Accueil > Résultats de recherche - centrifugeuses
Résultats de la recherche « centrifugeuses » triés par

0 | ... | 200 | 210 | 220 | 230 | 240 | 250 | 260 | 270 | 280 | ... | 310

1 - 21.04.2009
Iran : Petit lifting de son discours nucléaire

Lors de la conférence de l’AIEA à Pékin, l’Iran a confirmé son intention de construire ses propres centrales nucléaires et de les approvisionner en combustible de fabrication nationale. Il y a certes une volonté de souffler sur les braises, mais également un discours nouveau.


1 - 23.07.2009
Iran-Clinton : Dialogue sous le parapluie !

A son arrivée à la Maison Blanche, Obama avait écarté toute possibilité d’une frappe israélienne contre l’Iran. Il espérait donner la chance à un dialogue bilatéral. Cette volonté a toujours rencontré le refus de Téhéran. On a alors assisté à des retours par intermittence d’une menace de frappes israéliennes comme tout récemment. Encore une fois, Washington a calmé le jeu, cette fois via le chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton en visite en Thaïlande.


1 - 23.02.2009
Iran : L’AIEA défend l’intégrité des mollahs - Décodages

Le dernier rapport de l’AIEA a mis le souk dans la crise nucléaire iranienne en évoquant l’existence à Natanz de 1.010 kilos d’uranium faiblement enrichi, soit de quoi produire 25 kilos d’uranium hautement enrichi, assez pour fabriquer une bombe. Alors que l’AIEA recommandait la levée des sanctions pour faciliter une entente entre l’Iran et les Six (le conseil de Sécurité) ; les Américains ont profité de l’occasion pour réclamer plus de sanctions. Il en résulte une marche arrière de l’AIEA et un certain désordre.


1 - 19.02.2009
Iran-EU-GB : Le renard est dans le poulailler

Lors d’une conférence de presse à Paris, le directeur de l’institution onusienne a répété que l’Iran se conformait à l’obligation de laisser des inspecteurs pénétrer sur ses sites nucléaires, mais que Téhéran ne coopérait pas en ce qui concerne ses activités passées. C’est une déclaration fondamentale pour la suite de la crise et du bras de fer qui oppose Téhéran à Washington. | Décodages |


1 - 13.02.2009
Iran : Décodage d’un rapport sur la pénurie d’uranium

Selon une étude écrite par David Albright, un ancien inspecteur de l’AIEA, d’ici un an, l’Iran se retrouvera à court de concentré d’uranium ou « yellow cake », ingrédient indispensable pour l’enrichissement de l’uranium. Ce sera la fin du programme de production du combustible nucléaire pour sa future centrale nucléaire de Bouchehr. Téhéran a violement contesté cet avis car cette affirmation contient en fait une autre insinuation qui révolte le régime des mollahs. | Décodages |


1 - 20.06.2008
Iran : « Freeze for Freeze », brouillon pour un deal

Selon Delphine Minoui (à la fois dans les colonnes du Figaro mais aussi sur son blog), lors de son voyage en Iran, Solana aurait « très discrètement » remis aux mollahs une proposition bis appelée « Freeze for Freeze », qui consisterait à une reprise des négociations, mais sans la contrainte de suspension des activités nucléaires.


1 - 03.07.2008
Iran : Un compromis ?

Alors que Téhéran promet sans cesse une réponse rapide à l’offre des Six, dans une lettre publiée dans Libération, Velayati, conseiller du Guide Suprême, évoque un compromis qui serait susceptible de débloquer la situation et faire démarrer les négociations. La lettre bien qu’elle ne contienne pas l’énoncé de ce compromis a suscité à tort l’espoir d’un changement. Pourtant, cette lettre est tout sauf une source d’optimisme.


1 - 15.07.2008
Nouvel Obs | Vincent Jauvert : La réponse officielle de l’Iran à l’offre des Six

C’est un document confidentiel, remis le 4 juillet à Javier Solana, le diplomate en chef de l’UE - et publié, ici, pour la première fois. Il est signé par Manouchehr Mottaki, ministre des Affaires étrangères de la République islamique. Il s’agit de la réponse officielle de l’Iran à l’offre des Six (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité plus l’Allemagne) présentée le 14 juin dernier à Téhéran par le même Solona. L’offre en question dite « révisée » contenait un « paquet » de mesures incitant l’Iran à renoncer à son programme d’enrichissement de l’uranium.


1 - 16.09.2008
Iran-économie : Le choix destructeur du Dollar Stable

Que le dollar monte ou baisse, son taux en Iran demeure relativement stable (+3,7% en 2008, +4,2% sur 24 mois). Ce dollar stable est un choix du régime des mollahs : une compensation à la chute du rial iranien qui ne vaut plus rien. Il contribue aussi à amplifier l’inflation monstrueuse qui sévit en Iran depuis 1979 et s’est aggravée ces deux dernières années.


1 - 06.12.2011
Iran : La semaine en images n°198

La semaine dernière a été marquée par le boycott massif des rassemblements de la Semaine du Bassidj par les centaines de milliers de membres de cette milice populaire chargée du maintien de l’ordre et de la lutte anti-émeutes. Le régime n’a jamais pu dépasser le seuil de 300 personnes pour ses rassemblements. L’absence de mobilisation a également rappelé à chacun que le régime avait également perdu l’adhésion de ses autres collaborateurs comme les Pasdaran ou les mollahs de base.

Ces boycotts ont confirmé l’affaiblissement et la vulnérabilité du régime. Comme au cours des mois derniers, après chaque boycott, les associés du régime ont paniqué et se sont mis à acheter de l’or et des dollars pour pouvoir faire leurs valises et prendre la fuite. La demande et le nombre limité de dollars ont fait montrer cette devise à 1370 Tomans soit 25% de plus que les cours officiels. Le régime n’a pas annoncé de chiffre pour l’or, mais en recoupant les infos, on pourrait affirmer que l’or a atteint les 690,000 tomans, un record absolu depuis le début du cycle des boycotts des Pasdaran. On peut même parler d’un record important car une semaine plus tôt, au nom de la lutte anti-fraude (prétexte inventé pour attaquer ses associés paniqués), le régime avait bloqué 3 millions de comptes bancaires anonymes par lesquels transitaient les achats de dollars pour tarir la source qui alimentait les achats.

Bref, la semaine dernière, le régime a touché le fond et ce malgré ses efforts pour intimider ses associés ou entraver leurs achats. In fine pour restaurer son autorité, il a annoncé la tenue de plusieurs rassemblements de 50,000 bassidjis à Téhéran, il comptait diffuser des photos d’archives. Or, la date de la semaine du Bassij est fixée par rapport au calendrier lunaire arabe et cette semaine est depuis peu en automne, pendant les années fastes du régime, elle tombait pendant la saison chaude. Cette année, le régime a joué de malchance avec un temps morose et de la neige. Il n’avait pas d’images de bassidjis sous la neige : il a dû compter sur les partisans dont il dispose qui sont peu nombreux et majoritairement âgés. Ce rassemblement raté est devenu l’indicateur de la faiblesse et la vulnérabilité du régime. Le dollar et l’or ont continué leur hausse. La semaine s’est terminée sur l’annonce de deux condamnations à mort dans le dossier des fraudeurs financiers !

Cette semaine, le régime a durci le ton car il redoutait une nouvelle confirmation du rejet du peuple dès dimanche, avec le boycott de commémoration publique des saints chiites au démarrage du mois de Moharram. La semaine suivante, il pouvait toucher le fond les 6 et 7 décembre avec le boycott d’Achoura, la dernière et principale journée publique des saints chiites confirmant le rejet de l’islam et aussi avec le boycott de la Journée de l’Etudiant organisée par l’opposition officielle qui confirmerait aussi le rejet de cette opposition factice.

Bref le régime allait vers une puissante crise à partir du mercredi 7 décembre. Ce mardi (29 novembre), une semaine exactement avant cette tempête, il a annoncé l’invasion de l’ambassade britannique par des centaines d’étudiants portant les drapeaux emblématiques des islamistes fanatiques chiites… Le régime entendait neutraliser les boycotts qu’il redoutait.

Par ailleurs, il pouvait provoquer un conflit avec l’Occident pour évoquer sa capacité militaire de nuire au transit pétrolier afin de retourner la situation en sa faveur… Un coup de maître !

Mais Washington est resté zen ! il n’a pris aucune position notamment parce que la Grande-Bretagne est un proche allié du régime, souvent épinglé par Washington : il a tout intérêt à le voir réussir à se libérer des sanctions. Face à l’esquive américaine, Londres a été obligé de surenchérir pour pousser les pays européens à aller vers le conflit. Il n’a pas eu gain de cause car les Européens ont évoqué de nouvelles sanctions au lieu de frappes qu’elle suggérait à demi mot. Tout cela a confirmé la gravité de la situation du régime. Ses collaborateurs ont continué à éviter ses manifestations officielles, ses associés se sont montrés plus agités… In fine, le régime a encore perdu des collaborateurs ! Les images de la semaine nous montreront cette réalité en parallèle avec l’invasion qui devait donner des couleurs au régime agonisant.




0 | ... | 200 | 210 | 220 | 230 | 240 | 250 | 260 | 270 | 280 | ... | 310