Il s’agissait d’appâter les partenaires Européens de l’Iran avec d’importants contrats (1,4 et 1,7 milliard de dollars) afin qu’ils ne pensent pas à alourdir les sanctions économiques contre l’Iran.

Le régime des mollahs avait par la suite annoncé qu’il avait pris « des contacts avec des sociétés Russes et Européennes » et qu’il attendait des offres avant le 10 Août. En voilà une qui n’a pas attendu le 10 Août pour donner sa réponse.

Areva, le géant français du nucléaire, exclut de participer à tout appel d’offre qui serait lancé par l’Iran pour la construction de nouvelles centrales nucléaires.

« Areva s’adresse à des clients et des Etats qui respectent pleinement les règlements internationaux sur l’énergie nucléaire. C’est un principe général que nous appliquons à tous nos clients. Cela exclut de fait une coopération avec l’Iran », a déclaré un porte-parole d’Areva. Cette réponse négative d’Areva ressemble à celle de Total et aura le même effet dévastateur sur les investissements en Iran. Plouf.

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