Le 15 août 2004, une jeune fille de seize ans a été pendue sur une place publique de Neka, petite ville industrielle au bord de la mer Caspienne, en Iran. Atefeh Rajabi a été condamnée à mort pour « crime contre la chasteté » par le mollah Haji Rezaï, également juge, procureur et chef de l’administration locale, en vertu de la loi islamique fondée sur la Charia. Pourtant, l’Iran est signataire d’une convention internationale qui interdit de condamner à mort ou d’exécuter des individus de moins de dix-huit ans. Ce film relate la terrible histoire de la vie et la mort tragique d’une jeune fille ordinaire, victime de la monstruosité des mollahs d’Iran.

Cette triste histoire n’a pas retenu l’attention de Shirin Ebadi. Cette dernière est une taupe du régime des mollahs qui consacre son temps à plaidoyer pour le droit à l’enrichissement nucléaire pour les mollahs, elle sillonne le monde pour défendre la Charia. Pourtant, le président de l’Assemblée Nationale l’a reçue malgré notre lettre de protestation et plus tard, Douste-Blazy en a fait autant. Ces marques d’allégeance pour ceux qui méprisent la souffrance du peuple iranien ont fini par dégrader l’image de la France en Iran. Il faut cesser de vous voiler la face et ne plus commettre les mêmes erreurs. Atefeh est morte dans l’oubli. Par la suite, il y a eu le cas de Jila Izadi et le journal Elle a subi des pressions au point que sa directrice nous a finalement claqué la porte au nez en nous traitant de menteurs. Concernant Jila aussi, Ebadi a été aux abonnées absentes.

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