La capitalisation totale de la bourse en Iran représente la somme de 38 milliards de $ alors qu’au début du mois de Juin cette somme était de 45 milliards de $.

Reuters ajoute que les signes de l’arrêt des investissements sur la bourse de Téhéran sont visibles et que l’inquiétude et le désengagement des milieux économiques risque de compromettre bon nombre des projets iraniens dans différents domaines.

Ces mêmes milieux sont convaincus que tout dépendra maintenant du résultat de la relation gouvernementale et de sa façon de traiter la problématique du nucléaire au niveau international.

La fuite des capitaux de la bourse internationale de Téhéran de création récente devrait inquiéter très sérieusement le nouveau gouvernement qui assiste impuissant à un report des investissements iraniens vers les Emirats Arabes Unis et tout spécialement vers la très dynamique bourse de Dubaï.

Depuis l’arrivée de l’ex-preneur d’otages, Ahmadinejad, à la tête du gouvernement iranien, la fuite des capitaux et des investisseurs s’est accrue de manière exponentielle.

Les capitaux sont partis pour l’essentiel dans les émirats du Golfe Persique et que les spécialistes prévoient que le chiffre des 200 milliards pourrait monter à 326 au cours des années 2006/2007.

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