Faute avouée, faute à moitié pardonnée 28.10.2005 La France a indiqué vendredi qu’elle allait consulter l’Allemagne et la Grande-Bretagne, ses deux partenaires engagés dans des négociations sur le programme nucléaire de l’Iran, pour examiner les « conséquences » à donner aux propos anti-israéliens du président iranien. Interrogé pour savoir quelle serait la réaction de Paris à une éventuelle modération de ton de l’Iran, il a répondu que « si les Iraniens revenaient sur les déclarations du président Ahmadinejad, ce serait là aussi un élément à prendre en considération ».
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