Jeudi, l’Union Européenne a annoncé la levée des sanctions économiques contre les Moudjahiddines du peuple (OMPI), décision qui pourrait précéder le retrait de leur groupe de la liste européenne des mouvements terroristes. Nous avons expliqué qu’en agissant par étapes, l’UE faisait pression sur Téhéran tout en lui laissant des délais de réflexion afin qu’il change d’attitude et renonce à ses activités nucléaires. Cette analyse se confirme par une décision plutôt cruelle et cynique de l’UE à l’égard de l’OMPI.

Le 15 décembre 2007, en pleine négociation au Conseil de Sécurité à propos d’une nouvelle résolution contre Téhéran, la justice britannique avait annoncé sa décision de retirer l’OMPI (Organisation des Moudjahidines du peuple d’Iran (OMPI) de la liste du terrorisme du Royaume-Uni, mais le gouvernement britannique avait fait appel. Il s’agissait d’envoyer un avertissement avec sursis à Téhéran. Le mépris affiché des mollahs pour les propositions internationales a incité les britanniques à lever ce sursis.

Jeudi, l’Union Européenne a annoncé la levée des sanctions économiques contre les Moudjahiddines du peuple (OMPI), décision qui pourrait précéder le retrait de leur groupe de la liste européenne des mouvements terroristes. Nous avons expliqué qu’en agissant par étapes, l’UE faisait pression sur Téhéran tout en lui laissant des délais de réflexion afin qu’il change d’attitude et renonce à ses activités nucléaires. Cette analyse se confirme par une décision plutôt cruelle et cynique de l’UE à l’égard de l’OMPI.

Les parlementaires Européens auraient décidé de garder l’OMPI (les Radjavistes) sur la liste des organisations terroristes, chose dont nous nous réjouissons, même si les parlementaires ont sans doute cédé à tentation de plaire aux mollahs.

Selon une dépêche iranienne, le mercredi 27 août vers 17h, l’armée américaine s’est retirée des abords du camp Ashraf, lieu de résidence des Moudjahiddines (OMPI), permettant à l’armée irakienne de prendre position tout autour de cet enclos qui se referme comme un piège sur les ex-complices de Saddam Hussein.

Selon une dépêche iranienne, le mercredi 27 août vers 17h, l’armée américaine s’est retirée des abords du camp Ashraf, lieu de résidence des Moudjahiddines (OMPI), permettant à l’armée irakienne de prendre position tout autour de cet enclos qui se referme comme un piège sur les ex-complices de Saddam Hussein.

Abdel Aziz Hakim, le chef du Conseil Suprême de la Révolution Islamique en Irak (CSRII), a révélé que les américains s’opposaient à l’expulsion des membres de l’OMPI basés en Irak au prétexte que les Moudjahiddines seraient des réfugiés politiques irakiens. C’est la première fois qu’un responsable politique irakien proche de Téhéran fait des révélations sur la présence de ce groupe en Irak.

Daniel Pipes qui traîne une longue liste de qualifications prestigieuses comme « directeur du Forum du Moyen-Orient, l’auteur et co-auteur de nombreux ouvrages, chroniqueur, spécialiste du Proche et Moyen-Orient, expert en matière de terrorisme auprès du Pentagone », était l’un des intervenants du Colloque « Le monde libre, une idée neuve » organisé par l’Institut Jean-Jacques Rousseau à Paris le 28 juin.

Daniel Pipes qui traîne une longue liste de qualifications prestigieuses comme « directeur du Forum du Moyen-Orient, l’auteur et co-auteur de nombreux ouvrages, chroniqueur, spécialiste du Proche et Moyen-Orient, expert en matière de terrorisme auprès du Pentagone », était l’un des intervenants du Colloque « Le monde libre, une idée neuve » organisé par l’Institut Jean-Jacques Rousseau à Paris le 28 juin.

Abdel Aziz Hakim, le chef du Conseil Suprême de la Révolution Islamique en Irak (CSRII), a révélé que les américains s’opposaient à l’expulsion des membres de l’OMPI basés en Irak au prétexte que les Moudjahiddines seraient des réfugiés politiques irakiens. C’est la première fois qu’un responsable politique irakien proche de Téhéran fait des révélations sur la présence de ce groupe en Irak.