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BIDEN-IRAN | ACTE 1
Iran-Resist Fact-checking 004 | 210128
Négociations secrètes de Biden (un paradigme périmé dans un monde inédit)

28.01.2021

Le nouveau président américain, Joe Biden [1], jadis le contact entre le parti démocrate et les mollahs, par ailleurs décrit comme agent de lobbying pro-mollahs, s’est engagé à défaire tout ce que Trump avait accompli surtout en matière de la politique étrangère américaine. Selon les médias israéliens, il a même déjà repris les négociations secrètes avec les mollahs. Les Israéliens annoncent des frappes aériennes sur l’Iran au cours de l’année en cours ou prochaine ! Ce ne sont pas là des faits inédits par le passé comme l’entendent les médias français comme le Point qui sont les caisses de résonnance du Quai d’Orsay. Rappel chronologique des faits et des enjeux passés et présents et la situation actuelle, inédite pour une raison inattendue.



Chronologie des négociations avec les mollahs
1 | En 1979, l’Iran est devenu un pays islamiste après la révolution islamique qui était un projet des démocrates pour islamiser tous les pays situés au sud de l’URSS pour détruire ce pays puis agiter les musulmans du Cachemire et les Ouïghours pour détruire la Chine.

Initialement, les Moudjahidines du peuple créés par les démocrates dans les années 60 devaient se charger du projet, mais ils n’y arrivaient pas.

En début des années 70, les démocrates ont sollicité le soutien de leurs rivaux pétroliers, les Anglais, protecteurs historiques du clergé iranien pour profiter des réseaux des mollahs notamment au sein du Bazar ou les grands commerçants traditionalistes. Les Anglais ont accepté et ont mis à disposition des démocrates, leur réseau de francs-maçons dans les médias iraniens et par ailleurs Khomeiny et ses proches , ainsi que pseudo-socialistes iraniens de Jebheh Melli (Front National) et enfin les frères musulmans (également maçons) et Kadhafi pour former les pions de Washington aux techniques terroristes en Libye.

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Khomeiny & sa clique devaient se retirer du jeu après la victoire de la révolution islamique, mais ils n’ont pas tenu parole : ils ont tué certains des pions des démocrates et chassé leur chef Bazargan (ci-dessous) du pouvoir.

Dès lors, les démocrates ont commencé à sanctionner les mollahs pour les déstabiliser, sans pour autant les renverser, pour les forcer à restituer le pouvoir à leurs agents.

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Washington s’est aussi gardé d’aider les Iraniens qui avaient été dupés et embarqués dans le système islamique sous la direction des frères maçons grâce à des slogans très trompeurs.

2 | Les mollahs ont profité de ce désintérêt américain pour réprimer sans modération les Iraniens. Mais sous la direction avisée des Anglais, ils ont riposté aux sanctions par du terrorisme islamique, aussi en créant le Hezbollah, un vieux projet anglais initialement prévu pour l’Iran dès 1906 et puis testé en Indonésie de 1942 à 45. et aussi enfin en finançant Al Qaeda, la branche armée des Frères musulmans (car ils ne trouvaient pas de combattant en Iran en raison de l’impopularité du régime).

Reagan était alors le président des États-Unis, mais démocrates étaient aux commandes grâce à leur alliance avec les Bush. Ils ont sanctionné les mollahs au motif du terrorisme sans expliciter leur rôle et l’émergence d’un islamisme incontrôlable, car ils devaient abandonner le projet et surtout le pouvoir aux États-Unis. Ils ont aussi eux-mêmes modéré la pression en autorisant certains alliés à les violer notamment les Israéliens à leur fournir des missiles pendant leur guerre contre Saddam !

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Ils ont aussi évoqué un peu les violations graves des droits de l’homme par les mollahs sans pour autant les accuser au point que l’opinion américaine exige leur chute. Ils ont aussi interdit toute opposition patriotique pour que seulement leurs pions, partisans d’un système islamique, puissent s’exprimer.

Les mollahs et leurs coachs anglais ont profité de cet attachement obstiné à des démocrates à leur islamisme en inventant des faux dissidents ou faux opposants [2] pour exclure les Moudjs et annuler la possibilité d’un retour au projet initial démocrate.

Le pouvoir démocrate a accueilli ces faux dissidents les bras ouverts dans l’espoir de les détourner en sa faveur. Il n’y est pas arrivé. Le pouvoir démocrate a alors tenté de draguer les mollahs directement par des négociations secrètes et des contrats secrets d’investissement. Pour rassurer les mollahs, le pouvoir démocrate a permis aux mollahs de créer un lobby aux États-Unis avec des Américains d’origine iranienne pour tisser des liens avec eux et aller vers des gouvernements de transitions vers ses pions... Les négociations secrètes n’ont donc rien de nouveau !

Mais tout a échoué, car les mollahs ne peuvent pas quitter le pouvoir par peur des représailles de la part des centaines de milliers de familles qu’ils ont heurtées ou endeuillées dans l’exercice de leur pouvoir absolu.

3 | Les démocrates ont alors inventé l’option militaire, menaçant les mollahs d’une attaque. Mais le très bon accueil populaire à ce projet les a forcés à y renoncer. Le pouvoir démocrate a alors passé le projet à Israël et a mis en plan un jeu de bon et de mauvais flics pour jouer avec les mollahs. Israël a toujours reporté ses frappes en prétextant des divisions politiques à ce sujet et un manque d’avions performants... La menace israélienne d’une frappe à venir (sans date) n’a donc également rien de nouveau !

Les mollahs conscients des freins à ces fanfaronnades militaires ont sans cesse multiplié les provocations militaires et ont utilisé la passivité militaire américaine ou israélienne pour se décrire comme une puissance régionale afin de rassurer leurs proches.

4 | Les démocrates ont d’avantages sanctionné les missiles surévalués des mollahs et leur très rudimentaire programme nucléaire pour lancer de nouvelles sanctions pour démoraliser les gens du régime. Mais ils ont laissé de nombreux alliés (UE, Inde, Corée du Sud, Japon...) les détourner pour que les sanctions ne détruisent pas aussi le régime ! Les nouvelles sanctions n’ont donc rien de nouveau !

5 | Les démocrates, pressés de réussir par les patrons américains, ont alors zappé leur projet en Iran et ont tenté d’islamiser le sud de la Russie via les Tchétchènes, puis via les Printemps arabes. Mais ce projet a buté en Égypte, puis en Jordanie et enfin en Syrie. Les Irakiens mis au pouvoir par les démocrates ont aussi refusé de les aider. Les démocrates ont inventé Daesh, islamiste anti Irakiens et anti mollahs. Les Irakiens ont appelé les Russes au secours et ces derniers ont été renforcés par le projet islamiste qui devait les détruire !

6 | Les Anglais (énervés par cette initiative dans leur domaine de prédilections) et l’UE (en difficulté par l’arrivée des réfugiés des printemps arabes) ont rejoint leur force aux Russes pour bloquer les démocrates. Ils ont imposé un accord sur le nucléaire aux mollahs et aux démocrates pour empêcher le deal entre les deux et le transfert de pouvoir aux pions islamistes des démocrates.

7 | Obama (représentant du pouvoir démocrate en ce moment), surpris par l’indocilité des Européens (sous-produits démocrates) a intégré l’accord en posant comme condition la possibilité de le quitter et rétablir sa diplomatie ambivalente à sa guise sans aucun justificatif.

Les démocrates se sont retrouvés en échec sur tous les fronts avec un coût humain et financier lourd pour l’Amérique. Pour casser la coalition est-ouest inattendue qui les avait mis en difficulté, les démocrates ont inventé les accords climatiques de Paris et ont au passage puni les patrons qui ne les finançaient plus.

8 | Donald Trump [3] a été le seul à critiquer les choix islamistes des démocrates depuis des années et leurs marottes climatiques anti-industrielles, car tout allait contre les intérêts économiques des Américains.

Parenthèse Trump
Les patrons américains lui ont fait confiance et l’ont aidé pour se présenter à l’élection présidentielle et les Américains également mécontents des démocrates lui ont permis d’être élu et réparer les erreurs économiques et diplomatiques des démocrates.

9 | Obama a alors ouvert de nouvelles négociations secrètes avec les mollahs offrant 17000 green cards (naturalisations) aux patrons du régime et leurs familles, le droit à un exil garanti pour parvenir à un deal avant l’investiture de Trump. Les mollahs ont accepté l’offre et les 17000 papiers, mais ils ont aussi éliminé Rafsandjani, leur ex-patron politique capable de mettre en point la transition du pouvoir. Ils ont prouvé l’inefficacité absolue des négociations secrètes même s’ils devaient accéder à toutes demandes des mollahs  !

10 | Cette politique absurde et inefficace des démocrates concernant les mollahs et par ailleurs, très contre-productives au Moyen-Orient a cessé d’exister avec l’arrivée de Trump. Ce dernier a rompu le soutien aux islamistes en Syrie et a entrepris des efforts pour apaiser les relations avec Poutine. Ce qui lui a permis d’obtenir le soutien de ce dernier pour dialoguer avec le leader nord-coréen. Il a aussi renforcé les sanctions contre la Chine (l’objectif initial des démocrates) et a pu les forcer à accepter de négocier.

Concernant l’Iran, il a enfin ciblé le terrorisme du régime. Il a aussi annulé le deal secret d’Obama avec les mollahs en interdisant les voyages depuis certains pays musulmans alliés aux mollahs vers les États-Unis et a de facto empêché une arrivée massive de terroristes du régime aux États-Unis. Il a aussi fédéré tous les pays de la région dans la lutte contre le terrorisme des mollahs.

Il a permis le rapprochement de la Russie avec l’Arabie Saoudite pour mettre fin à l’isolement de poutine et d’Assad. Il a utilisé la clause imposée par Obama dans l’accord nucléaire pour en sortir. Il a évoqué la nécessité d’un nouvel accord incluant les droits de l’homme et le droit des Iraniens à un meilleur régime, ce qui a permis aux Iraniens de se révolter. Il leur a alors apporté son soutien. Il a adopté des sanctions fortes après le refus des mollahs de négocier (plier) et a appliqué ses sanctions sans modération ou dérogation, faisant chuter l’exportation pétrolière du régime à 300,000 barils. Cette chute des revenus du régime l’a exposé à un fort risque de pénuries dans tous les domaines, donc à un fort risque de soulèvements populaires et a engendré de rupture massive au sein du régime.

Sur le plan intérieur, il a relancé l’économie, le pouvoir d’achat et la création d’emploi en baissant les taxes et en mettant fin à l’immigration sauvage encouragée par les démocrates pour faire baisser le prix du travail dans leur Uber économie. Il a aussi amélioré la vie des Américains les plus démunis en annulant l’Obamacare qui ne concernait pas les plus démunis en le remplaçant dans l’intérêt des plus démunis par une baisse 90 % les prix des médicaments imposés par la FDA et les big Pharma.

11 | Les Anglais leur ont prêté main-forte en raison de l’efficacité du plan de Trump malgré son isolement à Washington et son incapacité à trouver des alliés administratifs fiables. En milieu de son mandat, ils ont évoqué une affaire d’empoisonnement d’un espion dissident russe à Londres pour accuser Poutine et forcer Trump à le sanctionner. Il ne l’a pas fait et a continué à coopérer avec lui sur plusieurs plans. Il a notamment pu bombarder et détruire le siège fortifié du terrorisme du régime en Syrie grâce à la passivité de la DCA de Poutine et d’Assad. Il a aussi pu continuer les frappes par l’aviation israélienne grâce à la passivité russo-syrienne. Enfin grâce à ces actions anti-terrorisme bénéfique pour la région et contre les Arabes occupés à combattre les mollahs au Yémen, il a pu parvenir à rapprocher les Arabes et les Israéliens et parvenir à une paix que les démocrates affirmaient comme étant impossible.

Les démocrates ont alors misé sur une pandémie saisonnière pour évoquer la "maladie du siècle" d’origine chinoise, avec l’aide des Big Pharma et des Big Tech (que Trump voulait taxer). Ensemble, en surévaluant les risques (ci-dessous) ils ont imposé un arrêt de l’économie mondiale pour défaire les succès de Trump, accuser la Chine et casser son accord avec elle.

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Les États européens, surendettés, ont participé à ce coup d’État pour se débarrasser de Trump qui leur demandait de renoncer à leurs contrats avec les mollahs et parce qu’ils voulaient attribuer la faillite de leur gestion à la pandémie et imposer des mesures fortes à leur population.

Or, la dangerosité du virus est très discutable, car le nombre de personnes décédées en 2020 n’a pas explosé par rapport à l’année 2019.

Mais les démocrates ont réussi à ralentir sérieusement l’activité mondiale. Les Anglais ont d’abord refusé le jeu avant d’y participer pour avoir la peau de Trump, le seul président qui était parvenu à offrir des victoires aux États-Unis en un seul mandat malgré un isolement constant.

Les démocrates ont encouragé les haines racialistes pour désorganiser la vie économique persistante, mais sans parvenir à attribuer les désordres à Trump.

12 | In fine, ils ont eu sa peau en trichant massivement lors des élections, car il avait récolté un vote massif en raison de ses succès et l’amélioration de la condition de vie des Américains. Ils ont aussi organisé une invasion du Capitole avec des Antifa, menaçant les partisans de Trump, pour les forcer à valider les résultats frauduleux et ont attribué aux partisans néonazis de Trump pour le désigner comme un danger et d’empêcher qu’il puisse revenir au pouvoir et menacer leurs intérêts.

Retour du pouvoir démocrate & de ses techniques périmées
13 | Dès, son "élection" et avant même son investiture, Biden a entrepris de nouvelles négociations secrètes avec les mollahs. Ces derniers sont restés inflexibles et ont multiplié les frappes contre les militaires américains en Irak. L’administration Trump a refusé de l’équipe de Biden l’accès aux dossiers des soldats américains à l’étranger de peur que le deal mette en péril leur vie. Biden a alors fait une fleur aux mollahs en affirmant qu’il allait prendre le chef de leur lobbyiste aux États-Unis, Trita Parsi, comme conseiller du Moyen-Orient.

14 | Dès le premier jour de son mandat signé de nombreux ordres pour défaire rapidement les succès de Trump, qui avait résisté à la fausse pandémie de Covid19. Il a mis fin aux travaux du mur anti-immigration sauvage, il a arrêté le secteur pétrolier et composé un cabinet avec des gens polémiques pour entretenir les foyers de discordes.

Concernant, l’islamisme, il a bloqué la livraison des armes vendues aux Saoudiens pour résister aux islamistes houthis qui reçoivent des missiles des mollahs. Il a aussi bloqué les livraisons aux Émiratis pour pouvoir se défendre contre les mollahs. Il a aussi envoyé des troupes en Syrie pour raviver les groupes islamistes dans ce pays et leur permettre d’attaquer Assad et les Russes, afin de les forcer aussi à se braquer et faire de ripostes ouvrant la voie à de nouvelles sanctions contre eux.

15 | Concernant les mollahs, il a adouci les sanctions par une révision au prétexte de voir si elles visaient ou pas le secteur de la santé alors qu’il n’y a pas lien entre le pétrole et le secteur sanitaire et ce secteur n’était point sanctionné en vertu des conventions internationales ! Les mollahs ont été autorisés à augmenter leurs exportations à 2,000,000 de barils retrouvant la possibilité théorique d’injecter plus de fonds dans leur économie. Mais cela reste plutôt impossible, car de nombreux États ont gelé les transactions avec le régime et ne comptent pas rembourser les mollahs et par ailleurs, les Européens qui craignent perdre leurs contrats ont commencé à évoquer leur crainte sur le terrorisme des mollahs (alors qu’ils refusaient de le faire sous Trump).

16 | Biden a alors aussi autorisé les voyages des ressortissants du régime alors que ce cadeau (d’Obama) n’avait pas plus aux mollahs et leur convient encore moins en raison de l’envie de la majorité de leurs collaborateurs de les quitter. Les mollahs et les chefs Pasdaran ont cette fois annoncé de nombreuses condamnations à de hauts responsables pour trafic de devises (crime passible de la peine capitale), visant avec des peines moins fortes le frère de Rohani, du frère de son vice-président et nombreux commandant de la milice pour rappeler que personne n’était assez haut placé pour s’échapper en toute impunité du pays.

Biden a alors sorti à nouveau de sa manche son joker militaire : la frappe israélienne. Les dirigeants de ce pays ont repris leur rôle en affirmant qu’ils frapperaient tout le pays, si ceci ou si cela...

Une appli périmée qui a détraqué la machine
17 | On reste dans un schéma cher aux démocrates, car rien n’avance avec les mollahs ! Les manifestations hostiles au régime sont aussi de plus en plus nombreuses en raison de cette rigidité et l’absence d’un avenir possible pour l’Iran avec ces dirigeants.

Mais cette fois, les Iraniens sont à nouveau seuls et risquent de le rester, car Biden veut nommer dans son cabinet comme responsable de l’Iran un certain Robert Malley qui avait qualifié les soulèvements iraniens [4] [5] de show organisé par Trump, les Israéliens et les Saoudiens. Les Israéliens n’ont pas protesté après cette nomination, laissant entrevoir leur soumission aux démocrates. Quelles que soient leurs raisons, elles ne changent pas l’isolement des Iraniens.

On ne peut également compter sur les Européens, notamment des Français qui apprécient ce Malley (francophone), puisqu’ils l’avaient invité pour diffuser ses mensonges sur TV5-monde en 2018.


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Effets surprises de l’obsolescence de Biden
(présidence déjà périmée des démocrates par leur propre faute)

18 | Les Anglais ont encouragé la fuite en avant de Biden en faisant la promotion de l’agent démocrate Navalny. Ils espèrent casser du Poutine et aider Biden, car sa lutte contre les pétroliers américains place ce pays de manière durable dépendant du pétrole anglais. Cela va bien aggraver les finances des démocrates.

19 | D’ores et déjà, ils envisagent de ne pas payer leurs alliés de Big Pharma au prétexte d’une immunité collective et même pire, de dépouiller les alliés de Big Tech, car un livre d’un journaliste (proche de Micheal Moore, de New Yorker et Vanity Fair – porte-paroles des démocrates) les accuse d’être des agents russes et des clients du pedocriminel Epstein dans un réseau formé par le KGB et Trump !

L’argument du livre ne tient pas, car le KGB n’a rien gagné grâce à sa supposée mainmise sur les Big Tech, car il n’aurait pas disparu et l’URSS n’aurait pas disparu ! Par ailleurs, s’il avait été le maître de Slicone Valley, il aurait permis à Trump de gagner les élections ou bénéficier du soutien des Big Tech.

Sachant que le livre n’a pas été écrit en une nuit, on peut supposer que les démocrates avaient commandé cette diffamation contre Trump, les Russes et les Big Tech depuis un certain temps dans le but de les détruire tous. On comprend les attaques contre Trump et Epstein qui étaient à leur service. On imagine aussi que les démocrates cherchent surtout à éliminer leurs principaux alliés afin de voler leurs richesses, avec la bénédiction des Américains, pour devenir les hommes les plus riches du monde  ! Ils débarrassent aussi de Bill Clinton qui ne leur sert à rien en raison de son exposition dans l’affaire Epstein.

C’est là la nouveauté du cabinet de Biden. Il n’est pas en guerre contre les mollahs avec des pseudo-santions, des négociations foireuses ou des frappes israéliennes improbables, mais en guerre contre ses membres et aussi contre ses plus importants alliés et par ailleurs contre 80 % des Américains qui ont voté pour Trump. Ce dernier a de bonnes opportunités de retour.

20 | Le sacrifice de Bill Clinton est aussi un choix extrême qui souligne la détresse du pouvoir démocrate. Il n’est pas invulnérable et il se voit en danger. Ce sacrifice aura ses conséquences. Elle ne peut que déstabiliser les vieux serviteurs devenus des boulets. Ce n’est pas un pavé jeté maladroitement dans le marais démocrate, mais une révolution de Palais. Les vieux mafieux blancs vont se révolter contre la branche racialiste, personnifiée par Obama, Kamala, etc. !

21 | Il reste à savoir ce que feraient les dirigeants Big Tech (dont certains ont beaucoup fréquenté Epstein). Toutes les victimes de démocrates devraient se révolter sous la direction de Trump et sous l’impulsion des réseaux sociaux et de leurs investisseurs (qui seront dépouillé aussi). Biden qui a misé sur les financiers vient de prendre des mesures qui risquent de le mettre sous peu face à un sacré front hostile.

22 | Sans même le retour de Trump, les démocrates ne pourraient plus se permettre d’alléger les sanctions des mollahs ou leur trouver des arrangements. Espérons que les mollahs ne puissent pas renflouer leurs caisses, qu’ils perdent leurs collaborateurs et que les Iraniens continueront à asséner des coups contre le régime. Nos compatriotes pourront profiter du chaos de l’effondrement du pouvoir démocrate et avoir les pleins pouvoirs chez eux pour renverser les mollahs.

Alors vive toutes les initiatives secrètes foireuses de Biden et ses camarades décrépits  !