N’ayant pas de fagots à enflammer, les prisonniers ont mis le feu au mobilier après que les autorités religieuses leur ait interdit l’accès au cour de promenade de peur qu’ils ne tentent une commémoration « païenne » comme la nomme le régime islamique.

Quelques prisonniers ont été aussitôt conduits dans des cellules à l’isolement mais tous les prisonniers feront par la suite l’objet de mesures disciplinaires.

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