Selon ce barbu, les livres scolaires doivent être conformes aux besoins et aux spécificités familiales, sociales, psychologiques, mentales des élèves, mais aussi en équation avec leurs capacités intellectuelles et leurs évolutions individuelles futures.

Sa décision fait écho à une demande de Fatemeh Adjorlou, une député en tchador, qui déplorait récemment le manque de valeurs religieuses dans les livres scolaires qui a provoqué un désintérêt des iraniens pour la religion.

On ne le dit pas assez : 30 ans de révolution islamique, d’application de peines barbares en public, d’un enseignement strict ont détourné les iraniens de l’Islam. En réponse à ce désintérêt, le régime a décidé de renforcer les mesures...

Normalement, les propos de ce ministre auraient dû provoquer un tollé général auprès des « dissidents » mais en Iran, la dissidence est un faux-semblant et les réformateurs juste un alibi pour rendre le régime fréquentable. Il n’y a donc eu aucune réaction aux propos ignobles d’Alireza Ahmadi sur les capacités intellectuelles des femmes !

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