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Coronavirus : Quand la politique devient virale !
14.03.2020

La psychose de coronavirus continue dans le monde malgré le nombre peu élevé de ses victimes comparé à d’autres maladies. De nombreux dirigeants politiques à travers le monde exploitent cette psychose et y contribuent pour désactiver leurs opposants ou des manifestations à leur encontre. Mais, c’est une erreur, car la psychose a été lancée par les démocrates américains avec certains objectifs et l’exploitation des autres dirigeants renforce ses capacités et donnent du pouvoir à démocrates américains, certains d’être battus aux élections 2020, qui cherchent une déstabilisation économique générale pour déstabiliser et battre Trump. Macron sera artisan de sa propre défaite comme les mollahs qui sont déjà dépassés par leur exploitation de ce filon inépuisable de « menace extérieure ». Pourtant, il n’y a pas de fatalité pour Macron et pour la France. Voici quelques éclaircissements pour mieux comprendre la situation.



Le coronavirus tue vraiment beaucoup moins que d’autres maladies selon l’OMS. Le site mis en place par les démocrates américains avec son fond noir anxiogène et sous la direction d’une Iranienne fan d’Obama et spécialisée en modèle mathématique de gestion des maladies est une mauvaise source en raison du manque de données fiables notamment concernant l’Iran des mollahs (grands spécialistes d’enfumage médiatique).

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© IRAN-RESIST.ORG

Nous y préférons le site de l’OMS qui sur un fond blanc et avec des couleurs nettement moins anxiogènes expose les chiffres de la mortalité mondiale par exemple en 2016 : plus de 9 millions par cardiopathie, près de 6 millions par AVC, plus de 3 millions pour des bronchites chroniques... Le coronavirus qui pour l’instant est d’un peu moins de 5200 morts en 3 mois est loin d’être une source de crise sanitaire sans précédente comme l’a dit Macron.

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Macron cherche a se hisser en héros contre un danger surévalué et par la suite, il va demander un effort aux Français de revoir en baisse leur retraite pour aider le financement d’un service public dont il découvre tout d’un coup les vertus. Il se donne jusqu’à l’été puis c’est les vacances et encore 3 mois de répit...

Mais il risque de tomber fort de sa chaise en ayant promus cette psychose taillée et promue pour plonger le monde dans une crise terrible durant l’automne 2020 au moment des élections de Trump et il y aura plus de promotions de psychose par les plateformes démocrates comme celui de John Hopkins (lié à la promotion d’entente avec les mollahs qui a aussi des campus en Chine et en Italie), CNN (souvent pro-mollahs), HBO, HULU par des documentaires et des téléfilms délibérément anxiogènes en cas d’une victoire de Trump. Pour atteindre ce dernier et notamment sa politique iranienne, ses adversaires doivent abattre tous les pays alliés ou partenaires des États-Unis.

Il y a un contexte iranien. Avant d’y venir, oublions un peu Macron et revenons au virus surmédiatisé de Covid-19, car dans un contexte de tromperie médiatique et politique, que l’on appelle communément un complot, il faut observer les faits comme de fausses données préparées en vue d’influencer et de tromper l’opinion.

Considérant que le coronavirus atteint les gens avec une immunité faible, il devrait en principe tuer aussi des enfants, mais ils y échappent (fort heureusement) et il ébranle uniquement des personnes de plus de 73 ans et tue ceux de plus de 85 ans. Ces personnes n’étant plus actifs et en même temps des charges pour la société, on peut dire crument que ce virus purge la planète terre d’individus ne produisent plus rien, qui consomment peu et aussi immobilisent des avoirs financiers et immobiliers en épargnent et de fait coûtent cher aux grandes sociétés financières qui nous gouvernent. Leur élimination permet de revitaliser les échanges et au passage aussi relancer les consommations de médicaments à usage préventif pour ceux qui s’approchent des âges à risques (une sorte d’intoxication homéopathique pour en faire des populations à risques).

Les démocrates cherchent certes à empêcher l’élection de Trump, mais ils proposent ainsi un monde en chaos et instable bien bénéfiques aux grands patrons américains.

Le chaos maîtrisé a d’ailleurs été au centre de la diplomatie démocrate puis républicaine que l’on appelle Establishment aux États-Unis depuis les soutiens financiers cachés des pétroliers à Hitler pour désorganiser le pouvoir de l’Europe, puis à Arafat pour maintenir le Moyen-Orient en état d’agitation, et enfin à Khomeiny et des révolutions islamiques dans le cadre des printemps arabes pour désorganiser et piller l’Afrique sous la direction du faux gentil Bambi Obama qui est introuvable depuis sa défaite, car cette politique n’a jamais réussi à servir les intérêts des États-Unis et a souvent déraillé. Durant la période islamiste du chaos depuis la révolution islamique en Iran et en Afghanistan, les démocrates et leurs camarades républicains ont sans cesse joué la surenchère en raison du refus des habitants des pays concernés de rentrer dans les rôles que l’on leur assignait soit par manque d’islamisme en Iran ou par excès d’islamisme anti-américain en Afghanistan !

Ce chaos avait in fine aussi profité aux mollahs, invités surprise de la révolution islamo-chaotiste américaine de 1979 en Iran , car les mollahs avaient instauré leur propre chaos en Irak. Les politiciens américains avaient encore joué la surenchère en créant Daesh. Ce chaos ultime a surtout profité à Poutine qui en optant pour la lutte contre ce chaos a pu offrir à la Russie une place forte dont elle ne pouvait jamais rêver dans l’ensemble du Moyen-Orient  !

Le résultat a été le désaveu de l’establishment à majorité démocrate et ses projets chaotistes par les patrons américains. Ces derniers ont cherché et trouvé un champion hors système qui est Trump. Aujourd’hui, les démocrates tentent en come back et la séduction des grands patrons américains en leur proposant un chaos plus vaste (par la déstabilisation de l’usine mondiale en Chine) en ayant préparé le terrain auparavant par des séries, des téléfilms et des jeux vidéos post-apocalyptiques  !

Il faut cependant vous rassurer qu’il n’y aura jamais de virus formaté pour une apocalypse du genre des séries télévisées Walking Dead ou See, car le but n’est pas de tuer les terriens consommateurs, mais surfer sur leurs peurs  : pour les faire consommer davantage et aussi éliminer des zones de productions à bas coûts en Chine ou dans des pays émergents comme l’Inde ou la Russie pour en imposer un peu partout avec des salaires bas au nom de la solidarité mondiale. C’est d’ailleurs pourquoi les dirigeants indiens ou russes insistent sur le faible indice de contamination dans leur pays et personne ne peut les contredire, car si le virus est réel son impact est dans la réalité très faible !

Un autre aspect de ce plan (aux allures de démo-test) est aussi la purge de la bourse des petits investisseurs du fait de leur panique ! Les bourses ont chuté un peu partout, mais quand les actions d’une grande entreprise, disons Air France, chutent, ce sont les petits porteurs qui ont capitalisé et ont aidé l’entreprise qui perdent tout, mais l’entreprise ne disparaît pas, car elle garde ses outils de productions et son s’avoir faire. Elles se portent même mieux, car elle se voit exonérée de payer les dividendes qu’elle devait verser à ses petits bienfaiteurs. Le plan chartiste des concepteurs démocrates de Covid-19 a donc de quoi charmer tout type de grandes entreprises internationales. Il charme aussi les multinationales, car il permet aussi de déstabiliser les petites entreprises et éliminer leur concurrence  !

C’est ce qui est arrivé grâce à la chute des actions sur le pétrole malgré la résistance de Trump : le prix bas va tuer les petits producteurs de gaz de schistes apparus grâce aux hausses des prix du pétrole et du gaz. Les Saoudiens et les Russes ont d’ailleurs apprécié cette purge en feignant de ne pas trouver un accord sur le prix et en maintenant leur production malgré la baisse de la demande en raison de la crainte d’acheter ou de produire en Chine. Les grandes compagnies américaines ont aussi laissé faire pour se débarrasser des producteurs indépendants qui leur piquent des marchés.


La France n’a rien à gagner dans ce monde
, car elle n’a pas de pétrole ou de gaz, a peu de très grandes industries ou des banques en bonne santé selon l’économiste Jean-Pierre Chevallier. Elle va surtout consommer de la panique et dépenser ses réserves pour les produits de panique qu’elle-même ne produit pas.

Le cas des mollahs est différent : les mollahs, qui ont toujours surfé sur la crise et ont un pied dans la psychose américaine qui doit les aider. Cependant, les mollahs devaient y participer, mais ils ont surenchéri pour cloitrer les gens et désactiver les manifestations à leur encontre. Ils ont réussi à faire peur, mais la contestation persiste, car même s’il y a moins de manifestations, les Iraniens ne travaillent plus et le chômage qui est depuis longtemps d’environ 80 % est passé à 100 %. Les gens consomment encore moins qu’avant et leur colère se renforce. La psychose qui devait aider le régime en affaiblissant ses opposants a renforcé ces derniers  !

Les slogans sur les murs qualifient les mollahs et surtout Khamenei de virus plus mortels que le corona ! On parle d’une reprise des manifestations au moment de la fête du feu (le mardi 24 mars).


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Les mollahs ont mis en branle leurs faux journalistes pour évoquer encore 1,5 million de contaminés soit 10 fois plus que dans le monde entier et 200,000 morts soit 40 fois fois plus que les morts dans le monde entier pour empêcher des manifestations avec des gens désespérés qui sont arrivés au point de n’avoir rien à perdre !

De fait, les mollahs insinuent l’exode de leurs proches vers des destinations inconnues pour neutraliser d’éventuelles attaques de leurs bureaux ou leurs domiciles. Des faux opposants que l’on connait bien affirment également que Khamenei est mort depuis 5 ans et a été remplacé par un double afin de préserver le Guide, le symbole du régime, d’une arrestation et d’un lynchage qui entraîneraient immédiatement la fin du régime et ouvriraient la voie aux lynchages de tous les collaborateurs du régime !

Cette situation franchement délétère a amplifié la panique des amis affairistes du régime. Les ventes d’actions ont augmenté et le régime a subi des chutes d’indice propices à faire fuir ses partenaires étrangers. Il a alors limité la casse en éliminant des calculs les actions mises en vente, mais cela a augmenté exagérément l’indice et l’attente de très forts dividendes comme nous l’avions prévu. Le régime a dû imposer une limite à la hausse des actions pour ne pas devoir payer plus de dividendes à ses collaborateurs paniqués. Cela a provoqué à nouveau une très grosse panique (voir notre article à ce sujet) et des ruptures au sein du régime.

La chute du baril due la baisse de la production en Chine (en raison de coronavirus) a aussi fait fondre l’espoir d’une crise pétrolière promise par les mollahs ! Le consensus mondial des grands pétroliers a aussi isolé les mollahs.

Plusieurs pays ont aussi accusé les mollahs, qui ont un si grand nombre de contaminés, d’avoir répandu la contamination dans tout le Moyen-Orient et aussi au Canada où il y a de nombreuses personnes liés au régime ! De nombreux pays ont interdit des visiteurs venus d’Iran. Les riches du régime se sont vus empêchés de fuir avec leurs capitaux vers des pays envisagés comme terre d’asile. Ils ont dû augmenter les transactions vers leurs comptes dans ces pays pour forcer l’embargo anti-iranien, car les mollahs viennent de mettre en place une nouvelle mesure financière limitant les transactions interbancaires à 200 millions de tomans soit 12 000 dollars !

Les personnes désireuses de déplacer cette somme doivent apporter des pièces justificatives pour cette dépense sans quoi ils seront accusés de blanchiment d’argent, ils se verront confisquer leurs avoirs et leurs biens et seront jugés pour trahison  !

Le petit montant limite fixé par le régime signifie aussi que non seulement les plus riches de leurs collaborateurs s’étaient mis en branle pour fuir, mais aussi des petits du genre gardes du corps qui ont des pactoles bien plus limités d’ordre de 100,000 dollars.

Les mollahs doivent cette situation à leur surexploitation de la psychose et ces deux effets pervers  : la montée de la colère et l’embargo anti-iraniens des pays prisés par leurs collaborateurs, effets pas prévus par les concepteurs de cette psychose très graphique.

Les mollahs ont ainsi aggravé leur situation en surexploitant la psychose qui devait détruire leur ennemi Trump. Ils ne peuvent pas reculer, car cela ne changera pas leur situation économique déjà ébranlée par les sanctions américaines, leur corruption et le déplacement de leur propre fortune vers des paradis fiscaux. Ils n’en montrent d’ailleurs aucun désir de ralentissement de la psychose, car ils sont liés apparemment à ses concepteurs et devront aussi l’intensifier la psychose pour empêcher une fête du feu contestataire.

Les mollahs sont désespérés et continueront à promouvoir le chaos par obligation politique et par nécessité sécuritaire. Les mollahs iront au bout de l’aventure de cette psychose factice et pourraient y rester. Leurs amis démocrates ont l’embarras du choix parmi des centaines de faux opposants iraniens pour les remplacer.

La situation en France est cependant bien différente de la situation en Iran. Il n’y a pas un régime criminel en guerre contre le peuple et contre ses propres collaborateurs. En aidant la psychose, la France deviendra un moteur ou le carburant de ce modèle chaotiste qui doit profiter à de très grandes multinationales.

Le coq français n’y laissera pas des plumes, mais des ailes. Une réélection ne vaut pas cela. La France a déjà essayé ce jeu de chaotisme en 1979 en aidant la révolution islamiste des démocrates américains en Iran. Elle devrait plutôt mettre fin à cette promotion électorale de la psychose, sortir de ce chaotisme qui a bien échoué avant Trump, combattre ses vieux instigateurs démocrates américains ainsi que leurs vieux soldats mollahs qui n’ont rien trouvé de mieux que de promouvoir la mort et les maladies pour relancer des carrières en déclin et leurs projets périmés.

Une autre manière de désorganiser ce chaos morbide est d’aider les Iraniens (jeunes et vieux) à renverser les mollahs, leurs faux opposants et leur régime pour mettre fin au vivier du chaostisme démocrate révolu afin de fonder l’avenir sur la vie.

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Arrêtons ensemble la psychose et le chaos qu’il engendre.

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