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« INA, Iran non proliferation act »

La NASA a émis des doutes vendredi sur la future participation des Etats-Unis aux vols spatiaux russes et sur le maintien d’une présence américaine « continue » sur la Station spatiale internationale (ISS).



L’administrateur de l’Agence spatiale américaine, Michael Griffin, en visite sur le cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan, pense pouvoir parvenir à « un accord financier acceptable » avec Moscou.

Les Russes demandent à la Nasa de participer aux financement des missions depuis qu’ils supportent, seuls, le « transport » des spationautes vers l’ISS, mais des dispositions d’une loi américaine [INA, Iran non proliferation act - 14 Mars 2000 par Bill Clinton] empêche les Etats-Unis de financer le programme spatial d’un pays coopérant avec l’Iran. Or Moscou construit en Iran une centrale nucléaire.

La Russie est en train de construire une centrale nucléaire d’une valeur de 800 millions de dollars (667 millions d’euros) en Iran malgré les objections des Etats-Unis qui estiment que ce projet pourrait aider Téhéran à acquérir l’arme nucléaire.