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MOHSEN ARMIN

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Un des soi-disant partis réformateurs du régime des mollahs a affirmé que les conservateurs au pouvoir étaient préoccupés pour leur avenir à cause de la gestion du dossier nucléaire et de la politique économique du gouvernement du Ahmadinejad.

Les soi-disant réformateurs ne sont pas des modérés mais un alibi pour le régime. Ils ne dénoncent pas l’aide au terrorisme, l’ingérence en Irak ou les activités nucléaires anxiogènes : ils font semblant que le régime des mollahs est une sorte de démocratie.

Le parti en question est l’organisation des combattants de la révolution islamique ! Son porte-parole Mohsen Armin, ex-commandant des Pasdaran au Liban, officier de liaison avec le Hezbollah, a critiqué Ahmadinejad pour ses décisions dans la gestion du dossier nucléaire, mais il a oublié de préciser que ces décisions avaient été entérinées par le Conseil de Discernement. Nous assistons à nouveaux à un nouvel épisode de projet de diabolisation officielle d’Ahmadinejad en vue de la réhabilitation officielle des soi-disant réformateurs. Ce personnage a également oublié de préciser que la crise nucléaire avait commencé sous présidence du Khatami, le soi-disant réformateur !

Au passage, précisons que par réformateurs, ces messieurs entendent un retour aux objectifs originaux de la révolution islamique et de son fondateur Khomeiny. Pas étonnant que Ali Akbar Mohtashami-Pour, le fondateur du Hezbollah et actuel responsable des expositions et conférences négationnistes figure également sur la liste de ces réformateurs.

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