Les revenus des familles iraniennes sont bien bas. Le salaire des fonctionnaires iraniens varie de 180 $ (112€) à 250 $ (156€), celui d’un ouvrier est de 120 dollars (75€) ! Ces cautions sont astronomiques, mais vous ignorez que ces arrestations sont fictives !

Le régime des mollahs fonctionne selon les méthodes soviétiques : il met en place ses propres opposants que nous qualifions de « faux opposants ». Pour « lancer » ces personnages et les faire connaître des médias : le régime les arrête, d’autres faux-opposants parlent de la personne injustement accusée et mettent en place des comités de libération de la nouvelle recrue. Afin que cette comédie puisse durer un certain temps (pour amplifier l’effet boule de neige), le régime fixe des cautions très élevées.

Mais miracle ! Ces cautions astronomiques sont toujours payées car l’utilité du faux opposant est d’être libre pour parler aux médias ! Et sa parole vaut de l’or car elle est la preuve qu’une certaine activité de dissidence démocratique est possible sous le régime des mollahs.

En dehors de ce cadre précis de dissidence formatée, les faux opposants n’expriment aucun avis sur les sujets du jour (comme la répression des homos, le chômage, la pauvreté ou le nucléaire), ou même sur l’histoire non-islamique de l’Iran ou même la révolution islamique et son fondateur Khomeiny.

Retenez bien leur nom : Khadijeh Moghadam et Behrouz Karimizadeh sont des faux opposants bien lisses et monomaniaques qui n’ont aucun avis sur l’application de la charia, la pédophilie autorisée par la loi des mollahs, la lapidation ou encore la peine capitale…

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