétrole, trouver de nouveaux marchés pour ses produits et sa technologie et rivaliser avec les USA pour la suprématie stratégique. Iran : La philatélie à la mollah et le cochon chinois Les mollahs sont très fâchés : ils n’aiment pas les timbres à l’effigie du cochon, même si c’est l’année du cochon qui commence dans le calendrier chinois. Et ce alors que la Chine est en mesure de devenir et de loin le premier partenaire de la république islamique d’Iran. Nucléaire : Les élucubrations d’un Iranien en Chine Ali Larijani, le principal négociateur iranien dans le dossier nucléaire, était à Pékin ce vendredi. Il a esquivé la demande explicite des Chinois de se soumettre à la résolution 1737 en répétant que Téhéran s’engageait à un usage pacifique de sa technologie nucléaire. Iran : Les mollahs cherchent à influencer les Chinois Très récemment, le régime des mollahs en Iran a triomphalement annoncé la signature d’un contrat pétrolier de 16 milliards de dollars avec une compagnie chinoise. Sans doute, il y avait une tentative pour influencer le vote des Chinois au Conseil de Sécurité. L’adoption de la résolution 1737 prouve que cette tentative a échoué. Mais en réalité, il ne s’agissait même pas d’un contrat mais seulement d’un mémorandum d’accord, ce qui change tout. | Décodages Désaccord entre l’Iran et la Chine Selon une source officielle du Ministère du Pétrole Iranien, l’accord qui devait être conclu à Téhéran entre la Chine et l’Iran sur l’achat de Gaz Naturel Liquéfié a échoué. Le Figaro : Washington et Pékin se serrent les coudes face à Pyongyang En visite à Pékin, Condoleezza Rice s’est entendue avec Hu Jintao pour faire pression sur Kim Jong-il. Même si le numéro un nord-coréen a affirmé hier qu’il ne procéderait pas à un deuxième essai nucléaire, les États-Unis restent prudents. Par Jean-Jacques MEVEL. LE MONDE | Corée du Nord : la Maison Blanche annonce un accord de la Chine pour des mesures fortes La Maison Blanche a annoncé, jeudi 12 octobre, que le président George W. Bush et un émissaire chinois, l’ex-ministre des affaires étrangères Tang Jiaxuan, s’étaient trouvés d’accord pour que des mesures fortes 12.10.2006 L’essai nucléaire nord-coréen est-il lié à l’Iran ? La Corée du Nord est l’un des principaux fournisseurs en missiles de la république islamique d’Iran. Par ailleurs, des pasdarans ont assisté aux derniers essais Nord Coréens. On prête aux deux pays un programme commun d’étude sur l’arme nucléaire, programme dont les techniciens sont Nord Coréens et les capitaux iraniens. Que vaut la dernière offre de l’Iran ? Le 16 Août, la Chine a prié l’Iran de répondre favorablement à l’offre des six Etats visant le règlement du problème nucléaire : le 17, le régime des mollahs s’est dit prêt à négocier sur tous les éléments de l’offre, qui inclut la suspension de l’enrichissement. L'Iran craint un embargo sur l'essence La république islamique d’Iran, second pays producteur de pétrole du monde, manque cruellement d’essence. Ce pays est contraint d’en importer à grands frais. Aussi Téhéran cherche par tous les moyens à accroître sa production de pétrole raffiné et d’essence. Le régime de Téhéran ne possède pas de stocks stratégiques si bien qu’en cas d’embargo sur l’essence, son armée et ses milices seraient hors service. Amnesty Int : Pékin exporte des armes vers des pays en guerre Hasard du calendrier : alors que s’est ouvert, le 12 juin à Pékin, un forum sur la Défense et la Sécurité de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) consacré au « développement pacifique de la Chine et la coopération régionale en matière de sécurité », la Chine s’était vue la veille montrée du doigt après la parution d’un rapport cinglant rédigé par Amnesty International. Lourd d’une vingtaine de pages, ce rapport intitulé « People’s Republic Of China, Sustaining Conflict and Human Abuses ». The Flow of arms accelerates » souligne que « la Chine apparaît de plus en plus comme l’un des principaux exportateurs d’armes, l’un des plus discrets et des plus irresponsables ». Iran nucléaire : Les leçons de Shanghaï Comme nous l’avions prévu dans l’article qui traitait de l’annulation de la visite de Larijani en Europe, il y avait un lien de cause à effet entre cette annulation annoncée le 14 juin et le voyage de Ahmadinejad à Shanghai le 15 juin [4]. Nous avions effectivement vu juste : le régime des mollahs voulait se concerter avec ses alliés du moment : la Chine et la Russie. Le Monde | Chine - Etats-Unis, l’ère de l’interdépendance Les stratèges américains s’alarment : l’émergence de la Chine est en train de saper le socle de la puissance des Etats-Unis ; elle leur lance un défi qui risque de mal finir. Les stratèges chinois s’inquiètent aussi : l’Amérique conspire à entraver l’essor de l’empire du Milieu. Sa stratégie d’ « endiguement » exhale des relents de guerre froide de mauvais augure. A écouter les paranoïaques des deux camps, leurs pays sont lancés sur une trajectoire de « collision ». Le Figaro : Pékin pousse l’Iran au compromis Jean-Jacques Mével | 17 juin 2006 | Rubrique International
A quel moment la Chine lâchera l'Iran pour s'éviter un désastre ? A Shanghaï, Vladimir Poutine a réaffirmé le droit de l’Iran à utiliser le nucléaire. Le président russe a par ailleurs estimé que Téhéran avait réagi favorablement à l’offre présentée par les P5+1. Les mollahs ont cru déceler dans ces déclarations le signal (qu’ils attendaient) d’un appui inconditionnel de la Russie à la rectitude des positions iraniennes. Gel des avoirs de groupes chinois accusés de soutien aux ADM en Iran Le Trésor américain a annoncé mardi le gel des avoirs aux Etats-Unis de quatre sociétés chinoises et d’un groupe américain accusés de soutenir des programmes d’armes de destruction massive en Iran. Iran : La Russie et la Chine ont peut-être trouvé la solution Le 16 mai, la question de l’adhésion de l’Iran à l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) n’était pas à l’ordre du jour et les déclarations allaient bon train pour expliquer que l’OCS n’était pas destinée à s’agrandir infiniment. Et ce n’était pas la première fois que l’OCS fermait la porte au nez des mollahs. Pékin et Berlin opposés au nucléaire iranien : décodages La Chine et l’Allemagne (son plus important partenaire commercial européen) sont opposées à ce que l’Iran dispose de la capacité de fabriquer des armes nucléaires, a indiqué lundi la chancelière allemande Angela Merkel, à l’issue d’une rencontre avec le Premier ministre Wen Jiabao, au premier jour de sa visite en Chine. Washington Times : Les Allemands accroissent leurs investissements en Chine Les investissements directs des entreprises allemandes en Chine ont atteint un niveau record en 2002, plaçant l’Allemagne devant la Grande-Bretagne comme premier investisseur européen dans ce pays et laissant clairement apparaître une hausse des prochains investissements. De nouvelles preuves contre l'Iran ? Selon des sources proches de El Baradei, l’Iran a utilisé des stocks de gaz UF6 (hexafluorure d’uranium) chinois, plutôt que celui qu’il a récemment produit, car il avait hâte de prouver qu’il maîtrise l’enrichissement de l’uranium. La Chine n'utilisera pas son veto : décodage L’ambassadeur Chinois aux Nations Unies a déclaré que son pays ne ferait pas usage de son droit de veto au Conseil de sécurité. Il a cependant rappelé son opposition à une résolution sur le gel du programme nucléaire iranien. La Maison-Blanche vise à rallier Moscou et Pékin La Maison-Blanche a dit mardi que l’Iran n’était pas crédible quand il affirmait avoir reçu de la Russie et la Chine l’assurance qu’elles s’opposeraient à d’éventuelles sanctions contre la République islamique au Conseil de sécurité de l’Onu. 0 | 50 | 100 [Retour à l'index des mots-clés] |